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Réussite Personnelle et Liberté Financière - Youtube Videos, L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (2)

L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (2)

perte de capital durant cette période et

aurait touché les coupons supérieurs aux

dividendes en action il s'avère donc que

les véritables équivalents monétaires

étaient de meilleur placements que les

actions en 1964 et ce malgré l'inflation

qui aurait dû en théorie favoriser les

actions par rapport aux instruments

monétaires le déclin des obligations à

long terme était dû au développement du

marché monétaire un domaine complexe qui

n'a d'ordinaire aucune incidence majeure

sur la stratégie d'investissement des

individus ne voyez là qu'un exemple

parmi bien d'autres d'expériences

historiques qui ont démontré le

caractère imprévisible du futur cours

des titres écoutez la phrase de Graham

et notez ce que dit cet éminent expert

financier ne voyez là qu'un exemple

parmi bien d'autres expériences

historiques qui ont démontré le

caractère imprévisible du futur cours

des titres le futur cours d'une action

n'est jamais prévisible et tandis que

vous poursuivez votre écoute de ce livre

notez comme tout ce que Graham vous dit

a pour but de vous aider à appréhender

cette vérité puisque vous ne pouvez pas

anticiper le comportement des marchés

c'est votre propre comportement que vous

devez apprendre à anticiper et contrôler

le cours des obligations a presque

toujours fluctué bien moins que celui

des actions et les investisseurs

pouvaient généralement acheter de bonnes

obligations à toute maturité sans trop

se soucier de la variation de leur cours

il y a toutefois quelques exceptions à

cette règle et la période ayant suivi

1964 s'est révélé en être une nous

aborderons à nouveau les fluctuations

des cours obligataires dans un chapitre

ultérieur

3 attendre et stratégies fin 1971 et

début 1972

vers la fin 1971 il était possible

d'obtenir un rendement imposable de 8%

sur des obligations d'entreprises bien

notées un maturité moyenne et un

rendement non imposable de 5,7% sur des

obligations d'État et municipales bien

notées à plus court terme l'investisseur

pouvait obtenir un rendement d'environ

6% sur les obligations du Trésor

américain à 5 ans dans ce dernier cas

l'acheteur n'a pas à s'inquiéter d'une

perte potentielle de valeur marchande

puisqu'il est sûr d'obtenir un

remboursement complet plus 6% de

rendement intérêt à la fin d'une

échéance relativement courte

actuellement le Dow Jones a son cours

récurrent de 900 en 1971 n'offre que

3,5% de rendement en dividende supposons

qu'aujourd'hui tout comme par le passé

la décision d'investissement de base

soit de déterminer comment répartir son

capital entre des obligations de

première catégorie ou autre soi-disant

équivalent monétaire et des actions

principales de type

devrait-il suivre aux conditions

actuelles du marché sans aucune raison

solide de présager de fluctuations

significative vers le haut ou vers le

bas Moyen Terme d'abord faisons

remarquer que sans évolution des

favorable sérieuses de la Bourse

l'investisseur défensif devrait pouvoir

compter sur un rendement en dividende de

3,5% sur ses actions en plus d'une

appréciation annuelle moyenne d'environ

4%. comme nous l'expliquons plus loin

cette plus-value est essentiellement

basée sur le réinvestissement des

bénéfices non distribués par les

différentes sociétés avant impôt la

rentabilité combinée de ses actions

serait en moyenne d'environ 7,5% soit

légèrement inférieur au coupon offert

par les obligations de première

catégorie après impôt la rentabilité

moyenne des actions s'élève à environ

5,3%. ce taux serait à peu près pareil à

celui offert aujourd'hui par des

obligations non imposables à maturité

moyenne ces perspectives sont bien moins

favorables d'autres actions par rapport

aux obligations que dans notre analyse

de 1964 cette conclusion est inévitable

contenue du fait que les rendements

obligataires se sont appréciés bien plus

que ceux des actions depuis 1974 nous ne

devons jamais perdre de vue le fait que

les paiements de coupons et de capital

d'obligation de première catégorie sont

bien mieux protégés et donc plus sûr que

les dividendes et plus values des

actions par conséquent nous sommes

forcés de conclure qu'aujourd'hui vers

la fin 1971 investir en obligation

apparaît bien préférable à investir en

action si nous pouvions être sûr de

l'exactitude de cette conclusion nous

serions forcés de conseiller à

l'investisseur défensif de placer tout

son capital dans des obligations et

aucun dans des actions tant que l'écart

de rentabilité n'aura pas changé de

manière significative en faveur des

actions mais bien sûr les niveaux

actuels ne nous permettent pas d'être

certain que les obligations rapporteront

plus que les actions l'auditeur

considérera immédiatement des facteurs

inflation comme une raison du contraire

au chapitre suivant nous discuterons du

fait que notre expérience considérable

de l'inflation aux États-Unis au cours

du siècle dernier ne justifierait pas de

privilégier les actions sur les

obligations vu les écarts de rendement

actuel mais il y a toujours la

possibilité quoi que nous la

considèreions mince d'une inflation

accélérée qui d'une manière ou d'une

autre rendrait les actions préférable

aux obligations celles-ci est en payable

en un montant fixe de dollars sans

compter le scénario alternatif que nous

considérons également hautement

improbable à savoir que les sociétés

américaines deviennent si prospères sans

reprises de l'inflation pour justifier

une hausse importante de la valeur des

actions dans les quelques prochaines

années enfin il existe la possibilité

plus familière que nous témoignions

d'une autre hausse spéculative du marché

boursier sans réel justification en

termes de valeur intrinsèques chacune de

ces raisons est peut-être d'autres

auxquelles nous n'avons pas pensé

pourrait faire regretter l'investisseur

de s'être tenu à 100% même à leur

rendement plus favorable par conséquent

après cette brève analyse des

considérations majeures nous énonçons à

nouveau la même stratégie basique de

compromis pour les investisseurs

défensifs à savoir placé à tout moment

une portion significative de leur

capitaux en obligation et également une

portion significative en action il reste

vrai qu'ils peuvent choisir de maintenir

une simple répartition 55 ans entre les

deux composantes ou un ratio fonction de

leur jugement variant entre un minimum

de 25% et un maximum de 75% pour chaque

composant nous donnerons notre opinion

plus détaillée de ces différentes

politiques dans un chapitre ultérieur la

rentabilité globale des actions étant à

peu près égale à celle des obligations

le rendement attendu actuellement plus

valu comprise par l'investisseur

changerait peu quelle que soit sa

manière de répartir ses fonds entre les

deux composantes comme nous l'avons

calculé précédemment le rendement cumulé

des deux composantes seraient environ de

7,8% brut ou 5,5% sur base non imposable

nette un tel rendement est

considérablement plus élevé que celui

obtenu historiquement par l'investisseur

prudent moyen il pourrait ne pas

satisfaire comparé au 14% et quelques

enregistrés par certaines actions durant

le marché aussi près dominant entre

1949-1969 mais rappelez-vous qu'au cours

de cette période le DAO Jones s'est

multiplié par 5 alors que les bénéfices

et dividendes ont tout juste à peu près

doublé par conséquent la performance

impressionnante enregistrée lors de

cette période et davantage basé sur une

évolution de latitude des investisseurs

et des spéculateurs plutôt que de la

valeur intrinsèque des entreprises au

point qu'elle pourrait être appelée une

opération de ma gouilles dans notre

discussion sur le portefeuille boursier

de l'investisseur défensif nous n'avons

mentionné que les actions les mieux

notées du type inclus dans les 30

valeurs de l'indice Dow Jones Industrial

everage nous l'avons fait par souci

pratique et non pour impliquer que seuls

ces 30 valeurs conviennent au

portefeuille d'un tel investisseur dans

la réalité il existe de nombreux autres

entreprises de qualité équivalentes ou

supérieures à celle du Dow Jones

celle-ci inclut nombre d'entreprises du

service public représenté par un indice

d'audience séparé le point à retenir ici

est plutôt que la performance globale de

l'investisseur défensif ne variera

probablement pas notablement d'un

portefeuille de titre diversifié ou

représentatifs à l'autre ou plus

précisément que ni lui ni ses

conseillers ne pourraient prédire avec

certitude quelle différence se

développeront éventuellement il est vrai

que l'art de l'investissement avisé

compétent est censé reposer en

particulier sur la sélection des titres

qui surperforme rond le marché global

pour des raisons qui seront développées

ailleurs nous sommes sceptiques quant à

la capacité des investisseurs défensifs

en général a obtenir des résultats

supérieurs à la moyenne ce qui en fait

signifierait battre leur propre

performance globale notre scepticisme

entre ces temps en gestionnaire de fonds

importants aujourd'hui en 2003 les

indices les plus couramment utilisés en

plus du Dow Jones Industrial everage

sans le S&P; 500 standard and port 500

stock index et le Wilshire 5000 le S&P

500 suit les 500 plus grosses

capitalisations boursières qui

représente environ 70% de la valeur

totale de la Bourse américaine le

wellshire 5000 suit toutes les sociétés

cotées significatives aux États-Unis

environ 6700 en tout mais puisque les

plus grandes entreprises constituent la

majorité de la valeur totale de l'indice

l'évolution du Wilshire 5000 est en

général assez similaire à celle du S&P

500 plusieurs fonds communs de placement

locost permettent aux investisseurs de

détenir des actions dans ces indices

sous forme d'un portefeuille universel

et pratique notre scepticisme s'étend au

gestionnaire de fonds importants

illustrant ces propos par un exemple qui

de prime abord pourrait sembler prouver

le contraire

entre décembre 1960 et décembre 1970 le

Dow Jones s'est passé de 616 à 839 soit

une hausse de 36%. durant la même

période l'indice pondéré bien plus

conséquent avec 500 valeurs de standard

d'impôts est passé de 58,11 à 92,15 soit

une appréciation de 58%. à l'évidence le

deuxième indice représentait un meilleur

achat que le premier mais qui aurait été

si audacieux que pour prédire en 1960

qu'un assortiment aussi hétérogène

d'action surpasserait les 30 tyrans du

Daho tout ceci prouve nous insistons que

l'on peut rarement faire des prédictions

fiables sur l'évolution des cours

absolue ou relatif nous répéterons ici

sans excuse car l'avertissement ne

serait être dispensé trop souvent que

l'investisseur ne peut espérer plus que

des résultats moyens en misant sur des

introductions en bourse ou des titres

recherchés de toutes sortes autrement

dit en espérant faire des gains rapides

c'est le contraire qui se produira

presque certainement à long terme

l'investisseur défensif doit se limiter

au titre de grandes entreprises ayant un

long historique de rentabilité et une

bonne santé financière tout analyste

financier digne de ce nom pourrait

dresser une telle liste les

investisseurs agressifs pourraient

investir dans d'autres catégories de

titres mais uniquement sur base de

critères établis par une analyse

intelligente pour conclure cette section

permettez-nous de brièvement mentionner

trois stratégies ou méthode

supplémentaires destinées à

l'investisseur défensif la première est

l'achat de fonds d'investissement bien

établi en tant qu' alternative à créer

son propre portefeuille d'action

deuxièmement il pourrait recourir à un

des fonds communs de placement ou fonds

en gestion commune opérée par des trust

et banques dans de nombreux États ou six

son capital est substantiel s'arranger

les services d'une firme

d'investissement conseil reconnu cela

lui permettra de faire gérer son

portefeuille par des professionnels

selon des lignes classiques la troisième

est la méthode de moyenne d'achat ou

achat périodique par somme fixe qui

signifie simplement que l'investisseur

place en action le même montant chaque

mois ou chaque trimestre de cette

manière il est contraint d'acheter plus

de titres quand le marché est bas que

quand il est haut et obtiendra

probablement un prix global satisfaisant

pour toutes ces valeurs strictement

parlant cette méthode est une

application de l'approche plus globale

d'investissement par formule ce dernier

concept était déjà évoqué dans notre

suggestion que l'investisseur peut

varier sa composante en action entre

minimum 25% et maximum

75%, selon la relation inverse de la

réaction du marché ces idées ont du

mérite pour l'investisseur défensif et

elles seront discutées plus en détail

dans des chapitres ultérieurs

résultat attendu par l'investisseur

agressif

fréquemment la vente à découvert pour

dévaloriser une action il vendent des

titres qu'ils ne détiennent pas

empruntés via des mécanismes boursiers

établis leur objectif est de bénéficier

du déclin résultant dans le cours de ces

titres en les rachetant à un prix

inférieur à celui auquel ils les ont

vendus comme notre citation du Wall

Street Journal l'indique même les petits

investisseurs à bas ce terme non

qualifié c'est c'est parfois à la vente

à découvert

2 sélectivités à court terme cela

revient à acheter les titres de société

rapportant ou prévoyant de rapporter des

bénéfices accrus ou pour lesquels un

autre développement favorable est

attendu 3 sélectivité à long terme ici


L'investisseur intelligent. Benjamin Graham, Jason Zweig, Warren E. Buffett. Livre audio (2)

perte de capital durant cette période et

aurait touché les coupons supérieurs aux

dividendes en action il s'avère donc que

les véritables équivalents monétaires

étaient de meilleur placements que les

actions en 1964 et ce malgré l'inflation

qui aurait dû en théorie favoriser les

actions par rapport aux instruments

monétaires le déclin des obligations à

long terme était dû au développement du

marché monétaire un domaine complexe qui

n'a d'ordinaire aucune incidence majeure

sur la stratégie d'investissement des

individus ne voyez là qu'un exemple

parmi bien d'autres d'expériences

historiques qui ont démontré le

caractère imprévisible du futur cours

des titres écoutez la phrase de Graham

et notez ce que dit cet éminent expert

financier ne voyez là qu'un exemple

parmi bien d'autres expériences

historiques qui ont démontré le

caractère imprévisible du futur cours

des titres le futur cours d'une action

n'est jamais prévisible et tandis que

vous poursuivez votre écoute de ce livre

notez comme tout ce que Graham vous dit

a pour but de vous aider à appréhender

cette vérité puisque vous ne pouvez pas

anticiper le comportement des marchés

c'est votre propre comportement que vous

devez apprendre à anticiper et contrôler

le cours des obligations a presque

toujours fluctué bien moins que celui

des actions et les investisseurs

pouvaient généralement acheter de bonnes

obligations à toute maturité sans trop

se soucier de la variation de leur cours

il y a toutefois quelques exceptions à

cette règle et la période ayant suivi

1964 s'est révélé en être une nous

aborderons à nouveau les fluctuations

des cours obligataires dans un chapitre

ultérieur

3 attendre et stratégies fin 1971 et

début 1972

vers la fin 1971 il était possible

d'obtenir un rendement imposable de 8%

sur des obligations d'entreprises bien

notées un maturité moyenne et un

rendement non imposable de 5,7% sur des

obligations d'État et municipales bien

notées à plus court terme l'investisseur

pouvait obtenir un rendement d'environ

6% sur les obligations du Trésor

américain à 5 ans dans ce dernier cas

l'acheteur n'a pas à s'inquiéter d'une

perte potentielle de valeur marchande

puisqu'il est sûr d'obtenir un

remboursement complet plus 6% de

rendement intérêt à la fin d'une

échéance relativement courte

actuellement le Dow Jones a son cours

récurrent de 900 en 1971 n'offre que

3,5% de rendement en dividende supposons

qu'aujourd'hui tout comme par le passé

la décision d'investissement de base

soit de déterminer comment répartir son

capital entre des obligations de

première catégorie ou autre soi-disant

équivalent monétaire et des actions

principales de type

devrait-il suivre aux conditions

actuelles du marché sans aucune raison

solide de présager de fluctuations

significative vers le haut ou vers le

bas Moyen Terme d'abord faisons

remarquer que sans évolution des

favorable sérieuses de la Bourse

l'investisseur défensif devrait pouvoir

compter sur un rendement en dividende de

3,5% sur ses actions en plus d'une

appréciation annuelle moyenne d'environ

4%. comme nous l'expliquons plus loin

cette plus-value est essentiellement

basée sur le réinvestissement des

bénéfices non distribués par les

différentes sociétés avant impôt la

rentabilité combinée de ses actions

serait en moyenne d'environ 7,5% soit

légèrement inférieur au coupon offert

par les obligations de première

catégorie après impôt la rentabilité

moyenne des actions s'élève à environ

5,3%. ce taux serait à peu près pareil à

celui offert aujourd'hui par des

obligations non imposables à maturité

moyenne ces perspectives sont bien moins

favorables d'autres actions par rapport

aux obligations que dans notre analyse

de 1964 cette conclusion est inévitable

contenue du fait que les rendements

obligataires se sont appréciés bien plus

que ceux des actions depuis 1974 nous ne

devons jamais perdre de vue le fait que

les paiements de coupons et de capital

d'obligation de première catégorie sont

bien mieux protégés et donc plus sûr que

les dividendes et plus values des

actions par conséquent nous sommes

forcés de conclure qu'aujourd'hui vers

la fin 1971 investir en obligation

apparaît bien préférable à investir en

action si nous pouvions être sûr de

l'exactitude de cette conclusion nous

serions forcés de conseiller à

l'investisseur défensif de placer tout

son capital dans des obligations et

aucun dans des actions tant que l'écart

de rentabilité n'aura pas changé de

manière significative en faveur des

actions mais bien sûr les niveaux

actuels ne nous permettent pas d'être

certain que les obligations rapporteront

plus que les actions l'auditeur

considérera immédiatement des facteurs

inflation comme une raison du contraire

au chapitre suivant nous discuterons du

fait que notre expérience considérable

de l'inflation aux États-Unis au cours

du siècle dernier ne justifierait pas de

privilégier les actions sur les

obligations vu les écarts de rendement

actuel mais il y a toujours la

possibilité quoi que nous la

considèreions mince d'une inflation

accélérée qui d'une manière ou d'une

autre rendrait les actions préférable

aux obligations celles-ci est en payable

en un montant fixe de dollars sans

compter le scénario alternatif que nous

considérons également hautement

improbable à savoir que les sociétés

américaines deviennent si prospères sans

reprises de l'inflation pour justifier

une hausse importante de la valeur des

actions dans les quelques prochaines

années enfin il existe la possibilité

plus familière que nous témoignions

d'une autre hausse spéculative du marché

boursier sans réel justification en

termes de valeur intrinsèques chacune de

ces raisons est peut-être d'autres

auxquelles nous n'avons pas pensé

pourrait faire regretter l'investisseur

de s'être tenu à 100% même à leur

rendement plus favorable par conséquent

après cette brève analyse des

considérations majeures nous énonçons à

nouveau la même stratégie basique de

compromis pour les investisseurs

défensifs à savoir placé à tout moment

une portion significative de leur

capitaux en obligation et également une

portion significative en action il reste

vrai qu'ils peuvent choisir de maintenir

une simple répartition 55 ans entre les

deux composantes ou un ratio fonction de

leur jugement variant entre un minimum

de 25% et un maximum de 75% pour chaque

composant nous donnerons notre opinion

plus détaillée de ces différentes

politiques dans un chapitre ultérieur la

rentabilité globale des actions étant à

peu près égale à celle des obligations

le rendement attendu actuellement plus

valu comprise par l'investisseur

changerait peu quelle que soit sa

manière de répartir ses fonds entre les

deux composantes comme nous l'avons

calculé précédemment le rendement cumulé

des deux composantes seraient environ de

7,8% brut ou 5,5% sur base non imposable

nette un tel rendement est

considérablement plus élevé que celui

obtenu historiquement par l'investisseur

prudent moyen il pourrait ne pas

satisfaire comparé au 14% et quelques

enregistrés par certaines actions durant

le marché aussi près dominant entre

1949-1969 mais rappelez-vous qu'au cours

de cette période le DAO Jones s'est

multiplié par 5 alors que les bénéfices

et dividendes ont tout juste à peu près

doublé par conséquent la performance

impressionnante enregistrée lors de

cette période et davantage basé sur une

évolution de latitude des investisseurs

et des spéculateurs plutôt que de la

valeur intrinsèque des entreprises au

point qu'elle pourrait être appelée une

opération de ma gouilles dans notre

discussion sur le portefeuille boursier

de l'investisseur défensif nous n'avons

mentionné que les actions les mieux

notées du type inclus dans les 30

valeurs de l'indice Dow Jones Industrial

everage nous l'avons fait par souci

pratique et non pour impliquer que seuls

ces 30 valeurs conviennent au

portefeuille d'un tel investisseur dans

la réalité il existe de nombreux autres

entreprises de qualité équivalentes ou

supérieures à celle du Dow Jones

celle-ci inclut nombre d'entreprises du

service public représenté par un indice

d'audience séparé le point à retenir ici

est plutôt que la performance globale de

l'investisseur défensif ne variera

probablement pas notablement d'un

portefeuille de titre diversifié ou

représentatifs à l'autre ou plus

précisément que ni lui ni ses

conseillers ne pourraient prédire avec

certitude quelle différence se

développeront éventuellement il est vrai

que l'art de l'investissement avisé

compétent est censé reposer en

particulier sur la sélection des titres

qui surperforme rond le marché global

pour des raisons qui seront développées

ailleurs nous sommes sceptiques quant à

la capacité des investisseurs défensifs

en général a obtenir des résultats

supérieurs à la moyenne ce qui en fait

signifierait battre leur propre

performance globale notre scepticisme

entre ces temps en gestionnaire de fonds

importants aujourd'hui en 2003 les

indices les plus couramment utilisés en

plus du Dow Jones Industrial everage

sans le S&P; 500 standard and port 500

stock index et le Wilshire 5000 le S&P

500 suit les 500 plus grosses

capitalisations boursières qui

représente environ 70% de la valeur

totale de la Bourse américaine le

wellshire 5000 suit toutes les sociétés

cotées significatives aux États-Unis

environ 6700 en tout mais puisque les

plus grandes entreprises constituent la

majorité de la valeur totale de l'indice

l'évolution du Wilshire 5000 est en

général assez similaire à celle du S&P

500 plusieurs fonds communs de placement

locost permettent aux investisseurs de

détenir des actions dans ces indices

sous forme d'un portefeuille universel

et pratique notre scepticisme s'étend au

gestionnaire de fonds importants

illustrant ces propos par un exemple qui

de prime abord pourrait sembler prouver

le contraire

entre décembre 1960 et décembre 1970 le

Dow Jones s'est passé de 616 à 839 soit

une hausse de 36%. durant la même

période l'indice pondéré bien plus

conséquent avec 500 valeurs de standard

d'impôts est passé de 58,11 à 92,15 soit

une appréciation de 58%. à l'évidence le

deuxième indice représentait un meilleur

achat que le premier mais qui aurait été

si audacieux que pour prédire en 1960

qu'un assortiment aussi hétérogène

d'action surpasserait les 30 tyrans du

Daho tout ceci prouve nous insistons que

l'on peut rarement faire des prédictions

fiables sur l'évolution des cours

absolue ou relatif nous répéterons ici

sans excuse car l'avertissement ne

serait être dispensé trop souvent que

l'investisseur ne peut espérer plus que

des résultats moyens en misant sur des

introductions en bourse ou des titres

recherchés de toutes sortes autrement

dit en espérant faire des gains rapides

c'est le contraire qui se produira

presque certainement à long terme

l'investisseur défensif doit se limiter

au titre de grandes entreprises ayant un

long historique de rentabilité et une

bonne santé financière tout analyste

financier digne de ce nom pourrait

dresser une telle liste les

investisseurs agressifs pourraient

investir dans d'autres catégories de

titres mais uniquement sur base de

critères établis par une analyse

intelligente pour conclure cette section

permettez-nous de brièvement mentionner

trois stratégies ou méthode

supplémentaires destinées à

l'investisseur défensif la première est

l'achat de fonds d'investissement bien

établi en tant qu' alternative à créer

son propre portefeuille d'action

deuxièmement il pourrait recourir à un

des fonds communs de placement ou fonds

en gestion commune opérée par des trust

et banques dans de nombreux États ou six

son capital est substantiel s'arranger

les services d'une firme

d'investissement conseil reconnu cela

lui permettra de faire gérer son

portefeuille par des professionnels

selon des lignes classiques la troisième

est la méthode de moyenne d'achat ou

achat périodique par somme fixe qui

signifie simplement que l'investisseur

place en action le même montant chaque

mois ou chaque trimestre de cette

manière il est contraint d'acheter plus

de titres quand le marché est bas que

quand il est haut et obtiendra

probablement un prix global satisfaisant

pour toutes ces valeurs strictement

parlant cette méthode est une

application de l'approche plus globale

d'investissement par formule ce dernier

concept était déjà évoqué dans notre

suggestion que l'investisseur peut

varier sa composante en action entre

minimum 25% et maximum

75%, selon la relation inverse de la

réaction du marché ces idées ont du

mérite pour l'investisseur défensif et

elles seront discutées plus en détail

dans des chapitres ultérieurs

résultat attendu par l'investisseur

agressif

fréquemment la vente à découvert pour

dévaloriser une action il vendent des

titres qu'ils ne détiennent pas

empruntés via des mécanismes boursiers

établis leur objectif est de bénéficier

du déclin résultant dans le cours de ces

titres en les rachetant à un prix

inférieur à celui auquel ils les ont

vendus comme notre citation du Wall

Street Journal l'indique même les petits

investisseurs à bas ce terme non

qualifié c'est c'est parfois à la vente

à découvert

2 sélectivités à court terme cela

revient à acheter les titres de société

rapportant ou prévoyant de rapporter des

bénéfices accrus ou pour lesquels un

autre développement favorable est

attendu 3 sélectivité à long terme ici