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Kaamelot, #136-Raison d'Argent

#136-Raison d'Argent

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Elle veut éteindre la bougie mais son mari râle, elle explique alors qu'ils sont en restriction budgétaire, ils doivent donc économiser les torches. Léodagan rétorque que c'est une consigne pour le personnel, car de toute façon ils sont trop fatigué avec leur travail et qu'en plus il ne savent pas lire. GENERIQUE Arthur est en réunion à la Table Ronde avec Léodagan et Bohort. Ces derniers affirment que les caisses du château sont vides ce qui étonne le Roi. Léodagan accuse Bohort d'engloutir l'argent dans les bals, les réceptions et la décoration ; évidemment Bohort proteste en parlant du 'budget colossal' réservé à la défense du territoire. Léodagan rétorque qu'il n'a acheté que trois catapulte le mois dernier, Arthur manque de s'étouffer. Bohort ajoute qu'a cause de cette dépense les princes Vandales n'ont eu que des asperges à manger. Arthur est d'accord avec le chevalier et s'inquiête, car d'après lui si les envahisseur apprennent que la Bretagne est à sec ils risquent de rappliquer. Ce à quoi Léodagan répond que qu'il seront reçus avec ses catapultes. Plus tard, Venec les rejoint. Léodagan pense qu'il pourrait les aider, mais Arthur et Bohort ne voient pas du tout comment. Arthur ironise en demandant s'il compte racheter le château, mais Venec est toujours intéressé par tout ce qui passe. Léodagan dit au Roi de rester ouvert d'esprit... et Venec lui lance une bourse. Arthur regarde, sort des pièces. Léodagan et Venec on l'air ravi alors que le Roi ne voit pas où ils veulent en venir. Ils lui expliquent alors que c'est de la fausse monnaie ! Arthur en reste bouche bée. Venec essaye de convaincre le Roi, mais celui-ci lui demande depuis combien de temps il fabrique ce genre de pièces, et qu'il devrait l'enfermer au cachot jusqu'à la fin de sa vie. Léodagan ne voit pas le problème vu que personne ne fera la différence entre le vrai et le faux. Venec assure qu'ils leur fera un bon prix, ce qui choque une fois de plus Arthur et Bohort. Arthur s'énerve et demande à son beau-père la tête qu'il ferait si ça se passait en Carmélide. Sur ce Venec annonce qu'il fait également cette monnaie là... aussitôt Léodagan tape violemment la tête du contrebandier sur la table et Venec tombe à terre. GENERIQUE Séli et Léodagan sont de nouveau dans leur lit. Il questionne sa femme sur la possibilité que des fausses pièces circulent en Carmélide. Séli acquiesce et ajoute qu'elle en a elle-même acheté. Léodagan sursaute, mais elle lui dit qu'il n'y a pas à hésiter quand pour 15 vraies elle en reçoit 50 fausses. Séli Voix Off : Elle dit à son mari qu'elle doit bien trouver des combines car il ne lui ramène jamais assez d'argent. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Séli : Bon allez, j'éteins. Léodagan : Bah une seconde non ? J'ai pas fini d'lire ! Séli : Y'a plus un rond au château. On économise les torches, c'est la consigne. Léodagan : C'est la consigne pour les larbins, pas pour nous. Séli : Alors on fout les larbins dans le noir pour éponger le déficit ?

Léodagan : Avec le boulot de con qu'ils ont, ils s'endorment comme des masses, ils ont pas besoin de lumière... Toute façon ils savent pas lire. GENERIQUE

Arthur est assis à la Table Ronde avec Léodagan et Bohort.

Arthur : Vous êtes sûr qu'vous exagérez pas un peu ? Bohort : Ah Sire, croyez nous, c'est catastrophique... Léodagan : Séchés, désossés, les caisses sont vides ! Et c'est pas une image hein, on voit le fond. Arthur : Mais enfin qu'est-ce qui s'est passé ?? J'croyais qu'on f'sait gaffe ! Léodagan : On fait gaffe... Vous avez une idée du pognon qui fout le camp dans les banquets, les bals, la décoration, le mobilier, hein ?

Bohort : Je rêve ?! Sire je peux vous assurer que les dépenses engendrées par les réceptions officielles sont loin d'égaler le budgget colossal engloutit par la défense du territoire ! Léodagan : Ah ben ça y est j'l'attendais celle-là, sous prétexte que j'ai fais acheter trois catapultes le mois dernier... Arthur (choqué) : Trois catapultes ?! Non mais vous êtes marteau ? Léodagan : Oh, faut c'qui faut, hein. Bohort : Je signale au passage que c'est à cause de ça qu'on avait plus que des asperges à servir aux princes Vandales. Léodagan : Y'a pas de honte à servir des asperges... Bohort : Non mais QUE des asperges, ça fait un peu rapia, excusez-moi.

Arthur : Ouais, nan mais le truc c'est qu'après, s'ils vont raconter partout que le Roi Arthur sert que des asperges et qu'y a plus un rond... c'est tous les envahisseurs de la planète qui vont radiner pour nous assiéger. Léodagan : Ahahah bah j'les attends les mecs, avec les trois catapultes qu'y a dans la cour, ils ont intérêt à se pointer avec autre chose que des lances-pierres ! *

Plus tard...

Venec a rejoint les trois hommes.

Venec : Ca arrive d'être raide, le pognon, ça va ça vient, il faut jamais paniquer. Arthur : Qu'est-ce qui m'récite des proverbes celui là, c'est pour ça qu'vous l'avez fait venir ? Léodagan : Nan nan, c'est juste que j'ai pensé, mais éventuellement, hein, qu'il pouvait peut-être nous donner un coup de main. Venec : Coup de main, c'est beaucoup dire, un p'tit coup de pouce, quoi. Bohort : Je vois pas en quoi un marchand d'esclave pourrait nous aider à nous sortir de nos problèmes pécuniers... Arthur : Ben j'avoue que j'vois pas non plus, vous comptez nous racheter le château à bon prix ? Venec : Non... Enfin attention, si vous êtes vendeur, j'vous fais une proposition aux oignons ! J'ai justement besoin d'un grand local pour entreposer des chinetoques. Bohort : Sire ! Est-cce que nous avons vraiment besoin de nous entretenir avec cette vermine ?

Venec : La vermine elle va p'tet vous sortir d'la purée, alors un peu d'respect, okay ? Arthur : Bah vous la crachez votre pastille ? Qu'est-ce que vous pouvez faire ? Léodagan : Attention, c'est spécial hein, prenez le pas de travers. Bon allez-y, montrez-lui.

Venec sort une bourse et la lance à Arthur. Ce dernier l'ouvre et prend des pièces. Arthur : Ouais, c'est du pognon... ? Venec et Léodagan : Ouais ouais, du pognon.

Venec : Qu'est-ce' vous en pensez ? Arthur : Ben j'en pense que j'suis content pour vous mais à partir du moment ou c'est pas le mien, qu'est-ce que vous voulez qu'ça m'foute ? Venec : J'en ai des pleines caisses de ça. Bohort : Avec toute la viande humaine qui fait circuler, ça m'étonne pas. Léodagan : Allez regardez bien, qu'est-ce que vous en pensez ? Arthur : Mais quoi qu'est-ce que j'en pense, c'est du pognon, y'a ma gueule dessus, voilà ! Léodagan : C'est pas des vraies. Venec : C'est moi qui les fabrique ! Bohort : Comment ? Arthur : Vous vous foutez de moi ?

Léodagan : C'est bien fait, hein ? Venec : Bon, j'vous en mets combien ? Arthur reste bouche bée.

*

Plus tard...

Venec : Vous m'dites les caisses sont vides, j'propose de les remplir, vous êtes pas content. Arthur : On peut savoir depuis quand vous vous fabriquez votre propre pognon ?

Bohort : Cet homme participe à la ruine du royaume Sire !

Léodagan : Ca va, on va pas faire un flan pour deux trois piécettes...

Venec : Nan mais c'est pour mon usage personnel en plus... Arthur : Vous êtes conscient que j'devrais vous arrêter et vous faire enfermer dans une cage jusqu'à ce que vous soyez décomposé ? Venec : Attendez, moi j'essaye de vous rendre service ! Bohort : Organiser l'inflation, vous appelez ça nous rendre service ? Léodagan : Mais qu'on remplisse les caisses avec du vrai ou du faux pognon, honnêtement qu'est-ce que ça change ? Venec : Ecoutez, j'vous fais un bon prix. Arthur : Ah parce que vous les vendez en plus ! Bohort (criant) : C'est honteux ! Léodagan : C'est bon, y'a pas d'quoi en chier une galette ! Arthur : Mais parce que ça s'passe chez moi ! J'aimerais bien voir la tête que vous feriez s'il fabriquait des pièces de votre royaume à vous ! Venec : Ah la Carmélide ? Ouais j'en ai aussi ! Plus vrai qu'du vrai, tout l'monde y voit qu'du feu ! En une seconde Léodagan attrape Venec par la nuque et lui éclate la tête sur la table. Venec part ensuite à la renverse et s'écroule. GENERIQUE

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Léodagan : Vous croyez qu'y a des fausses pièces qui circulent en Carmélide ? Séli : Ben évidemment qu'y en a, j'en ai acheté moi. Léodagan : Quoi ? Ah bah d'mieux en mieux ! Séli : Attendez pour 15 vraies j'en ai 50 fausses, le calcul est vite fait ! Séli voix off : Avec les malheureux trois ronds qu'vous m'faites tomber tous les mois, il faut bien que j'trouve des combines ! Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#136-Raison d'Argent

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Elle veut éteindre la bougie mais son mari râle, elle explique alors qu'ils sont en restriction budgétaire, ils doivent donc économiser les torches. Léodagan rétorque que c'est une consigne pour le personnel, car de toute façon ils sont trop fatigué avec leur travail et qu'en plus il ne savent pas lire. GENERIQUE Arthur est en réunion à la Table Ronde avec Léodagan et Bohort. Ces derniers affirment que les caisses du château sont vides ce qui étonne le Roi. Léodagan accuse Bohort d'engloutir l'argent dans les bals, les réceptions et la décoration ; évidemment Bohort proteste en parlant du 'budget colossal' réservé à la défense du territoire. Léodagan rétorque qu'il n'a acheté que trois catapulte le mois dernier, Arthur manque de s'étouffer. Bohort ajoute qu'a cause de cette dépense les princes Vandales n'ont eu que des asperges à manger. Arthur est d'accord avec le chevalier et s'inquiête, car d'après lui si les envahisseur apprennent que la Bretagne est à sec ils risquent de rappliquer. Ce à quoi Léodagan répond que qu'il seront reçus avec ses catapultes. Plus tard, Venec les rejoint. Léodagan pense qu'il pourrait les aider, mais Arthur et Bohort ne voient pas du tout comment. Arthur ironise en demandant s'il compte racheter le château, mais Venec est toujours intéressé par tout ce qui passe. Léodagan dit au Roi de rester ouvert d'esprit... et Venec lui lance une bourse. Arthur regarde, sort des pièces. Léodagan et Venec on l'air ravi alors que le Roi ne voit pas où ils veulent en venir. Ils lui expliquent alors que c'est de la fausse monnaie ! Arthur en reste bouche bée. Venec essaye de convaincre le Roi, mais celui-ci lui demande depuis combien de temps il fabrique ce genre de pièces, et qu'il devrait l'enfermer au cachot jusqu'à la fin de sa vie. Léodagan ne voit pas le problème vu que personne ne fera la différence entre le vrai et le faux. Venec assure qu'ils leur fera un bon prix, ce qui choque une fois de plus Arthur et Bohort. Arthur s'énerve et demande à son beau-père la tête qu'il ferait si ça se passait en Carmélide. Sur ce Venec annonce qu'il fait également cette monnaie là... aussitôt Léodagan tape violemment la tête du contrebandier sur la table et Venec tombe à terre. GENERIQUE Séli et Léodagan sont de nouveau dans leur lit. Il questionne sa femme sur la possibilité que des fausses pièces circulent en Carmélide. Séli acquiesce et ajoute qu'elle en a elle-même acheté. Léodagan sursaute, mais elle lui dit qu'il n'y a pas à hésiter quand pour 15 vraies elle en reçoit 50 fausses. Séli Voix Off : Elle dit à son mari qu'elle doit bien trouver des combines car il ne lui ramène jamais assez d'argent. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Séli : Bon allez, j'éteins. Léodagan : Bah une seconde non ? J'ai pas fini d'lire ! Séli : Y'a plus un rond au château. On économise les torches, c'est la consigne. Léodagan : C'est la consigne pour les larbins, pas pour nous. Séli : Alors on fout les larbins dans le noir pour éponger le déficit ?

Léodagan : Avec le boulot de con qu'ils ont, ils s'endorment comme des masses, ils ont pas besoin de lumière... Toute façon ils savent pas lire. GENERIQUE

Arthur est assis à la Table Ronde avec Léodagan et Bohort.

Arthur : Vous êtes sûr qu'vous exagérez pas un peu ? Bohort : Ah Sire, croyez nous, c'est catastrophique... Léodagan : Séchés, désossés, les caisses sont vides ! Et c'est pas une image hein, on voit le fond. Arthur : Mais enfin qu'est-ce qui s'est passé ?? J'croyais qu'on f'sait gaffe ! Léodagan : On fait gaffe... Vous avez une idée du pognon qui fout le camp dans les banquets, les bals, la décoration, le mobilier, hein ?

Bohort : Je rêve ?! Sire je peux vous assurer que les dépenses engendrées par les réceptions officielles sont loin d'égaler le budgget colossal engloutit par la défense du territoire ! Léodagan : Ah ben ça y est j'l'attendais celle-là, sous prétexte que j'ai fais acheter trois catapultes le mois dernier... Arthur (choqué) : Trois catapultes ?! Non mais vous êtes marteau ? Léodagan : Oh, faut c'qui faut, hein. Bohort : Je signale au passage que c'est à cause de ça qu'on avait plus que des asperges à servir aux princes Vandales. Léodagan : Y'a pas de honte à servir des asperges... Bohort : Non mais QUE des asperges, ça fait un peu rapia, excusez-moi.

Arthur : Ouais, nan mais le truc c'est qu'après, s'ils vont raconter partout que le Roi Arthur sert que des asperges et qu'y a plus un rond... c'est tous les envahisseurs de la planète qui vont radiner pour nous assiéger. Léodagan : Ahahah bah j'les attends les mecs, avec les trois catapultes qu'y a dans la cour, ils ont intérêt à se pointer avec autre chose que des lances-pierres ! ***

Plus tard...

Venec a rejoint les trois hommes.

Venec : Ca arrive d'être raide, le pognon, ça va ça vient, il faut jamais paniquer. Arthur : Qu'est-ce qui m'récite des proverbes celui là, c'est pour ça qu'vous l'avez fait venir ? Léodagan : Nan nan, c'est juste que j'ai pensé, mais éventuellement, hein, qu'il pouvait peut-être nous donner un coup de main. Venec : Coup de main, c'est beaucoup dire, un p'tit coup de pouce, quoi. Bohort : Je vois pas en quoi un marchand d'esclave pourrait nous aider à nous sortir de nos problèmes pécuniers... Arthur : Ben j'avoue que j'vois pas non plus, vous comptez nous racheter le château à bon prix ? Venec : Non... Enfin attention, si vous êtes vendeur, j'vous fais une proposition aux oignons ! J'ai justement besoin d'un grand local pour entreposer des chinetoques. Bohort : Sire ! Est-cce que nous avons vraiment besoin de nous entretenir avec cette vermine ?

