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FREQUENCE TERRE, Conférence de Copenhague : travaux falsifiés ? - Publiée le 5-12-2009

Conférence de Copenhague : travaux falsifiés ? - Publiée le 5-12-2009

A l'annonce sur Internet d'une série de chroniques consacrées à la Conférence de Copenhague sur « Fréquence Terre », quelques réactions ont fusé. Parmi elles, celle de Jo M. qui pose un véritable problème de crédibilité à ladite conférence : « Faites un véritable travail de journaliste !

, dit-il. Voyez aussi les arguments des scientifiques qui ne sont pas d'accord avec les conclusions du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) sur lesquelles se basera la conférence de Copenhague et qui, quoiqu'on dise, ne sont pas tous payés par les pétroliers ! Des dizaines de milliards d'euros risquent d'être dépensés en vain, sur base de travaux falsifiés comme le récent « climategate » le démontre. Ma réponse est la suivante :

« Selon diverses sources sérieuses, l'OMC (Organisation Mondiale du Commerce) tente de peser sur Copenhague au nom du dogme du libre-échange et qu'aucun obstacle ne doit venir entraver. L'OMC c'est, selon ces mêmes sources fiables, le démantèlement du droit du travail, la remise en cause des acquis sociaux, l'agro-business, les OGM, etc. Je pense qu'il fallait être ouvert au dialogue, d'où la présente chronique. Jean-Denis L. l'a bien compris en ajoutant le commentaire suivant : « On n'a jamais vu autant de voitures en circulation. L'argent et le profit passent avant le reste, malheureusement », conclut-il. Pour notre part, il reste à espérer que Copenhague ne sera pas similaire à ce triste dernier constat sans apporter des solutions fiables et durables.

Pierre Guelff.


Conférence de Copenhague : travaux falsifiés ? - Publiée le 5-12-2009 Copenhagen Conference: falsified work? - Published on 5-12-2009 Conferentie van Kopenhagen: vervalst werk? - Gepubliceerd op 5-12-2009

A l'annonce sur Internet d'une série de chroniques consacrées à la Conférence de Copenhague sur « Fréquence Terre », quelques réactions ont fusé. Al anuncio en Internet de una serie de columnas dedicadas a la Conferencia de Copenhague sobre "Frecuencia de la Tierra", han surgido algunas reacciones. Parmi elles, celle de Jo M. qui pose un véritable problème de crédibilité à ladite conférence : « Faites un véritable travail de journaliste ! Entre ellos, el de Jo M. que plantea un verdadero problema de credibilidad a dicha conferencia: "¡Haz un verdadero trabajo como periodista!"

, dit-il. Voyez aussi les arguments des scientifiques qui ne sont pas d'accord avec les conclusions du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) sur lesquelles se basera la conférence de Copenhague et qui, quoiqu'on dise, ne sont pas tous payés par les pétroliers ! Véanse también los argumentos de los científicos que no están de acuerdo con las conclusiones del IPCC (Panel Intergubernamental sobre Cambio Climático) en el que se basará la conferencia de Copenhague y que, se diga lo que se diga, no lo están. ¡Todo pagado por los camiones cisterna! Des dizaines de milliards d'euros risquent d'être dépensés en vain, sur base de travaux falsifiés comme le récent « climategate » le démontre. Decenas de miles de millones de euros corren el riesgo de gastarse en vano, sobre la base de un trabajo falsificado, como demuestra el reciente "Climategate". Ma réponse est la suivante :

« Selon diverses sources sérieuses, l'OMC (Organisation Mondiale du Commerce) tente de peser sur Copenhague au nom du dogme du libre-échange et qu'aucun obstacle ne doit venir entraver. “Según varias fuentes serias, la OMC (Organización Mundial del Comercio) está tratando de influir en Copenhague en nombre del dogma del libre comercio y que ningún obstáculo debería interponerse en el camino. L'OMC c'est, selon ces mêmes sources fiables, le démantèlement du droit du travail, la remise en cause des acquis sociaux, l'agro-business, les OGM, etc. La OMC es, según estas mismas fuentes confiables, el desmantelamiento de la legislación laboral, el cuestionamiento de las conquistas sociales, la agroindustria, los transgénicos, etc. Je pense qu'il fallait être ouvert au dialogue, d'où la présente chronique. Creo que teníamos que estar abiertos al diálogo, de ahí esta columna. Jean-Denis L. l'a bien compris en ajoutant le commentaire suivant : « On n'a jamais vu autant de voitures en circulation. L'argent et le profit passent avant le reste, malheureusement », conclut-il. Pour notre part, il reste à espérer que Copenhague ne sera pas similaire à ce triste dernier constat sans apporter des solutions fiables et durables.

Pierre Guelff.