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Mind Parachutes, 🛑 STOP au syndrome de l’IMPOSTEUR ! (re)commencez à CROIRE EN VOUS

🛑 STOP au syndrome de l'IMPOSTEUR ! (re)commencez à CROIRE EN VOUS

Connaissez-vous le syndrome de l'imposteur ? C'est le sentiment de ne pas avoir les capacités,

de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur des responsabilitĂ©s qui nous sont donnĂ©es, principalement (mais pas

uniquement) dans le milieu professionnel. A la sensation d'insuffisance s'ajoute la

croyance de profiter injustement de la position que l'on occupe, au dépit d'autres collÚgues

mieux qualifiés, et la crainte que cette incapacité soit un jour ou l'autre démasquée.

Ce syndrome s'accompagne souvent d'une tendance prononcée à l'autocritique et à se focaliser sur

ses points faibles et ses erreurs. Les personnes qui en souffrent ont du mal Ă 

accepter les compliments reçus ou à reconnaßtre leur mérite dans les résultats qu'ils obtiennent.

A cause de la peur et de la honte qui accompagnent le syndrome de l'imposteur,

on a souvent tendance à cacher ses difficultés, ce qui augmente encore davantage la crainte de ne

pas ĂȘtre Ă  la hauteur de la situation, et que la mise en scĂšne soit finalement dĂ©couverte.

Si c'est votre cas, rassurez-vous : beaucoup plus de monde que vous ne le pensez souffre de

ces symptÎmes. Et il est tout à fait possible de guérir de cette insécurité permanente.

Mind Parachutes, à chaque idée, des nouveaux horizons

Croyez en vous – LibĂ©rez-vous du syndrome de l'imposteur de Jessamy Hibberd

Ce que l'on appelle le syndrome de l'imposteur est une condition

qui fait souffrir beaucoup de personnes, et qui rend difficile de développer une

relation saine avec la peur, la vulnérabilité et l'échec.

Dans son livre « La cure de l'imposteur », la psychologue Jessamy Hibberd souhaite

donner des éléments concrets et des exercices pratiques pour permettre à

ceux qui souffrent du syndrome de l'imposteur d'arrĂȘter de se sentir constamment en dĂ©faut.

Elle souhaite nous donner les preuves que, peu importe notre situation,

nous ne sommes pas un Ă©chec, nous mĂ©ritons la rĂ©ussite, et nous pouvons croire en nous-mĂȘmes.

Si vous ĂȘtes victimes du syndrome de l'imposteur, vous avez le sentiment d'avoir trompĂ© tout le

monde, en leur faisant croire que vous ĂȘtes meilleures de ce que vous ne l'ĂȘtes. Vous

faites juste semblant, et pour Ă©viter d'ĂȘtre dĂ©masquĂ©es vous travaillez Ă©normĂ©ment. Vous

pensez de ne pas avoir de mérite pour les grandes réalisations de votre vie,

qui ne sont que le fruit de la chance ou du fait d'avoir été au bon moment au bon endroit.

MĂȘme si votre famille, vos amis ou vos collĂšgues ont l'impression que tout va bien, que vous ĂȘtes

quelqu'un de compétent et d'accompli, c'est juste qu'ils ne connaissent pas la vérité,

qu'ils ne voient que la surface des choses. Ce qui est certain, c'est qu'ils ne voient

pas l'agitation et l'anxiété de ce qui se passe à l'intérieur de vous.

Et si vous avez essayé de partager vos sentiments avec quelqu'un, leur incapacité à vous comprendre

vous a vite poussĂ© Ă  garder pour vous les doutes et la peur de ne pas ĂȘtre assez.

Si on décide de faire face au syndrome de l'imposteur, il est tout à fait possible

d'acquĂ©rir une image plus positive de soi-mĂȘme, et de gagner en confiance en soi.

Si vous souhaitez vous améliorer, dans votre vie pro et perso,

abonnez-vous Ă  Mind Parachutes et activez les notifications. Chaque semaine,

vous découvrirez en quelques minutes l'essentiel des meilleurs livres de développement personnel.

Il y a des moments dans notre vie oĂč nous ressentons le besoin de prendre du recul,

de trouver la réponse à des demandes profondes sur la direction que nous suivons,

sur nos rĂȘves et envies, sur ce que nous aimerions changer.