Venec : La vermine elle va p'tet vous sortir d'la purée, alors un peu d'respect, okay ? Arthur : Bah vous la crachez votre pastille ? Qu'est-ce que vous pouvez faire ? Léodagan : Attention, c'est spécial hein, prenez le pas de travers. Bon allez-y, montrez-lui.

Venec sort une bourse et la lance à Arthur. Ce dernier l'ouvre et prend des pièces. Arthur : Ouais, c'est du pognon... ? Venec et Léodagan : Ouais ouais, du pognon.

Venec : Qu'est-ce' vous en pensez ? Arthur : Ben j'en pense que j'suis content pour vous mais à partir du moment ou c'est pas le mien, qu'est-ce que vous voulez qu'ça m'foute ? Venec : J'en ai des pleines caisses de ça. Bohort : Avec toute la viande humaine qui fait circuler, ça m'étonne pas. Léodagan : Allez regardez bien, qu'est-ce que vous en pensez ? Arthur : Mais quoi qu'est-ce que j'en pense, c'est du pognon, y'a ma gueule dessus, voilà ! Léodagan : C'est pas des vraies. Venec : C'est moi qui les fabrique ! Bohort : Comment ? Arthur : Vous vous foutez de moi ?

Léodagan : C'est bien fait, hein ? Venec : Bon, j'vous en mets combien ? Arthur reste bouche bée.

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Plus tard...

Venec : Vous m'dites les caisses sont vides, j'propose de les remplir, vous êtes pas content. Arthur : On peut savoir depuis quand vous vous fabriquez votre propre pognon ?

Bohort : Cet homme participe à la ruine du royaume Sire !

Léodagan : Ca va, on va pas faire un flan pour deux trois piécettes...

Venec : Nan mais c'est pour mon usage personnel en plus... Arthur : Vous êtes conscient que j'devrais vous arrêter et vous faire enfermer dans une cage jusqu'à ce que vous soyez décomposé ? Venec : Attendez, moi j'essaye de vous rendre service ! Bohort : Organiser l'inflation, vous appelez ça nous rendre service ? Léodagan : Mais qu'on remplisse les caisses avec du vrai ou du faux pognon, honnêtement qu'est-ce que ça change ? Venec : Ecoutez, j'vous fais un bon prix. Arthur : Ah parce que vous les vendez en plus ! Bohort (criant) : C'est honteux ! Léodagan : C'est bon, y'a pas d'quoi en chier une galette ! Arthur : Mais parce que ça s'passe chez moi ! J'aimerais bien voir la tête que vous feriez s'il fabriquait des pièces de votre royaume à vous ! Venec : Ah la Carmélide ? Ouais j'en ai aussi ! Plus vrai qu'du vrai, tout l'monde y voit qu'du feu ! En une seconde Léodagan attrape Venec par la nuque et lui éclate la tête sur la table. Venec part ensuite à la renverse et s'écroule. GENERIQUE

Séli et Léodagan sont dans leur lit.

Léodagan : Vous croyez qu'y a des fausses pièces qui circulent en Carmélide ? Séli : Ben évidemment qu'y en a, j'en ai acheté moi. Léodagan : Quoi ? Ah bah d'mieux en mieux ! Séli : Attendez pour 15 vraies j'en ai 50 fausses, le calcul est vite fait ! Séli voix off : Avec les malheureux trois ronds qu'vous m'faites tomber tous les mois, il faut bien que j'trouve des combines ! Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott