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Kaamelot, #165-La Visite d'Ygerne

#165-La Visite d'Ygerne

Guenièvre et Arthur sont au lit. Ce dernier rappelle à sa femme que c'est demain que vient Ygerne, la mère d'Arthur. Guenièvre lui répond que cela fait de nombreuses fois qu'il lui répète mais il n'a pas à s'inquiéter, tout est prêt pour la recevoir. Arthur nie s'inquiéter, mais il demande tout de même à sa femme d'arranger sa coiffure pour demain. Guenièvre est exaspérée.

Générique Arthur se promène dans les allées extérieures du château avec sa mère. Elle trouve que le château fait trop "tape à l'oeil". Arthur ne trouve pas que ce soit le cas. Il lui propose de passer à table, mais elle s'étonne que ce soit déjà l'heure du repas. Arthur lui dit qu'ici on mange quand on faim, elle réplique aussitôt qu'à Tintagel on mange quand on l'a mérité. Arthur insiste : à Kaamelott, on mange quand on a faim. * A la table du Roi. Arthur s'inquiète car sa mère ne mange pas. Mais elle trouve la nourriture beaucoup trop riche et trop en abondance. Elle en profite pour rajouter que du temps de Pendragon, on aurait pu nourrir dix soldats avec une seule assiette d'ici. Léodagan confirme qu'en ce temps là c'était la famine. Ygerne se demande si les soldats partent au front avec autant de nourriture. Arthur lui dit simplement qu'ils essaient d'éviter les laitages, alors que Guenièvre ajoute qu'elle prépare des galettes à son mari avant de partir. Ygerne se moque immédiatement de sa belle-fille. Léodagan constate qu'Ygerne "n'est pas une rigolote", et s'imagine l'éducation qu'Arthur a du subir. Arthur aimerait que la discussion change de sujet, mais Ygerne continue en disant que ce n'est pas elle qu'il l'a élevé, et qu'elle a du mal à croire qu'il est le fils de Pendragon. Léodagan confirme que son père n'était pas tendre. Pour exemple, si on lui marchait sur le pied, il vous crevait un oeil. Timidement le Roi dit qu'il n'a pas connu son père, ce qui attriste Guenièvre. Mais Arthur s'offusque : il a eut son père adoptif. Mais Ygerne le coupe en lui disant qu'il était fermier. Arthur s'énerve. Peut être que Pendragon était bien, mais il était mort. Il ne veut plus en entendre parler. Voyant la réaction de sa famille, Arthur s'excuse. * Guenièvre s'inquiète car Arthur ne mange pas. Mais il l'envoie bouler, ce qui va immédiatement causer la colère de Guenièvre. Ygerne réplique à son fils qu'il n'a pas à se laisser parler ainsi. Elle a peine commencé sa phrase sur "au temps de Pendragon" que Arthur la coupe avec fureur. Il en assez d'entendre toujours parler de son père qu'il n'a pas connu. De plus, il estime qu'il n'est pas comme lui : si on lui marche sur le pied on s'excuse, et lui répond que ce n'est pas grave... Le silence s'étant installé, Léodagan demande à Ygerne combien de temps elle met pour rentrer à Tintagel. Elle lui répond qu'avec des chevaux frais il lui faut un jour et demi. Guenièvre pensait que c'était moins loin. Générique Au lit, Guenièvre fait une tentative pour discuter avec son mari. Elle pense qu'Ygerne devrait se retrouver quelqu'un. En voix off, Arthur dit qu'il n'a pas envie de parler. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit. Cette dernière lit un parchemin. Le roi a l'air stressé. Arthur : Vous oubliez pas qu'c'est demain qu'ma mère arrive ? Guenièvre : Ca fait 15 fois que vous m'le répêtez arrêtez d'vous inquiéter. Tout est près pour la recevoir.

Arthur : Mais j'm'inquiète pas. (un temps) Heu... demain vous f'rez gaffe, hein, votre coiffure, aujourd'hui c'était un peu... hein avec ma mère faut qu'ça soit carré. Guenièvre est exaspérée.

GENERIQUE

Arthur marche dans la cour du château avec sa mère. Derrière eux, des gardes portent les affaires d'Ygerne. Ygerne : Alors c'est ça, Kaamelott ? Intéressant.

Arthur : Vous savez mère vos appartements vous attendent, vous venez vivre ici quand vous voulez.

Ygerne : Qu'elles sont claires ces pierres ! Arthur : Bah elles viennent d'une carrière du Pays d'Galles, elles sont comme celles de Stonehedge j'ai pensé qu'ça ferait ton sur ton. Ygerne : Et vous n'avez pas peur qu'ça fasse un peu tape à l'oeil ? Arthur : Tape à l'oeil ? J'en sais rien. Vous trouvez ça vulgaire ?

Ygerne : Vulgaire ? Oui, mais pas seulement.

Arthur : Okay... Bon on va ptet passer à table vous devez avoir faim.

Ygerne : C'est à cette heure-ci qu'on mange chez vous ? Arthur : Comment ça chez moi ? J'en sais rien on mange quand on a faim pourquoi, vous mangez à quelle heure à Tintagel ? Ygerne : A Tintagel on mange quand on l'a mérité, quand on a accompli ses commandements avec humilité et qu'on a glorifié sa famille ! Arthur : Oui... non nous on mange quand on a faim.

*

Plus tard...

Dans la salle à manger. Arthur est avec sa mère, sa femme et ses beaux-parents.

Arthur : Vous mangez pas mère ?

Ygerne : Tout ça est beaucoup trop riche pour moi.

Guenièvre : Si c'est le jus qui vous dérange vous êtes pas obligée de saucer hein. Ygerne : Ce qui me dérange c'est l'oppulence, la profusion. Du temps de votre père avec ce qu'il y a dans mon assiette on nourrissait 10 soldats. Léodagan : Du temps d'son père c'était la famine, j'peux vous dire j'ai bien connu. Séli : J'vois pas l'rapport, maintenant la bouffe y en a. Guenièvre : Du coup j'vois pas pourquoi on s'priverait. Ygerne : Et c'est engorgé de sauce et de vin romain que vous menez vos troupes au front ? Arthur : Ben disont qu'avant d'partir en campagne j'essaye d'éviter les laitages quoi... Guenièvre : J'lui fais préparer des ptites galettes d'avoines qu'il emporte dans son bardat. Ygerne : Au cas où il aurait une petite "faim-faim" ? Léodagan : Dites donc votre mère c'est pas une rigolade hein ! Votre éducation ça a dû être... (mime un carré)

Ygerne : C'est pas moi qui l'ai élevé ! Ca se voit.

Arthur : Bon, ça vous embête si on parle d'autre chose ? Ygerne : Franchement quand je vous regarde j'ai peine à croire que le sang de Pendragon coule dans vos veines. Léodagan : C'est vrai qu'c'était un sacré l'papa ! Fallait pas v'nir lui souffler dans les narines. Vous lui marchiez sur le pied, il vous crevait un oeil.

Arthur : J'l'ai pas connu. Ygerne : Ca s'voit ! Guenièvre : C'est triste quand même de pas connaître son père... Arthur : Attendez j'en ai un d'père, un père adoptif quoi. Ygerne : Un fermier.

Arthur : Mais il était pas que fermier, il était chevalier aussi.

Ygerne : Un chevalier-fermier ? Léodagan : Il était plus fermier que chevalier quand même...

Arthur (énervé) : Bon bah ça va maintenant ! Pendragon Pendragon, il était sûrement très bien mais il était mort. Quand même pas ma faute, alors arrêtez d'me faire chier. Silence autour de la table.

Arthur : 'Scuzez moi c'est parti tout seul. *

Plus tard...

Arthur a l'air renfrogné. Guenièvre : Mais qu'est-ce qui vous arrive ce soir vous picorez ? Arthur : Rien ça va.

Guenièvre : Ca vous plait pas ? Vous voulez que j'vous fasses préparer autre chose ? Arthur : Ca va j'vous dis. Guenièvre (vexée) : Oh c'est pas la peine d'être désagréable hein ! Si vous êtes mal luné vous avez qu'à aller vous coucher ! Ygerne : Et vous vous laissez parler comme ça ? Du temps de Pendragon...

Arthur (explose) : Ah mais merde avec Pendragon ! Fallait pas lui parler comme ci fallait pas lui parler comme ça, quand on lui marchait sur le pied il vous crevait un oeil ! Moi quand on m'marche sur le pied eh ben on m'dit pardon, et puis j'répond c'est pas grave ! J'suis pas une espèce de gros taré à qui on peut jamais rien dire ! Alors foutez-moi la paix avec ce con et finissez c'qu'on vous a mis dans vos assiettes ! Il jette sa cuillère sur la table, ce qui fait sursauter tout le monde. S'ensuit un silence pesant jusqu'à ce que Léodagan tente une diversion. Léodagan (à Ygerne) : Vous mettez combien de temps d'ici à Tintagel ? Ygerne (faisant la tête) : Avec des chevaux frais il faut compter un jour et demi.

Guenièvre : J'aurais dit moins loin moi... GENERIQUE

Arthur et Guenièvre sont dans leur chambre, le roi lit un livre.

Guenièvre : Vous avez pas envie d'parler ? Arthur : Si vous voulez, parler de quoi ?

Guenièvre : Je pensais à votre maman...

Arthur : Eh ben ?

Guenièvre : Je m'disais... vous pensez pas qu'il faudrait qu'elle se trouve quelqu'un ? Arthur Voix Off : Ouais nan en fait j'ai pas envie d'parler. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#165-La Visite d'Ygerne #165-Ygerne's Visit

Guenièvre et Arthur sont au lit. Ce dernier rappelle à sa femme que c'est demain que vient Ygerne, la mère d'Arthur. Guenièvre lui répond que cela fait de nombreuses fois qu'il lui répète mais il n'a pas à s'inquiéter, tout est prêt pour la recevoir. Arthur nie s'inquiéter, mais il demande tout de même à sa femme d'arranger sa coiffure pour demain. Guenièvre est exaspérée.

Générique Arthur se promène dans les allées extérieures du château avec sa mère. Elle trouve que le château fait trop "tape à l'oeil". Arthur ne trouve pas que ce soit le cas. Il lui propose de passer à table, mais elle s'étonne que ce soit déjà l'heure du repas. Arthur lui dit qu'ici on mange quand on faim, elle réplique aussitôt qu'à Tintagel on mange quand on l'a mérité. Arthur insiste : à Kaamelott, on mange quand on a faim. *** A la table du Roi. Arthur s'inquiète car sa mère ne mange pas. Mais elle trouve la nourriture beaucoup trop riche et trop en abondance. Elle en profite pour rajouter que du temps de Pendragon, on aurait pu nourrir dix soldats avec une seule assiette d'ici. Léodagan confirme qu'en ce temps là c'était la famine. Ygerne se demande si les soldats partent au front avec autant de nourriture. Arthur lui dit simplement qu'ils essaient d'éviter les laitages, alors que Guenièvre ajoute qu'elle prépare des galettes à son mari avant de partir. Ygerne se moque immédiatement de sa belle-fille. Léodagan constate qu'Ygerne "n'est pas une rigolote", et s'imagine l'éducation qu'Arthur a du subir. Arthur aimerait que la discussion change de sujet, mais Ygerne continue en disant que ce n'est pas elle qu'il l'a élevé, et qu'elle a du mal à croire qu'il est le fils de Pendragon. Léodagan confirme que son père n'était pas tendre. Pour exemple, si on lui marchait sur le pied, il vous crevait un oeil. Timidement le Roi dit qu'il n'a pas connu son père, ce qui attriste Guenièvre. Mais Arthur s'offusque : il a eut son père adoptif. Mais Ygerne le coupe en lui disant qu'il était fermier. Arthur s'énerve. Peut être que Pendragon était bien, mais il était mort. Il ne veut plus en entendre parler. Voyant la réaction de sa famille, Arthur s'excuse. *** Guenièvre s'inquiète car Arthur ne mange pas. Mais il l'envoie bouler, ce qui va immédiatement causer la colère de Guenièvre. Ygerne réplique à son fils qu'il n'a pas à se laisser parler ainsi. Elle a peine commencé sa phrase sur "au temps de Pendragon" que Arthur la coupe avec fureur. Il en assez d'entendre toujours parler de son père qu'il n'a pas connu. De plus, il estime qu'il n'est pas comme lui : si on lui marche sur le pied on s'excuse, et lui répond que ce n'est pas grave... Le silence s'étant installé, Léodagan demande à Ygerne combien de temps elle met pour rentrer à Tintagel. Elle lui répond qu'avec des chevaux frais il lui faut un jour et demi. Guenièvre pensait que c'était moins loin. Générique Au lit, Guenièvre fait une tentative pour discuter avec son mari. Elle pense qu'Ygerne devrait se retrouver quelqu'un. En voix off, Arthur dit qu'il n'a pas envie de parler. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur et Guenièvre sont dans leur lit. Cette dernière lit un parchemin. Le roi a l'air stressé. Arthur : Vous oubliez pas qu'c'est demain qu'ma mère arrive ? Guenièvre : Ca fait 15 fois que vous m'le répêtez arrêtez d'vous inquiéter. Tout est près pour la recevoir.

Arthur : Mais j'm'inquiète pas. (un temps) Heu... demain vous f'rez gaffe, hein, votre coiffure, aujourd'hui c'était un peu... hein avec ma mère faut qu'ça soit carré. Guenièvre est exaspérée.

GENERIQUE

Arthur marche dans la cour du château avec sa mère. Derrière eux, des gardes portent les affaires d'Ygerne. Ygerne : Alors c'est ça, Kaamelott ? Intéressant.

Arthur : Vous savez mère vos appartements vous attendent, vous venez vivre ici quand vous voulez.

Ygerne : Qu'elles sont claires ces pierres ! Arthur : Bah elles viennent d'une carrière du Pays d'Galles, elles sont comme celles de Stonehedge j'ai pensé qu'ça ferait ton sur ton. Ygerne : Et vous n'avez pas peur qu'ça fasse un peu tape à l'oeil ? Arthur : Tape à l'oeil ? J'en sais rien. Vous trouvez ça vulgaire ?

Ygerne : Vulgaire ? Oui, mais pas seulement.

Arthur : Okay... Bon on va ptet passer à table vous devez avoir faim.

Ygerne : C'est à cette heure-ci qu'on mange chez vous ? Arthur : Comment ça chez moi ? J'en sais rien on mange quand on a faim pourquoi, vous mangez à quelle heure à Tintagel ? Ygerne : A Tintagel on mange quand on l'a mérité, quand on a accompli ses commandements avec humilité et qu'on a glorifié sa famille ! Arthur : Oui... non nous on mange quand on a faim.

***

Plus tard...

Dans la salle à manger. Arthur est avec sa mère, sa femme et ses beaux-parents.

Arthur : Vous mangez pas mère ?

Ygerne : Tout ça est beaucoup trop riche pour moi.

Guenièvre : Si c'est le jus qui vous dérange vous êtes pas obligée de saucer hein. Ygerne : Ce qui me dérange c'est l'oppulence, la profusion. Du temps de votre père avec ce qu'il y a dans mon assiette on nourrissait 10 soldats. Léodagan : Du temps d'son père c'était la famine, j'peux vous dire j'ai bien connu. Séli : J'vois pas l'rapport, maintenant la bouffe y en a. Guenièvre : Du coup j'vois pas pourquoi on s'priverait. Ygerne : Et c'est engorgé de sauce et de vin romain que vous menez vos troupes au front ? Arthur : Ben disont qu'avant d'partir en campagne j'essaye d'éviter les laitages quoi... Guenièvre : J'lui fais préparer des ptites galettes d'avoines qu'il emporte dans son bardat. Ygerne : Au cas où il aurait une petite "faim-faim" ? Léodagan : Dites donc votre mère c'est pas une rigolade hein ! Votre éducation ça a dû être... (mime un carré)

Ygerne : C'est pas moi qui l'ai élevé ! Ca se voit.

Arthur : Bon, ça vous embête si on parle d'autre chose ? Ygerne : Franchement quand je vous regarde j'ai peine à croire que le sang de Pendragon coule dans vos veines. Léodagan : C'est vrai qu'c'était un sacré l'papa ! Fallait pas v'nir lui souffler dans les narines. Vous lui marchiez sur le pied, il vous crevait un oeil.

Arthur : J'l'ai pas connu. Ygerne : Ca s'voit ! Guenièvre : C'est triste quand même de pas connaître son père... Arthur : Attendez j'en ai un d'père, un père adoptif quoi. Ygerne : Un fermier.

Arthur : Mais il était pas que fermier, il était chevalier aussi.

Ygerne : Un chevalier-fermier ? Léodagan : Il était plus fermier que chevalier quand même...

Arthur (énervé) : Bon bah ça va maintenant ! Pendragon Pendragon, il était sûrement très bien mais il était mort. Quand même pas ma faute, alors arrêtez d'me faire chier. Silence autour de la table.

Arthur : 'Scuzez moi c'est parti tout seul. ***

Plus tard...

Arthur a l'air renfrogné. Guenièvre : Mais qu'est-ce qui vous arrive ce soir vous picorez ? Arthur : Rien ça va.

Guenièvre : Ca vous plait pas ? Vous voulez que j'vous fasses préparer autre chose ? Arthur : Ca va j'vous dis. Guenièvre (vexée) : Oh c'est pas la peine d'être désagréable hein ! Si vous êtes mal luné vous avez qu'à aller vous coucher ! Ygerne : Et vous vous laissez parler comme ça ? Du temps de Pendragon...

Arthur (explose) : Ah mais merde avec Pendragon ! Fallait pas lui parler comme ci fallait pas lui parler comme ça, quand on lui marchait sur le pied il vous crevait un oeil ! Moi quand on m'marche sur le pied eh ben on m'dit pardon, et puis j'répond c'est pas grave ! J'suis pas une espèce de gros taré à qui on peut jamais rien dire ! Alors foutez-moi la paix avec ce con et finissez c'qu'on vous a mis dans vos assiettes ! Il jette sa cuillère sur la table, ce qui fait sursauter tout le monde. S'ensuit un silence pesant jusqu'à ce que Léodagan tente une diversion. Léodagan (à Ygerne) : Vous mettez combien de temps d'ici à Tintagel ? Ygerne (faisant la tête) : Avec des chevaux frais il faut compter un jour et demi.

Guenièvre : J'aurais dit moins loin moi... GENERIQUE

Arthur et Guenièvre sont dans leur chambre, le roi lit un livre.

Guenièvre : Vous avez pas envie d'parler ? Arthur : Si vous voulez, parler de quoi ?

Guenièvre : Je pensais à votre maman...

Arthur : Eh ben ?

Guenièvre : Je m'disais... vous pensez pas qu'il faudrait qu'elle se trouve quelqu'un ? Arthur Voix Off : Ouais nan en fait j'ai pas envie d'parler. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott