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French LingQ Podcast 1.0, # 24 Steve & Matthieu - Le Podcast High Tech

# 24 Steve & Matthieu - Le Podcast High Tech

S.

: Ici c'est Steve. M.

: Comment vas-tu?

S.

: Ça va très bien, merci. Et toi-même? On se tutoie. Là, je ne sais pas les habitudes en Belgique.

M.

: En Belgique? Oui, oui, bien sûr.

S.

: Ok.

Bien, très bien.

M.

: En Belgique. Bien, ça dépend. En fait, ça dépend dans quel cadre. Ça peut arriver que… Oui, c'est vrai que si on ne connaît pas la personne, on se vouvoie en général. En tout cas dans le domaine des affaires. Mais bon, ici c'est Skype, on est tranquille, on est détendu. S.

: Exactement.

M.

: Il n'y a pas de problème de ce côté-là. S.

: Bon. J'ai vu le site. Je suis très impressionné par ce que, là, vous êtes en train de faire. J'ai écouté quelques podcasts que vous avez faits à des lycées… dans des lycées, là, je crois. C'était à Lille. M.

: Alors oui, c'est un projet collaboratif avec le lycée de Lille. Et c'est Michel Goddard qui s'occupe des relations publiques qui a initié ce projet, effectivement, dans lequel participaient, donc, différents élèves ainsi que des managers et des chefs d'entreprise. S.

: Oui.

J'ai vu, par exemple, qu'il y avait, donc, le chef de Google – Google-Belgique – et que vous avez discuté du Web 2.0, par exemple. M.

: Oui, tout à fait. Donc, ici, c'était dans le cadre des études des élèves, donc, qui est Éric Portier qu'on a reçu déjà pour la deuxième fois, en fait. Hein?

S.

: Oui.

M.

: On le connaît très, très bien. Quelqu'un de très, très sympathique qui gère, effectivement, Google-Belgique. C'est le « Country Manager », donc, qui définit la stratégie ici pour la Belgique. Bon bien, la Belgique par rapport au reste du globe, ce n'est pas grand-chose. Hein?

C'est juste un petit pointillé. Mais c'est vrai qu'on a ici, dans notre projet, on invite des personnes qui gèrent des projets innovants, qui sont dans des sociétés qui proposent, justement, des technologies qui sont sur le Web, le Web 2.0, qui proposent des nouvelles technologies et qui sont passionnantes, en fait. Hein?

C'est surtout ça qui nous intéresse, c'est de les inviter. Régulièrement, on invite, d'ailleurs, des gens à parler de leur société dans nos podcasts. S.

: Donc, comme ça, ce n'est pas uniquement des questions, comment dirais-je, purement techniques mais aussi des questions de marketing, de l'interaction sociale, de tout ce qu'il y a de nouveau qui s'en vient avec l'Internet. M.

: Oui.

C'est exactement ça. Pourquoi? Parce qu'on est passionné, nous, chacun, de la technologie. On utilise le Web, on utilise, par exemple les outils comme Skype pour, justement, communiquer avec des personnes qui se trouvent à l'autre bout du monde. Hein?

Comme…

S.

: Oui, bien sûr. Oui.

M.

: Donc c'est vrai que c'est… tout ce qu'on a à proximité et tout ce qu'on a comme outils nous permettent de faire des choses formidables et on est tous dans le… on est dans le métier. Hein?

On a une équipe avec des gens qui sont dans les télécommunications, dans l'informatique. Et, donc, c'est ça qui nous passionne et c'est ça… c'est pour ça qu'on le fait. S.

: Oui.

Et les…

M.

: On a, effectivement… on a effectivement… C'est Michel, bon, pour le lycée, c'est Michel Goddard qui a initié ce projet. Il est passionné de…

S.

: Et les lycéens, d'un côté, et puis les gens qui vous écoutent et qui vous écrivent de temps en temps, est-ce qu'ils s'intéressent… est-ce que c'est surtout des questions techniques qui les intéressent ou la, disons, la manière que ce sera utilisé et tous les aspects, disons, sociaux, etcetera? Bien plus marketing, oui.

M.

: Alors, c'est assez étonnant. On a… parmi le public, on aussi bien des… ils sont principalement des gens qui sont dans le métier et qui… qui, justement, recherchent… recherchent justement à se divertir mais de manière aussi intelligente, on va dire. Hein?

Entre guillemets. Pour, justement, être… rester au courant de ce qui se passe sur le Web, des nouvelles technologies qui existent. Et, parmi notre public, on a deux genres de personnes : on a des professionnels qui sont programmeurs, qui sont ingénieurs en informatique et qui, justement, utilisent notre podcast pour, dans la voiture ou pendant les embouteillages, pour pouvoir se divertir, et puis alors, on a également pas mal, aussi, de femmes qui réagissent. Ça c'est étonnant. Et c'est un public féminin et, ça, c'est principalement lorsqu'on organise des concours. Alors, évidemment, on a… c'est principalement les femmes qui réagissent et, donc, là… Quand il s'agit de gagner des cadeaux, elles sont… elles sont toujours là. Mais c'est ce qui est étonnant parce que, effectivement, comme on a… parmi le panel, on a des chefs d'entreprise qu'on invite mais nous, on est plutôt techniciens. Techniciens mais, en même temps, on a des profils qui sont aussi technico-commerciaux, aussi, puisqu'on a pas mal d'affinité avec le contact client. On est issus des télécommunications mais, le contact, la communication, c'est quelque chose qu'on a en soi et qu'on aime bien partager, justement. C'est pour ça qu'on organise ce pod. C'est pour pouvoir partager aussi nos connaissances avec… Mais on n'a pas vraiment un axe technique, on essaye de le rendre accessible à un maximum de personnes, évidemment. Parce que si on était trop technique ou si on utilisait un jargon trop complexe, bien, la plupart des personnes seraient larguées et ce qu'on essaye d'atteindre, c'est un public le plus large possible. S.

: Oui.

Bien, c'est très intéressant pour nous parce que, justement là, pour l'apprentissage des langues, et moi j'en parle dix donc j'ai un peu d'expérience dans le domaine, si on peut apprendre les langues – les langues étrangères – à travers des matières, des sujets qui nous intéressent, bien on apprend beaucoup plus vite. Ça semble évident mais là, dans les écoles, on enseigne les langues comment? On enseigne par des livres de textes qui ne sont pas intéressants, on oblige les élèves à étudier la matière que le professeur veut imposer, etcetera. Alors que, chez nous, on veut offrir, justement, à nos membres toute une gamme de contenus. Donc il y a beaucoup, beaucoup d'ailleurs de nos apprenants, qu'ils soient Japonais, Espagnols, enfin, n'importe quoi, qui sont déjà dans la haute technique… enfin, la… comment on dit, technique d'information… l'informatique. Donc…

M.

: Oui.

S.

: Parce que, pour eux, c'est plus facile d'accéder à notre système. Mais on a aussi beaucoup de femmes, aussi surtout au Japon d'ailleurs qui étudient le Français, enfin. Donc, pour avoir un sujet qui les intéresse, ça peut être l'informatique, ça peut être, je ne sais pas, la cuisine, ça peut être les sports, n'importe quoi, mais qu'on puisse étudier ç travers des matières, là, qui nous intéressent c'est très important. M.

: Je pense qu'effectivement on obtient des résultats qui sont meilleurs. Ça, ça me parait évident. Si ce n'est que pour se concentrer sur un sujet qui nous passionne, c'est beaucoup plus agréable, c'est beaucoup plus gai pour apprendre parce que ça devient quasi… pas naturel mais au moins, si on fait cet effort d'apprendre cette langue ou bien ce sujet-là, c'est vrai que je suis convaincu que c'est effectivement une très bonne chose de proposer des sujets précis. Maintenant, c'est vrai que l'apprentissage de la langue c'est quelque chose. Moi, j'ai quoi, j'ai le Français, j'ai le Néerlandais… S.

: Ah bon? Ah bien, très bien.

M.

: … et l'Anglais mais, bon, l'Anglais technique. Principalement. Parce que, il ne faut pas me demander à parler de la pluie et du beau temps en Anglais parce que je n'ai jamais eu l'occasion de le faire non plus. Mais c'est vrai que, les langues, c'est quelque chose qu'on a tous en soi. Hein?

Donc, il faut avoir une oreille, évidemment. Hein?

S.

: Mais il faut… Pas nécessairement. Vous pouvez aller, là, tu peux aller sur notre système. On a, par exemple… Est-ce que tu connais « IT Conversations ». Ça c'est un podcast qu'on met sur notre système, avec les « transcrits » d'ailleurs, et ça parle de l'informatique - « IT » donc, « Information Technology » - mais c'est une façon de parler très… comment dirais-je… c'est des conversations. Alors quand il s'agit de conversations, souvent le vocabulaire utilisé est plus limité donc c'est plus facile. Et je crois que pour toi ça serait intéressant. Mais… Qu'est-ce que je voulais dire? Nous, aussi, on se veut une espèce de Web 2.0 parce que nos membres nous donnent aussi, enfin, il y a beaucoup d'interactions. On a nos membres qui nous créent des contenus. Par exemple, un de nos membres Français qui est allé à Zanzibar en vacances, bien, il nous donne une espèce de monologue sur sa visite à Zanzibar. On a des membres qui se parlent entre eux, comme nous faisons maintenant, par exemple, et qui nous donnent… contribuent cela à notre communauté. Donc on est… on se veut, d'ailleurs, un exemple de l'apprentissage – des langues cette fois-ci – à travers une communauté - parce que la plupart de nos membres ne paient pas, hein – c'est souvent quand on veut avoir un tuteur ou des services spéciaux qu'on paye d'avantage, enfin, qu'on paye. Mais, donc, c'est un exemple de ce genre de… où le marketing et l'information et la communication et les consommateurs et les producteurs, ils sont tous mélangés… tout est mélangé ensemble. Oui.

M.

: Mais c'est ça qui est intéressant. C'est vrai que la formule en apprenant par les podcasts c'est pratique et puis l'avantage c'est qu'on peut l'apprendre au moment où on veut. C'est ça. C'est surtout ça. On l'a sur son iPod – tout le monde a un iPod, de nos jours – on le prend avec et c'est parti. Que ce soit dans les embouteillages, que ce soit en allant dormir. Moi j'écoute… pour aller dormir, j'écoute régulièrement la musique en podcast. Donc, je télécharge mes podcasts et puis avant d'aller dormir « Hop! » je lance un petit podcast et puis, voilà, je m'endors et puis, une heure après, ça se coupe tout seul. S.

: Ah bon.

M.

: Souvent je me retrouve, d'ailleurs, avec les oreilles… bien, j'ai des petites oreillettes intra-auriculaires. Et puis, je me réveille avec les oreillettes… le matin avec les oreillettes… je suis couché dessus et puis ça me gratte. Ce n'est pas toujours évident mais ça marche très, très bien, par exemple. S.

: Mais, pour mous…

M.

: Pour moi, je trouve ça…

S.

: Pour notre système, là, il faut quand même le « transcrit ». Donc, il faut le texte. C'est pour ça que nous allons travailler avec vous, là, qu'on va vous donner, donc, les « transcrits ». Nous, on va les utiliser. Comme ça, les gens qui vont écouter notre podcast ou les podcasts que vous faites, là, sur le site, et on va donner des renseignements à nos membres pour qu'ils aillent directement télécharger, donc, ces podcasts mais qu'ils puissent ensuite les étudier dans notre système. Alors, tous les mots qu'ils ne connaissent pas, ils vont les chercher, ils vont les mettre dans leur base de donnée, ils vont pouvoir, donc, réviser avec les « Flash Cards » comme ça. Donc, petit à petit, la… disons, la terminologie technique en Français, ça deviendra… Donc, ils vont pouvoir comprendre de mieux en mieux. Oui.

M.

: C'est ça. Mais ce qui est, justement… Ce qu'on essaye de faire aussi, c'est d'utiliser un minimum de termes techniques et alors, quand on… quand ça vient, parce que c'est automatique. Hein?

On ne fait pas attention mais on utilise toujours un terme ou un jargon ou il y a des abréviations. À tout moment, j'essaye – parfois je l'oublie ou parfois je fais l'erreur moi-même – mais j'essaye chaque fois de le traduire. Donc, si c'est un mot en Anglais, j'essaye de le traduire quand même pour que les gens puissent comprendre de quoi il s'agit. Quand on parle d'un SDK dans une conversation ou dans une phrase, c'est toujours bien d'expliquer ce que c'est un SDK, qu'il s'agit d'un kit de développement pour logiciel. Mais…

S.

: C'est quoi un SDK? C'est quoi un SDK, par exemple? M.

: C'est ça. C'est un « Software Development Kit ». Donc, c'est un kit de développement logiciel qui sert, par exemple, à créer une application pour un téléphone mobile ou créer une application pour une application Web. Donc c'est ce genre de… On essaye d'avoir un but aussi, on va dire, éducatif, entre guillemets. Même si, effectivement, je veux dire, on n'a pas d'aspiration à être, comment dire, à devenir une école technique ou une école de nouvelles technologies. Mais on essaye quand même de le rendre accessible au plus grand nombre. Je pense que c'est important pour notre développement et puis pour que, justement, pas mal… pour que beaucoup de gens s'y intéressent aussi. Et…

S.

: Et les gens… Pardon.

M.

: Non, vas-y. Dis-moi.

S.

: Oui, j'allais dire, les gens qui vous écoutent, est-ce qu'ils sont surtout en Belgique, en France, en Suisse, partout au monde? Est-ce que vous avez une idée, là, de votre… Oui.

M.

: C'est la France et la Belgique. Et, bien sûr, on a la France en premier. Pourquoi? Parce que le potentiel et le nombre de francophones est quand même décuplé en France. Donc le nombre d'auditeurs Français est plus important que le nombre d'auditeurs Belges. Donc, c'est d'abord les Français, ensuite les Belges et alors… En fait, on s'adresse… l'avantage c'est qu'on s'adresse à tous les francophones du monde. Hein?

Donc c'est ça également le… S.

: Au Canada? Le Québec? Vous avez des Québécois?

M.

: Alors, je n'ai pas… eh bien, je n'ai pas eu l'occasion de côtoyer d'auditeurs Québécois mais, bon, vous êtes les premiers. Et, d'ailleurs, je suis très, très, très content et très fier d'avoir un contact au Canada parce que, dans le concept et dans l'idée, moi, ce que j'aimerais bien également développer, c'est des podcasts, justement, avec de l'actualité vue par des gens qui se trouvent au Canada. S.

: Oui.

M.

: Et, c'est chouette parce que si, maintenant, parmi votre staff il y a des gens qui aimeraient bien faire des podcasts en présentant des sujets « hi-tech » depuis le Canada, moi ça m'intéresserait bien. J'ai déjà, donc, Sylvain Raton qui est un correspondant en France. S.

: Oui.

M.

: Et, alors, je suis en pourparlers avec la Suisse aussi. Parce que…

S.

: Mais nous avons… mais, justement, chez nous, là, on est à Vancouver. Hein?

Et, moi, je parle Français mais je ne connais pas la technologie. Mais on a deux programmeurs. Un, il est Russe et l'autre, il est Français. Mais de France.

M.

: Ah, mais tiens!

S.

: Mais il habite à Vancouver.

M.

: Ah, oui, oui. C'est ça. S.

: Donc, lui - maintenant, il est en vacances - il est en France mais quand il sera de retour, bien lui, il pourrait faire… donner un reportage de Vancouver, de ce qui se passe ici sur la côte Ouest. Si ça t'intéresse. M.

: Ça ce serait vraiment chouette.

S.

: Oui?

M.

: Ça ce serait vraiment chouette.

S.

: Ah, bien, on va le faire.

M.

: Oui.

Ah, oui, oui. Ça, ce serait vraiment, vraiment bien. Et, alors, ce sont des séquences de… on parle… l'avantage, c'est qu'ici on parle de sujets qui nous intéressent. Donc, il n'y a pas de sujets qui sont… S.

: Lui, il vient de Nancy. Il vient de Nancy. Donc, pas trop loin de chez vous, là.

M.

: Ah bien, c'est une excellente… Ah oui, ça c'est une très bonne… une très chose. Moi ça me… ça me botterait bien. Parce que, justement, je trouve ça enrichissant, déjà d'une part, et puis c'est gai et c'est… il faut utiliser le potentiel qu'Internet nous permet, justement de… nous propose. Hein?

C'est vraiment ça. Hein?

S.

: Absolument. Bien, voilà. Peut-être qu'on peut terminer là-dessus. C'est notre première conversation. J'ai beaucoup apprécié. Merci beaucoup.

Et j'apprécie beaucoup la collaboration qu'on peut avoir maintenant. Et puis, Henry Prêcheur, comme il s'appelle, il sera de retour dans deux semaines, puis on va reprendre contact et trouver, disons, un moment qui convient et puis on va faire une interview entre vous deux, là. Ok?

M.

: Ah bien, c'est excellent. Impeccable.

S.

: Très bien.

M.

: Eh bien, super. Moi, je te remercie pour ce petit… ce petit entretien.

S.

: Bien, c'est moi qui remercie. M.

: On se tient au courant, bien sûr. S'il y a quoi que ce soit, tu m'envoies un petit mail ou tu n'hésites pas. Hein?

S.

: Oui.

Puis je vais mettre… on va monter ça sur notre site, je vais t'envoyer, enfin, les détails, là, pour que si il t'intéresse, tu peux l'écouter. Sinon, sert- toi, là au site, parce que pour que ça soit… On n'a pas… qu'est-ce qu'on a… on n'a pas, par exemple, le Néerlandais. Mais, un jour, on veut aussi offrir le Néerlandais. Peut-être que tu pourrais faire une discussion en Néerlandais pour nos membres. Enfin…

M.

: Avec plaisir…

S.

: Ok.

Merci beaucoup.

M.

: … Steve.

S.

: Ok.

M.

: À bientôt!

S.

: À bientôt. Au revoir!

M.

: Ciao!

S.

: Ciao!

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S.

:             Ici c'est Steve. M.

:            Comment vas-tu?

S.

:             Ça va très bien, merci. Et toi-même? And yourself? On se tutoie. We're on first-name terms. Là, je ne sais pas les habitudes en Belgique. I don't know about habits in Belgium.

M.

:            En Belgique? Oui, oui, bien sûr. Yes, yes, of course.

S.

:             Ok.

Bien, très bien. Good, very good.

M.

:            En Belgique. Bien, ça dépend. Well, that depends. En fait, ça dépend dans quel cadre. In fact, it depends in which setting. Ça peut arriver que…  Oui, c'est vrai que si on ne connaît pas la personne, on se vouvoie en général. It can happen that ... Yes, it's true that if you don't know the person, you usually see yourself. En tout cas dans le domaine des affaires. At least in business. Al menos en el ámbito empresarial. Mais bon, ici c'est Skype, on est tranquille, on est détendu. But hey, here it's Skype, we're quiet, we're relaxed. Pero bueno, aquí está Skype, estamos tranquilos, estamos relajados. S.

:             Exactement.

M.

:            Il n'y a pas de problème de ce côté-là. : There is no problem on that side. : No hay problema por ese lado. S.

:             Bon. J'ai vu le site. I saw the site. Je suis très impressionné par ce que, là, vous êtes en train de faire. I'm very impressed with what you're doing here. Estoy muy impresionado con lo que está haciendo allí. J'ai écouté quelques podcasts que vous avez faits à des lycées… dans des lycées, là, je crois. I listened to some podcasts that you did at high schools…in high schools there, I believe. Escuché algunos podcasts que hiciste en la escuela secundaria ... en la escuela secundaria, creo. C'était à Lille. It was in Lille. Fue en Lille. M.

:            Alors oui, c'est un projet collaboratif avec le lycée de Lille. : Yes, it's a collaborative project with the Lille high school. : Entonces sí, es un proyecto colaborativo con el Lycée de Lille. Et c'est Michel Goddard qui s'occupe des relations publiques qui a initié ce projet, effectivement, dans lequel participaient, donc, différents élèves ainsi que des managers et des chefs d'entreprise. And it was Michel Goddard, who is in charge of public relations, who actually initiated this project, in which various students participated, as well as managers and business leaders. Y es Michel Goddard quien está a cargo de las relaciones públicas quien inició este proyecto, precisamente, en el que participaron, por tanto, diversos estudiantes así como directivos y líderes empresariales. S.

:             Oui.

J'ai vu, par exemple, qu'il y avait, donc, le chef de Google – Google-Belgique – et que vous avez discuté du Web 2.0, par exemple. M.

:            Oui, tout à fait. Donc, ici, c'était dans le cadre des études des élèves, donc, qui est Éric Portier qu'on a reçu déjà pour la deuxième fois, en fait. So, here, it was in the context of student studies, so who is Éric Portier, whom we have already received for the second time, in fact. Hein?

S.

:             Oui.

M.

:            On le connaît très, très bien. We know him very, very well. Quelqu'un de très, très sympathique qui gère, effectivement, Google-Belgique. C'est le « Country Manager », donc, qui définit la stratégie ici pour la Belgique. It is the "Country Manager", therefore, who defines the strategy here for Belgium. Bon bien, la Belgique par rapport au reste du globe, ce n'est pas grand-chose. Well, Belgium compared to the rest of the globe, it's not much. Bueno, Bélgica en comparación con el resto del mundo no es mucho. Hein?

C'est juste un petit pointillé. It's just a little dotted line. Es solo una pequeña línea de puntos. Mais c'est vrai qu'on a ici, dans notre projet, on invite des personnes qui gèrent des projets innovants, qui sont dans des sociétés qui proposent, justement, des technologies qui sont sur le Web, le Web 2.0, qui proposent des nouvelles technologies et qui sont passionnantes, en fait. But it's true that in our project, we're inviting people who manage innovative projects, who work for companies that offer Web technologies, Web 2.0, that offer new technologies and that are exciting, in fact. Hein?

C'est surtout ça qui nous intéresse, c'est de les inviter. This is what interests us above all, it is to invite them. Esto es lo que nos interesa sobre todo, es invitarlos. Régulièrement, on invite, d'ailleurs, des gens à parler de leur société dans nos podcasts. In fact, we regularly invite people to talk about their companies on our podcasts. S.

:             Donc, comme ça, ce n'est pas uniquement des questions, comment dirais-je, purement techniques mais aussi des questions de marketing, de l'interaction sociale, de tout ce qu'il y a de nouveau qui s'en vient avec l'Internet. : So, like that, it's not just questions, how shall I put it, purely technical but also questions of marketing, of social interaction, of everything new that is coming with the Internet. : Entonces, así, no son solo preguntas, cómo lo diría, puramente técnicas, sino también cuestiones de marketing, de interacción social, de todo lo nuevo que se avecina. con Internet. M.

:            Oui.

C'est exactement ça. Pourquoi? Parce qu'on est passionné, nous, chacun, de la technologie. Porque a todos nos apasiona la tecnología. On utilise le Web, on utilise, par exemple les outils comme Skype pour, justement, communiquer avec des personnes qui se trouvent à l'autre bout du monde. We use the Web and tools like Skype to communicate with people on the other side of the world. Usamos la Web, usamos herramientas como Skype, por ejemplo, para comunicarnos con personas del otro lado del mundo. Hein?

Comme…

S.

:             Oui, bien sûr. Oui.

M.

:            Donc c'est vrai que c'est… tout ce qu'on a à proximité et tout ce qu'on a comme outils nous permettent de faire des choses formidables et on est tous dans le… on est dans le métier. : So it's true that it's… everything we have nearby and everything we have as tools allow us to do great things and we're all in the… we're in the business. Hein?

On a une équipe avec des gens qui sont dans les télécommunications, dans l'informatique. Et, donc, c'est ça qui nous passionne et c'est ça… c'est pour ça qu'on le fait. And, so, that's what excites us and that's… that's why we do it. S.

:             Oui.

Et les…

M.

:            On a, effectivement… on a effectivement…  C'est Michel, bon, pour le lycée, c'est Michel Goddard qui a initié ce projet. Il est passionné de… He is passionate about…

S.

:             Et les lycéens, d'un côté, et puis les gens qui vous écoutent et qui vous écrivent de temps en temps, est-ce qu'ils s'intéressent… est-ce que c'est surtout des questions techniques qui les intéressent ou la, disons, la manière que ce sera utilisé et tous les aspects, disons, sociaux, etcetera? : And the high school students, on the one hand, and then the people who listen to you and who write to you from time to time, are they interested ... are they mainly interested in technical questions? or the, say, the way it will be used and all the, say, social aspects, etcetera? Bien plus marketing, oui. Much more marketing, yes.

M.

:            Alors, c'est assez étonnant. So, it's pretty amazing. : Entonces, es bastante sorprendente. On a… parmi le public, on aussi bien des… ils sont principalement des gens qui sont dans le métier et qui… qui, justement, recherchent… recherchent justement à se divertir mais de manière aussi intelligente, on va dire. We have…among the public, we also many…they are mainly people who are in the business and who…who, precisely, are looking for…just looking for entertainment but in an equally intelligent way, let's say. Hein?

Entre guillemets. In quotation marks. Pour, justement, être… rester au courant de ce qui se passe sur le Web, des nouvelles technologies qui existent. To be, precisely, to stay abreast of what is happening on the Web, of the new technologies that exist. Et, parmi notre public, on a deux genres de personnes : on a des professionnels qui sont programmeurs, qui sont ingénieurs en informatique et qui, justement, utilisent notre podcast pour, dans la voiture ou pendant les embouteillages, pour pouvoir se divertir, et puis alors, on a également pas mal, aussi, de femmes qui réagissent. And, among our audience, we have two kinds of people: we have professionals who are programmers, who are computer engineers and who, precisely, use our podcast for, in the car or during traffic jams, to be able to entertain themselves, and then, we also have a lot of women who react. Ça c'est étonnant. That's amazing. Et c'est un public féminin et, ça, c'est principalement lorsqu'on organise des concours. And it's a female audience and that's mainly when we organize competitions. Alors, évidemment, on a… c'est principalement les femmes qui réagissent et, donc, là…  Quand il s'agit de gagner des cadeaux, elles sont… elles sont toujours là. So, obviously, we have... it's mainly women who react and, so, there... When it comes to winning gifts, they're... they're always there. Mais c'est ce qui est étonnant parce que, effectivement, comme on a… parmi le panel, on a des chefs d'entreprise qu'on invite mais nous, on est plutôt techniciens. But that's what's surprising, because we actually have... among the panel, we invite company directors, but we're more technical people. Techniciens mais, en même temps, on a des profils qui sont aussi technico-commerciaux, aussi, puisqu'on a pas mal d'affinité avec le contact client. Technicians but, at the same time, we have profiles that are also technical-commercial, too, since we have a lot of affinity with customer contact. Técnicos pero, al mismo tiempo, tenemos perfiles también técnico-comerciales, ya que tenemos mucha afinidad con el contacto con el cliente. On est issus des télécommunications mais, le contact, la communication, c'est quelque chose qu'on a en soi et qu'on aime bien partager, justement. We come from telecommunications but, contact, communication, it's something that we have in ourselves and that we like to share, precisely. C'est pour ça qu'on organise ce pod. That's why we're organizing this pod. Por eso estamos organizando este grupo. C'est pour pouvoir partager aussi nos connaissances avec…  Mais on n'a pas vraiment un axe technique, on essaye de le rendre accessible à un maximum de personnes, évidemment. It is to be able to also share our knowledge with ... But we don't really have a technical axis, we try to make it accessible to a maximum of people, of course. Parce que si on était trop technique ou si on utilisait un jargon trop complexe, bien, la plupart des personnes seraient larguées et ce qu'on essaye d'atteindre, c'est un public le plus large possible. Because if we were too technical or if we used too complex jargon, well, most people would be dumped and what we are trying to reach is as wide an audience as possible. S.

:             Oui.

Bien, c'est très intéressant pour nous parce que, justement là, pour l'apprentissage des langues, et moi j'en parle dix donc j'ai un peu d'expérience dans le domaine, si on peut apprendre les langues – les langues étrangères – à travers des matières, des sujets qui nous intéressent, bien on apprend beaucoup plus vite. Well, it's very interesting for us because, precisely there, for language learning, and I speak ten of them so I have a little experience in the field, if we can learn languages - foreign languages – through subjects, subjects that interest us, although we learn much faster. Ça semble évident mais là, dans les écoles, on enseigne les langues comment? On enseigne par des livres de textes qui ne sont pas intéressants, on oblige les élèves à étudier la matière que le professeur veut imposer, etcetera. We teach through books of texts that are not interesting, we force the students to study the subject that the teacher wants to impose, etcetera. Alors que, chez nous, on veut offrir, justement, à nos membres toute une gamme de contenus. Whereas, at home, we want to offer our members a whole range of content. Donc il y a beaucoup, beaucoup d'ailleurs de nos apprenants, qu'ils soient Japonais, Espagnols, enfin, n'importe quoi, qui sont déjà dans la haute technique… enfin, la… comment on dit, technique d'information… l'informatique. So there are many, many moreover of our learners, whether they are Japanese, Spanish, well, whatever, who are already in high technology... well, the... how to say, information technology... computing. Donc…

M.

:            Oui.

S.

:             Parce que, pour eux, c'est plus facile d'accéder à notre système. : Because for them it is easier to access our system. Mais on a aussi beaucoup de femmes, aussi surtout au Japon d'ailleurs qui étudient le Français, enfin. But we also have a lot of women, also especially in Japan, who study French, after all. Donc, pour avoir un sujet qui les intéresse, ça peut être l'informatique, ça peut être, je ne sais pas, la cuisine, ça peut être les sports, n'importe quoi, mais qu'on puisse étudier ç travers des matières, là, qui nous intéressent c'est très important. So, to have a subject that interests them, it could be IT, it could be, I don't know, cooking, it could be sports, anything, but that we can study through subjects , there, that interest us is very important. M.

:            Je pense qu'effectivement on obtient des résultats qui sont meilleurs. : I think that indeed we obtain results which are better. Ça, ça me parait évident. Eso me parece obvio. Si ce n'est que pour se concentrer sur un sujet qui nous passionne, c'est beaucoup plus agréable, c'est beaucoup plus gai pour apprendre parce que ça devient quasi… pas naturel mais au moins, si on fait cet effort d'apprendre cette langue ou bien ce sujet-là, c'est vrai que je suis convaincu que c'est effectivement une très bonne chose de proposer des sujets précis. If it's only to concentrate on a subject that fascinates us, it's much more pleasant, it's much more fun to learn because it becomes almost... not natural but at least, if we make this effort to learn that language or that subject, it's true that I'm convinced that it's actually a very good thing to propose specific subjects. Maintenant, c'est vrai que l'apprentissage de la langue c'est quelque chose. Moi, j'ai quoi, j'ai le Français, j'ai le Néerlandais… I have what, I have French, I have Dutch ... S.

:             Ah bon? Ah bien, très bien.

M.

:            … et l'Anglais mais, bon, l'Anglais technique. Principalement. Parce que, il ne faut pas me demander à parler de la pluie et du beau temps en Anglais parce que je n'ai jamais eu l'occasion de le faire non plus. Because, don't ask me to talk about the rain and the good weather in English because I've never had the opportunity to do so either. Mais c'est vrai que, les langues, c'est quelque chose qu'on a tous en soi. But it's true that languages are something we all have within ourselves. Pero es cierto que los idiomas son algo que todos llevamos dentro. Hein?

Donc, il faut avoir une oreille, évidemment. So you have to have an ear, of course. Así que hay que tener oído, obviamente. Hein?

S.

:             Mais il faut… Pas nécessairement. Vous pouvez aller, là, tu peux aller sur notre système. On a, par exemple…  Est-ce que tu connais « IT Conversations ». Ça c'est un podcast qu'on met sur notre système, avec les « transcrits » d'ailleurs, et ça parle de l'informatique - « IT » donc, « Information Technology » - mais c'est une façon de parler très… comment dirais-je… c'est des conversations. Alors quand il s'agit de conversations, souvent le vocabulaire utilisé est plus limité donc c'est plus facile. So when it comes to conversations, often the vocabulary used is more limited so it's easier. Et je crois que pour toi ça serait intéressant. Y creo que sería interesante para ti. Mais…  Qu'est-ce que je voulais dire? Pero… ¿Qué quise decir? Nous, aussi, on se veut une espèce de Web 2.0 parce que nos membres nous donnent aussi, enfin, il y a beaucoup d'interactions. We, too, want to be a kind of Web 2.0 because our members also give us, well, there are a lot of interactions. Nosotros también queremos ser una especie de Web 2.0 porque nuestros miembros también nos brindan, finalmente, hay muchas interacciones. On a nos membres qui nous créent des contenus. We have our members who create content for us. Par exemple, un de nos membres Français qui est allé à Zanzibar en vacances, bien, il nous donne une espèce de monologue sur sa visite à Zanzibar. On a des membres qui se parlent entre eux, comme nous faisons maintenant, par exemple, et qui nous donnent… contribuent cela à notre communauté. Donc on est… on se veut, d'ailleurs, un exemple de l'apprentissage – des langues cette fois-ci – à travers une communauté - parce que la plupart de nos membres ne paient pas, hein – c'est souvent quand on veut avoir un tuteur ou des services spéciaux qu'on paye d'avantage, enfin, qu'on paye. So we are... we want to be, moreover, an example of learning - languages this time - through a community - because most of our members don't pay, huh - it's often when we wants to have a tutor or special services that we pay more for, well, that we pay for. Mais, donc, c'est un exemple de ce genre de… où le marketing et l'information et la communication et les consommateurs et les producteurs, ils sont tous mélangés… tout est mélangé ensemble. But, so, this is an example of that kind of… where marketing and information and communication and consumers and producers, they're all mixed up… everything is mixed together. Oui.

M.

:            Mais c'est ça qui est intéressant. : But that's what's interesting. C'est vrai que la formule en apprenant par les podcasts c'est pratique et puis l'avantage c'est qu'on peut l'apprendre au moment où on veut. C'est ça. C'est surtout ça. Sobre todo es eso. On l'a sur son iPod – tout le monde a un iPod, de nos jours – on le prend avec et c'est parti. Que ce soit dans les embouteillages, que ce soit en allant dormir. Moi j'écoute… pour aller dormir, j'écoute régulièrement la musique en podcast. Donc, je télécharge mes podcasts et puis avant d'aller dormir « Hop! » je lance un petit podcast et puis, voilà, je m'endors et puis, une heure après, ça se coupe tout seul. »I launch a little podcast and then, here it is, I fall asleep and then, an hour later, it cuts itself off. S.

:             Ah bon.

M.

:            Souvent je me retrouve, d'ailleurs, avec les oreilles… bien, j'ai des petites oreillettes intra-auriculaires. : Often I find myself, moreover, with the ears… well, I have small in-ear headphones. : A menudo me encuentro, además, con los oídos… bueno, tengo pequeños auriculares internos. Et puis, je me réveille avec les oreillettes… le matin avec les oreillettes… je suis couché dessus et puis ça me gratte. And then I wake up with the earbuds...in the morning with the earbuds...I'm lying on it and then it scratches me. Ce n'est pas toujours évident mais ça marche très, très bien, par exemple. S.

:             Mais, pour mous… : Pero, para suave ...

M.

:            Pour moi, je trouve ça…

S.

:             Pour notre système, là, il faut quand même le « transcrit ». : For our system, there must be "transcribed" all the same. Donc, il faut le texte. So you need the text. C'est pour ça que nous allons travailler avec vous, là, qu'on va vous donner, donc, les « transcrits ». That's why we're going to work with you there, that we're going to give you, therefore, the “transcripts”. Nous, on va les utiliser. Comme ça, les gens qui vont écouter notre podcast ou les podcasts que vous faites, là, sur le site, et on va donner des renseignements à nos membres pour qu'ils aillent directement télécharger, donc, ces podcasts mais qu'ils puissent ensuite les étudier dans notre système. Así, las personas que escucharán nuestro podcast o los podcasts que tú haces, ahí, en el sitio, y les daremos información a nuestros miembros para que vayan directamente a descargar, por tanto, estos podcasts pero que luego puedan estudiarlos en nuestro sistema. Alors, tous les mots qu'ils ne connaissent pas, ils vont les chercher, ils vont les mettre dans leur base de donnée, ils vont pouvoir, donc, réviser avec les « Flash Cards » comme ça. So, all the words they don't know, they'll look for them, they'll put them in their database, so they'll be able to revise with “Flash Cards” like that. Donc, petit à petit, la… disons, la terminologie technique en Français, ça deviendra…  Donc, ils vont pouvoir comprendre de mieux en mieux. So, little by little, the… let's say, the technical terminology in French, it will become… So, they will be able to understand better and better. Oui.

M.

:            C'est ça. : That's it. Mais ce qui est, justement… Ce qu'on essaye de faire aussi, c'est d'utiliser un minimum de termes techniques et alors, quand on… quand ça vient, parce que c'est automatique. But what is, precisely... What we also try to do is to use a minimum of technical terms and then, when we... when it comes, because it's automatic. Pero lo que es, precisamente... Lo que también tratamos de hacer es usar un mínimo de términos técnicos y luego, cuando nosotros... cuando viene, porque es automático. Hein?

