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Le lycée, Partie 5-1

Partie 5-1

Juin 2007.

Les examens de BTS, Brevet de Technicien Supérieur, continuent. A ceux-ci se sont ajoutés d'autres examens d'un autre niveau de scolarité.

Il y a tout d'abord le BEP, Brevet d'Etudes Professionnel, qui se prépare en deux ans après la classe de troisième c'est-à-dire dès la rentrée au lycée. C'est un diplôme très spécialisé qui permet une entrée rapide dans la vie active.

Que de demandes d'informations, d'appels téléphoniques, de soucis pour les futures inscriptions pendant cette période! Je le trouve cependant, ce mois de juin, assez enrichissant.

Juin, période pour les inscriptions. Tout le mois va voir un défilement de parents et d'élèves pour des demandes de dossiers d'inscriptions, de retour de dossiers, de certificats divers. Enfin, juin est aussi le mois du baccalauréat. Le baccalauréat est le premier grade universitaire en France. Il ouvre la voie à l'enseignement supérieur. Trois semaines de stress et d'efforts en perspective pour les étudiants. Ce diplôme clôture les trois années de lycée.

Le 1er examen en vue de l'obtention du baccalauréat débute comme chaque année depuis 200 ans, date de création de ce diplôme, débute donc par la philosophie. La philosophie n'a pas d'objets d'étude propre. Elle a toutefois une prédilection pour certains domaines tels que la logique, l'éthique, la philosophie politique etc.

Je me suis souvent demandée pourquoi ce thème est inclus dans un examen. Il est bien sûr possible de juger, d'estimer la façon d'écrire d'un élève, sa tournure de phrases, enfin tout ce qui est du domaine littéraire.

L'examen de français existe, là peuvent être notés les bonnes qualités de rédaction d'un élève, sa capacité d'analyse et de réflexion. La philosophie est du domaine plus subjectif. Les façons de penser résultant du sujet posé appartiennent à chacun. Un correcteur ne peut juger une pensée d'un élève qui s'exprime dans un devoir de philosophie et par cela le noter en bien ou en mal. Il peut bien sûr avoir son propre avis sur le devoir rendu mais ne peut noter cette pensée vu qu'elle peut diverger de la sienne. Il est bien sûr dit que c'est plus la capacité de rédaction et de réflexion de l'élève qui est noté, non sa pensée… Mais d'autres s'interrogent toutefois sur le bienfait de cette discipline.


Partie 5-1

Juin 2007.

Les examens de BTS, Brevet de Technicien Supérieur, continuent. A ceux-ci se sont ajoutés d’autres examens d’un autre niveau de scolarité.

Il y a tout d’abord le BEP, Brevet d’Etudes Professionnel, qui se prépare en deux ans après la classe de troisième c’est-à-dire dès la rentrée au lycée. C’est un diplôme très spécialisé qui permet une entrée rapide dans la vie active.

Que de demandes d’informations, d’appels téléphoniques, de soucis pour les futures inscriptions pendant cette période! Je le trouve cependant, ce mois de juin, assez enrichissant.

Juin, période pour les inscriptions. Tout le mois va voir un défilement de parents et d’élèves pour des demandes de dossiers d’inscriptions, de retour de dossiers, de certificats divers. Enfin, juin est aussi le mois du baccalauréat. Le baccalauréat est le premier grade universitaire en France. Il ouvre la voie à l’enseignement supérieur. Trois semaines de stress et d’efforts en perspective pour les étudiants. Ce diplôme clôture les trois années de lycée.

Le 1er examen en vue de l’obtention du baccalauréat débute comme chaque année depuis 200 ans, date de création de ce diplôme, débute donc par la philosophie. La philosophie n’a pas d’objets d’étude propre. Elle a toutefois une prédilection pour certains domaines tels que la logique, l’éthique, la philosophie politique etc.

Je me suis souvent demandée pourquoi ce thème est inclus dans un examen. Il est bien sûr possible de juger, d’estimer la façon d’écrire d’un élève, sa tournure de phrases, enfin tout ce qui est du domaine littéraire.

L’examen de français existe, là peuvent être notés les bonnes qualités de rédaction d’un élève, sa capacité d’analyse et de réflexion. La philosophie est du domaine plus subjectif. Les façons de penser résultant du sujet posé appartiennent à chacun. Un correcteur ne peut juger une pensée d’un élève qui s’exprime dans un devoir de philosophie et par cela le noter en bien ou en mal. Il peut bien sûr avoir son propre avis sur le devoir rendu mais ne peut noter cette pensée vu qu’elle peut diverger de la sienne. Il est bien sûr dit que c’est plus la capacité de rédaction et de réflexion de l’élève qui est noté, non sa pensée… Mais d’autres s’interrogent toutefois sur le bienfait de cette discipline.