×

Używamy ciasteczek, aby ulepszyć LingQ. Odwiedzając stronę wyrażasz zgodę na nasze polityka Cookie.


image

Kaamelot, #149-Le Sort de Rage

#149-Le Sort de Rage

Au château, Guethenoc discute des futures plantations avec Arthur et Lancelot. Il ne sait pas s'il va planter de l'orge et des endives ou seulement des endives. Arthur s'en moque, mais Guethenoc insiste. Lancelot lui indique donc de ne mettre que des endives. Avant de partir, le paysan souhaite bon courage pour la bataille du lendemain, en espérant que les hommes seront "bien vaillants". Mais Arthur n'est pas d'humeur. Il envoie paître le pauvre Guethenoc en lui disant d'aller s'occuper de ses endives plutôt que dire n'importe quoi. Générique Sur un champ de bataille. Arthur, Lancelot, Léodagan, Kay le sonneur, et d'autres soldats sont en retrait en train de regarder la bataille. Arthur est en colère car il trouve ses soldats mous. Lancelot lui indique qu'ils n'ont pourtant pas beaucoup mangé, mais Arthur se pose tout de même des questions. Léodagan pense qu'ils mangent trop de fruits des bois car justement, les repas ne sont pas assez copieux. Mais il n'est pas plus inquiet que d'habitude : de toutes façons ils perdront la bataille. Le Roi s'insurge, ils ne sont pas forts aujourd'hui car ils sont seulement ballonnés. Mais Léodagan insiste : ils sont tout le temps nuls, ballonnés ou pas. * Merlin les a rejoint. Il ne comprend pas bien pourquoi il est là. Lancelot lui demande de tenter quelque chose, mais il ne comprend toujours pas qu'il est là pour faire de la magie. Léodagan lui demande de faire quelque chose pour les rendre moins mou, et Merlin, contre toute attente déclare qu'il peut faire un sort de rage. Les chevaliers sont surpris, et Merlin explique que ce sort peut les "mettre en rogne" pour une dizaine de minutes. Ils acceptent alors, mais Merlin leur explique qu'il faut isoler les soldats d'un côté sinon ils vont tous être enragés, même les ennemis. Lancelot fait sonner l'appel, et fait des codes avec des drapeaux pour leur donner l'ordre de se regrouper. Mais les soldats ne comprennent pas, ce qui agace particulièrement Léodagan. Arthur demande alors à Merlin de jeter le sort quand même. Lancelot est révolté : les ennemis vont être aussi enragé ! Arthur s'en moque, car les ennemis étant déjà enragés, il pense que cela remettra les leurs à niveaux. Léodagan pense que ce n'est pas une bonne idée, et Merlin prévient que le sort de rage n'est pas un sort "de fillette", car il a déjà vu des hommes s'arracher leur propre bras... Mais Arthur ordonne à l'enchanteur d'exécuter son sort. Ce dernier lance alors une énorme boule de feu. * Les chevaliers ne sont pas du tout satisfaits du sort, car cela ne marche pas. Merlin crie qu'il faut attendre que cela fasse effet. Et justement, sur le champ de bataille, ça se remue. Léodagan et Lancelot commencent à sourire car pour une fois ils voient leurs soldats à l'action. Arthur est content également, il ne les avait jamais vu si féroces. D'ailleurs, les ennemis aussi sont bien survoltés. Mais d'un seul coup, les sourires s'effacent sur les visages. Tous les soldats arrivent sur eux... Merlin propose calmement de s'en aller, et ils partent tous en courant. Générique Au château, Guethenoc discute de la sur-production des endives devant Lancelot et Arthur. Les deux chevaliers sont blessés au visage. Le paysan insiste sur le fait que les endives sont bonnes, alors Lancelot propose d'encourager le peuple à manger des endives. Avant de partir, Guethenoc a une question : il ne sait pas très bien si la bataille de la veille a été gagnée ou non. Lancelot répond que cela dépend, car les soldats eux, ont gagnés. En voix off, Arthur dit que eux, par contre, se sont largement fait battre.

Arthur et Lancelot reçoivent le paysan Guethenoc.

Guethenoc : Bon alors soit j'pars sur huit dix arcs d'endives et le reste en orge, ou alors j'arrache l'orge et j'fais tout endive. Arthur (l'air fatigué) : Je sais pas quoi vous dire moi, faites c'que vous voulez. Guethenoc : Tout endive après... faut aimer l'endive quoi. Lancelot : Bon ben partons pour tout endive, merci d'votre visite Guethenoc. Guethenoc : Bonne chance pour la bataille de d'main Sire, j'espère qu'vos hommes seront bien vaillants ! Arthur : Mes hommes bien vaillants ? Pfff allez vous occuper d'vos endives va, ça vous évitera de dire des conneries. GENERIQUE

Le lendemain, sur le lieu de la bataille. Arthur, Lancelot, Léodagan et quelques hommes dominent le combat.

Arthur : Ah mais qu'est-ce qui sont mous aujourd'hui c'est pas vrai qu'est-ce qu'ils ont bouffés ? Lancelot : C'était pourtant frugal Sire, des galettes de maïs avec de la viande séchée... Arthur : Frugal ? Non mais regardez-moi ça ils s'trainent ! Léodagan : C'que vous savez pas c'est qu'à force de faire frugal et de crever d'faim, dès qu'ils tombent sur des mûres ou des fraises des bois ils s'en font sauter l'bide. Alors après bah ils sont balonnés évidemment.

Arthur : Mais là il faut faire quelque chose regardez-moi ça c'est pas possible ! Lancelot : C'est sûr que s'ils s'mettent pas un coup d'fouet... Léodagan : Oh moi j'vois pas d'quoi faire du souci hein. Arthur : De quoi vous pensez qu'on peut encore gagner ? Léodagan : Ah bah non tout de suite... non, moi j'veux dire que j'vois pas de quoi s'faire plus de souci qu'd'habitude... on va s'en prendre une quoi. Arthur : Mais enfin vous v'nez d'me dire qu'ils sont ballonnés parce qu'ils ont mangé des fraises ! Léodagan : Ah mais aujourd'hui c'est des fraises demain ça s'ra autre chose ! Ballonnés ou pas ils sont zéro de toute façon.... alors c'est pas la peine de s'en prendre aux fraises. *

Plus tard...

Merlin les a rejoints.

Merlin : J'vois pas c'que vous leur trouvez d'spécial moi à vos gars. Arthur : Ils sont mous !

Merlin : Bah, ça a rien d'spécial ! Arthur : Ah attention hein, j'vous d'mande pas des commentaires ! Lancelot : Est-ce que vous pouvez tenter quelque chose ?

Merlin : Vous m'faites rire vous, quel genre de choses ? Léodagan : Quelque chose pour les rendre moins mous !

Merlin : Un sort de rage à la limite...

Léodagan : Un sort de quoi ?

Merlin : Un sort de rage. J'balance ça là-dedans et ça les fout en rage pour une dizaine de minutes. Lancelot : C'est p'tet pas mal ça... Merlin : Le problème c'est qui faudrait isoler nos gars dans un coin l'temps du sort sinon j'vais enrager les ennemis avec et ça servira à rien. Lancelot : Sire ?

Le Roi soupire.

Lancelot (à Kay le sonneur) : Bon appelle.

Kay souffle dans la corne.

Lancelot : Drapeaux en V retournés.

Léodagan : Oui bah ils s'isolent pas là... Lancelot : Bah ils ont pas compris.

Arthur : Alors quoi qu'est-ce qui foutent ! Lancelot : Drapeaux en V retournés c'est bien le signal de regroupement non ? Kay : Ben oui mais ils ont pas l'habitude, le seul signal qu'ils connaissent bien c'est la retraite. Arthur : Bon allez ça fait rien balancez votre sort !

Lancelot : Mais Sire ! Les ennemis vont s'enrager aussi ! Arthur : Ils sont déjà enragés les ennemis ça mettra les notres au niveau !

Léodagan : Moi j'ai peur qu'on fasse une connerie hein... Merlin : Attention, le sort de rage c'est pas un sort d'fillette hein, moi j'en ai vu qui s'bouffaient leur propre bras tellement ils étaient énervés. Arthur : Eh ben ça fait rien, balancez votre truc et puis qu'ils s'bouffent entre eux tiens, les nôtres les leurs comme ça au moins il s'passera quelque chose ! Allez !

Ils s'écartent pour laisser Merlin faire une grosse boule de feu. *

Plus tard...

Arthur : Vous les trouvez toujours mous du genoux ou c'est moi qui fait une fixette ? Lancelot : Sans être totalement mous...

Léodagan : Ce s'rait un peu se foutre du monde de dire qu'ils sont enragés... Kay : A la limite ils ont un p'tit côté vexé qu'ils avaient pas tout à l'heure... Arthur : Ah super, vous m'les avez fait bouder! Bravo la victoire est proche !

Merlin : Attendez deux s'condes que ça fasse effet ! Kay : Ah mais ça va mieux là non ?

Lancelot : Ca s'remue on dirait ! Léodagan : Ah oui oui oui ils chopent les boules là clairement !

Merlin : C'est parti ! Arthur (rit) : Ah la vache ! Eh j'les ai jamais vu si féroces ! Kay : Et les autres sont bien remontés aussi !

Lancelot : Oulah, oulala...

Tous les sourires s'effacent. Lancelot : Ils viennent vers nous là...

Arthur : Lesquels ?

Léodagan : Bah tous...

Merlin : Okay il faut s'tirer. Arthur : Ouais, allez retraite (s'en vont) retraite allez retraite !! Allez foutez moi l'camp bon dieu ! GENERIQUE

Guethenoc est de nouveau au château devant Arthur et Lancelot qui sont couverts de blessures.

Guethenoc : Bon c'est vrai qu'y a un p'tit surplus d'production, j'vais pas vous mentir, c'est bon les endives vous les faites revenir avec une p'tite tranchette de lard... Lancelot : Bon c'est bon Guethenoc on encouragera à manger des endives. Pouvez disposer.

Guethenoc : Ah j'voulais vous d'mander Sire, y a un bruit qui court au village, on arrive pas à savoir si vous avez gagné la bataille ou si vous l'avez perdu. Lancelot : Ben ça dépend qui, nos soldats oui ils l'ont gagné. Arthur Voix Off : Nous par contre on s'est fait défoncer nos mouilles.


#149-Le Sort de Rage #149-Le Sort de Rage

Au château, Guethenoc discute des futures plantations avec Arthur et Lancelot. Il ne sait pas s'il va planter de l'orge et des endives ou seulement des endives. Arthur s'en moque, mais Guethenoc insiste. Lancelot lui indique donc de ne mettre que des endives. Avant de partir, le paysan souhaite bon courage pour la bataille du lendemain, en espérant que les hommes seront "bien vaillants". Mais Arthur n'est pas d'humeur. Il envoie paître le pauvre Guethenoc en lui disant d'aller s'occuper de ses endives plutôt que dire n'importe quoi. Générique Sur un champ de bataille. Arthur, Lancelot, Léodagan, Kay le sonneur, et d'autres soldats sont en retrait en train de regarder la bataille. Arthur est en colère car il trouve ses soldats mous. Lancelot lui indique qu'ils n'ont pourtant pas beaucoup mangé, mais Arthur se pose tout de même des questions. Léodagan pense qu'ils mangent trop de fruits des bois car justement, les repas ne sont pas assez copieux. Mais il n'est pas plus inquiet que d'habitude : de toutes façons ils perdront la bataille. Le Roi s'insurge, ils ne sont pas forts aujourd'hui car ils sont seulement ballonnés. Mais Léodagan insiste : ils sont tout le temps nuls, ballonnés ou pas. *** Merlin les a rejoint. Il ne comprend pas bien pourquoi il est là. Lancelot lui demande de tenter quelque chose, mais il ne comprend toujours pas qu'il est là pour faire de la magie. Léodagan lui demande de faire quelque chose pour les rendre moins mou, et Merlin, contre toute attente déclare qu'il peut faire un sort de rage. Les chevaliers sont surpris, et Merlin explique que ce sort peut les "mettre en rogne" pour une dizaine de minutes. Ils acceptent alors, mais Merlin leur explique qu'il faut isoler les soldats d'un côté sinon ils vont tous être enragés, même les ennemis. Lancelot fait sonner l'appel, et fait des codes avec des drapeaux pour leur donner l'ordre de se regrouper. Mais les soldats ne comprennent pas, ce qui agace particulièrement Léodagan. Arthur demande alors à Merlin de jeter le sort quand même. Lancelot est révolté : les ennemis vont être aussi enragé ! Arthur s'en moque, car les ennemis étant déjà enragés, il pense que cela remettra les leurs à niveaux. Léodagan pense que ce n'est pas une bonne idée, et Merlin prévient que le sort de rage n'est pas un sort "de fillette", car il a déjà vu des hommes s'arracher leur propre bras... Mais Arthur ordonne à l'enchanteur d'exécuter son sort. Ce dernier lance alors une énorme boule de feu. *** Les chevaliers ne sont pas du tout satisfaits du sort, car cela ne marche pas. Merlin crie qu'il faut attendre que cela fasse effet. Et justement, sur le champ de bataille, ça se remue. Léodagan et Lancelot commencent à sourire car pour une fois ils voient leurs soldats à l'action. Arthur est content également, il ne les avait jamais vu si féroces. D'ailleurs, les ennemis aussi sont bien survoltés. Mais d'un seul coup, les sourires s'effacent sur les visages. Tous les soldats arrivent sur eux... Merlin propose calmement de s'en aller, et ils partent tous en courant. Générique Au château, Guethenoc discute de la sur-production des endives devant Lancelot et Arthur. Les deux chevaliers sont blessés au visage. Le paysan insiste sur le fait que les endives sont bonnes, alors Lancelot propose d'encourager le peuple à manger des endives. Avant de partir, Guethenoc a une question : il ne sait pas très bien si la bataille de la veille a été gagnée ou non. Lancelot répond que cela dépend, car les soldats eux, ont gagnés. En voix off, Arthur dit que eux, par contre, se sont largement fait battre.

Arthur et Lancelot reçoivent le paysan Guethenoc.

Guethenoc : Bon alors soit j'pars sur huit dix arcs d'endives et le reste en orge, ou alors j'arrache l'orge et j'fais tout endive. Arthur (l'air fatigué) : Je sais pas quoi vous dire moi, faites c'que vous voulez. Guethenoc : Tout endive après... faut aimer l'endive quoi. Lancelot : Bon ben partons pour tout endive, merci d'votre visite Guethenoc. Guethenoc : Bonne chance pour la bataille de d'main Sire, j'espère qu'vos hommes seront bien vaillants ! Arthur : Mes hommes bien vaillants ? Pfff allez vous occuper d'vos endives va, ça vous évitera de dire des conneries. GENERIQUE

Le lendemain, sur le lieu de la bataille. Arthur, Lancelot, Léodagan et quelques hommes dominent le combat.

Arthur : Ah mais qu'est-ce qui sont mous aujourd'hui c'est pas vrai qu'est-ce qu'ils ont bouffés ? Lancelot : C'était pourtant frugal Sire, des galettes de maïs avec de la viande séchée... Arthur : Frugal ? Non mais regardez-moi ça ils s'trainent ! Léodagan : C'que vous savez pas c'est qu'à force de faire frugal et de crever d'faim, dès qu'ils tombent sur des mûres ou des fraises des bois ils s'en font sauter l'bide. Alors après bah ils sont balonnés évidemment.

Arthur : Mais là il faut faire quelque chose regardez-moi ça c'est pas possible ! Lancelot : C'est sûr que s'ils s'mettent pas un coup d'fouet... Léodagan : Oh moi j'vois pas d'quoi faire du souci hein. Arthur : De quoi vous pensez qu'on peut encore gagner ? Léodagan : Ah bah non tout de suite... non, moi j'veux dire que j'vois pas de quoi s'faire plus de souci qu'd'habitude... on va s'en prendre une quoi. Arthur : Mais enfin vous v'nez d'me dire qu'ils sont ballonnés parce qu'ils ont mangé des fraises ! Léodagan : Ah mais aujourd'hui c'est des fraises demain ça s'ra autre chose ! Ballonnés ou pas ils sont zéro de toute façon.... alors c'est pas la peine de s'en prendre aux fraises. ***

Plus tard...

Merlin les a rejoints.

Merlin : J'vois pas c'que vous leur trouvez d'spécial moi à vos gars. Arthur : Ils sont mous !

Merlin : Bah, ça a rien d'spécial ! Arthur : Ah attention hein, j'vous d'mande pas des commentaires ! Lancelot : Est-ce que vous pouvez tenter quelque chose ?

Merlin : Vous m'faites rire vous, quel genre de choses ? Léodagan : Quelque chose pour les rendre moins mous !

Merlin : Un sort de rage à la limite...

Léodagan : Un sort de quoi ?

Merlin : Un sort de rage. J'balance ça là-dedans et ça les fout en rage pour une dizaine de minutes. Lancelot : C'est p'tet pas mal ça... Merlin : Le problème c'est qui faudrait isoler nos gars dans un coin l'temps du sort sinon j'vais enrager les ennemis avec et ça servira à rien. Lancelot : Sire ?

Le Roi soupire.

Lancelot (à Kay le sonneur) : Bon appelle.

Kay souffle dans la corne.

Lancelot : Drapeaux en V retournés.

Léodagan : Oui bah ils s'isolent pas là... Lancelot : Bah ils ont pas compris.

Arthur : Alors quoi qu'est-ce qui foutent ! Lancelot : Drapeaux en V retournés c'est bien le signal de regroupement non ? Kay : Ben oui mais ils ont pas l'habitude, le seul signal qu'ils connaissent bien c'est la retraite. Arthur : Bon allez ça fait rien balancez votre sort !

Lancelot : Mais Sire ! Les ennemis vont s'enrager aussi ! Arthur : Ils sont déjà enragés les ennemis ça mettra les notres au niveau !

Léodagan : Moi j'ai peur qu'on fasse une connerie hein... Merlin : Attention, le sort de rage c'est pas un sort d'fillette hein, moi j'en ai vu qui s'bouffaient leur propre bras tellement ils étaient énervés. Arthur : Eh ben ça fait rien, balancez votre truc et puis qu'ils s'bouffent entre eux tiens, les nôtres les leurs comme ça au moins il s'passera quelque chose ! Allez !

Ils s'écartent pour laisser Merlin faire une grosse boule de feu. ***

Plus tard...

Arthur : Vous les trouvez toujours mous du genoux ou c'est moi qui fait une fixette ? Lancelot : Sans être totalement mous...

Léodagan : Ce s'rait un peu se foutre du monde de dire qu'ils sont enragés... Kay : A la limite ils ont un p'tit côté vexé qu'ils avaient pas tout à l'heure... Arthur : Ah super, vous m'les avez fait bouder! Bravo la victoire est proche !

Merlin : Attendez deux s'condes que ça fasse effet ! Kay : Ah mais ça va mieux là non ?

Lancelot : Ca s'remue on dirait ! Léodagan : Ah oui oui oui ils chopent les boules là clairement !

Merlin : C'est parti ! Arthur (rit) : Ah la vache ! Eh j'les ai jamais vu si féroces ! Kay : Et les autres sont bien remontés aussi !

Lancelot : Oulah, oulala...

Tous les sourires s'effacent. Lancelot : Ils viennent vers nous là...

Arthur : Lesquels ?

Léodagan : Bah tous...

Merlin : Okay il faut s'tirer. Arthur : Ouais, allez retraite (s'en vont) retraite allez retraite !! Allez foutez moi l'camp bon dieu ! GENERIQUE

Guethenoc est de nouveau au château devant Arthur et Lancelot qui sont couverts de blessures.

Guethenoc : Bon c'est vrai qu'y a un p'tit surplus d'production, j'vais pas vous mentir, c'est bon les endives vous les faites revenir avec une p'tite tranchette de lard... Lancelot : Bon c'est bon Guethenoc on encouragera à manger des endives. Pouvez disposer.

Guethenoc : Ah j'voulais vous d'mander Sire, y a un bruit qui court au village, on arrive pas à savoir si vous avez gagné la bataille ou si vous l'avez perdu. Lancelot : Ben ça dépend qui, nos soldats oui ils l'ont gagné. Arthur Voix Off : Nous par contre on s'est fait défoncer nos mouilles.