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Kaamelot, #160-Le Prodige du Fakir

Père Blaise et Arthur sont à la Table Ronde. Père Blaise apprend au Roi que c'est son neveu et son beau-frère qui viennent faire leur rapport. Mais Arthur pense qu'il n'a pas de beau-frère. Le prêtre insiste et lui explique qu'il s'agît du frère de sa femme. Après réflexion, Arthur sursaute : il n'arrive pas à intégrer qu'Yvain puisse être son beau-frère. Générique Yvain et Gauvain ont rejoint le Roi et Père Blaise. Ils expliquent leurs aventures. En effet, des hindous sont venus à leur rencontre : "trois féroces guerriers et un sorcier maléfique". Arthur est septique, il se demande comment les deux jeunes chevaliers ont pu savoir qu'ils étaient hindous. Père Blaise les questionne pour savoir s'ils avaient de éléphants. Yvain et Gauvain sont catégoriques, ils n'avaient pas d'éléphants mais des chevaux énormes avec la queue plantée au milieu de la tête. Gauvain continue son histoire en expliquant que le sorcier les a menacé avec ses parties génitales. Père Blaise et Arthur en restent bouche bée. *** Yvain et Gauvain tentent de décrire le sorcier. Il était tout nu dans la neige, extrèmement maigre et des clous plantés dans la langue. Père Blaise comprend tout de suite qu'il s'agît d'un fakir. Arthur commence a être agacé. Il les envoie en mission de repérage dans le nord de la Gaule et ils trouvent le moyen de tomber sur un fakir ! Mais Yvain et Gauvain continuent en disant qu'ils ne pouvaient pas fuir, car ils étaient trop effrayés par toutes ces horreurs. De plus, le sorcier a sortie un bâton qu'il a enroulé autour de son pénis... et il a soulevé des poids avec. Arthur se demande bien ce que voulait le fakir aux jeunes chevaliers. Yvain et Gauvain admettent qu'ils n'ont pas compris ce qu'il voulait vraiment, mais qu'il avait l'air très en colère. *** Le récit continue. Après avoir soulevé des poids, le fakir s'est transpercé la jambe avec un clou. Il y avait du sang partout, et les deux chevaliers pensent que ce n'était pas prévu car il hurlait en regardant les autres hindous. Père Blaise voudrait en finir et demande quand le combat a commencé. mais il n'y a jamais eut de combat, à part le moment où ils ont cru qu'ils allaient les attaquer avec une corbeille. Par eux-mêmes ils comprennent qu'ils demandaient juste de l'argent. Père Blaise et Arthur, quant à eux, sont dépités. Générique Père Blaise et Arthur sont à nouveau seuls. Le prêtre essaie de trouver une solution pour transcrire le récit d'Yvain et Gauvain, mais il n'y arrive pas. Arthur tente de l'aider, en lui donnant l'idée de parler du côté exotique. Mais Père Blaise s'insurge : il ne va tout de même pas faire une légende avec un vieux qui enroule son pénis autour d'un bâton ! Et de toutes façons il ne sait pas comment cela se dit en latin. En voix off, Arthur demande si c'est pénis qu'il ne sait pas dire en latin, mais Père Blaise répond que c'est "fakir" le mot qu'il ne sait pas. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et le Père Blaise sont assis autour de la table et attendent.

Arthur: Qui vient faire son rapport là?

Père Blaise: Votre neveu et votre beau-frère.

Arthur: J'ai pas de beau-frère. Père Blaise: Ben si, le frère de votre femme.

Arthur(réfléchit): Le frère de ma femme. Oh putain oui le frère de ma femme!

Père Blaise: Voilà, votre beau-frère.

Arthur: Oui, ch'ais bien, mais j'arrive pas à l'intégrer lui. Générique

Yvain et Gauvain ont rejoint Arthur et Père Blaise.

Gauvain: Et à ce moment-là, une horde d'Hindous est sortie de derrière les habitations et s'est mise en travers de notre chemin. Arthur: Une horde d'Hindous ? Gauvain: Oui mon oncle. 3 féroces guerriers et un sorcier maléfique.

Arthur: Ouais! Alors déjà quand on tombe sur 4 kikis, on ne dit pas une horde.

Gauvain: Ah bon, on dit quoi?

Arthur: On dit quatre.

Père Blaise: Des Hindous ! Mais qu'est-ce qui foutaient là ceux-là? Arthur: Si, si c'est possible. Avec la route de la soie, y'en a 1,2,3 qui se pointent. Non mais c'est pas ça! Comment vous savez que c'étaient des Hindous ? Père Blaise: Est-ce qu'ils avaient des éléphants? Yvain: Non, non. Mais les chevaux étaient tous chelous, des trucs énormes, tous gris avec la queue plantée au milieu de la tête.

Arthur: Ouais.

Père Blaise: Des éléphants oui.

Arthur: Du coup, ca peux être des Hindous.

Gauvain: Et à ce moment-là, le sorcier s'est mis à nous menacer, avec ses parties génitales. ***

Plus tard.

Yvain: Il avait une touffe de cheveux comme ça. Un vieux moisi, tout sec à poil dans la neige.

Gauvain: Des clous de 3 pouces plantés dans la langue mon oncle.

Père Blaise: C'est un fakir ça! Arthur: T'endez. Je vous envoie en mission de repérage pour le Graal dans l'nord de la Gaule et vous trouvez le moyen de tomber sur un fakir vous? Gauvain: Oui. On étais bloqué: les guerriers nous empêchaient de fuir.

Yvain: Et là, le sorcier a sorti son bâton.

Père Blaise: Son bâton de sorcier hein.

Yvain: Non non, un bâton comme ça. Mais c'est flippant quand même, s'il vous le lance dans les yeux. Gauvain: Il criait, il nous insultait en indou. C'était, c'était terrifiant! Arthur: Comment vous saviez qu'il vous insultait? Depuis quand vous parler indou vous?

Gauvain: Oui enfin... il avait l'air très en colère. Yvain: Et après, il a enroulé sa quik autour du baton.

Père Blaise: Quoi?

Gauvain: Mais oui, c'est la stricte vérité mon oncle. Yvain: Il enroulait, il déroulait, il enroulait,il déroulait.

Gauvain: Afin de l'assouplir peut-être. Arthur: Mais qu'est-ce que vous nous chantez? Gauvain: Et puis ça a duré … cinq bonnes minutes au moins.

Yvain: Nous on savait pas bien où se mettre.

Gauvain: Et après il a soulevé des poids avec.

Arthur: Comment ça il a soulevé des poids ?

Gauvain: De toutes sortes. Il a commencé petit et puis de plus en plus lourd.

Père Blaise: Mais avec quoi il les soulevait les poids ?

Yvain: Avec sa couille!

Gauvain: il avait attaché les poids à des petites cordelettes et puis il les soulevait.

Arthur: Attendez, attendez ! Qu'est-ce qu'il vous voulait à vous ? Yvain: C'est ça qu'on n'a pas bien compris. Gauvain: Non parce que ça a duré une bonne demi-heure.

Yvain: Et puis le voir tripoter ça comme ça, je vous raconte pas la gerbe !

***

Plus tard...

Gauvain: Là il a arrêté de soulever des poids, et après il s'est enfoncé un clou énorme dans la cuisse! Père Blaise: Oui ça c'est normal chez les fakirs ça. Ils prennent des épées, ils se transpercent de part en part et ça ne saigne même pas !

Yvain: Là ça saignait là ! ça pissait le sang même !

Gauvain: D'ailleurs à voir la réaction des autres, je pense qu'il a dû y avoir un problème. Yvain: Il tenait un chiffon sur sa jambe et il arrêtait pas de gueuler après tout le monde en même temps.

Père Blaise: Heu bon et puis heu … les combats ont commencé quand alors ?

Yvain: En fait, y a pas vraiment eu de combats.

Gauvain: A un moment on a quand même vraiment cru qu'ils allaient nous attaquer avec une corbeille ! Yvain: C'est un des autres qui s'est ramené vers nous avec une petite panière en osier. Gauvain: En y repensant, je me demande s'ils ne sollicitaient pas de notre part une participation pécuniaire. Yvain: C'est ce que je me suis dit à un moment ouais, comme le montreur d'ours quand il passe avec le chapeau. Gauvain: Ouais. Si j'avais su j'aurai donné quand même. Yvain: En tout cas c'était bien flippant. Générique

Arthur et le père Blaise sont tous les deux

Père Blaise: Moi à la limite, ce que je peux mettre, c'est qu'ils ont rencontré des hindous… ouais non même pas ! Arthur: Peut-être si vous forcez sur le côté exotique, mystère, machin…

Père Blaise: Non non non je suis désolé hein. Moi je ne peux pas faire une légende avec un vieux qui enroule sa bite sur un bâton.

Arthur: Bon ben tant pis laissez tomber !

Père Blaise: De toute façon je ne sais même pas comment ça se dit en latin!

Arthur: Quoi bite ?

Père Blaise: Non fakir.

Rédigé par Patitoun pour HypnoseriesKaamelott


Père Blaise et Arthur sont à la Table Ronde. Père Blaise apprend au Roi que c'est son neveu et son beau-frère qui viennent faire leur rapport. Mais Arthur pense qu'il n'a pas de beau-frère. Le prêtre insiste et lui explique qu'il s'agît du frère de sa femme. Après réflexion, Arthur sursaute : il n'arrive pas à intégrer qu'Yvain puisse être son beau-frère. Générique Yvain et Gauvain ont rejoint le Roi et Père Blaise. Ils expliquent leurs aventures. En effet, des hindous sont venus à leur rencontre : "trois féroces guerriers et un sorcier maléfique". Arthur est septique, il se demande comment les deux jeunes chevaliers ont pu savoir qu'ils étaient hindous. Père Blaise les questionne pour savoir s'ils avaient de éléphants. Yvain et Gauvain sont catégoriques, ils n'avaient pas d'éléphants mais des chevaux énormes avec la queue plantée au milieu de la tête. Gauvain continue son histoire en expliquant que le sorcier les a menacé avec ses parties génitales. Père Blaise et Arthur en restent bouche bée. *** Yvain et Gauvain tentent de décrire le sorcier. Il était tout nu dans la neige, extrèmement maigre et des clous plantés dans la langue. Père Blaise comprend tout de suite qu'il s'agît d'un fakir. Arthur commence a être agacé. Il les envoie en mission de repérage dans le nord de la Gaule et ils trouvent le moyen de tomber sur un fakir ! Mais Yvain et Gauvain continuent en disant qu'ils ne pouvaient pas fuir, car ils étaient trop effrayés par toutes ces horreurs. De plus, le sorcier a sortie un bâton qu'il a enroulé autour de son pénis... et il a soulevé des poids avec. Arthur se demande bien ce que voulait le fakir aux jeunes chevaliers. Yvain et Gauvain admettent qu'ils n'ont pas compris ce qu'il voulait vraiment, mais qu'il avait l'air très en colère. *** Le récit continue. Après avoir soulevé des poids, le fakir s'est transpercé la jambe avec un clou. Il y avait du sang partout, et les deux chevaliers pensent que ce n'était pas prévu car il hurlait en regardant les autres hindous. Père Blaise voudrait en finir et demande quand le combat a commencé. mais il n'y a jamais eut de combat, à part le moment où ils ont cru qu'ils allaient les attaquer avec une corbeille. Par eux-mêmes ils comprennent qu'ils demandaient juste de l'argent. Père Blaise et Arthur, quant à eux, sont dépités. Générique Père Blaise et Arthur sont à nouveau seuls. Le prêtre essaie de trouver une solution pour transcrire le récit d'Yvain et Gauvain, mais il n'y arrive pas. Arthur tente de l'aider, en lui donnant l'idée de parler du côté exotique. Mais Père Blaise s'insurge : il ne va tout de même pas faire une légende avec un vieux qui enroule son pénis autour d'un bâton ! Et de toutes façons il ne sait pas comment cela se dit en latin. En voix off, Arthur demande si c'est pénis qu'il ne sait pas dire en latin, mais Père Blaise répond que c'est "fakir" le mot qu'il ne sait pas. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et le Père Blaise sont assis autour de la table et attendent.

Arthur: Qui vient faire son rapport là?

Père Blaise: Votre neveu et votre beau-frère.

Arthur: J'ai pas de beau-frère.

Père Blaise: Ben si, le frère de votre femme.

Arthur(réfléchit): Le frère de ma femme. Oh putain oui le frère de ma femme!

Père Blaise: Voilà, votre beau-frère.

Arthur: Oui, ch'ais bien, mais j'arrive pas à l'intégrer lui.

Générique

Yvain et Gauvain ont rejoint Arthur et Père Blaise.

Gauvain: Et à ce moment-là, une horde d'Hindous est sortie de derrière les habitations et s'est mise en travers de notre chemin.

Arthur: Une horde d'Hindous ?

Gauvain: Oui mon oncle. 3 féroces guerriers et un sorcier maléfique.

Arthur: Ouais! Alors déjà quand on tombe sur 4 kikis, on ne dit pas une horde.

Gauvain: Ah bon, on dit quoi?

Arthur: On dit quatre.

Père Blaise: Des Hindous ! Mais qu'est-ce qui foutaient là ceux-là?

Arthur: Si, si c'est possible. Avec la route de la soie, y'en a 1,2,3 qui se pointent. Non mais c'est pas ça! Comment vous savez que c'étaient des Hindous ?

Père Blaise: Est-ce qu'ils avaient des éléphants?

Yvain: Non, non. Mais les chevaux étaient tous chelous, des trucs énormes, tous gris avec la queue plantée au milieu de la tête.

Arthur: Ouais.

Père Blaise: Des éléphants oui.

Arthur: Du coup, ca peux être des Hindous.

Gauvain: Et à ce moment-là, le sorcier s'est mis à nous menacer, avec ses parties génitales.

***

Plus tard.

Yvain: Il avait une touffe de cheveux comme ça. Un vieux moisi, tout sec à poil dans la neige.

Gauvain: Des clous de 3 pouces plantés dans la langue mon oncle.

Père Blaise: C'est un fakir ça!

Arthur: T'endez. Je vous envoie en mission de repérage pour le Graal dans l'nord de la Gaule et vous trouvez le moyen de tomber sur un fakir vous?

Gauvain: Oui. On étais bloqué: les guerriers nous empêchaient de fuir.

Yvain: Et là, le sorcier a sorti son bâton.

Père Blaise: Son bâton de sorcier hein.

Yvain: Non non, un bâton comme ça. Mais c'est flippant quand même, s'il vous le lance dans les yeux.

Gauvain: Il criait, il nous insultait en indou. C'était, c'était terrifiant!

Arthur: Comment vous saviez qu'il vous insultait? Depuis quand vous parler indou vous?

Gauvain: Oui enfin... il avait l'air très en colère.

Yvain: Et après, il a enroulé sa quik autour du baton.

Père Blaise: Quoi?

Gauvain: Mais oui, c'est la stricte vérité mon oncle.

Yvain: Il enroulait, il déroulait, il enroulait,il déroulait.

Gauvain: Afin de l'assouplir peut-être.

Arthur: Mais qu'est-ce que vous nous chantez?

Gauvain: Et puis ça a duré … cinq bonnes minutes au moins.

Yvain: Nous on savait pas bien où se mettre.

Gauvain: Et après il a soulevé des poids avec.

Arthur: Comment ça il a soulevé des poids ?

Gauvain: De toutes sortes. Il a commencé petit et puis de plus en plus lourd.

Père Blaise: Mais avec quoi il les soulevait les poids ?

Yvain: Avec sa couille!

Gauvain: il avait attaché les poids à des petites cordelettes et puis il les soulevait.

Arthur: Attendez, attendez ! Qu'est-ce qu'il vous voulait à vous ?

Yvain: C'est ça qu'on n'a pas bien compris.

Gauvain: Non parce que ça a duré une bonne demi-heure.

Yvain: Et puis le voir tripoter ça comme ça, je vous raconte pas la gerbe !

***

Plus tard...

Gauvain: Là il a arrêté de soulever des poids, et après il s'est enfoncé un clou énorme dans la cuisse!

Père Blaise: Oui ça c'est normal chez les fakirs ça. Ils prennent des épées, ils se transpercent de part en part et ça ne saigne même pas !

Yvain: Là ça saignait là ! ça pissait le sang même !

Gauvain: D'ailleurs à voir la réaction des autres, je pense qu'il a dû y avoir un problème.

Yvain: Il tenait un chiffon sur sa jambe et il arrêtait pas de gueuler après tout le monde en même temps.

Père Blaise: Heu bon et puis heu … les combats ont commencé quand alors ?

Yvain: En fait, y a pas vraiment eu de combats.

Gauvain: A un moment on a quand même vraiment cru qu'ils allaient nous attaquer avec une corbeille !

Yvain: C'est un des autres qui s'est ramené vers nous avec une petite panière en osier.

Gauvain: En y repensant, je me demande s'ils ne sollicitaient pas de notre part une participation pécuniaire.

Yvain: C'est ce que je me suis dit à un moment ouais, comme le montreur d'ours quand il passe avec le chapeau.

Gauvain: Ouais. Si j'avais su j'aurai donné quand même.

Yvain: En tout cas c'était bien flippant.

Générique

Arthur et le père Blaise sont tous les deux

Père Blaise: Moi à la limite, ce que je peux mettre, c'est qu'ils ont rencontré des hindous… ouais non même pas !

Arthur: Peut-être si vous forcez sur le côté exotique, mystère, machin…

Père Blaise: Non non non je suis désolé hein. Moi je ne peux pas faire une légende avec un vieux qui enroule sa bite sur un bâton.

Arthur: Bon ben tant pis laissez tomber !

Père Blaise: De toute façon je ne sais même pas comment ça se dit en latin!

Arthur: Quoi bite ?

Père Blaise: Non fakir.

Rédigé par Patitoun pour HypnoseriesKaamelott