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Youtube Videos, NIETZSCHE - L'exaltation de la vie 📏 (2)

NIETZSCHE - L'exaltation de la vie 📏 (2)

s'occupe pas de savoir si elles

rencontrent ces oppositions elle broie

les oppositions sans mĂȘme se poser la

question la volonté de puissance

c'est l'idée d'une force primitive

instinctive originel qui traverse tout

ce qui y est et pour niche c'est ça la

seule réalité la volonté c'est cette

force d'affirmation et de croissance de

chaque chose de chaque ĂȘtre

prenons un petit exemple un enfant qui

grandit il viendrait à l'idée de

personne de dire qu'un enfant qui

grandit c'est un enfant qui a envie de

prendre plus de place que les autres qui

a envie de consolider son espace vital

pour filer lĂ  la comparaison fait tout Ă 

leur nombre l'enfant qui grandit c'est

l'enfant qui exprime et qui extériorise

le mouvement mĂȘme de la vie puisque la

vie est faite pour croĂźtre et l'enfant

qui grandit il exprime cette puissance

de croissance qui est incluse dans la

vie la volonté de puissance est

l'essence mĂȘme de la vie

c'est l'essence mĂȘme de la rĂ©alitĂ© est

lĂ  de vie

de la volontĂ© de puissance pourrait ĂȘtre

croßtre ou dépérir grandir ou mourir

donc pour finir sur cet aspect pour

nietzsche seule la volonté de puissance

peut ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme Ă©tant dignes

de valeur et toutes les valeurs qui

repose sur le dualisme qui sont des des

inventions des faibles pour combattre

les fort bien toutes ces valeurs lĂ  pour

nietzsche n'ont strictement aucune

valeur c'est pour ça qu'on peut dire que

la philosophie de nietzsche est une

philosophie de la réévaluation puisque

pour nietzsche toutes les valeurs

existantes doivent ĂȘtre dĂ©valuĂ© et

remplacées par de nouvelles valeurs des

valeurs qui vont favoriser l'Ă©mergence

de ce qu'il appelle le surhomme

le surhomme c'est celui qui ne se trouve

plus dans cette morale du ressentiment

c'est celui qui s'est affranchi de tout

les dualismes c'est celui qui accepte

l'immanence de l'ĂȘtre c'est celui qui

accepte le fait que la réalité que nous

connaissons

soit la seule réalité existante et cette

réalité là nous devons l'assumer

nous ne devons pas la fuir nous ne

devons pas en chercher une qui serait

meilleur puisque je recherchais une

réalité qui serait meilleur

ce serait tout simplement démontrer

notre incapacité à nous adapter à cette

réalité

ce serait donc démontrer notre faiblesse

toutes les pensées dualiste repose sur

un ressentiment

ce ressentiment il est issu de la peur

est la peur nourrit la haine nourrie la

vengeance nourrit la culpabilité et ce

sont toutes ces valeurs que nietzsche

estime ĂȘtre Ă  l'oeuvre dans la morale

dominante qui est la morale chrétienne

la volonté de puissance ce n'est donc

pas un concept moral ce n'est pas une

apologie du désir de domination

pour nietzsche la volonté puissance est

l'essence mĂȘme de l'ĂȘtre puisque la

réalité toujours en devenir

elle est toujours en mouvement le

mouvement c'est le propre de la vie

c'est mĂȘme le propre de tout ce qui est

et ce mouvement c'est un mouvement vers

l'accroissement

revenons trĂšs rapidement sur la

distinction entre entre les deux types

de morale la morale des faibles et la

morale d'efforts la morale des fables on

l'a dit est basé sur une opposition des

concepts le bien et le mal

d'oĂč vont ĂȘtre ensuite Ă©tĂ© habilitĂ© le

péché et levis nietzsche appelle cela

une morale du ressentiment puisque c'est

une morale qui s'occupe des autres et

cette morale qui s'occupe des autres

elle indique qu'elle ne s'occupe plus

d'elle-mĂȘme elle indique donc une perte

de puissance une perte de vitalité

d'oĂč d'ailleurs le dĂ©sir de vengeance le

désir de condamner l'effort pour nos

propres faiblesses

pour nietzsche la morale du ressentiment

c'est la haine de la vie c'est

l'expression philosophique et morale de

la haine de la vie au contraire la

morale d'efforts c'est une morale d'auto

affirmation lefort n'accorde aucune

importance au faible puisqu'il ne leur

connaĂźt mĂȘme pas le force contente

d'ĂȘtre dans la vie se contente d'ĂȘtre

dans la force du devenir et si le faible

se dresse sur son passage il en subira

les conséquences de maniÚre purement

mécanique c'est à dire que le fort ne va

pas recherché volontairement à asservir

ou a dominé le faible le faible va pùtir

de la force du fort puisque la force du

forts s'expriment points et elle ne peut

que s'exprimer puisque c'est son essence

mĂȘme sur cette idĂ©e de volontĂ© de

puissance

on peut Ă©videmment faire un parallĂšle

avec la théorie freudienne du désir

sexuel puisque pour freud de toute

création est une une spiritualisation de

la pulsion sexuelle

ça signifie que à l'origine de toute

oeuvre

et bien il y Ă  une pulsion sexuelle qui

est détourné de sa destination primaire

l'acte reproductif pour ĂȘtre investi

dans la réalisation de quelque chose de

supérieur

cette pulsion sexuelle bien c'est un peu

l'équivalent de la volonté de puissance

de niche dans son sens le plus

physiologique

donc je pense que vous l'avez compris

pour nietzsche les concepts

philosophiques majeurs que sont la

vérité que sont le bien et le mal bien

il ne leur accorde en fait aucune valeur

aucune espĂšce d'importance puisque pour

lui le problĂšme n'est pas lĂ 

le problĂšme n'est pas dans le concept

mais il est dans la force qui investit

le concept il est dans la puissance par

laquelle le concept sa fille le concept

n'est qu'une forme

le concept n'est qu'une coquille dans

laquelle on peut mettre tout et

n'importe quoi mais pour nietzsche

le concept n'a pas de valeur en lui-mĂȘme

il n'a de valeur que par la puissance et

la vitalité dont il est chargé

et si un concept s'exprime avec une

puissance et une vitalité intense et

bien Ă  ce moment-lĂ  il est digne de

valeur mais tout le reste n'est que

vanité

alors pour mettre en Ă©vidence le le

mépris le dédain cave et nietzsche pour

le concept de vérité pour tout ce qui

relevait en fait de la pensée

intellectuelle puisque pour lui la paix

late ce n'est rien d'autre qu'un moyen

d'adaptation de l'espĂšce humaine et Ă 

moyens d'adaptation dans lequel elle a

fait pouvoir trouver un indice de sa

supériorité

or pour nietzsche latélec tu

l'intelligence ne sont pas du tout des

marqueurs de supériorité ce sont

simplement des singularités contingentes

ce sont des des propriétés que nous

avons mais qui ne valent pas

spécialement plus se sont simplement nos

outils en tant qu'humain d'adaptation au

monde qui nous entoure

rien de plus donc je disais pour mettre

en évidence ce mépris je vais vous lire

un petit texte qui est issu de la

premiĂšre page d'un tout petit livre qui

s'appelle vérité mensonge au sens extra

moral dans lequel nitcheu revient sur le

concept de vérité pour montrer son

caractĂšre factice et j'oserais dire

frauduleux il barre du long d'une image

que j'aimerais partager avec vous voici

ce qui

Ă©crit il y eut une fois dans un recoin

éloigné de l'univers répandu en

d'innombrables systĂšme solaire

scintillant un astre sur lequel des

animaux intelligents inventaire la

connaissance ce fut la plus orgueilleuse

et la plus mensongĂšre minutes de

l'histoire universelle une seule minute

en effet

la nature espira encore un peu et puis

l'astre se figea dans la glace les

animaux intelligents dur mourir une

fable de ce genre quelqu'un pourra

l'inventer mais cette illustration

resterait bien au dessous du fantĂŽme

misérable éphémÚre insensé est fortuit

que constitue intellect humains au sein

de la nature des éternités durant il n'a

pas existé

et lorsque sens aura fini de lui il ne

sera rien passé de plus car ce fameux

intellect ne remplit aucune mission

au-delĂ  de lui-mĂȘme vie il n'est cumin

et seul son possesseur et producteur le

considĂšre avec pathos

comme si il renfermait le pivot du monde

or si nous pouvions comprendre la mouche

nous sourions qu'elle aussi nage Ă 

travers l'air avec ce pathos hersant

soit le centre volant de ce monde il n'y

a rien de si abjecte et de si minuscules

dans la nature qu'une légÚre bouffée de

cette force du connaĂźtre ne puisse

aussitÎt gonflé comme une autre et de

mĂȘme que tout portefaix aspire Ă  son

admirateur de mĂȘme l'homme le plus fier

le philosophe croit-il avoir de tous

cÎtés les yeux de l'univers braqué comme

des télescopes sur son action et sa

pensée je vais vous lire maintenant

un deuxiĂšme court extrait qui prolonge

celui lĂ  l'intellect en tant que moyen

de conservation de l'individu déploie

ses principales forces dans le

travestissement car c'est le moyen par

lequel se maintiennent les individus

plus faible moins robustes qui ne

peuvent pas se permettre de lutter pour

l'existence Ă  coups de corne ou avec la

mĂąchoire a filĂ© des bĂȘtes de proie c'est

chez l'homme que cet art du

travestissement atteint son sommet

illusion flagornerie mensonges et

tromperies commérages parade éclat

d'emprunt masque convention hypocrite

comĂ©die donner aux autres et Ă  soi-mĂȘme

bref le sempiternel voltige mans autour

de cette flamme unique la vanité

pour nietzsche la philosophie doit ĂȘtre

une exaltation de la vie un champ de la

vie

une danse de la vie alors dans son

[Musique]

oui

[Musique]


NIETZSCHE - L'exaltation de la vie 📏 (2)

s'occupe pas de savoir si elles

rencontrent ces oppositions elle broie

les oppositions sans mĂȘme se poser la

question la volonté de puissance

c'est l'idée d'une force primitive

instinctive originel qui traverse tout

ce qui y est et pour niche c'est ça la

seule réalité la volonté c'est cette

force d'affirmation et de croissance de

chaque chose de chaque ĂȘtre

prenons un petit exemple un enfant qui

grandit il viendrait à l'idée de

personne de dire qu'un enfant qui

grandit c'est un enfant qui a envie de

prendre plus de place que les autres qui

a envie de consolider son espace vital

pour filer lĂ  la comparaison fait tout Ă 

leur nombre l'enfant qui grandit c'est

l'enfant qui exprime et qui extériorise

le mouvement mĂȘme de la vie puisque la

vie est faite pour croĂźtre et l'enfant

qui grandit il exprime cette puissance

de croissance qui est incluse dans la

vie la volonté de puissance est

l'essence mĂȘme de la vie

c'est l'essence mĂȘme de la rĂ©alitĂ© est

lĂ  de vie

de la volontĂ© de puissance pourrait ĂȘtre

croßtre ou dépérir grandir ou mourir

donc pour finir sur cet aspect pour

nietzsche seule la volonté de puissance

peut ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme Ă©tant dignes

de valeur et toutes les valeurs qui

repose sur le dualisme qui sont des des

inventions des faibles pour combattre

les fort bien toutes ces valeurs lĂ  pour

nietzsche n'ont strictement aucune

valeur c'est pour ça qu'on peut dire que

la philosophie de nietzsche est une

philosophie de la réévaluation puisque

pour nietzsche toutes les valeurs

existantes doivent ĂȘtre dĂ©valuĂ© et

remplacées par de nouvelles valeurs des

valeurs qui vont favoriser l'Ă©mergence

de ce qu'il appelle le surhomme

le surhomme c'est celui qui ne se trouve

plus dans cette morale du ressentiment

c'est celui qui s'est affranchi de tout

les dualismes c'est celui qui accepte

l'immanence de l'ĂȘtre c'est celui qui

accepte le fait que la réalité que nous

connaissons

soit la seule réalité existante et cette

réalité là nous devons l'assumer

nous ne devons pas la fuir nous ne

devons pas en chercher une qui serait

meilleur puisque je recherchais une

réalité qui serait meilleur

ce serait tout simplement démontrer

notre incapacité à nous adapter à cette

réalité

ce serait donc démontrer notre faiblesse

toutes les pensées dualiste repose sur

un ressentiment

ce ressentiment il est issu de la peur

est la peur nourrit la haine nourrie la

vengeance nourrit la culpabilité et ce

sont toutes ces valeurs que nietzsche

estime ĂȘtre Ă  l'oeuvre dans la morale

dominante qui est la morale chrétienne

la volonté de puissance ce n'est donc

pas un concept moral ce n'est pas une

apologie du désir de domination

pour nietzsche la volonté puissance est

l'essence mĂȘme de l'ĂȘtre puisque la

réalité toujours en devenir

elle est toujours en mouvement le

mouvement c'est le propre de la vie

c'est mĂȘme le propre de tout ce qui est

et ce mouvement c'est un mouvement vers

l'accroissement

revenons trĂšs rapidement sur la

distinction entre entre les deux types

de morale la morale des faibles et la

morale d'efforts la morale des fables on

l'a dit est basé sur une opposition des

concepts le bien et le mal

d'oĂč vont ĂȘtre ensuite Ă©tĂ© habilitĂ© le

péché et levis nietzsche appelle cela

une morale du ressentiment puisque c'est

une morale qui s'occupe des autres et

cette morale qui s'occupe des autres

elle indique qu'elle ne s'occupe plus

d'elle-mĂȘme elle indique donc une perte

de puissance une perte de vitalité

d'oĂč d'ailleurs le dĂ©sir de vengeance le

désir de condamner l'effort pour nos

propres faiblesses

pour nietzsche la morale du ressentiment

c'est la haine de la vie c'est

l'expression philosophique et morale de

la haine de la vie au contraire la

morale d'efforts c'est une morale d'auto

affirmation lefort n'accorde aucune

importance au faible puisqu'il ne leur

connaĂźt mĂȘme pas le force contente

d'ĂȘtre dans la vie se contente d'ĂȘtre

dans la force du devenir et si le faible

se dresse sur son passage il en subira

les conséquences de maniÚre purement

mécanique c'est à dire que le fort ne va

pas recherché volontairement à asservir

ou a dominé le faible le faible va pùtir

de la force du fort puisque la force du

forts s'expriment points et elle ne peut

que s'exprimer puisque c'est son essence

mĂȘme sur cette idĂ©e de volontĂ© de

puissance

on peut Ă©videmment faire un parallĂšle

avec la théorie freudienne du désir

sexuel puisque pour freud de toute

création est une une spiritualisation de

la pulsion sexuelle

ça signifie que à l'origine de toute

oeuvre

et bien il y Ă  une pulsion sexuelle qui

est détourné de sa destination primaire

l'acte reproductif pour ĂȘtre investi

dans la réalisation de quelque chose de

supérieur

cette pulsion sexuelle bien c'est un peu

l'équivalent de la volonté de puissance

de niche dans son sens le plus

physiologique

donc je pense que vous l'avez compris

pour nietzsche les concepts

philosophiques majeurs que sont la

vérité que sont le bien et le mal bien

il ne leur accorde en fait aucune valeur

aucune espĂšce d'importance puisque pour

lui le problĂšme n'est pas lĂ 

le problĂšme n'est pas dans le concept

mais il est dans la force qui investit

le concept il est dans la puissance par

laquelle le concept sa fille le concept

n'est qu'une forme

le concept n'est qu'une coquille dans

laquelle on peut mettre tout et

n'importe quoi mais pour nietzsche

le concept n'a pas de valeur en lui-mĂȘme

il n'a de valeur que par la puissance et

la vitalité dont il est chargé

et si un concept s'exprime avec une

puissance et une vitalité intense et

bien Ă  ce moment-lĂ  il est digne de

valeur mais tout le reste n'est que

vanité

alors pour mettre en Ă©vidence le le

mépris le dédain cave et nietzsche pour

le concept de vérité pour tout ce qui

relevait en fait de la pensée

intellectuelle puisque pour lui la paix

late ce n'est rien d'autre qu'un moyen

d'adaptation de l'espĂšce humaine et Ă 

moyens d'adaptation dans lequel elle a

fait pouvoir trouver un indice de sa

supériorité

or pour nietzsche latélec tu

l'intelligence ne sont pas du tout des

marqueurs de supériorité ce sont

simplement des singularités contingentes

ce sont des des propriétés que nous

avons mais qui ne valent pas

spécialement plus se sont simplement nos

outils en tant qu'humain d'adaptation au

monde qui nous entoure

rien de plus donc je disais pour mettre

en évidence ce mépris je vais vous lire

un petit texte qui est issu de la

premiĂšre page d'un tout petit livre qui

s'appelle vérité mensonge au sens extra

moral dans lequel nitcheu revient sur le

concept de vérité pour montrer son

caractĂšre factice et j'oserais dire

frauduleux il barre du long d'une image

que j'aimerais partager avec vous voici

ce qui

Ă©crit il y eut une fois dans un recoin

éloigné de l'univers répandu en

d'innombrables systĂšme solaire

scintillant un astre sur lequel des

animaux intelligents inventaire la

connaissance ce fut la plus orgueilleuse

et la plus mensongĂšre minutes de

l'histoire universelle une seule minute

en effet

la nature espira encore un peu et puis

l'astre se figea dans la glace les

animaux intelligents dur mourir une

fable de ce genre quelqu'un pourra

l'inventer mais cette illustration

resterait bien au dessous du fantĂŽme

misérable éphémÚre insensé est fortuit

que constitue intellect humains au sein

de la nature des éternités durant il n'a

pas existé

et lorsque sens aura fini de lui il ne

sera rien passé de plus car ce fameux

intellect ne remplit aucune mission

au-delĂ  de lui-mĂȘme vie il n'est cumin

et seul son possesseur et producteur le

considĂšre avec pathos

comme si il renfermait le pivot du monde

or si nous pouvions comprendre la mouche

nous sourions qu'elle aussi nage Ă 

travers l'air avec ce pathos hersant

soit le centre volant de ce monde il n'y

a rien de si abjecte et de si minuscules

dans la nature qu'une légÚre bouffée de

cette force du connaĂźtre ne puisse

aussitÎt gonflé comme une autre et de

mĂȘme que tout portefaix aspire Ă  son

admirateur de mĂȘme l'homme le plus fier

le philosophe croit-il avoir de tous

cÎtés les yeux de l'univers braqué comme

des télescopes sur son action et sa

pensée je vais vous lire maintenant

un deuxiĂšme court extrait qui prolonge

celui lĂ  l'intellect en tant que moyen

de conservation de l'individu déploie

ses principales forces dans le

travestissement car c'est le moyen par

lequel se maintiennent les individus

plus faible moins robustes qui ne

peuvent pas se permettre de lutter pour

l'existence Ă  coups de corne ou avec la

mĂąchoire a filĂ© des bĂȘtes de proie c'est

chez l'homme que cet art du

travestissement atteint son sommet

illusion flagornerie mensonges et

tromperies commérages parade éclat

d'emprunt masque convention hypocrite

comĂ©die donner aux autres et Ă  soi-mĂȘme

bref le sempiternel voltige mans autour

de cette flamme unique la vanité

pour nietzsche la philosophie doit ĂȘtre

une exaltation de la vie un champ de la

vie

une danse de la vie alors dans son

[Musique]

oui

[Musique]