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Kaamelot, #173-Le Billet Doux

#173-Le Billet Doux

Guenièvre est dans ses appartements avec Angharad, sa suivante. La Reine insiste sur le fait qu'elle parlera au Roi demain, mais Angharad n'ose pas, elle a peur qu'Arthur l'envoie promener. Guenièvre lui répond qu'il va sûrement le faire mais qu'elle ne s'inquiète pas : elle aussi il l'envoie promener. Générique Au petit matin, Angharad apporte le petit déjeuner au lit au Roi et à la Reine, mais Arthur n'aime pas déjeuner dans sa chambre. La suivante approuve car cela lui fait une surcharge de travail. Angharad reste, Arthur se demande bien pourquoi. Guenièvre lui explique qu'elle souhaiterait lui parler, mais elle le prévient d'être gentil. * Arthur est au lit et déjeune. Angharad est assise à côté de lui sur le rebord du lit. Elle essaie de plaider sa cause, en expliquant à Arthur qu'elle ne voit aucun homme au château. Arthur s'en moque, mais Angharad insiste. Elle lui explique qu'il connaît les choses de l'amour sincère, et que l'on ne peut les réprimer. Arthur se sent de plus en plus mal à l'aise et a peur de ce qu'elle va lui annoncer. Angharad continue son discours en affirmant que son coeur est accroché à une personne importante. Le Roi est de plus en plus pâle, jusqu'à ce que la suivante lui dise que l'homme qu'elle aime est Perceval. Arthur est tellement soulagé qu'il crie de joie. Angharad le sollicite pour l'aider car elle a tenté de lui en parler directement mais Perceval ne comprend rien... * Arthur va voir Perceval à la porte de sa chambre. Ce dernier propose au Roi de rentrer mais Arthur refuse. Il va tenter de lui expliquer qu'Angharad l'apprécie, mais comme d'habitude, Perceval ne comprend pas vraiment. Le chevalier se pose la question s'il s'agit de lui et de la suivante, mais Arthur ne lui laisse pas le choix : il s'agit d'Angharad et des choses de l'amour. Tout n'est pas clair pour Perceval qui fait une drôle de tête. Générique A la taverne, Perceval et Karadoc sont en train de consommer une boisson. Perceval demande à son ami s'il connaît quelque chose aux choses de l'amour. Mais Karadoc lui répond qu'il est nul. Perceval l'informe que le matin quelqu'un est venu lui parler d'amour, mais qu'il n'a rien compris. Karadoc philosophe en estimant que c'est comme pour tout, on l'a ou ne l'a pas. En voix off, Karadoc ajoute que lui, par exemple, ne l'a pas. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

PROLOGUE - INT. DANS UNE SALLE DU CHÂTEAU

Guenièvre se fait coiffer les cheveux par sa suivante.

GUENIÈVRE : Je vous dis qu'il n'y a pas de problème, vous parlerez au roi demain matin. ANGHARAD : J'ose pas ! GUENIÈVRE : Mais si il ne va pas vous manger.

ANGHARAD : Mais j'ai peur qu'il m'envoie promener. GUENIÈVRE : Ah ! Par contre il va vous envoyer promener, c'est sûr. Mais vous savez moi aussi quand je lui parle il m'envoie promener. GENERIQUE DEBUT

ACTE I - INT. DANS LA CHAMBRE ROYALE

Le matin. Arthur et Guenièvre sont dans leur chambre, Angharad entre avec un plateau.

ARTHUR : Oh non bah j'avais oublié ça. GUENIÈVRE : Il faut toujours que vous râliez hein !

ARTHUR : Mais j'aime pas cette manie que vous avez prise de faire monter la bouffe au plumard. ANGHARAD : Si je peux me permettre j'en suis pas dingue non plus. Madame n'a pas idée de la surcharge de travail. GUENIÈVRE : A Rome ça se fait beaucoup.

ANGHARAD : Mais à Rome les maisons sont à plat. Les collègues ne sont pas obligées de se coltiner six étages avec le plateau.

GUENIÈVRE : Oh ! bah vous êtes d'une humeur massacrante tous les deux. ARTHUR : Non pi on fout des miettes dans le lit ça gratte.

La servante le regarde.

ARTHUR : Bon bah c'est bon cassez-vous. ANGHARAD : Si je peux me permettre de rappeler à madame ce que m'a promis madame hier. GUENIÈVRE : Ah oui ! (à Arthur) La petite voudrait vous parler.

ARTHUR : A moi ? GUENIÈVRE : A vous alors vous êtes gentil hein ? Vous l'écoutez et puis vous essayez de vous montrer compréhensif. Moi je vais prendre mon bain.

Guenièvre sort de la chambre.

*

ACTE II - INT. DANS LA CHAMBRE ROYALE

ANGHARAD : Monsieur sera témoin que je ne suis pas du genre à avoir des histoires avec les hommes qui résident au château.

ARTHUR : C'est à dire ? ANGHARAD : Oh, c'est à dire que je connais pas mal de filles dans le métier qui arrondissent la solde en faisant des heures supplémentaires si vous voyez ce que je veux dire. ARTHUR : C'est possible, oui. Et vous non ?

ANGHARAD : Enfin certainement pas !

ARTHUR : Très bien...Qu'est-ce que vous voulez que ça me foute ? ANGHARAD : Monsieur... Monsieur n'est pas sans connaitre les choses de l'amour. ARTHUR : Les choses de l'amour ? Comment vous voulez dire ?

ANGHARAD : Et bien lorsqu'une femme s'éprend d'un homme euh... avec sincérité j'entends, c'est une chose qu'il lui est difficile de réprimer. ARTHUR : Oui.

ANGHARAD : Et lorsque les sentiments sont profonds alors l'amour est une chose que l'on peut se déclarer franchement, sans avoir à rougir. Hein ?

ARTHUR : Si si si si ouais non, je vous écoute !

ANGHARAD : Seulement la personne à lequel mon cœur s'accroche est une personne...importante. ARTHUR : Importante ?

ANGHARAD : Très importante, une personne de premier plan même, si vous voyez ce que je veux dire. Oser avouer à monsieur de qui il s'agit alors ça... ARTHUR : Bah ça dépend de qui il s'agit. ANGHARAD :....le seigneur Perceval.

ARTHUR : AH !! Ah bon ah mais vous m'avez flanqué les jetons ! ANGHARAD : Oh je sollicite de votre bonté sire de bien vouloir entretenir le seigneur Perceval de la flamme qui m'anime. ARTHUR : A moi ? pourquoi moi ?

ANGHARAD : Parce que moi je n'y arrive pas. ARTHUR : Vous n'osez pas ? ANGHARAD : Si si si mais euh... Il comprend rien.

*

ACTE III - INT. DANS UN COULOIR DU CHÂTEAU

Tôt le matin. Arthur réveille Perceval pour lui parler.

PERCEVAL : Ah ! sire, si j'avais su que vous passiez j'aurais passé un coup de biquette. ARTHUR : Non mais c'est pas grave. Je peux vous parler une minute ?

PERCEVAL : Bien sûr. Entrez.

ARTHUR : Non, non ça va.

PERCEVAL : Bah rentrez !

ARTHUR : Non je vous dis non, déjà parce que vous êtes euh... Voilà et puis parce que là dedans ça hum bref euh... Est-ce que vous connaissez un petit peu les choses de l'amour ? PERCEVAL : Les choses de l'amour ? ARTHUR : Oui.

PERCEVAL : Bah tout dépend.

ARTHUR : D'accord euh... Parce que là il s'agit d'Angharad (la servante) PERCEVAL : Quoi Angharad?

ARTHUR : Angharad euh ...les choses de l'amour. Vous comprenez ?

PERCEVAL: Vous et Angharad?

ARTHUR : Non VOUS et Angharad!

PERCEVAL : Ah euh non.

ARTHUR : Mais ne dites pas non je ne vous pose pas la question. C'est un fait je vous le dis, voilà ! Vous Angharad... les choses de l'amour. PERCEVAL : Ah bon.

ARTHUR : Tout est clair.

PERCEVAL : J'irais pas jusque là mais... ARTHUR : Voilà donc je suis désolé de vous avoir réveillé. A plus tard.

GENERIQUE FIN

ÉPILOGUE - INT. À LA TAVERNE

A la taverne, Perceval parle avec Karadoc.

PERCEVAL : Vous y connaissez quelque chose vous aux choses de l'amour ? KARADOC : Ah non je suis une vraie bille.

PERCEVAL : Moi pareil. Voyez on est venu me parler d'amour ce matin ...j'ai rien pigé. KARADOC : Savez je pense que c'est comme pour tout... On l'a ou on l'a pas. KARADOC (Voix Off) : Moi par exemple je l'ai pas. FIN

merci à katerine1 pour ce script

Rédigé par Benji45 pour Kaamelott Hypnoséries


#173-Le Billet Doux

Guenièvre est dans ses appartements avec Angharad, sa suivante. La Reine insiste sur le fait qu'elle parlera au Roi demain, mais Angharad n'ose pas, elle a peur qu'Arthur l'envoie promener. Guenièvre lui répond qu'il va sûrement le faire mais qu'elle ne s'inquiète pas : elle aussi il l'envoie promener. Générique Au petit matin, Angharad apporte le petit déjeuner au lit au Roi et à la Reine, mais Arthur n'aime pas déjeuner dans sa chambre. La suivante approuve car cela lui fait une surcharge de travail. Angharad reste, Arthur se demande bien pourquoi. Guenièvre lui explique qu'elle souhaiterait lui parler, mais elle le prévient d'être gentil. *** Arthur est au lit et déjeune. Angharad est assise à côté de lui sur le rebord du lit. Elle essaie de plaider sa cause, en expliquant à Arthur qu'elle ne voit aucun homme au château. Arthur s'en moque, mais Angharad insiste. Elle lui explique qu'il connaît les choses de l'amour sincère, et que l'on ne peut les réprimer. Arthur se sent de plus en plus mal à l'aise et a peur de ce qu'elle va lui annoncer. Angharad continue son discours en affirmant que son coeur est accroché à une personne importante. Le Roi est de plus en plus pâle, jusqu'à ce que la suivante lui dise que l'homme qu'elle aime est Perceval. Arthur est tellement soulagé qu'il crie de joie. Angharad le sollicite pour l'aider car elle a tenté de lui en parler directement mais Perceval ne comprend rien... *** Arthur va voir Perceval à la porte de sa chambre. Ce dernier propose au Roi de rentrer mais Arthur refuse. Il va tenter de lui expliquer qu'Angharad l'apprécie, mais comme d'habitude, Perceval ne comprend pas vraiment. Le chevalier se pose la question s'il s'agit de lui et de la suivante, mais Arthur ne lui laisse pas le choix : il s'agit d'Angharad et des choses de l'amour. Tout n'est pas clair pour Perceval qui fait une drôle de tête. Générique A la taverne, Perceval et Karadoc sont en train de consommer une boisson. Perceval demande à son ami s'il connaît quelque chose aux choses de l'amour. Mais Karadoc lui répond qu'il est nul. Perceval l'informe que le matin quelqu'un est venu lui parler d'amour, mais qu'il n'a rien compris. Karadoc philosophe en estimant que c'est comme pour tout, on l'a ou ne l'a pas. En voix off, Karadoc ajoute que lui, par exemple, ne l'a pas. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

PROLOGUE - INT. DANS UNE SALLE DU CHÂTEAU

Guenièvre se fait coiffer les cheveux par sa suivante.

GUENIÈVRE : Je vous dis qu'il n'y a pas de problème, vous parlerez au roi demain matin. ANGHARAD : J'ose pas ! GUENIÈVRE : Mais si il ne va pas vous manger.

ANGHARAD : Mais j'ai peur qu'il m'envoie promener. GUENIÈVRE : Ah ! Par contre il va vous envoyer promener, c'est sûr. Mais vous savez moi aussi quand je lui parle il m'envoie promener. GENERIQUE DEBUT

ACTE I - INT. DANS LA CHAMBRE ROYALE

Le matin. Arthur et Guenièvre sont dans leur chambre, Angharad entre avec un plateau.

ARTHUR : Oh non bah j'avais oublié ça. GUENIÈVRE : Il faut toujours que vous râliez hein !

ARTHUR : Mais j'aime pas cette manie que vous avez prise de faire monter la bouffe au plumard. ANGHARAD : Si je peux me permettre j'en suis pas dingue non plus. Madame n'a pas idée de la surcharge de travail. GUENIÈVRE : A Rome ça se fait beaucoup.

ANGHARAD : Mais à Rome les maisons sont à plat. Les collègues ne sont pas obligées de se coltiner six étages avec le plateau.

GUENIÈVRE : Oh ! bah vous êtes d'une humeur massacrante tous les deux. ARTHUR : Non pi on fout des miettes dans le lit ça gratte.

La servante le regarde.

ARTHUR : Bon bah c'est bon cassez-vous. ANGHARAD : Si je peux me permettre de rappeler à madame ce que m'a promis madame hier. GUENIÈVRE : Ah oui ! (à Arthur) La petite voudrait vous parler.

ARTHUR : A moi ? GUENIÈVRE : A vous alors vous êtes gentil hein ? Vous l'écoutez et puis vous essayez de vous montrer compréhensif. Moi je vais prendre mon bain.

Guenièvre sort de la chambre.

***

ACTE II - INT. DANS LA CHAMBRE ROYALE

ANGHARAD : Monsieur sera témoin que je ne suis pas du genre à avoir des histoires avec les hommes qui résident au château.

ARTHUR : C'est à dire ? ANGHARAD : Oh, c'est à dire que je connais pas mal de filles dans le métier qui arrondissent la solde en faisant des heures supplémentaires si vous voyez ce que je veux dire. ARTHUR : C'est possible, oui. Et vous non ?

ANGHARAD : Enfin certainement pas !

ARTHUR : Très bien...Qu'est-ce que vous voulez que ça me foute ? ANGHARAD : Monsieur... Monsieur n'est pas sans connaitre les choses de l'amour. ARTHUR : Les choses de l'amour ? Comment vous voulez dire ?

ANGHARAD : Et bien lorsqu'une femme s'éprend d'un homme euh... avec sincérité j'entends, c'est une chose qu'il lui est difficile de réprimer. ARTHUR : Oui.

ANGHARAD : Et lorsque les sentiments sont profonds alors l'amour est une chose que l'on peut se déclarer franchement, sans avoir à rougir. Hein ?

ARTHUR : Si si si si ouais non, je vous écoute !

ANGHARAD : Seulement la personne à lequel mon cœur s'accroche est une personne...importante. ARTHUR : Importante ?

ANGHARAD : Très importante,  une personne de premier plan même, si vous voyez ce que je veux dire. Oser avouer à monsieur de qui il s'agit alors ça... ARTHUR : Bah ça dépend de qui il s'agit. ANGHARAD :....le seigneur Perceval.

ARTHUR : AH !! Ah bon ah mais vous m'avez flanqué les jetons ! ANGHARAD : Oh je sollicite de votre bonté sire de bien vouloir entretenir le seigneur Perceval de la flamme qui m'anime. ARTHUR : A moi ? pourquoi moi ?

ANGHARAD : Parce que moi je n'y arrive pas. ARTHUR : Vous n'osez pas ? ANGHARAD : Si si si mais euh... Il comprend rien.

***

ACTE III - INT. DANS UN COULOIR DU CHÂTEAU

Tôt le matin. Arthur réveille Perceval pour lui parler.

PERCEVAL : Ah ! sire, si j'avais su que vous passiez j'aurais passé un coup de biquette. ARTHUR : Non mais c'est pas grave. Je peux vous parler une minute ?

PERCEVAL : Bien sûr. Entrez.

ARTHUR : Non, non ça va.

PERCEVAL : Bah rentrez !

ARTHUR : Non je vous dis non, déjà parce que vous êtes euh... Voilà et puis parce que là dedans ça hum bref euh... Est-ce que vous connaissez un petit peu les choses de l'amour ? PERCEVAL : Les choses de l'amour ? ARTHUR : Oui.

PERCEVAL : Bah tout dépend.

ARTHUR : D'accord euh... Parce que là il s'agit d'Angharad (la servante) PERCEVAL : Quoi Angharad?

ARTHUR : Angharad euh ...les choses de l'amour. Vous comprenez ?

PERCEVAL: Vous et Angharad?

ARTHUR : Non VOUS et Angharad!

PERCEVAL : Ah euh non.

ARTHUR : Mais ne dites pas non je ne vous pose pas la question. C'est un fait je vous le dis, voilà ! Vous Angharad... les choses de l'amour. PERCEVAL : Ah bon.

ARTHUR : Tout est clair.

PERCEVAL : J'irais pas jusque là mais... ARTHUR : Voilà donc je suis désolé de vous avoir réveillé. A plus tard.

GENERIQUE FIN

ÉPILOGUE - INT. À LA TAVERNE

A la taverne, Perceval parle avec Karadoc.

PERCEVAL : Vous y connaissez quelque chose vous aux choses de l'amour ? KARADOC : Ah non je suis une vraie bille.

PERCEVAL : Moi pareil. Voyez on est venu me parler d'amour ce matin ...j'ai rien pigé. KARADOC : Savez je pense que c'est comme pour tout... On l'a ou on l'a pas. KARADOC (Voix Off) : Moi par exemple je l'ai pas. FIN

merci à katerine1  pour ce script

Rédigé par Benji45 pour Kaamelott Hypnoséries