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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 11/09/2021 20h00 GMT

Journal en français facile 11/09/2021 20h00 GMT

22h à Paris, 2h de moins en temps universel. Loïc Bussières : Bonsoir et bienvenue dans votre Journal en français facile. Journal que je vous présente en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin. Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous. LB : À la une : les commémorations des attentats du 11 septembre aux États-Unis. C'était il y a 20 ans jour pour jour. Des terroristes détournaient plusieurs avions qui allaient notamment s'écraser sur les tours du World Trade Center précipitant la guerre en Afghanistan. On y revient en tout début de journal. ZK : Nous reviendrons également sur l'arrestation, la nuit dernière, de quatre des six Palestiniens qui s'étaient enfuis d'une prison israélienne. Leur évasion spectaculaire avait fait d'eux des « héros » aux yeux de leurs concitoyens. LB : Et puis la victoire judiciaire d'Epic Games, l'éditeur du jeu vidéo Fortnite contre Apple. La marque à la pomme accusée de monopole sur son magasin en ligne. Stanislas Ndayishimiye vous explique tout dans un instant.

------ ZK : On se rend tout d'abord aux États-Unis en ce 11 septembre qui marquait le 20e anniversaire des attentats d'al-Qaïda. Des attaques qui allaient entrainer l'intervention militaire américaine en Afghanistan. LB : 20 ans après, l'heure était au souvenir. Des cérémonies ont rendu hommage aux 3 000 morts des attaques jihadistes qui auront marqué l'Histoire de ce début de siècle. À Washington, où le Pentagone avait été ciblé, et bien évidemment à New York, là où se trouvaient les Tours du World Trade Center et où l'on retrouve notre envoyée spéciale Marie Normand.

La cérémonie s'est achevée à l'issue d'une longue lecture des noms des près de 3000 victimes des attentats. C'était le fil rouge émouvant de cette cérémonie assez protocolaire. Les familles tiennent à ce rituel, ce sont elles qui se relaient à la tribune, parfois en larmes, pour lire ces noms, avec toujours un message particulier pour un père ou une sœur perdue ce 11 septembre. Devant ce mémorial qui marque l'empreinte laissée par les tours jumelles détruites, la cérémonie a été marquée par des intermèdes musicaux, notamment de Bruce Springsteen à la guitare acoustique, marqué aussi par 6 minutes de silence pour rappeler l'heure du crash des 4 avions détournés puis l'effondrement des tours. Le père d'une hôtesse de l'air disparue il y a 20 ans a lancé un appel à l'unité ce qui fait écho au message vidéo diffusé hier par Joe Biden, le président qui assistait aux cérémonies ce matin mais qui n'a pas pris la parole. L'accès au mémorial était uniquement réservé aux familles aujourd'hui. Mais tout autour du cordon de sécurité, de nombreux passants, certains avec des drapeaux américains, d'autres des roses ont pris quelques minutes pour se recueillir notamment quand toutes les cloches de New York ont sonné à l'heure où le premier avion a frappé la tour nord du World Trade Center.

LB : Lors de ces cérémonies de commémoration des vingt ans de l'attentat du 11 septembre 2001, l'ancien président George W.Bush a pris la parole. C'est lui qui dirigeait le pays quand l'attaque a eu lieu et c'est lui, le 43e président des États-Unis, qui a lancé les opérations militaires contre le régime des talibans en Afghanistan puis en Irak, contre Saddam Hussein. C'est aussi lui qui a pris des mesures de sécurité et de surveillance très strictes aux États-Unis. Sujet sur lequel il est revenu lors de son intervention en Pennsylvanie, là où un des avions détourné par les terroristes s'est écrasé avant d'atteindre sa cible.

En tant que nation, nous avons dû profondément nous adapter : beaucoup d'Américains ont eu du mal à comprendre comment un ennemi pouvait nous haïr à ce point ; les mesures de sécurité qui ont été mises en place dans nos vies sont à la fois des sources de confort, mais aussi des rappels de notre vulnérabilité. Et nous avons eu des preuves de plus en plus évidentes que les dangers qui menacent notre pays peuvent non seulement venir de l'extérieur de nos frontières, mais aussi de violences qui s'accumulent sur notre sol. Il y a peu de points communs entre la violence extrémiste de l'étranger et la violence extrémiste ici. Mais dans leur mépris de la vie humaine, dans leur dédain du pluralisme, dans leur détermination à souiller les symboles nationaux, ils sont les enfants du même esprit impur, et c'est toujours notre devoir d'y faire face.

LB : L'ancien président américain George W. Bush qui a par ailleurs déploré lors de son discours la désunion politique de son pays vingt ans après les attaques jihadistes. « Dans les semaines et les mois qui ont suivi les attentats du 11-Septembre, j'étais fier de diriger un peuple impressionnant, résilient et uni » a-t-il déclaré à Shanksville, en Pennsylvanie, avant d'ajouter « Si on parle de l'unité de l'Amérique, ces temps semblent lointains ». ZK : L'actualité de ce samedi dans le monde c'est aussi l'arrestation de 4 détenus palestiniens par la police israélienne.

LB : Des détenus qui s'étaient évadé 5 jours plus tôt de leur pénitencier, en Galilée. Deux autres prisonniers sont toujours en cavale. À Jérusalem, les précisions de Michel Paul.

À l'heure actuelle donc quatre des six fugitifs de la prison de haute sécurité de Gilboa ont été interpellés par les forces de sécurité israéliennes. Parmi eux Zakaria Zubeidi, l'ancien chef des brigades des martyrs d'el Aqsa à Jenine , une figure emblématique de la lutte palestinienne. Ce dernier a été capturé en compagnie d'un compagnon d'évasion dans un parking du mont Thabor. Quelques heures plus tôt deux autres fugitifs avaient retrouvés dans la ville de Nazareth aux abords du mont du précipice. Selon la police les 4 hommes n'ont pas opposé de résistance au moment de leur arrestation. Et ils étaient affamés après 5 jours de cavale. La chasse à l'homme se poursuit pour retrouver les deux fugitifs toujours manquant. Selon une source policière citée par les médias ici il s'avère selon les premiers résultats de l'enquête que les prisonniers évadés n'ont pas reçu d'aide extérieure et n'avait pas de plan d'évasion bien déterminé. Immédiatement après la première arrestation une roquette a été tirée à partir de la bande de Gaza. Elle a été intercepté et l'aviation israélienne a visé la nuit dernière plusieurs cibles dans l'enclave palestinienne.

ZK : En bref, en Espagne, les indépendantistes catalans dans les rues, à Barcelone.

LB : Quelques jours avant la reprise de négociations avec le pouvoir central de Madrid, des manifestations sur fond de division du mouvement, 4 ans après l'échec de la tentative de sécession de 2017, et qui interviennent à l'occasion de la DIADA. Fête catalane devenue depuis 10 ans le rendez-vous des mobilisations indépendantistes.

ZK : Des manifestations également en Autriche mais à Vienne, c'est contre les restrictions sanitaires que l'on se rassemblait.

LB : Des milliers de personnes ont de nouveau battu le pavé pour dénoncer les mesures imposées par le gouvernement autrichien face à la pandémie de Covid-19 et réclamer la démission du chancelier conservateur Sebastian Kurz, qui faisait cette semaine planer la menace de nouvelles restrictions. L'Autriche a été parmi les premiers pays européens à instaurer un système de pass sanitaire.

ZK : Le pass sanitaire, justement qui mobilise une nouvelle fois en France. LB : En l'occurrence, les anti pass qui défilaient pour le 9e samedi de suite dans toute la France. Une nouvelle manifestation alors que doit rentrer en vigueur l'obligation vaccinale pour les professions de santé, ce sera à partir de mercredi prochain. Plus de 120 000 personnes étaient descendues dans les rues, selon les chiffres du Ministère de l'Intérieur. C'est moins que la semaine précédente.

ZK : Et l'on revient, pour refermer ce journal sur le bras de fer qui oppose deux géants du numérique : Apple et Epic Games.

LB : Le feuilleton a démarré l'année dernière suivi d'un procès ouvert en mai dernier et d'une décision de la justice californienne, ce vendredi. Décision qui donne raison à l'éditeur du jeu vidéo Fortnite mais qui blanchi Apple des accusations de monopole. Et ce feuilleton judiciaire n'est peut-être pas terminé : malgré sa « victoire », Epic Games veut faire appel de la décision. Stanislas Ndayishimiye.

Dans cette bataille entre Apple et Epic Games, il n'y a finalement pas de vainqueur sur toute la procédure. L'éditeur du jeu vidéo Fortnite reste donc déterminé à forcer le géant des technologies à faciliter la concurrence sur son magasin d'applications App Store, qui rapporte plus de 500 milliards de dollars par an. Apple affirme ne toucher qu'une petite part de cette somme colossale, alors que cette entreprise prélève une commission de 30% sur les transactions via les applications de l'App Store. Certains développeurs bénéficient d'un taux réduit de 15%, notamment ceux qui ont des revenus annuels inférieurs à 1 million de dollars. Mais d'autres sociétés, comme Spotify et Netflix, n'offrent pas la possibilité de souscrire à leurs services depuis l'App Store et évitent ainsi la commission. Apple a donc été blanchi des accusations de monopole, avec injonction au fabricant de l'iPhone de ne plus empêcher les éditeurs de communiquer directement avec leurs clients. Mais Epic Games compte faire appel, car selon l'éditeur de Fortnite, Apple pourra continuer d'imposer son système de paiement pour les achats réalisés directement dans son application.

ZK : Un mot de sports avec du football. Monaco-Marseille s'affrontent en ce moment pour le compte de la 5e journée de Ligue 1. LB : Avant cela, Le PSG n'a pas fait de détail face à Clermont au Parc des Princes. Le score: 4-0

Journal en français facile 11/09/2021 20h00 GMT

22h à Paris, 2h de moins en temps universel. Loïc Bussières : Bonsoir et bienvenue dans votre Journal en français facile. Journal que je vous présente en compagnie de Zéphyrin Kouadio. Bonsoir Zéphyrin. Zéphyrin Kouadio : Bonsoir Loïc, bonsoir à toutes et à tous. LB : À la une : les commémorations des attentats du 11 septembre aux États-Unis. C'était il y a 20 ans jour pour jour. Des terroristes détournaient plusieurs avions qui allaient notamment s'écraser sur les tours du World Trade Center précipitant la guerre en Afghanistan. On y revient en tout début de journal. ZK : Nous reviendrons également sur l'arrestation, la nuit dernière, de quatre des six Palestiniens qui s'étaient enfuis d'une prison israélienne. Leur évasion spectaculaire avait fait d'eux des « héros » aux yeux de leurs concitoyens. LB : Et puis la victoire judiciaire d'Epic Games, l'éditeur du jeu vidéo Fortnite contre Apple. La marque à la pomme accusée de monopole sur son magasin en ligne. Stanislas Ndayishimiye vous explique tout dans un instant.

------   ZK : On se rend tout d'abord aux États-Unis en ce 11 septembre qui marquait le 20e anniversaire des attentats d'al-Qaïda. Des attaques qui allaient entrainer l'intervention militaire américaine en Afghanistan. LB : 20 ans après, l'heure était au souvenir. Des cérémonies ont rendu hommage aux 3 000 morts des attaques jihadistes qui auront marqué l'Histoire de ce début de siècle. À Washington, où le Pentagone avait été ciblé, et bien évidemment à New York, là où se trouvaient les Tours du World Trade Center et où l'on retrouve notre envoyée spéciale Marie Normand.

La cérémonie s'est achevée à l'issue d'une longue lecture des noms des près de 3000 victimes des attentats. C'était le fil rouge émouvant de cette cérémonie assez protocolaire. Les familles tiennent à ce rituel, ce sont elles qui se relaient à la tribune, parfois en larmes, pour lire ces noms, avec toujours un message particulier pour un père ou une sœur perdue ce 11 septembre. Devant ce mémorial qui marque l'empreinte laissée par les tours jumelles détruites, la cérémonie a été marquée par des intermèdes musicaux, notamment de Bruce Springsteen à la guitare acoustique, marqué aussi par 6 minutes de silence pour rappeler l'heure du crash des 4 avions détournés puis l'effondrement des tours. Le père d'une hôtesse de l'air disparue il y a 20 ans a lancé un appel à l'unité ce qui fait écho au message vidéo diffusé hier par Joe Biden, le président qui assistait aux cérémonies ce matin mais qui n'a pas pris la parole. L'accès au mémorial était uniquement réservé aux familles aujourd'hui. Mais tout autour du cordon de sécurité, de nombreux passants, certains avec des drapeaux américains, d'autres des roses ont pris quelques minutes pour se recueillir notamment quand toutes les cloches de New York ont sonné à l'heure où le premier avion a frappé la tour nord du World Trade Center.

LB : Lors de ces cérémonies de commémoration des vingt ans de l'attentat du 11 septembre 2001, l'ancien président George W.Bush a pris la parole. C'est lui qui dirigeait le pays quand l'attaque a eu lieu et c'est lui, le 43e président des États-Unis, qui a lancé les opérations militaires contre le régime des talibans en Afghanistan puis en Irak, contre Saddam Hussein. C'est aussi lui qui a pris des mesures de sécurité et de surveillance très strictes aux États-Unis. Sujet sur lequel il est revenu lors de son intervention en Pennsylvanie, là où un des avions détourné par les terroristes s'est écrasé avant d'atteindre sa cible.

En tant que nation, nous avons dû profondément nous adapter : beaucoup d'Américains ont eu du mal à comprendre comment un ennemi pouvait nous haïr à ce point ; les mesures de sécurité qui ont été mises en place dans nos vies sont à la fois des sources de confort, mais aussi des rappels de notre vulnérabilité. Et nous avons eu des preuves de plus en plus évidentes que les dangers qui menacent notre pays peuvent non seulement venir de l'extérieur de nos frontières, mais aussi de violences qui s'accumulent sur notre sol. Il y a peu de points communs entre la violence extrémiste de l'étranger et la violence extrémiste ici. Mais dans leur mépris de la vie humaine, dans leur dédain du pluralisme, dans leur détermination à souiller les symboles nationaux, ils sont les enfants du même esprit impur, et c'est toujours notre devoir d'y faire face.

LB : L'ancien président américain George W. Bush qui a par ailleurs déploré lors de son discours la désunion politique de son pays vingt ans après les attaques jihadistes. « Dans les semaines et les mois qui ont suivi les attentats du 11-Septembre, j'étais fier de diriger un peuple impressionnant, résilient et uni » a-t-il déclaré à Shanksville, en Pennsylvanie, avant d'ajouter « Si on parle de l'unité de l'Amérique, ces temps semblent lointains ». ZK : L'actualité de ce samedi dans le monde c'est aussi l'arrestation de 4 détenus palestiniens par la police israélienne.

LB : Des détenus qui s'étaient évadé 5 jours plus tôt de leur pénitencier, en Galilée. Deux autres prisonniers sont toujours en cavale. À Jérusalem, les précisions de Michel Paul.

À l'heure actuelle donc quatre des six fugitifs de la prison de haute sécurité de Gilboa ont été interpellés par les forces de sécurité israéliennes. Parmi eux Zakaria Zubeidi, l'ancien chef des brigades des martyrs d'el Aqsa à Jenine , une figure emblématique de la lutte palestinienne. Ce dernier a été capturé en compagnie d'un compagnon d'évasion dans un parking du mont Thabor. Quelques heures plus tôt deux autres fugitifs avaient retrouvés dans la ville de Nazareth aux abords du mont du précipice. Selon la police les 4 hommes n'ont pas opposé de résistance au moment de leur arrestation. Et ils étaient affamés après 5 jours de cavale. La chasse à l'homme se poursuit pour retrouver les deux fugitifs toujours manquant. Selon une source policière citée par les médias ici il s'avère selon les premiers résultats de l'enquête que les prisonniers évadés n'ont pas reçu d'aide extérieure et n'avait pas de plan d'évasion bien déterminé. Immédiatement après la première arrestation une roquette a été tirée à partir de la bande de Gaza. Elle a été intercepté et l'aviation israélienne a visé la nuit dernière plusieurs cibles dans l'enclave palestinienne.

ZK : En bref, en Espagne, les indépendantistes catalans dans les rues, à Barcelone.

LB : Quelques jours avant la reprise de négociations avec le pouvoir central de Madrid, des manifestations sur fond de division du mouvement, 4 ans après l'échec de la tentative de sécession de 2017, et qui interviennent à l'occasion de la DIADA. Fête catalane devenue depuis 10 ans le rendez-vous des mobilisations indépendantistes.

ZK : Des manifestations également en Autriche mais à Vienne, c'est contre les restrictions sanitaires que l'on se rassemblait.

LB : Des milliers de personnes ont de nouveau battu le pavé pour dénoncer les mesures imposées par le gouvernement autrichien face à la pandémie de Covid-19 et réclamer la démission du chancelier conservateur Sebastian Kurz, qui faisait cette semaine planer la menace de nouvelles restrictions. LB: Thousands of people have once again taken to the streets to denounce the measures imposed by the Austrian government in the face of the Covid-19 pandemic and to demand the resignation of Conservative Chancellor Sebastian Kurz, who this week raised the threat of new restrictions. L'Autriche a été parmi les premiers pays européens à instaurer un système de pass sanitaire.

ZK : Le pass sanitaire, justement qui mobilise une nouvelle fois en France. LB : En l'occurrence, les anti pass qui défilaient pour le 9e samedi de suite dans toute la France. Une nouvelle manifestation alors que doit rentrer en vigueur l'obligation vaccinale pour les professions de santé, ce sera à partir de mercredi prochain. Plus de 120 000 personnes étaient descendues dans les rues, selon les chiffres du Ministère de l'Intérieur. C'est moins que la semaine précédente.

ZK : Et l'on revient, pour refermer ce journal sur le bras de fer qui oppose deux géants du numérique : Apple et Epic Games.

LB : Le feuilleton a démarré l'année dernière suivi d'un procès ouvert en mai dernier et d'une décision de la justice californienne, ce vendredi. Décision qui donne raison à l'éditeur du jeu vidéo Fortnite mais qui blanchi Apple des accusations de monopole. Et ce feuilleton judiciaire n'est peut-être pas terminé : malgré sa « victoire », Epic Games veut faire appel de la décision. Stanislas Ndayishimiye.

Dans cette bataille entre Apple et Epic Games, il n'y a finalement pas de vainqueur sur toute la procédure. L'éditeur du jeu vidéo Fortnite reste donc déterminé à forcer le géant des technologies à faciliter la concurrence sur son magasin d'applications App Store, qui rapporte plus de 500 milliards de dollars par an. Apple affirme ne toucher qu'une petite part de cette somme colossale, alors que cette entreprise prélève une commission de 30% sur les transactions via les applications de l'App Store. Certains développeurs bénéficient d'un taux réduit de 15%, notamment ceux qui ont des revenus annuels inférieurs à 1 million de dollars. Mais d'autres sociétés, comme Spotify et Netflix, n'offrent pas la possibilité de souscrire à leurs services depuis l'App Store et évitent ainsi la commission. Apple a donc été blanchi des accusations de monopole, avec injonction au fabricant de l'iPhone de ne plus empêcher les éditeurs de communiquer directement avec leurs clients. Apple was therefore cleared of monopoly charges, with an injunction to the iPhone manufacturer to no longer prevent publishers from communicating directly with their customers. Mais Epic Games compte faire appel, car selon l'éditeur de Fortnite, Apple pourra continuer d'imposer son système de paiement pour les achats réalisés directement dans son application.

ZK : Un mot de sports avec du football. Monaco-Marseille s'affrontent en ce moment pour le compte de la 5e journée de Ligue 1. LB : Avant cela, Le PSG n'a pas fait de détail face à Clermont au Parc des Princes. Le score: 4-0