Les moments d'incertitudes et de changement sont propices Ă  cette remise en question.

Si vous souhaitez apporter des changements ou des améliorations à votre vie, mais vous

ne savez pas par oĂč commencer ou vers oĂč aller, si vous avez l'impression de faire des efforts

énormes sans observer des véritables avancées, si vos obligations familiales ou professionnelles ne

vous laissent pas le temps de vous occuper de vous-mĂȘme comme vous aimeriez, je vous invite Ă 

vos inscrire gratuitement à la conférence live de Mind Parachutes via le lien en description.

Ce sera l'occasion pour vous de découvrir des clés, souvent contre-intuitives,

pour réussir de maniÚre durable les changements que vous souhaitez apporter à votre vie.

J'ai hùte de vous retrouver à cette conférence live !!

Comme tout changement, faire face au syndrome de l'imposteur peut mettre mal à l'aise au début,

puisque cela demande de changer ses habitudes, de sortir de sa zone de confort. Mais les bénéfices

en valent la peine : beaucoup plus d'espace mental disponible, une meilleure confiance en soi et une

relation plus saine avec l'Ă©chec, une plus faible tendance Ă  trop travailler ou Ă  procrastiner.

Si vous pensez ĂȘtre les seuls face Ă  ce syndrome, vous vous trompez. Des Ă©tudes

montrent que 70% des personnes, Ă  un moment de leur vie et de leur carriĂšre professionnelle,

ont ressenti un certain degré du syndrome de l'imposteur.

Et pratiquement tout le monde peut s'identifier avec les doutes et les

préoccupations de bien faire suite à une promotion ou à une nouvelle prise de poste.

Mais pour certaines personnes, ces symptĂŽmes s'aggravent, et elles finissent par rentrer dans

une spirale de travail excessif, d'Ă©vitement, d'autocritique et de doute de soi. Les

sentiments de honte et d'inadéquation qu'elles éprouvent rendent le quotidien trÚs difficile

et douloureux, ce qui finit par impacter négativement des choix de vie importants.

Ce syndrome se manifeste souvent suite Ă  une tension entre deux visions sur ce

qui est attendu : sa propre vision de la réalité,

et ce que l'on croit que les autres s'attendent de nous ou ce que nous attendons de nous-mĂȘmes.

Les attentes extrĂȘmement Ă©levĂ©es que l'on se donne soi-mĂȘme ont une grande partie de responsabilitĂ©,

tout comme la voix interne négative qui nous critique ou qui nous pousse constamment.

La crainte de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur pousse au perfectionnisme,

qui nous fait croire que pour faire un bon travail et pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s par

les autres, nous devons délivrer une performance maximale 100% du temps.

Et si jamais on arrive Ă  99% de nos attentes ou nos objectifs, et bien ce n'est pas suffisant.

Les réactions sont de deux types : Ou alors on a une tendance à trop travailler,

poussĂ© par cette recherche continue de perfection pour ĂȘtre Ă  la hauteur de nos propres attentes

ou pour éviter la déception des autres Ou alors on réagit de la maniÚre opposée,

par la procrastination ou une paralyse face Ă  nos doutes. L'immobilisme se

transforme ensuite en frénésie de derniÚre minute afin de respecter une échéance.

Pour certaines personnes, le simple fait de devoir faire de l'effort est la preuve qu'elles

n'ont pas les bonnes capacités. Si c'était le cas, elles devraient réussir à la premiÚre tentative,

sans aucune difficulté. Tout comme elles peuvent considérer un aveu de faiblesse

et d'incompétence le fait de demander de l'aide à d'autres. Elles estiment

que pour que leurs actions aient vraiment de la valeur, elles doivent tout faire d'elles-mĂȘmes.

Le premier élément à considérer afin de changer sa propre perspective, est que les sentiments que

l'on ressent ne correspondent pas forcément à la réalité. Le syndrome de l'imposteur

n'est pas basé sur des faits, sur des preuves tangibles, mais sur ses craintes personnelles.

On pense que le sentiment d'inconfort et d'anxiété que l'on ressent quand

nous sommes face à un challenge (« est-ce que j'en suis capable ? suis-je la bonne

personne pour ce poste ? ») est déjà le signe que nous n'avons pas le capacités,

que les personnes confiantes et compétentes réagissent différemment.

En réalité, cette réaction est tout à fait normale quand on sort de sa

zone de confort. Tout le monde ressent le doute, mĂȘme si chacun Ă  un degrĂ© diffĂ©rent.

PlutĂŽt que rentrer dans une spirale d'incertitude,

nous pouvons interpréter notre inconfort de maniÚre plus positive : elle n'est pas agréable

à vivre, mais l'anxiété nous aide à rester attentifs, à ne pas sous-estimer la situation.

Nous pouvons externaliser la voix intérieure qui nous répÚte constamment que nous sommes des

imposteurs. En ce faisant, nous pouvons nous rendre compte que cette voix ce n'est pas la

nĂŽtre, mais elle est la voix de nos peurs !! Sur quels faits, sur quelles preuves se basent

les conclusions que cette voix nous répÚte ? Qu'en dirait-il un tribunal ?

Un facteur clé pour surmonter le syndrome de l'imposteur est de faire preuve de compassion

vis-Ă -vis de soi-mĂȘme. Le dialogue interne nĂ©gatif qui nous pousse Ă 

toujours nous critiquer non seulement finit par influencer négativement notre état d'esprit,

il rend aussi plus difficile d'atteindre les objectifs que l'on s'est fixés.

Au contraire, les personnes qui font preuve d'auto-compassion sont plus résilientes face aux

difficultés, rebondissent mieux et plus vite aprÚs un échec, apprennent davantage de leurs erreurs.

Etre compassionnĂ© vis-Ă -vis de soi-mĂȘme

contient 3 composants : ReconnaĂźtre quand on est

stressé ou en difficulté sans porter de jugement ou réagir de maniÚre excessive

Se soutenir, ĂȘtre comprĂ©hensif envers soi-mĂȘme dans une pĂ©riode difficile

Se rappeler que tout le monde fait des erreurs et rencontre des difficultés

Nous pouvons ressentir la compassion

grĂące Ă  un processus en 2 Ă©tapes : La premiĂšre est de prendre conscience

de notre dialogue interne. La voix critique est souvent devenue une habitude, un automatisme,

et nous ne nous rendons mĂȘme plus compte de sa rĂ©pĂ©tition incessante.

La deuxiĂšme est de trouver une nouvelle voix que l'on veut Ă©couter. Pour vous aider, pensez

Ă  une personne qui fait preuve de compassion, et imaginez ce qu'elle pourrait vous dire.

Un autre élément particuliÚrement utile pour soigner le syndrome de l'imposteur est

d'adopter un rapport plus positif avec l'erreur et l'échec. Les sentiments de déception, de colÚre,

parfois de honte qui accompagnent les erreurs peuvent nous inciter Ă  les Ă©viter Ă  tout prix.

La peur de l'Ă©chec finit par nous figer, ou par nous faire travailler jusqu'Ă  l'Ă©puisement.

Mais puisque se tromper est une composante naturelle de notre vie,

peu importe les efforts que nous faisons, nous ne pourrons jamais l'éviter complétement. Il

vaut mieux apprendre Ă  utiliser les erreurs Ă  notre avantage.

Le chemin vers nos objectifs de vie n'est pas linéaire. C'est d'ailleurs dans les moments de

difficultés, et suite aux erreurs que l'on fait, que nous pouvons acquérir

les compétences et l'expérience dont nous avons besoin pour arriver à nos objectifs.

Traverser des périodes difficiles nous permet de tester notre capacité à faire

face et à surmonter l'adversité, ce qui alimente encore notre confiance en nous.

Changer la perspective d'un jugement sur notre propre personne (« je suis un raté,

je ne suis pas assez ») vers une attitude d'apprentissage (« je suis déçu, mais je

peux apprendre de cette erreur ») transforme complétement notre rapport à l'échec, et élimine

le sentiment de honte qui l'accompagne tant que nous sommes victimes du syndrome de l'imposteur.

DÚs que nous adoptons l'attitude d'apprentissage, nous réalisons que ce que l'on doit poursuivre

ce n'est pas la perfection, mais le progrÚs, l'amélioration dans le temps.

