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Élysée, Déclaration du Président depuis l'école de gendarmerie de Di (2)

Déclaration du Président depuis l'école de gendarmerie de Di (2)

C'est normal que la justice fasse son travail, elle le fait librement.

Elle va faire justement la lumière sur ce sujet.

Vous savez, mes comptes de campagne de 2017, ils ont déjà été soumis à toutes les procédures, aux juges, ils ont été validés par les procédures que nos lois prévoient.

Ceux de 2022 sont en chemin, comme tous les candidats.

Moi je pense que c'est une très bonne chose, et que toute la lumière soit faite et que la transparence soit faite.

Certains suspectent que ces comptes de campagne, que l'utilisation, pardon, de ces conseillers de cabinets de conseil, ait permis ensuite d'augmenter la part de...

Alors moi je vous dis que non, mais c'est normal puisque je l'ai déjà défendu.

Donc après, il faut que la transparence soit faite.

C'est ce travail qui sera conduit.

Mais encore une fois, j'insiste sur un point : les comptes de campagne de 2017 ont déjà été regardés, re-regardés, re-regardés.

Il ne vous a pas échappé que parfois, les comptes de campagne, il pouvait y avoir des problèmes !

Et les miens, ils ont été regardés comme tous les candidats de 2017, déjà vus, et puis ceux de 2022, ils sont, comme tous les candidats à la dernière élection, en cours de revue.

Donc les choses se feront normalement.

Elles doivent se faire, je dirais, avec sérénité et transparence.

C'est comme ça que les choses doivent s'exercer.

Monsieur le Président, pour que les choses soient dites, le communiqué dont nous parlons tous ne fait mention ni de votre nom ni de votre parti.

Est-ce que ce sont bien les comptes de campagne d'En Marche, de La République En Marche ?

Mais, comme vous le dites très bien, moi je ne sais pas.

J'ai vu simplement le communiqué.

Personne ne m'a écrit, personne ne m'a appelé.

Donc je pense qu'il y a un sujet, avec beaucoup d'attaques politiques qui ont été faites sur la question d'un cabinet de conseil, et c'est sur ce sujet qu'a été ouverte une instruction judiciaire.

Il faut que la justice fasse le travail sur ce sujet.

Vous avez raison de rappeler que ce n'est pas votre serviteur.

Alors, certains voudraient le politiser, je veux que la justice fasse son travail de manière normale.

Est-ce que vous craignez que la justice, au bout d'un moment, dise : en effet, c'était une forme de financement illégal que les gens de McKinsey travaillent pour cette campagne ?

Non, et après, vous savez, je m'en suis déjà expliqué des centaines de fois, donc ma réaction ne va pas changer, mais, comme votre confrère l'a très bien rappelé, je crois que le coeur de l'enquête n'est pas votre serviteur.

Au-delà des comptes de campagne, vous dites que...

[INAUDIBLE] Les informations judiciaires portent notamment sur le volet favoritisme, et la question est de savoir si, en échange de services rendus, puisque certains conseillers ou anciens conseillers de McKinsey travaillaient à titre individuel et bénévole pour votre campagne, notamment de 2017.

Mais comme toutes les campagnes, d'ailleurs.

Est-ce que vous avez renvoyé l'ascenseur ? C'est la question.

Mais, d'abord, c'est la justice qui pourra pleinement vous le dire.

Moi, en l'espèce, je peux vous dire ce que fait un président de la République et ce qu'il ne fait pas.

Un Président de la République ne va pas s'amuser à aller attribuer tel ou tel marché.

Et après, dans une campagne présidentielle, il y a des femmes et des hommes.

Il y en a qui sont journalistes, il y en a qui sont magistrats, il y en a qui sont dans des cabinets de conseil, il y en a qui sont fonctionnaires, qui s'engagent et qui donnent sur leur temps libre, du temps.

Ça a toujours été comme ça.

Monsieur le Président, vous avez reçu, le 11 novembre, quelques femmes iraniennes à l'Élysée.

Oui !

Vous le savez très bien, avant le changement de régime, les femmes iraniennes, elles ont eu le droit de voter 7 ans avant les Suisses.

Maintenant, vous voyez la situation des femmes en Iran.

Aujourd'hui, c'est un bon lieu pour en parler, le droit des femmes, contre la violence faite aux femmes.

Est-ce qu'après ce que vous avez fait, qui a été très admiré en Iran par la population, dans quelles conditions vous accepteriez, vous, en tant que président qu'un membre du régime, à nouveau, traverse le portail de l'Élysée ?

Alors d'abord, je pense que ce qui se joue en Iran nous concerne, et ce qui se passe en Iran et la révolution qui est en cours nous concernent parce que c'est une révolution pour l'universalisme que nous portons.

Et ce sont des femmes qui se battent pour leur dignité, l'égalité avec les hommes, mais ce sont aussi beaucoup d'hommes et de jeunes qui se battent pour cette égalité.

Et je le dis souvent, l'égalité femmes-hommes, ce n'est pas que le sujet des femmes, c'est le souci d'une société digne et équitable.

Et moi je suis très admiratif de ce combat qui est mené par la société iranienne, ces femmes, mais aussi ces jeunes, ces hommes, qui les défendent.

Ensuite, je l'ai expliqué aussi aux femmes que j'ai reçues, en effet, le 11 novembre dernier, le rôle de la France, c'est d'abord de les reconnaître.

Je pense que c'était important de souligner leur courage, de dire notre admiration, de protéger celles et ceux qui, compte tenu de leur combat, sont menacés et veulent fuir un régime qui leur risquerait soit la peine de mort, soit la prison, mais c'est également de continuer d'obtenir de ce régime et de ses décideurs, des choses utiles pour le peuple iranien et pour la région.

Et donc c'est aussi pour ça que j'assume de continuer le dialogue, mais que j'essaie d'expliquer que c'était une voie absolument nécessaire, mais de le faire en assumant nos désaccords.

Mais continuer à discuter est important.

Monsieur le Président, est-ce qu'il ne serait pas temps de réintégrer les soignants non vaccinés, comme le réclament certains de vos opposants ?

Et que pensez-vous de ce qui s'est passé hier soir à l'Assemblée nationale ?

Cette fois, c'est votre parti qui a fait de l'obstruction parlementaire.

Est-ce que vous le regrettez ?

Le principe de séparation des pouvoirs, d'une part, et le fait que le président de la République est un garant, fait que je me suis toujours abstenu de commenter telle ou telle procédure ou ce qui se passe à l'Assemblée.

Ensuite, sur ce qui est des soignants, je l'ai toujours dit, d'abord je veux saluer encore une fois le rôle de nos soignants, leur mobilisation, leur esprit de responsabilité, mais ça n'a pas été une décision en opportunité politique, au moment où ce choix a été fait.

Ç'a été une décision scientifiquement établie, sur une recommandation scientifique d'un conseil indépendant, et donc il faut que la décision soit scientifiquement établie.

Si les scientifiques, aujourd'hui, et les médecins et les soignants, nous disent : c'est souhaitable, d'un point de vue scientifique, de réintégrer ces soignants, il faut que le gouvernement le fasse, ce n'est pas un choix politique, mais je pense qu'il ne faut pas sous-estimer le fait que nous parlons de soignants qui, au pic de l'épidémie, encore aujourd'hui, considèrent que ce n'est pas un devoir déontologique de se vacciner.

Je ne sais pas, si vous, vous mettez demain vos parents à l'hôpital et qu'ils attrapent le Covid 19 alors qu'il y avait un moyen de les protéger, et qui n'a pas été pris, vous seriez ravie.

Et donc, cette décision, elle a été faite sur une recommandation scientifique et elle devra être levée quand il y aura une recommandation scientifique de le faire.

Voilà ce que je peux vous dire.

Et j'ai essayé, toujours, depuis que ce virus est arrivé sur notre sol, de mener les choses de la même manière, en faisant reposer nos décisions sur la science, avec beaucoup d'humilité, avec les connaissances qui étaient les nôtres au moment qui était celui où nous décidions, d'avoir ensuite un principe de responsabilité de chacun et d'avoir un principe de proportionnalité.

Et donc je souhaite que, si le comité qui est en charge maintenant de ce sujet auprès des ministres, du ministre de la Santé et de la prévention, dit : il n'y a plus de nécessité d'avoir cette vaccination ou il est temps de réintégrer, à ce moment-là, le ministre pourra le faire.

Tant qu'il n'y a pas d'avis scientifique, je pense que c'est un peu compliqué.

Merci à tous.

Qu'est-ce que ça vous inspire, ce vote ?

Alors, il y a eu un vote.

Après, il y a un chemin, et donc il faut respecter ce chemin parlementaire.

Moi, ma position, elle a toujours été claire, et si j'ai fait le choix, dès juillet 2017, de faire entrer au Panthéon Simone Veil, c'est parce que ma conception des choses et mon attachement profond à la défense d'un droit, celui des femmes, à disposer de leur corps, je le considère comme essentiel à notre République.

Maintenant le texte va cheminer.

Merci, c'est terminé.

Monsieur le Président, pourquoi Dijon plus qu'ailleurs ?

Parce qu'on a aussi, ici, cette école de formation, des associations qui sont extrêmement efficaces sur ce sujet, et ça nous permettait de justement faire un bilan d'étape, je crois utile, sur une question essentielle.

Merci beaucoup.

C'est terminé.

Malheureusement, malheureusement, il y a trop de départements où il y a des féminicides, et donc ce n'est pas ça qui a déterminé ce choix, mais vous avez raison de le rappeler, parce qu'on n'oublie aucune d'entre elles.

Merci beaucoup !


Déclaration du Président depuis l'école de gendarmerie de Di (2) Statement by the President from the Di Gendarmerie School (2) Dichiarazione del Presidente dalla Scuola Di Gendarmeria (2)

C'est normal que la justice fasse son travail, elle le fait librement. It is normal for justice to do its job, it does it freely.

Elle va faire justement la lumière sur ce sujet.

Vous savez, mes comptes de campagne de 2017, ils ont déjà été soumis à toutes les procédures, aux juges, ils ont été validés par les procédures que nos lois prévoient. You know, my 2017 campaign accounts, they have already been submitted to all the procedures, to the judges, they have been validated by the procedures that our laws provide for.

Ceux de 2022 sont en chemin, comme tous les candidats.

Moi je pense que c'est une très bonne chose, et que toute la lumière soit faite et que la transparence soit faite. I think it's a very good thing, and that all the light is shed and that the transparency is made.

Certains suspectent que ces comptes de campagne, que l'utilisation, pardon, de ces conseillers de cabinets de conseil, ait permis ensuite d'augmenter la part de... Some suspect that these campaign accounts, that the use, sorry, of these advisers from consulting firms, then made it possible to increase the share of...

Alors moi je vous dis que non, mais c'est normal puisque je l'ai déjà défendu. So I tell you no, but that's normal since I have already defended it.

Donc après, il faut que la transparence soit faite. So afterwards, there has to be transparency.

C'est ce travail qui sera conduit. It is this work that will be carried out.

Mais encore une fois, j'insiste sur un point : les comptes de campagne de 2017 ont déjà été regardés, re-regardés, re-regardés. But again, I insist on one point: the 2017 campaign accounts have already been watched, re-watched, re-watched.

Il ne vous a pas échappé que parfois, les comptes de campagne, il pouvait y avoir des problèmes ! It has not escaped you that sometimes, the campaign accounts, there could be problems!

Et les miens, ils ont été regardés comme tous les candidats de 2017, déjà vus, et puis ceux de 2022, ils sont, comme tous les candidats à la dernière élection, en cours de revue.

Donc les choses se feront normalement.

Elles doivent se faire, je dirais, avec sérénité et transparence.

C'est comme ça que les choses doivent s'exercer. This is how things should work.

Monsieur le Président, pour que les choses soient dites, le communiqué dont nous parlons tous ne fait mention ni de votre nom ni de votre parti.

Est-ce que ce sont bien les comptes de campagne d'En Marche, de La République En Marche ?

Mais, comme vous le dites très bien, moi je ne sais pas.

J'ai vu simplement le communiqué.

Personne ne m'a écrit, personne ne m'a appelé.

Donc je pense qu'il y a un sujet, avec beaucoup d'attaques politiques qui ont été faites sur la question d'un cabinet de conseil, et c'est sur ce sujet qu'a été ouverte une instruction judiciaire.

Il faut que la justice fasse le travail sur ce sujet.

Vous avez raison de rappeler que ce n'est pas votre serviteur.

Alors, certains voudraient le politiser, je veux que la justice fasse son travail de manière normale.

Est-ce que vous craignez que la justice, au bout d'un moment, dise : en effet, c'était une forme de financement illégal que les gens de McKinsey travaillent pour cette campagne ?

Non, et après, vous savez, je m'en suis déjà expliqué des centaines de fois, donc ma réaction ne va pas changer, mais, comme votre confrère l'a très bien rappelé, je crois que le coeur de l'enquête n'est pas votre serviteur.

Au-delà des comptes de campagne, vous dites que...

[INAUDIBLE] Les informations judiciaires portent notamment sur le volet favoritisme, et la question est de savoir si, en échange de services rendus, puisque certains conseillers ou anciens conseillers de McKinsey travaillaient à titre individuel et bénévole pour votre campagne, notamment de 2017.

Mais comme toutes les campagnes, d'ailleurs.

Est-ce que vous avez renvoyé l'ascenseur ? C'est la question.

Mais, d'abord, c'est la justice qui pourra pleinement vous le dire.

Moi, en l'espèce, je peux vous dire ce que fait un président de la République et ce qu'il ne fait pas.

Un Président de la République ne va pas s'amuser à aller attribuer tel ou tel marché.

Et après, dans une campagne présidentielle, il y a des femmes et des hommes.

Il y en a qui sont journalistes, il y en a qui sont magistrats, il y en a qui sont dans des cabinets de conseil, il y en a qui sont fonctionnaires, qui s'engagent et qui donnent sur leur temps libre, du temps.

Ça a toujours été comme ça.

Monsieur le Président, vous avez reçu, le 11 novembre, quelques femmes iraniennes à l'Élysée.

Oui !

Vous le savez très bien, avant le changement de régime, les femmes iraniennes, elles ont eu le droit de voter 7 ans avant les Suisses.

Maintenant, vous voyez la situation des femmes en Iran.

Aujourd'hui, c'est un bon lieu pour en parler, le droit des femmes, contre la violence faite aux femmes.

Est-ce qu'après ce que vous avez fait, qui a été très admiré en Iran par la population, dans quelles conditions vous accepteriez, vous, en tant que président qu'un membre du régime, à nouveau, traverse le portail de l'Élysée ?

Alors d'abord, je pense que ce qui se joue en Iran nous concerne, et ce qui se passe en Iran et la révolution qui est en cours nous concernent parce que c'est une révolution pour l'universalisme que nous portons.

Et ce sont des femmes qui se battent pour leur dignité, l'égalité avec les hommes, mais ce sont aussi beaucoup d'hommes et de jeunes qui se battent pour cette égalité.

Et je le dis souvent, l'égalité femmes-hommes, ce n'est pas que le sujet des femmes, c'est le souci d'une société digne et équitable.

Et moi je suis très admiratif de ce combat qui est mené par la société iranienne, ces femmes, mais aussi ces jeunes, ces hommes, qui les défendent.

Ensuite, je l'ai expliqué aussi aux femmes que j'ai reçues, en effet, le 11 novembre dernier, le rôle de la France, c'est d'abord de les reconnaître.

Je pense que c'était important de souligner leur courage, de dire notre admiration, de protéger celles et ceux qui, compte tenu de leur combat, sont menacés et veulent fuir un régime qui leur risquerait soit la peine de mort, soit la prison, mais c'est également de continuer d'obtenir de ce régime et de ses décideurs, des choses utiles pour le peuple iranien et pour la région.

Et donc c'est aussi pour ça que j'assume de continuer le dialogue, mais que j'essaie d'expliquer que c'était une voie absolument nécessaire, mais de le faire en assumant nos désaccords.

Mais continuer à discuter est important.

Monsieur le Président, est-ce qu'il ne serait pas temps de réintégrer les soignants non vaccinés, comme le réclament certains de vos opposants ?

Et que pensez-vous de ce qui s'est passé hier soir à l'Assemblée nationale ?

Cette fois, c'est votre parti qui a fait de l'obstruction parlementaire.

Est-ce que vous le regrettez ?

Le principe de séparation des pouvoirs, d'une part, et le fait que le président de la République est un garant, fait que je me suis toujours abstenu de commenter telle ou telle procédure ou ce qui se passe à l'Assemblée.

Ensuite, sur ce qui est des soignants, je l'ai toujours dit, d'abord je veux saluer encore une fois le rôle de nos soignants, leur mobilisation, leur esprit de responsabilité, mais ça n'a pas été une décision en opportunité politique, au moment où ce choix a été fait.

Ç'a été une décision scientifiquement établie, sur une recommandation scientifique d'un conseil indépendant, et donc il faut que la décision soit scientifiquement établie.

Si les scientifiques, aujourd'hui, et les médecins et les soignants, nous disent : c'est souhaitable, d'un point de vue scientifique, de réintégrer ces soignants, il faut que le gouvernement le fasse, ce n'est pas un choix politique, mais je pense qu'il ne faut pas sous-estimer le fait que nous parlons de soignants qui, au pic de l'épidémie, encore aujourd'hui, considèrent que ce n'est pas un devoir déontologique de se vacciner.

Je ne sais pas, si vous, vous mettez demain vos parents à l'hôpital et qu'ils attrapent le Covid 19 alors qu'il y avait un moyen de les protéger, et qui n'a pas été pris, vous seriez ravie.

Et donc, cette décision, elle a été faite sur une recommandation scientifique et elle devra être levée quand il y aura une recommandation scientifique de le faire.

Voilà ce que je peux vous dire.

Et j'ai essayé, toujours, depuis que ce virus est arrivé sur notre sol, de mener les choses de la même manière, en faisant reposer nos décisions sur la science, avec beaucoup d'humilité, avec les connaissances qui étaient les nôtres au moment qui était celui où nous décidions, d'avoir ensuite un principe de responsabilité de chacun et d'avoir un principe de proportionnalité.

Et donc je souhaite que, si le comité qui est en charge maintenant de ce sujet auprès des ministres, du ministre de la Santé et de la prévention, dit : il n'y a plus de nécessité d'avoir cette vaccination ou il est temps de réintégrer, à ce moment-là, le ministre pourra le faire.

Tant qu'il n'y a pas d'avis scientifique, je pense que c'est un peu compliqué.

Merci à tous.

Qu'est-ce que ça vous inspire, ce vote ?

Alors, il y a eu un vote.

Après, il y a un chemin, et donc il faut respecter ce chemin parlementaire.

Moi, ma position, elle a toujours été claire, et si j'ai fait le choix, dès juillet 2017, de faire entrer au Panthéon Simone Veil, c'est parce que ma conception des choses et mon attachement profond à la défense d'un droit, celui des femmes, à disposer de leur corps, je le considère comme essentiel à notre République.

Maintenant le texte va cheminer.

Merci, c'est terminé.

Monsieur le Président, pourquoi Dijon plus qu'ailleurs ?

Parce qu'on a aussi, ici, cette école de formation, des associations qui sont extrêmement efficaces sur ce sujet, et ça nous permettait de justement faire un bilan d'étape, je crois utile, sur une question essentielle.

Merci beaucoup.

C'est terminé.

Malheureusement, malheureusement, il y a trop de départements où il y a des féminicides, et donc ce n'est pas ça qui a déterminé ce choix, mais vous avez raison de le rappeler, parce qu'on n'oublie aucune d'entre elles.

Merci beaucoup !