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Kaamelot, #147-Létal

#147-Létal

#1.47 – Letal Arthur et Guenièvre sont dans leur lit. Arthur a décidé que les exécutions deviendraient privées, avec la seule présence de Léodagan, Lancelot, Père Blaise. Guenièvre n'est pas d'accord, elle estime qu'Arthur perd une occasion de se montrer à son peuple, de plus elle avait choisi sa toilette et était toute heureuse de cette sortie en perspective. ----------- Générique ----------- Plus tard, Séli et Guenièvre sont à table. Séli lui demande de rajuster sa coiffure pour la pendaison. Guenièvre lui apprend qu'elle n'ira pas et Séli se demande ce que vont penser les gens si la reine n'assiste pas à la pendaison. Guenièvre se moque de ce que diront les gens, puisque de toute façon, il n'y aura ni le roi, ni elle, ni Séli, ni personne, le roi ayant décidé que les pendaisons n'étaient plus ouvertes au public. En colère, Séli remarque que depuis plus de 500 ans les pendaisons sont publiques et Arthur, toujours plus malin que les autres, change les habitudes. S'il n'a pas envie d'y aller, qu'il n'empêche pas au moins les autres de s'amuser. Autour de la Table Ronde, l'ordre du jour est bien sûr la pendaison. Léodagan fait ressortir la notion de spectacle alors qu'Arthur n'aime pas la présence d'un public aux exécutions, par ailleurs qu'il n'apprécie guère. Léodagan est certain que le roi n'aime pas les exécutions car ils sont le dernier pays à pratiquer les pendaisons. Lancelot remarque qu'il s'agit de justice et ce qui compte c'est le résultat. Les pendaisons sont sobres et solennelles, pour lui c'est parfait. Léodagan explique que le supplice de la roue est plus festif, on commence à casser les bras et les jambes du condamné et tout le monde peut venir avec son petit bâton pour participer. Léodagan trouve que dans ces conditions, l'exécution est conviviale, ce qui n'est pas l'avis d'Arthur et Lancelot. Léodagan pense qu'une pendaison n'effraie plus personne, alors qu'en revanche, l'écartèlement est plus spectaculaire. Lancelot se montre enthousiaste pour ce type d'exécution mais le roi n'est pas d'accord. Lancelot démontre le suspens, avant de savoir si les bras ou les jambes vont craquer en premier. Léodagan se demande ce qui pourrait bien plaire à Arthur dans ces conditions. Arthur leur demande d'imaginer s'ils devenaient le seul pays au monde à ne plus condamner à mort. Lancelot étonné reste sans voix tandis que Léodagan s'excuse, il doit prendre une diligence et n'a pas trop le temps de discuter de conneries. Plus tard, Léodagan propose à Arthur d'aller tous les deux faire une petite virée en Gaule pour voir ce qui se pratique à côté et piocher des idées. Arthur n'aime ni les exécutions ni voyager, alors si c'est pour assister à des exécutions, très peu pour lui. Léodagan le trouve borné, s'ils veulent rester le pays le plus puissant du monde, ils se doivent d'avoir des exécutions spectaculaires. Arthur décide de décréter que l'île de Bretagne est la première nation où la peine de mort n'existe plus. Devant le désarroi de Léodagan, Arthur s'excuse et explique qu'il ne va évidemment pas le faire, c'est seulement l'idée qu'il aime bien. Léodagan propose alors d'attacher le condamné et le balancer sur le nid de frelons, ce qu'il trouve propre et sain. Arthur le fixe, médusé. ----------- Générique ----------- Le soir, dans leur lit, Guenièvre demande à Arthur ce qu'il a décidé. A contre cœur, Arthur a du garder la peine de mort, soi-disant que les gens ne sont pas prêts. Pourtant ça aurait eu de la classe et surtout c'est l'avenir. Il est certain que dans 5 ou 10 ans, il n'y aura plus que les barbares qui conserveront la peine de mort. Rédigé par Mamynicky pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit.

Guenièvre : Je sais qu'vous aimez pas ça mais c'est qu'un mauvais moment à passer... et puis le peuple vous verra un peu au moins. Arthur : Y a plus d'peuple aux exécutions. C'est fini ça, maintenant c'est privé. Léodagan, Lancelot, père Blaise.

Guenièvre : Oh ben non... j'avais choisi ma toilette tout, j'me faisais une joie d'sortir ! GENERIQUE

Guenièvre déjeune avec sa mère dans la salle à manger.

Séli : Vous f'rez rajuster votre coiffure quand même pour tout à l'heure ! Guenièvre : Pourquoi qu'est-ce qu'y a tout à l'heure ? Séli : Ben la pendaison ! Vous allez pas y aller comme ça on dirait qu'vous vous êtes coiffée toute seule ! Guenièvre : Mère je me suis coiffée toute seule !

Séli : Eh ben voilà, du coup vous ferez rajuster votre coiffure.

Guenièvre : T'façon j'y vais pas à la pendaison. Séli : Quoi ? Guenièvre : Non j'y vais pas. Séli : Vous êtes pas bien ? Si la Reine va pas aux pendaisons qu'est-ce que vont dire les gens ? Guenièvre : Les gens diront c'qui voudront, d'autant qu'y aura pas le Roi non plus ni vous ni moi ni personne. Séli : Mais qu'est-ce qui vous prend ça va pas bien ! Guenièvre : Le Roi a décidé qu'les pendaisons n'étaient plus ouvertes au public ! Séli : Ah non mais pour qui y s'prend celui là ! Ca fait 500 ans qu'on fait comme ça et lui toujours plus malin qu'tout l'monde il change ! Guenièvre : C'est l'Roi c'est lui qui décide hein. Séli : Oh non mais c'est dingue cette histoire...Mais s'il a pas envie d'aller aux pendaisons il fait c'qui veut mais qu'il empêche pas les autres de s'amuser ! *

Plus tard...

Dans la salle de la Table Ronde.

Léodagan : Moi j'ai l'impression que c'qui vous échappe, c'est la notion de spectacle. Arthur : J'vais vous dire, j'ai jamais aimé qu'il y ait du public aux exécutions. Toute façon j'aime pas ça les exécutions. Lancelot : Ah bon ?

Léodagan : Mais pourquoi qu'est-ce qui vous gêne ? Arthur : J'sais pas. J'aime pas ça, j'saurais pas vous dire pourquoi... Léodagan : Oh mais moi j'vais vous l'dire, ça vous plait pas parce qu'on doit être le dernier pays à pratiquer la pendaison ! Voilà ! Et à une pendaison j'm'excuse hein mais on s'emmerde. Lancelot : C'est la justice, c'qui compte c'est le résultat... Arthur : Bah il m'semble oui... Léodagan : Mais la justice me faites pas marrer, ça dure des plombes le type remue à peine les doigts d'pieds à quoi ça r'ssemble j'vous l'demande ! Arthur : Bah ça r'ssemble à une pendaison à quoi voulez vous qu'ça r'ssemble on va pas faire venir les danseuses et les montreurs d'ours. Lancelot : La pendaison c'est sobre et solennel, moi j'trouve ça parfait. Léodagan : Prenez la roue, par exemple, ça c'est festif. Le condamné est attaché et on commence par lui casser les bras et les jambes, bon ben tout l'monde peut venir avec son p'tit bâton, les gens participent, c'est convivial ! Lancelot : Non c'est atroce. Léodagan : Mais pas du tout !

Arthur : Oh si ça craint, non ça craint écoutez on passe quand même pour être un pays moderne...

Léodagan : Un pays bourré d'délinquance, les types ont pas assez peur ! Ca impressionne qui la pendaison aujourd'hui hein, mais personne ! Tandis que vous prenez par exemple l'écartèlement... Lancelot : Ah voilà ! Ca oui, ça c'est super ! Arthur : Ah non alors ça justement ça ça craint !

Lancelot : Oui mais y a du suspens, les gens se d'mandent si c'est les bras ou les jambes qui vont lâcher en premier. Léodagan : Eh bah oui et puis ça a un peu d'gueule au moins ! Alors vous on s'demande c'qui vous plairait hein... Arthur : Bah j'vais vous l'dire, moi j'ai pensé à un truc alors vous allez p'tet trouver ça con, imaginez qu'on soit le seul pays, au monde, où on ne condamne plus... à mort. Lancelot et Léodagan le fixent.

Léodagan : Bon, écoutez Sire j'suis désolé mais moi j'ai une diligence dans une heure, puis faut qu'on ait bouclé hein. Puis j'ai pas trop le temps d'raconter des conneries non plus. *

Plus tard...

Arthur déjeune avec son beau-père.

Léodagan : Moi j'vous propose un truc, un de ces jours, on s'fait une p'tite virée en Gaule vous et moi comme ça on voit un peu c'qui s'fait à côté, mais rien qu'pour piocher des idées ! Arthur : Piocher des idées d'quoi ? Léodagan : Sur les exécutions !

Arthur (se frappe la tête) : Ah non mais vous êtes comme ça hein !

Léodagan : Mais soyez pas borné !

Arthur : Vous êtes pas borné vous, j'vous dis qu'j'aime pas les exécutions et il faut qu'on aille en Gaule maintenant ! Léodagan : Mais c'est juste pour voir ! Arthur (s'énerve) : Mais c'est tout vu ! Déjà qu'j'aime pas voyager si c'est pour aller voir des mecs se faire dézinguer merci ! Léodagan : Mais vous avez tort de pas vouloir régler l'problème hein si on veut rester le pays le plus puissant il faut qu'on ait des exécutions spectaculaires ! Vous passerez pas à côté ! Arthur : Eh ben si figurez-vous ! Parce que j'vais décréter que l'île de Bretagne est la première nation où la peine de mort n'existe plus voilà ! Léodagan a les yeux ronds comme des soucoupes.

Arthur : Non mais je sais je sais attendez... Excusez-moi c'est sorti comme ça, j'vais pas l'faire évidemment. C'est l'idée oui l'idée, j'aime bien l'idée. Léodagan : Sinon c'que j'peux vous proposer, on attache le condamné, et on le balance sur un nid d'frelons. C'est propre c'est sain. C'est rien qu'du naturel. GENERIQUE

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit.

Guenièvre : Alors ?

Arthur : On garde la peine de mort.

Guenièvre : Vous vous êtes résigné ?

Arthur : Ben parce que j'ai pas eu l'choix ! N'empêche que ça aurait été sacrément classe croyez-moi. Soi-disant qu'les gens sont pas prêts... Guenièvre : Ben pas de peine de mort, c'est vrai qu'c'est un p'tit peu déroutant... Arthur : C'est l'avenir c'est tout, faites-moi confiance ! Arthur Voix Off : Dans 5 ou 10 ans, y a plus qu'les barbares qui le feront. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#147-Létal

#1.47 – Letal Arthur et Guenièvre sont dans leur lit. Arthur a décidé que les exécutions deviendraient privées, avec la seule présence de Léodagan, Lancelot, Père Blaise. Guenièvre n'est pas d'accord, elle estime qu'Arthur perd une occasion de se montrer à son peuple, de plus elle avait choisi sa toilette et était toute heureuse de cette sortie en perspective. ----------- Générique ----------- Plus tard, Séli et Guenièvre sont à table. Séli lui demande de rajuster sa coiffure pour la pendaison. Guenièvre lui apprend qu'elle n'ira pas et Séli se demande ce que vont penser les gens si la reine n'assiste pas à la pendaison. Guenièvre se moque de ce que diront les gens, puisque de toute façon, il n'y aura ni le roi, ni elle, ni Séli, ni personne, le roi ayant décidé que les pendaisons n'étaient plus ouvertes au public. En colère, Séli remarque que depuis plus de 500 ans les pendaisons sont publiques et Arthur, toujours plus malin que les autres, change les habitudes. S'il n'a pas envie d'y aller, qu'il n'empêche pas au moins les autres de s'amuser. Autour de la Table Ronde, l'ordre du jour est bien sûr la pendaison. Léodagan fait ressortir la notion de spectacle alors qu'Arthur n'aime pas la présence d'un public aux exécutions, par ailleurs qu'il n'apprécie guère. Léodagan est certain que le roi n'aime pas les exécutions car ils sont le dernier pays à pratiquer les pendaisons. Lancelot remarque qu'il s'agit de justice et ce qui compte c'est le résultat. Les pendaisons sont sobres et solennelles, pour lui c'est parfait. Léodagan explique que le supplice de la roue est plus festif, on commence à casser les bras et les jambes du condamné et tout le monde peut venir avec son petit bâton pour participer. Léodagan trouve que dans ces conditions, l'exécution est conviviale, ce qui n'est pas l'avis d'Arthur et Lancelot. Léodagan pense qu'une pendaison n'effraie plus personne, alors qu'en revanche, l'écartèlement est plus spectaculaire. Lancelot se montre enthousiaste pour ce type d'exécution mais le roi n'est pas d'accord. Lancelot démontre le suspens, avant de savoir si les bras ou les jambes vont craquer en premier. Léodagan se demande ce qui pourrait bien plaire à Arthur dans ces conditions. Arthur leur demande d'imaginer s'ils devenaient le seul pays au monde à ne plus condamner à mort. Lancelot étonné reste sans voix tandis que Léodagan s'excuse, il doit prendre une diligence et n'a pas trop le temps de discuter de conneries. Plus tard, Léodagan propose à Arthur d'aller tous les deux faire une petite virée en Gaule pour voir ce qui se pratique à côté et piocher des idées. Arthur n'aime ni les exécutions ni voyager, alors si c'est pour assister à des exécutions, très peu pour lui. Léodagan le trouve borné, s'ils veulent rester le pays le plus puissant du monde, ils se doivent d'avoir des exécutions spectaculaires. Arthur décide de décréter que l'île de Bretagne est la première nation où la peine de mort n'existe plus. Devant le désarroi de Léodagan, Arthur s'excuse et explique qu'il ne va évidemment pas le faire, c'est seulement l'idée qu'il aime bien. Léodagan propose alors d'attacher le condamné et le balancer sur le nid de frelons, ce qu'il trouve propre et sain. Arthur le fixe, médusé. ----------- Générique ----------- Le soir, dans leur lit, Guenièvre demande à Arthur ce qu'il a décidé. A contre cœur, Arthur a du garder la peine de mort, soi-disant que les gens ne sont pas prêts. Pourtant ça aurait eu de la classe et surtout c'est l'avenir. Il est certain que dans 5 ou 10 ans, il n'y aura plus que les barbares qui conserveront la peine de mort. Rédigé par Mamynicky pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit.

Guenièvre : Je sais qu'vous aimez pas ça mais c'est qu'un mauvais moment à passer... et puis le peuple vous verra un peu au moins. Arthur : Y a plus d'peuple aux exécutions. C'est fini ça, maintenant c'est privé. Léodagan, Lancelot, père Blaise.

Guenièvre : Oh ben non... j'avais choisi ma toilette tout, j'me faisais une joie d'sortir ! GENERIQUE

Guenièvre déjeune avec sa mère dans la salle à manger.

Séli : Vous f'rez rajuster votre coiffure quand même pour tout à l'heure ! Guenièvre : Pourquoi qu'est-ce qu'y a tout à l'heure ? Séli : Ben la pendaison ! Vous allez pas y aller comme ça on dirait qu'vous vous êtes coiffée toute seule ! Guenièvre : Mère je me suis coiffée toute seule !

Séli : Eh ben voilà, du coup vous ferez rajuster votre coiffure.

Guenièvre : T'façon j'y vais pas à la pendaison. Séli : Quoi ? Guenièvre : Non j'y vais pas. Séli : Vous êtes pas bien ? Si la Reine va pas aux pendaisons qu'est-ce que vont dire les gens ? Guenièvre : Les gens diront c'qui voudront, d'autant qu'y aura pas le Roi non plus ni vous ni moi ni personne. Séli : Mais qu'est-ce qui vous prend ça va pas bien ! Guenièvre : Le Roi a décidé qu'les pendaisons n'étaient plus ouvertes au public ! Séli : Ah non mais pour qui y s'prend celui là ! Ca fait 500 ans qu'on fait comme ça et lui toujours plus malin qu'tout l'monde il change ! Guenièvre : C'est l'Roi c'est lui qui décide hein. Séli : Oh non mais c'est dingue cette histoire...Mais s'il a pas envie d'aller aux pendaisons il fait c'qui veut mais qu'il empêche pas les autres de s'amuser ! ***

Plus tard...

Dans la salle de la Table Ronde.

Léodagan : Moi j'ai l'impression que c'qui vous échappe, c'est la notion de spectacle. Arthur : J'vais vous dire, j'ai jamais aimé qu'il y ait du public aux exécutions. Toute façon j'aime pas ça les exécutions. Lancelot : Ah bon ?

Léodagan : Mais pourquoi qu'est-ce qui vous gêne ? Arthur : J'sais pas. J'aime pas ça, j'saurais pas vous dire pourquoi... Léodagan : Oh mais moi j'vais vous l'dire, ça vous plait pas parce qu'on doit être le dernier pays à pratiquer la pendaison ! Voilà ! Et à une pendaison j'm'excuse hein mais on s'emmerde. Lancelot : C'est la justice, c'qui compte c'est le résultat... Arthur : Bah il m'semble oui... Léodagan : Mais la justice me faites pas marrer, ça dure des plombes le type remue à peine les doigts d'pieds à quoi ça r'ssemble j'vous l'demande ! Arthur : Bah ça r'ssemble à une pendaison à quoi voulez vous qu'ça r'ssemble on va pas faire venir les danseuses et les montreurs d'ours. Lancelot : La pendaison c'est sobre et solennel, moi j'trouve ça parfait. Léodagan : Prenez la roue, par exemple, ça c'est festif. Le condamné est attaché et on commence par lui casser les bras et les jambes, bon ben tout l'monde peut venir avec son p'tit bâton, les gens participent, c'est convivial ! Lancelot : Non c'est atroce. Léodagan : Mais pas du tout !

Arthur : Oh si ça craint, non ça craint écoutez on passe quand même pour être un pays moderne...

Léodagan : Un pays bourré d'délinquance, les types ont pas assez peur ! Ca impressionne qui la pendaison aujourd'hui hein, mais personne ! Tandis que vous prenez par exemple l'écartèlement... Lancelot : Ah voilà ! Ca oui, ça c'est super ! Arthur : Ah non alors ça justement ça ça craint !

Lancelot : Oui mais y a du suspens, les gens se d'mandent si c'est les bras ou les jambes qui vont lâcher en premier. Léodagan : Eh bah oui et puis ça a un peu d'gueule au moins ! Alors vous on s'demande c'qui vous plairait hein... Arthur : Bah j'vais vous l'dire, moi j'ai pensé à un truc alors vous allez p'tet trouver ça con, imaginez qu'on soit le seul pays, au monde, où on ne condamne plus... à mort. Lancelot et Léodagan le fixent.

Léodagan : Bon, écoutez Sire j'suis désolé mais moi j'ai une diligence dans une heure, puis faut qu'on ait bouclé hein. Puis j'ai pas trop le temps d'raconter des conneries non plus. ***

Plus tard...

Arthur déjeune avec son beau-père.

Léodagan : Moi j'vous propose un truc, un de ces jours, on s'fait une p'tite virée en Gaule vous et moi comme ça on voit un peu c'qui s'fait à côté, mais rien qu'pour piocher des idées ! Arthur : Piocher des idées d'quoi ? Léodagan : Sur les exécutions !

Arthur (se frappe la tête) : Ah non mais vous êtes comme ça hein !

Léodagan : Mais soyez pas borné !

Arthur : Vous êtes pas borné vous, j'vous dis qu'j'aime pas les exécutions et il faut qu'on aille en Gaule maintenant ! Léodagan : Mais c'est juste pour voir ! Arthur (s'énerve) : Mais c'est tout vu ! Déjà qu'j'aime pas voyager si c'est pour aller voir des mecs se faire dézinguer merci ! Léodagan : Mais vous avez tort de pas vouloir régler l'problème hein si on veut rester le pays le plus puissant il faut qu'on ait des exécutions spectaculaires ! Vous passerez pas à côté ! Arthur : Eh ben si figurez-vous ! Parce que j'vais décréter que l'île de Bretagne est la première nation où la peine de mort n'existe plus voilà ! Léodagan a les yeux ronds comme des soucoupes.

Arthur : Non mais je sais je sais attendez... Excusez-moi c'est sorti comme ça, j'vais pas l'faire évidemment. C'est l'idée oui l'idée, j'aime bien l'idée. Léodagan : Sinon c'que j'peux vous proposer, on attache le condamné, et on le balance sur un nid d'frelons. C'est propre c'est sain. C'est rien qu'du naturel. GENERIQUE

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit.

Guenièvre : Alors ?

Arthur : On garde la peine de mort.

Guenièvre : Vous vous êtes résigné ?

Arthur : Ben parce que j'ai pas eu l'choix ! N'empêche que ça aurait été sacrément classe croyez-moi. Soi-disant qu'les gens sont pas prêts... Guenièvre : Ben pas de peine de mort, c'est vrai qu'c'est un p'tit peu déroutant... Arthur : C'est l'avenir c'est tout, faites-moi confiance ! Arthur Voix Off : Dans 5 ou 10 ans, y a plus qu'les barbares qui le feront. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott