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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 09/10/2021 20h00 GMT

Journal en français facile 09/10/2021 20h00 GMT

Fanny Bleichner : Vous écoutez RFI il est 22h à Paris, 20h en temps universel, 23h30 à Téhéran. Bonsoir et bienvenue dans cette nouvelle édition du Journal en français facile. Pour m'accompagner ce soir Zéphyrin Kouadio, bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Fanny, bonsoir à toutes et à tous.

FB : À la une de l'actualité ce soir : la mort du premier président de la république islamique d'Iran Abolhassan Bani Sadr. Il était en exil en France.

ZK : La France où l'on commémorait aujourd'hui l'abolition de la peine de mort. Cela fait 40 ans que cette peine n'est plus en vigueur. Emmanuel Macron appelle tous les pays à en faire de même.

FB : Nous parlerons aussi d'une décision de justice en Israël. Les prières juives restent interdites à Jérusalem sur l'Esplanade des Mosquées.

ZK : Et puis direction l'Allemagne à la fin de cette édition. Des milliers de personnes ont pu visiter l'immense usine Tesla qui devrait bientôt produire 500 000 véhicules électriques par an.

-----

ZK : Il a été le premier président de la République islamique d'Iran Abolhassan Bani Sadr est mort aujourd'hui.

FB : Il avait 88 ans et vivait en exil en France, en région parisienne depuis qu'il avait quitté clandestinement son pays en 1981. Juliette Gheerbrant revient sur le parcours de cet homme politique.

Issu d'une famille de religieux, diplômé d'économie, de sociologie et de théologie, Bani Sadr s'était engagé dès 17 ans dans l'opposition au régime du Chah, auprès du front national de Mossadegh. Ses activités politiques l'obligent à se réfugier une première fois en France en 1963. Lorsque Khomeini rejoint à son tour la France en 1978, Bani Sadr fait partie du cercle rapproché, et c'est à ses côtés qu'il retourne à Téhéran à la chute du Chah. Tout d'abord ministre, il devient le premier président du pays élu au suffrage universel, avec 76% des voix, le 26 janvier 1980. Très vite il s'engage dans une réorganisation de l'armée iranienne et son engagement dans la guerre avec l'Irak contribuera à le rendre populaire. Mais, défenseur d'un islam libéral qui respecte le système démocratique, défenseur des institutions laïques, il entre en conflit avec un clergé au pouvoir grandissant. Abandonné par Khomeini il est destitué le 21 juin 1981 et quitte clandestinement le pays pour la France. Il fonde alors avec Massoud Radjavi le conseil national de la résistance dont il prendra ses distances 3 ans plus tard. Il n'a jamais cessé d'exprimer son opposition au régime des ayatollahs, ni de croire à son possible retour dans un Iran démocratique.

ZK : L'Iran qui fait partie des pays où la peine de mort est toujours en vigueur.

FB : Alors qu'en France elle a été abolie, supprimée donc, il y a tout juste 40 ans. Aujourd'hui une cérémonie était organisée à Paris, au Panthéon, en présence d'Edouard Badinter, qui a fortement œuvré pour cette abolition, et d'Emmanuel Macron. Les deux hommes ont appelé à une abolition universelle, dans tous les pays. Je vous propose d'écouter le chef d'État français, il salue cette décision historique prise en 1981.

Nous réunir ici, 40 ans après, c'est d'abord nous réinscrire dans une histoire. Car c'est bien l'histoire d'un combat de conscience dont il s'agit. L'abolition est un progrès des droits de la personne qui s'est incorporé à la tradition nationale. Notre responsabilité est de le protéger et le transmettre. Combat de conquête aussi. 483 c'est le nombre - certainement sous-évalué - d'exécutions qui ont été perpétrées dans le monde en 2020. Ce sont bien les valeurs universelles portées par les Lumières qui se trouvent bafouées. Car oui il y a au fondement de notre justice ce principe de réparation ; ce droit et cette considération pour les victimes dont vous avez rappelé l'importance ; mais la reconnaissance aussi faite à chaque citoyen de cette dignité et de son droit à devenir meilleur.

FB : Le président français Emmanuel Macron.

ZK : Emmanuel Macron qui sera soutenu pour la présidentielle de 2022 par Edouard Philippe.

FB : L'ex Premier ministre français l'a assuré aujourd'hui. Il s'est exprimé depuis sa ville du Havre, dans l'ouest du pays, pour annoncer le lancement de son propre mouvement politique. Son nom : Horizons. Il dit vouloir « participer à la constitution d'une nouvelle offre politique » et élargir vers la droite les soutiens à Emmanuel Macron.

Autre prise de parole, en visite dans le nord de la France, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a appelé le gouvernement britannique à « tenir sa promesse » de financement pour lutter contre le trafic migratoire sur les côtes françaises. Il a aussi demandé la négociation d'un traité sur le sujet entre Londres et l'Union européenne.

ZK : À Beyrouth, au Liban, où l'électricité est totalement coupée

FB : Tout le pays est touché. Deux importantes centrales électriques - à Deir Ammar et Zahrani - sont à l'arrêt faute de carburant. Les coupures étaient déjà récurrentes depuis des mois mais cette fois la compagnie nationale Electricité du Liban parle d'un « effondrement total du réseau sans aucune possibilité de le restaurer pour le moment ».

ZK : Au Proche-Orient toujours, la justice israélienne revient sur sa décision.

FB : Et à Jérusalem, sur l'Esplanade des Mosquées, où se dresse le troisième lieu saint de l'Islam, la mosquée d'Al Aqsa, les prières juives restent donc interdites. En début de semaine une décision inverse avait provoqué de vives réactions dans le monde musulman. À Jérusalem, notre correspondant Michel Paul revient sur cette affaire.

Esplanade des mosquées pour les musulmans… Mont du Temple pour les juifs. Ce lieu saint est le site le plus explosif de la ville de Jérusalem. Et c'est la raison pour laquelle la justice israélienne a réagi aussi rapidement. Le tribunal de paix de la ville avait décrété il y a quelques jours que les prières juives silencieuses étaient acceptables. La police israélienne a fait appel et un autre juge d'une instance supérieure a tout simplement annulé cette décision. Un nouvel appel devant la cour suprême israélienne cette fois pourrait remettre en question le statu quo religieux en vigueur de depuis 1967 qui interdit les prières non musulmanes sur l'esplanade des mosquées qui a connu au fil des ans de nombreux incidents. Il y a tout juste 21 ans, la visite sur ce site d'Ariel Sharon, alors chef de l'opposition avait été suivi par la seconde intifada, un soulèvement qui a fait des milliers de morts. Les principales autorités rabbiniques s'opposent aux prières et même aux visites sur le mont du Temple, pour ne pas fouler du pied la zone où se trouvait la partie la plus sacrée du temple. Mais un nombre de plus en plus important de juifs nationalistes se rendent régulièrement sur place étroitement surveillés par la police. Michel Paul, Jérusalem RFI.

ZK : J-1 avant le scrutin en Irak.

FB : Demain les Irakiens seront appelés aux urnes pour des élections législatives anticipées. Elles sont présentées par les autorités comme une concession du pouvoir aux manifestations anti régime de fin 2019.

ZK : … mais aujourd'hui ce sont les Tchèques qui votaient.

FB : Et selon des résultats presque complets, l'alliance de centre-droit Ensemble remporte de justesse les élections législatives. Les premiers résultats avaient pourtant accordé la victoire au Premier ministre milliardaire populiste Andrej Babis.

ZK : Et toujours en Europe, on a appris la démission du chancelier autrichien.

FB : Sebastian Kurz ! Il l'a annoncé ce soir. Il faisait l'objet d'une enquête pour corruption. Il reste toutefois chef du parti conservateur et du club parlementaire et propose que l'actuel ministre des affaires étrangères le remplace au poste de chancelier.

ZK : Un peu plus au nord, en Allemagne, une usine qui fait l'actualité, près de Berlin...

FB : Une immense usine Tesla ! Le constructeur américain de voitures électriques organisait une journée porte ouverte aujourd'hui. 27 000 personnes avaient reçu une invitation pour visiter le site dont Elon Musk, l'emblématique patron du groupe. À Berlin les précisions de Delphine Nerbollier.

C'est une usine quasiment terminée que les heureux élus peuvent visiter ce samedi. Le lieu est immense, il occupe un site de 300 hectares, dans le Brandebourg, aux portes de Berlin. Tesla pourra y construire jusqu'à 500 000 véhicules électriques par an et y embaucher 12 0000 personnes. Le constructeur américain prévoit aussi d'y implanter la plus grande usine de batteries électriques au monde. Mais voilà, le site que les 27 000 visiteurs du jour peuvent exceptionnellement visiter ce samedi n'a pas encore reçu de permis de construire. Telsa a commencé les travaux il y a deux ans grâce à une procédure exceptionnelle et elle attend encore les autorisations finales. La procédure a été ralentie pour des raisons environnementales, l'usine se trouve notamment près d'une grande nappe phréatique. Pas de quoi toutefois décourager Elon Musk, le patron de Tesla critique régulièrement la bureaucratie allemande mais table sur le lancement de la production d'ici la fin de l''année. Cette journée porte ouverte est pour lui un symbole et elle s'annonce comme un succès populaire. Face à la très forte demande, Tesla a dû refuser l'entrée à des milliers de personnes. Delphine Nerbollier, Berlin, RFI.

FB : En bref à présent, cette information. On l'a appris il y a moins d'une heure la Colombienne Gloria Cecilia Narvaez retrouve la liberté. C'est la présidence malienne qui l'annonce. La religieuse franciscaine avait été enlevée dans le pays par des jihadistes en 2017.

ZK : Et puis du football avec les éliminatoires pour la coupe du monde Afrique.

FB : Après sa défaite lors de la deuxième journée face à l'Afrique du Sud, le Ghana s'est rattrapé en battant 3-1 le Zimbabwe aujourd'hui à domicile. Au même moment, le Togo et le Congo se sont quittés sur un nul, 1 partout.


Journal en français facile 09/10/2021 20h00 GMT

Fanny Bleichner : Vous écoutez RFI il est 22h à Paris, 20h en temps universel, 23h30 à Téhéran. Bonsoir et bienvenue dans cette nouvelle édition du Journal en français facile. Pour m'accompagner ce soir Zéphyrin Kouadio, bonsoir Zéphyrin.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Fanny, bonsoir à toutes et à tous.

FB : À la une de l'actualité ce soir : la mort du premier président de la république islamique d'Iran Abolhassan Bani Sadr. Il était en exil en France.

ZK : La France où l'on commémorait aujourd'hui l'abolition de la peine de mort. Cela fait 40 ans que cette peine n'est plus en vigueur. Emmanuel Macron appelle tous les pays à en faire de même.

FB : Nous parlerons aussi d'une décision de justice en Israël. Les prières juives restent interdites à Jérusalem sur l'Esplanade des Mosquées.

ZK : Et puis direction l'Allemagne à la fin de cette édition. Des milliers de personnes ont pu visiter l'immense usine Tesla qui devrait bientôt produire 500 000 véhicules électriques par an.

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ZK : Il a été le premier président de la République islamique d'Iran Abolhassan Bani Sadr est mort aujourd'hui.

FB : Il avait 88 ans et vivait en exil en France, en région parisienne depuis qu'il avait quitté clandestinement son pays en 1981. Juliette Gheerbrant revient sur le parcours de cet homme politique.

Issu d'une famille de religieux, diplômé d'économie, de sociologie et de théologie, Bani Sadr s'était engagé dès 17 ans dans l'opposition au régime du Chah, auprès du front national de Mossadegh. Ses activités politiques l'obligent à se réfugier une première fois en France en 1963. Lorsque Khomeini rejoint à son tour la France en 1978, Bani Sadr fait partie du cercle rapproché, et c'est à ses côtés qu'il retourne à Téhéran à la chute du Chah. Tout d'abord ministre, il devient le premier président du pays élu au suffrage universel, avec 76% des voix, le 26 janvier 1980. Très vite il s'engage dans une réorganisation de l'armée iranienne et son engagement dans la guerre avec l'Irak contribuera à le rendre populaire. Mais, défenseur d'un islam libéral qui respecte le système démocratique, défenseur des institutions laïques, il entre en conflit avec un clergé au pouvoir grandissant. Abandonné par Khomeini il est destitué le 21 juin 1981 et quitte clandestinement le pays pour la France. Il fonde alors avec Massoud Radjavi le conseil national de la résistance dont il prendra ses distances 3 ans plus tard. Il n'a jamais cessé d'exprimer son opposition au régime des ayatollahs, ni de croire à son possible retour dans un Iran démocratique.

ZK : L'Iran qui fait partie des pays où la peine de mort est toujours en vigueur.

FB : Alors qu'en France elle a été abolie, supprimée donc, il y a tout juste 40 ans. Aujourd'hui une cérémonie était organisée à Paris, au Panthéon, en présence d'Edouard Badinter, qui a fortement œuvré pour cette abolition, et d'Emmanuel Macron. Les deux hommes ont appelé à une abolition universelle, dans tous les pays. Je vous propose d'écouter le chef d'État français, il salue cette décision historique prise en 1981.

Nous réunir ici, 40 ans après, c'est d'abord nous réinscrire dans une histoire. Car c'est bien l'histoire d'un combat de conscience dont il s'agit. L'abolition est un progrès des droits de la personne qui s'est incorporé à la tradition nationale. Notre responsabilité est de le protéger et le transmettre. Combat de conquête aussi. 483 c'est le nombre - certainement sous-évalué - d'exécutions qui ont été perpétrées dans le monde en 2020. Ce sont bien les valeurs universelles portées par les Lumières qui se trouvent bafouées. Car oui il y a au fondement de notre justice ce principe de réparation ; ce droit et cette considération pour les victimes dont vous avez rappelé l'importance ; mais la reconnaissance aussi faite à chaque citoyen de cette dignité et de son droit à devenir meilleur.

FB : Le président français Emmanuel Macron.

ZK : Emmanuel Macron qui sera soutenu pour la présidentielle de 2022 par Edouard Philippe.

FB : L'ex Premier ministre français l'a assuré aujourd'hui. Il s'est exprimé depuis sa ville du Havre, dans l'ouest du pays, pour annoncer le lancement de son propre mouvement politique. Son nom : Horizons. Il dit vouloir « participer à la constitution d'une nouvelle offre politique » et élargir vers la droite les soutiens à Emmanuel Macron.

Autre prise de parole, en visite dans le nord de la France, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a appelé le gouvernement britannique à « tenir sa promesse » de financement pour lutter contre le trafic migratoire sur les côtes françaises. Il a aussi demandé la négociation d'un traité sur le sujet entre Londres et l'Union européenne.

ZK : À Beyrouth, au Liban, où l'électricité est totalement coupée

FB : Tout le pays est touché. Deux importantes centrales électriques - à Deir Ammar et Zahrani - sont à l'arrêt faute de carburant. Les coupures étaient déjà récurrentes depuis des mois mais cette fois la compagnie nationale Electricité du Liban parle d'un « effondrement total du réseau sans aucune possibilité de le restaurer pour le moment ».

ZK : Au Proche-Orient toujours, la justice israélienne revient sur sa décision.

FB : Et à Jérusalem, sur l'Esplanade des Mosquées, où se dresse le troisième lieu saint de l'Islam, la mosquée d'Al Aqsa, les prières juives restent donc interdites. En début de semaine une décision inverse avait provoqué de vives réactions dans le monde musulman. À Jérusalem, notre correspondant Michel Paul revient sur cette affaire.

Esplanade des mosquées pour les musulmans… Mont du Temple pour les juifs. Ce lieu saint est le site le plus explosif de la ville de Jérusalem. Et c'est la raison pour laquelle la justice israélienne a réagi aussi rapidement. Le tribunal de paix de la ville avait décrété il y a quelques jours que les prières juives silencieuses étaient acceptables. La police israélienne a fait appel et un autre juge d'une instance supérieure a tout simplement annulé cette décision. Un nouvel appel devant la cour suprême israélienne cette fois pourrait remettre en question le statu quo religieux en vigueur de depuis 1967 qui interdit les prières non musulmanes sur l'esplanade des mosquées qui a connu au fil des ans de nombreux incidents. Il y a tout juste 21 ans, la visite sur ce site d'Ariel Sharon, alors chef de l'opposition avait été suivi par la seconde intifada, un soulèvement qui a fait des milliers de morts. Les principales autorités rabbiniques s'opposent aux prières et même aux visites sur le mont du Temple, pour ne pas fouler du pied la zone où se trouvait la partie la plus sacrée du temple. Mais un nombre de plus en plus important de juifs nationalistes se rendent régulièrement sur place étroitement surveillés par la police. Michel Paul, Jérusalem RFI.

ZK : J-1 avant le scrutin en Irak.

FB : Demain les Irakiens seront appelés aux urnes pour des élections législatives anticipées. Elles sont présentées par les autorités comme une concession du pouvoir aux manifestations anti régime de fin 2019.

ZK : … mais aujourd'hui ce sont les Tchèques qui votaient.

FB : Et selon des résultats presque complets, l'alliance de centre-droit Ensemble remporte de justesse les élections législatives. Les premiers résultats avaient pourtant accordé la victoire au Premier ministre milliardaire populiste Andrej Babis.

ZK : Et toujours en Europe, on a appris la démission du chancelier autrichien.

FB : Sebastian Kurz ! Il l'a annoncé ce soir. Il faisait l'objet d'une enquête pour corruption. Il reste toutefois chef du parti conservateur et du club parlementaire et propose que l'actuel ministre des affaires étrangères le remplace au poste de chancelier.

ZK : Un peu plus au nord, en Allemagne, une usine qui fait l'actualité, près de Berlin...

FB : Une immense usine Tesla ! Le constructeur américain de voitures électriques organisait une journée porte ouverte aujourd'hui. 27 000 personnes avaient reçu une invitation pour visiter le site dont Elon Musk, l'emblématique patron du groupe. À Berlin les précisions de Delphine Nerbollier.

C'est une usine quasiment terminée que les heureux élus peuvent visiter ce samedi. Le lieu est immense, il occupe un site de 300 hectares, dans le Brandebourg, aux portes de Berlin. Tesla pourra y construire jusqu'à 500 000 véhicules électriques par an et y embaucher 12 0000 personnes. Le constructeur américain prévoit aussi d'y implanter la plus grande usine de batteries électriques au monde. Mais voilà, le site que les 27 000 visiteurs du jour peuvent exceptionnellement visiter ce samedi n'a pas encore reçu de permis de construire. Telsa a commencé les travaux il y a deux ans grâce à une procédure exceptionnelle et elle attend encore les autorisations finales. La procédure a été ralentie pour des raisons environnementales, l'usine se trouve notamment près d'une grande nappe phréatique. Pas de quoi toutefois décourager Elon Musk, le patron de Tesla critique régulièrement la bureaucratie allemande mais table sur le lancement de la production d'ici la fin de l''année. Cette journée porte ouverte est pour lui un symbole et elle s'annonce comme un succès populaire. Face à la très forte demande, Tesla a dû refuser l'entrée à des milliers de personnes. Delphine Nerbollier, Berlin, RFI.

FB : En bref à présent, cette information. On l'a appris il y a moins d'une heure la Colombienne Gloria Cecilia Narvaez retrouve la liberté. C'est la présidence malienne qui l'annonce. La religieuse franciscaine avait été enlevée dans le pays par des jihadistes en 2017.

ZK : Et puis du football avec les éliminatoires pour la coupe du monde Afrique.

FB : Après sa défaite lors de la deuxième journée face à l'Afrique du Sud, le Ghana s'est rattrapé en battant 3-1 le Zimbabwe aujourd'hui à domicile. Au même moment, le Togo et le Congo se sont quittés sur un nul, 1 partout.