Et rassurez-vous : juste le fait que vous vous interrogez sur vos propres

capacitĂ©s est le signe mĂȘme que vous les possĂ©dez, ou que vous pourrez les

apprendre. Des études ont montré que ce sont les personnes les plus incompétentes

dans quelque chose qui ont le plus de mal à observer et reconnaßtre leur incompétence.

Quand on est exposé à une nouvelle situation, à un nouveau défi, le

cycle de notre confiance est souvent comme suit : Au début, nous avons un élan de confiance. Grùce

Ă  cet optimisme, nous pensons que nous saurons obtenir les choses que nous voulons, et nous

sommes encouragés à nous lancer dans le challenge. Ensuite, face aux premiers revers, nous ressentons

de la déception. La peur et le moral bas nous font douter de nos capacités.

Mais cet inconfort n'est pas mauvais: il nous permet d'identifier les compétences que nous

devons développer ou renforcer pour réussir notre challenge. Et il nous pousse à agir.

Et finalement, en continuant à avancer et en surmontant les difficultés,

notre confiance recommence à augmenter. Cette fois-ci plus solide qu'au début,

puisqu'elle ne dépend pas seulement d'un état d'esprit optimiste, mais elle

s'appuie sur les nouvelles connaissances et expériences que nous avons acquises.

ConnaĂźtre ce cycle nous permet d'anticiper lâ€˜Ă©volution des nos doutes et de nos peurs

face Ă  une nouvelle situation. Cela nous permet de ne pas ĂȘtre pris au dĂ©pourvu,

et de relativiser les moments des difficultés : il ne s'agit que d'une étape transitoire.

Lorsque nous traversons la deuxiĂšme phase, nous devons adopter la posture d'un apprenti. Nous

devons ĂȘtre honnĂȘtes sur ce que nous savons et ce que nous ne savons pas. Il n'y a pas

de honte de le reconnaĂźtre face aux autres : nous pouvons nous entraĂźner Ă  dire "Je

ne sais pas, laissez-moi revenir sur ce point". Une fois identifiées les compétences à développer,

nous pouvons assister à des cours de formation, de conférences, nous pouvons lire des livres

sur le sujet. Nous pouvons aussi faire appel Ă  l'aide des autres. Savoir demander de l'aide,

et savoir à qui le demander, n'enlÚve aucun mérite aux résultats que vous obtenez. C'est

une compétence importante à cultiver et à utiliser pour arriver à ses objectifs.

Et pendant que l'on avance dans cette 2Ăšme phase, en attendant que la confiance revienne, nous

devons faire preuve de patience et nous rappeler de montrer de la compassion envers nous mĂȘme.

VoilĂ , vous connaissez maintenant les premiĂšres graines pour observer le syndrome de l'imposteur

avec un regard nouveau, plus confiant et compassionnĂ© vis-Ă -vis de vous-mĂȘmes,

d'aprÚs les conseils de Jessamy Hibberd dans son livre « La cure de l'imposteur ».

Se rappeler que nos doutes et nos craintes ne correspondent pas forcément à la réalité,

reconnaßtre la voix intérieure négative non pas comme notre propre voix, mais comme

celle de nos peurs, et développer un rapport positif avec l'échec,

nous permettent de soigner ce sentiment permanent d'anxiété et d'insécurité.

Si vous souhaitez apprendre des clés pour mieux vous connaßtre, pour avancer dans votre vie dans

la bonne direction, celle qui vous correspond et qui vous permettra vĂ©ritablement d'ĂȘtre heureux,

n'hésitez pas à vous inscrire gratuitement à la conférence live de Mind Parachutes,

qui aura lieu le mardi 25 janvier à 20h30 heure de Paris, via le lien qui apparaßt dans la vidéo.

A trÚs vite pour des nouvelles idées !!


🛑 STOP au syndrome de l’IMPOSTEUR ! (re)commencez Ă  CROIRE EN VOUS 🛑 STOPPEN Sie das Impostor-Syndrom! Fangen Sie (wieder) an, an SIE zu glauben 🛑 STOP the IMPOSTEUR syndrome! (re)start BELIEVING IN YOURSELF 🛑 STOPPA IMPOSTER-syndromet! (Åter)börja TRO PÅ DIG SJÄLV 🛑 ćœæ­ąć†’ćé ‚æ›żç—‡ć€™çŸ€ïŒ ïŒˆé‡æ–°ïŒ‰é–‹ć§‹ç›žäżĄè‡Șć·±

Connaissez-vous le syndrome de l'imposteur ?  C'est le sentiment de ne pas avoir les capacités,

de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur des responsabilitĂ©s  qui nous sont donnĂ©es, principalement (mais pas

uniquement) dans le milieu professionnel. A la sensation d'insuffisance s'ajoute la

croyance de profiter injustement de la position  que l'on occupe, au dépit d'autres collÚgues

mieux qualifiés, et la crainte que cette  incapacité soit un jour ou l'autre démasquée.

Ce syndrome s'accompagne souvent d'une tendance  prononcée à l'autocritique et à se focaliser sur

ses points faibles et ses erreurs. Les  personnes qui en souffrent ont du mal à

accepter les compliments reçus ou à reconnaßtre  leur mérite dans les résultats qu'ils obtiennent.

A cause de la peur et de la honte qui  accompagnent le syndrome de l'imposteur,

on a souvent tendance à cacher ses difficultés,  ce qui augmente encore davantage la crainte de ne

pas ĂȘtre Ă  la hauteur de la situation, et que  la mise en scĂšne soit finalement dĂ©couverte.

Si c'est votre cas, rassurez-vous : beaucoup  plus de monde que vous ne le pensez souffre de

ces symptÎmes. Et il est tout à fait possible  de guérir de cette insécurité permanente.

Mind Parachutes, à chaque  idée, des nouveaux horizons

Croyez en vous – LibĂ©rez-vous du syndrome  de l'imposteur de Jessamy Hibberd

Ce que l'on appelle le syndrome  de l'imposteur est une condition

qui fait souffrir beaucoup de personnes,  et qui rend difficile de développer une

relation saine avec la peur,  la vulnérabilité et l'échec.

Dans son livre « La cure de l'imposteur  », la psychologue Jessamy Hibberd souhaite

donner des éléments concrets et des  exercices pratiques pour permettre à

ceux qui souffrent du syndrome de l'imposteur  d'arrĂȘter de se sentir constamment en dĂ©faut.

Elle souhaite nous donner les preuves  que, peu importe notre situation,

nous ne sommes pas un Ă©chec, nous mĂ©ritons la  rĂ©ussite, et nous pouvons croire en nous-mĂȘmes.

Si vous ĂȘtes victimes du syndrome de l'imposteur,  vous avez le sentiment d'avoir trompĂ© tout le

monde, en leur faisant croire que vous ĂȘtes  meilleures de ce que vous ne l'ĂȘtes. Vous

faites juste semblant, et pour Ă©viter d'ĂȘtre  dĂ©masquĂ©es vous travaillez Ă©normĂ©ment. Vous

pensez de ne pas avoir de mérite pour  les grandes réalisations de votre vie,

qui ne sont que le fruit de la chance ou du  fait d'avoir été au bon moment au bon endroit.

MĂȘme si votre famille, vos amis ou vos collĂšgues  ont l'impression que tout va bien, que vous ĂȘtes

quelqu'un de compétent et d'accompli, c'est  juste qu'ils ne connaissent pas la vérité,

qu'ils ne voient que la surface des choses. Ce qui est certain, c'est qu'ils ne voient

pas l'agitation et l'anxiété de ce  qui se passe à l'intérieur de vous.

Et si vous avez essayé de partager vos sentiments  avec quelqu'un, leur incapacité à vous comprendre

vous a vite poussĂ© Ă  garder pour vous les  doutes et la peur de ne pas ĂȘtre assez.

Si on décide de faire face au syndrome de  l'imposteur, il est tout à fait possible

d'acquĂ©rir une image plus positive de  soi-mĂȘme, et de gagner en confiance en soi.

Si vous souhaitez vous améliorer,  dans votre vie pro et perso,

abonnez-vous à Mind Parachutes et activez  les notifications. Chaque semaine,

vous découvrirez en quelques minutes l'essentiel  des meilleurs livres de développement personnel.

Il y a des moments dans notre vie oĂč nous  ressentons le besoin de prendre du recul,

de trouver la réponse à des demandes  profondes sur la direction que nous suivons,

sur nos rĂȘves et envies, sur  ce que nous aimerions changer.

Les moments d'incertitudes et de changement  sont propices à cette remise en question.

Si vous souhaitez apporter des changements  ou des améliorations à votre vie, mais vous

ne savez pas par oĂč commencer ou vers oĂč aller,  si vous avez l'impression de faire des efforts

énormes sans observer des véritables avancées, si  vos obligations familiales ou professionnelles ne

vous laissent pas le temps de vous occuper de  vous-mĂȘme comme vous aimeriez, je vous invite Ă 

vos inscrire gratuitement à la conférence live  de Mind Parachutes via le lien en description.

Ce sera l'occasion pour vous de découvrir  des clés, souvent contre-intuitives,

pour réussir de maniÚre durable les changements  que vous souhaitez apporter à votre vie.

J'ai hùte de vous retrouver  à cette conférence live !!

Comme tout changement, faire face au syndrome de  l'imposteur peut mettre mal à l'aise au début,

puisque cela demande de changer ses habitudes, de  sortir de sa zone de confort. Mais les bénéfices

en valent la peine : beaucoup plus d'espace mental  disponible, une meilleure confiance en soi et une

relation plus saine avec l'échec, une plus faible  tendance à trop travailler ou à procrastiner.

Si vous pensez ĂȘtre les seuls face Ă  ce  syndrome, vous vous trompez. Des Ă©tudes

montrent que 70% des personnes, à un moment de  leur vie et de leur carriÚre professionnelle,

ont ressenti un certain degré  du syndrome de l'imposteur.

Et pratiquement tout le monde peut  s'identifier avec les doutes et les

préoccupations de bien faire suite à une  promotion ou à une nouvelle prise de poste.

Mais pour certaines personnes, ces symptÎmes  s'aggravent, et elles finissent par rentrer dans

une spirale de travail excessif, d'évitement,  d'autocritique et de doute de soi. Les

sentiments de honte et d'inadéquation qu'elles  éprouvent rendent le quotidien trÚs difficile

et douloureux, ce qui finit par impacter  négativement des choix de vie importants.

Ce syndrome se manifeste souvent suite  à une tension entre deux visions sur ce

qui est attendu : sa propre vision de la réalité,

et ce que l'on croit que les autres s'attendent  de nous ou ce que nous attendons de nous-mĂȘmes.

Les attentes extrĂȘmement Ă©levĂ©es que l'on se donne  soi-mĂȘme ont une grande partie de responsabilitĂ©,

tout comme la voix interne négative qui nous  critique ou qui nous pousse constamment.

La crainte de ne pas ĂȘtre Ă  la  hauteur pousse au perfectionnisme,

qui nous fait croire que pour faire un  bon travail et pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s par

les autres, nous devons délivrer une  performance maximale 100% du temps.

Et si jamais on arrive à 99% de nos attentes ou  nos objectifs, et bien ce n'est pas suffisant.

Les réactions sont de deux types : Ou alors on a une tendance à trop travailler,

poussĂ© par cette recherche continue de perfection  pour ĂȘtre Ă  la hauteur de nos propres attentes

ou pour éviter la déception des autres Ou alors on réagit de la maniÚre opposée,

par la procrastination ou une paralyse  face à nos doutes. L'immobilisme se

transforme ensuite en frénésie de derniÚre  minute afin de respecter une échéance.

Pour certaines personnes, le simple fait de  devoir faire de l'effort est la preuve qu'elles

n'ont pas les bonnes capacités. Si c'était le cas,  elles devraient réussir à la premiÚre tentative,

sans aucune difficulté. Tout comme elles  peuvent considérer un aveu de faiblesse

et d'incompétence le fait de demander  de l'aide à d'autres. Elles estiment

que pour que leurs actions aient vraiment de la  valeur, elles doivent tout faire d'elles-mĂȘmes.

Le premier élément à considérer afin de changer  sa propre perspective, est que les sentiments que

l'on ressent ne correspondent pas forcément  à la réalité. Le syndrome de l'imposteur

n'est pas basé sur des faits, sur des preuves  tangibles, mais sur ses craintes personnelles.

On pense que le sentiment d'inconfort  et d'anxiété que l'on ressent quand

nous sommes face à un challenge (« est-ce  que j'en suis capable ? suis-je la bonne

personne pour ce poste ? ») est déjà le  signe que nous n'avons pas le capacités,

que les personnes confiantes et  compétentes réagissent différemment.

En réalité, cette réaction est tout  à fait normale quand on sort de sa

zone de confort. Tout le monde ressent le  doute, mĂȘme si chacun Ă  un degrĂ© diffĂ©rent.

PlutĂŽt que rentrer dans une spirale d'incertitude,

nous pouvons interpréter notre inconfort de  maniÚre plus positive : elle n'est pas agréable

à vivre, mais l'anxiété nous aide à rester  attentifs, à ne pas sous-estimer la situation.

Nous pouvons externaliser la voix intérieure  qui nous répÚte constamment que nous sommes des

imposteurs. En ce faisant, nous pouvons nous  rendre compte que cette voix ce n'est pas la

nĂŽtre, mais elle est la voix de nos peurs !! Sur quels faits, sur quelles preuves se basent

les conclusions que cette voix nous  répÚte ? Qu'en dirait-il un tribunal ?

Un facteur clé pour surmonter le syndrome de  l'imposteur est de faire preuve de compassion

vis-Ă -vis de soi-mĂȘme. Le dialogue  interne nĂ©gatif qui nous pousse Ă 

toujours nous critiquer non seulement finit par  influencer négativement notre état d'esprit,

il rend aussi plus difficile d'atteindre  les objectifs que l'on s'est fixés.

Au contraire, les personnes qui font preuve  d'auto-compassion sont plus résilientes face aux

difficultés, rebondissent mieux et plus vite aprÚs  un échec, apprennent davantage de leurs erreurs.

Etre compassionnĂ© vis-Ă -vis de soi-mĂȘme

contient 3 composants : ReconnaĂźtre quand on est

stressé ou en difficulté sans porter de  jugement ou réagir de maniÚre excessive

Se soutenir, ĂȘtre comprĂ©hensif envers  soi-mĂȘme dans une pĂ©riode difficile

Se rappeler que tout le monde fait des  erreurs et rencontre des difficultés

Nous pouvons ressentir la compassion

grĂące Ă  un processus en 2 Ă©tapes : La premiĂšre est de prendre conscience

de notre dialogue interne. La voix critique est  souvent devenue une habitude, un automatisme,

et nous ne nous rendons mĂȘme plus  compte de sa rĂ©pĂ©tition incessante.

La deuxiÚme est de trouver une nouvelle voix  que l'on veut écouter. Pour vous aider, pensez

à une personne qui fait preuve de compassion,  et imaginez ce qu'elle pourrait vous dire.

Un autre élément particuliÚrement utile  pour soigner le syndrome de l'imposteur est

d'adopter un rapport plus positif avec l'erreur et  l'échec. Les sentiments de déception, de colÚre,

parfois de honte qui accompagnent les erreurs  peuvent nous inciter à les éviter à tout prix.

La peur de l'échec finit par nous figer, ou  par nous faire travailler jusqu'à l'épuisement.

Mais puisque se tromper est une  composante naturelle de notre vie,

peu importe les efforts que nous faisons, nous  ne pourrons jamais l'éviter complétement. Il

vaut mieux apprendre à utiliser  les erreurs à notre avantage.

Le chemin vers nos objectifs de vie n'est pas  linéaire. C'est d'ailleurs dans les moments de

difficultés, et suite aux erreurs que  l'on fait, que nous pouvons acquérir

les compétences et l'expérience dont nous  avons besoin pour arriver à nos objectifs.

Traverser des périodes difficiles nous  permet de tester notre capacité à faire

face et à surmonter l'adversité, ce qui  alimente encore notre confiance en nous.

Changer la perspective d'un jugement sur  notre propre personne (« je suis un raté,

je ne suis pas assez ») vers une attitude  d'apprentissage (« je suis déçu, mais je

peux apprendre de cette erreur ») transforme  complétement notre rapport à l'échec, et élimine

le sentiment de honte qui l'accompagne tant que  nous sommes victimes du syndrome de l'imposteur.

DÚs que nous adoptons l'attitude d'apprentissage,  nous réalisons que ce que l'on doit poursuivre

ce n'est pas la perfection, mais le  progrÚs, l'amélioration dans le temps.

Et rassurez-vous : juste le fait que  vous vous interrogez sur vos propres

capacitĂ©s est le signe mĂȘme que vous  les possĂ©dez, ou que vous pourrez les

apprendre. Des études ont montré que ce  sont les personnes les plus incompétentes

dans quelque chose qui ont le plus de mal à  observer et reconnaßtre leur incompétence.

Quand on est exposé à une nouvelle  situation, à un nouveau défi, le

cycle de notre confiance est souvent comme suit : Au début, nous avons un élan de confiance. Grùce

à cet optimisme, nous pensons que nous saurons  obtenir les choses que nous voulons, et nous

sommes encouragés à nous lancer dans le challenge. Ensuite, face aux premiers revers, nous ressentons

de la déception. La peur et le moral  bas nous font douter de nos capacités.

Mais cet inconfort n'est pas mauvais: il nous  permet d'identifier les compétences que nous

devons développer ou renforcer pour réussir  notre challenge. Et il nous pousse à agir.

Et finalement, en continuant à avancer  et en surmontant les difficultés,

notre confiance recommence à augmenter.  Cette fois-ci plus solide qu'au début,

puisqu'elle ne dépend pas seulement  d'un état d'esprit optimiste, mais elle

s'appuie sur les nouvelles connaissances  et expériences que nous avons acquises.

ConnaĂźtre ce cycle nous permet d'anticiper  lâ€˜Ă©volution des nos doutes et de nos peurs

face Ă  une nouvelle situation. Cela nous  permet de ne pas ĂȘtre pris au dĂ©pourvu,

et de relativiser les moments des difficultés  : il ne s'agit que d'une étape transitoire.

Lorsque nous traversons la deuxiÚme phase, nous  devons adopter la posture d'un apprenti. Nous

devons ĂȘtre honnĂȘtes sur ce que nous savons  et ce que nous ne savons pas. Il n'y a pas

de honte de le reconnaßtre face aux autres  : nous pouvons nous entraßner à dire "Je

ne sais pas, laissez-moi revenir sur ce point". Une fois identifiées les compétences à développer,

nous pouvons assister à des cours de formation,  de conférences, nous pouvons lire des livres

sur le sujet. Nous pouvons aussi faire appel à  l'aide des autres. Savoir demander de l'aide,

et savoir à qui le demander, n'enlÚve aucun  mérite aux résultats que vous obtenez. C'est

une compétence importante à cultiver et  à utiliser pour arriver à ses objectifs.

Et pendant que l'on avance dans cette 2Úme phase,  en attendant que la confiance revienne, nous

devons faire preuve de patience et nous rappeler  de montrer de la compassion envers nous mĂȘme.

Voilà, vous connaissez maintenant les premiÚres  graines pour observer le syndrome de l'imposteur

avec un regard nouveau, plus confiant  et compassionnĂ© vis-Ă -vis de vous-mĂȘmes,

d'aprÚs les conseils de Jessamy Hibberd  dans son livre « La cure de l'imposteur ».

Se rappeler que nos doutes et nos craintes  ne correspondent pas forcément à la réalité,

reconnaßtre la voix intérieure négative  non pas comme notre propre voix, mais comme

celle de nos peurs, et développer  un rapport positif avec l'échec,

nous permettent de soigner ce sentiment  permanent d'anxiété et d'insécurité.

Si vous souhaitez apprendre des clés pour mieux  vous connaßtre, pour avancer dans votre vie dans

la bonne direction, celle qui vous correspond et  qui vous permettra vĂ©ritablement d'ĂȘtre heureux,

n'hésitez pas à vous inscrire gratuitement  à la conférence live de Mind Parachutes,

qui aura lieu le mardi 25 janvier à 20h30 heure  de Paris, via le lien qui apparaßt dans la vidéo.

A trÚs vite pour des nouvelles idées !!