On ne fait pas attention mais on utilise toujours un terme ou un jargon ou il y a des abréviations. We don't pay attention but we always use a term or jargon or there are abbreviations. À tout moment, j'essaye – parfois je l'oublie ou parfois je fais l'erreur moi-même – mais j'essaye chaque fois de le traduire. All the time I try – sometimes I forget it or sometimes I make the mistake myself – but every time I try to translate it. Donc, si c'est un mot en Anglais, j'essaye de le traduire quand même pour que les gens puissent comprendre de quoi il s'agit. So if it's an English word, I try to translate it anyway so people can understand what it's about. Quand on parle d'un SDK dans une conversation ou dans une phrase, c'est toujours bien d'expliquer ce que c'est un SDK, qu'il s'agit d'un kit de développement pour logiciel. When talking about an SDK in a conversation or in a sentence, it's always good to explain what an SDK is, that it is a software development kit. Cuando hablamos de un SDK en una conversación o en una oración, siempre es bueno explicar qué es un SDK, que es un kit de desarrollo de software. Mais…

S.

:             C'est quoi un SDK? : What is an SDK? C'est quoi un SDK, par exemple? What is an SDK, for example? M.

:            C'est ça. C'est un « Software Development Kit ». Donc, c'est un kit de développement logiciel qui sert, par exemple, à créer une application pour un téléphone mobile ou créer une application pour une application Web. So it's a software development kit that is used, for example, to create an application for a mobile phone or to create an application for a web application. Donc c'est ce genre de…  On essaye d'avoir un but aussi, on va dire, éducatif, entre guillemets. So it's this kind of... We try to have a goal too, let's say, educational, in quotation marks. Así que es ese tipo de ... Tratamos de tener un objetivo también, diremos, educativo, entre comillas. Même si, effectivement, je veux dire, on n'a pas d'aspiration à être, comment dire, à devenir une école technique ou une école de nouvelles technologies. Even if, effectively, I mean, we have no aspiration to be, how to say, to become a technical school or a school of new technologies. Incluso si, de hecho, quiero decir, no tenemos ninguna aspiración de ser, cómo decir, de convertirnos en una escuela técnica o una escuela de nuevas tecnologías. Mais on essaye quand même de le rendre accessible au plus grand nombre. Je pense que c'est important pour notre développement et puis pour que, justement, pas mal… pour que beaucoup de gens s'y intéressent aussi. Et…

S.

:             Et les gens…  Pardon.

M.

:            Non, vas-y. Dis-moi. Tell me.

S.

:             Oui, j'allais dire, les gens qui vous écoutent, est-ce qu'ils sont surtout en Belgique, en France, en Suisse, partout au monde? : Yes, I was going to say, the people who listen to you, are they mainly in Belgium, in France, in Switzerland, everywhere in the world? Est-ce que vous avez une idée, là, de votre…  Oui. Do you have an idea there of your ... Yes.

M.

:            C'est la France et la Belgique. Et, bien sûr, on a la France en premier. And, of course, we have France first. Pourquoi? Parce que le potentiel et le nombre de francophones est quand même décuplé en France. Because the potential and the number of French speakers is still tenfold in France. Donc le nombre d'auditeurs Français est plus important que le nombre d'auditeurs Belges. Donc, c'est d'abord les Français, ensuite les Belges et alors…  En fait, on s'adresse… l'avantage c'est qu'on s'adresse à tous les francophones du monde. So, it is first the French, then the Belgians and then ... In fact, we are addressing ... the advantage is that we are addressing all French speakers in the world. Hein?

Donc c'est ça également le… S.

:             Au Canada? Le Québec? Vous avez des Québécois?

M.

:            Alors, je n'ai pas… eh bien, je n'ai pas eu l'occasion de côtoyer d'auditeurs Québécois mais, bon, vous êtes les premiers. : So, I did not ... well, I did not have the opportunity to rub shoulders with Quebec listeners but, well, you are the first. : Entonces, yo no… bueno, no tuve la oportunidad de codearme con los oyentes quebequenses pero, bueno, ustedes son los primeros. Et, d'ailleurs, je suis très, très, très content et très fier d'avoir un contact au Canada parce que, dans le concept et dans l'idée, moi, ce que j'aimerais bien également développer, c'est des podcasts, justement, avec de l'actualité vue par des gens qui se trouvent au Canada. And, moreover, I am very, very, very happy and very proud to have a contact in Canada because, in the concept and in the idea, what I would also like to develop is podcasts, precisely, with news seen by people who are in Canada. S.

:             Oui.

M.

:            Et, c'est chouette parce que si, maintenant, parmi votre staff il y a des gens qui aimeraient bien faire des podcasts en présentant des sujets « hi-tech » depuis le Canada, moi ça m'intéresserait bien. : And, it's nice because if, now, among your staff there are people who would like to make podcasts by presenting "hi-tech" subjects from Canada, I would be very interested. J'ai déjà, donc, Sylvain Raton qui est un correspondant en France. S.

:             Oui.

M.

:            Et, alors, je suis en pourparlers avec la Suisse aussi. Parce que…

S.

:             Mais nous avons… mais, justement, chez nous, là, on est à Vancouver. : But we have… but, precisely, at home, here, we are in Vancouver. Hein?

Et, moi, je parle Français mais je ne connais pas la technologie. Mais on a deux programmeurs. Un, il est Russe et l'autre, il est Français. Mais de France. But from France.

M.

:            Ah, mais tiens! : Ah, but hey!

S.

:             Mais il habite à Vancouver. : But he lives in Vancouver.

M.

:            Ah, oui, oui. C'est ça. S.

:             Donc, lui - maintenant, il est en vacances - il est en France mais quand il sera de retour, bien lui, il pourrait faire… donner un reportage de Vancouver, de ce qui se passe ici sur la côte Ouest. : So he – now he's on vacation – he's in France but when he gets back, well, he could do… give a report from Vancouver, about what's happening here on the West Coast. Si ça t'intéresse. M.

:            Ça ce serait vraiment chouette. : That would be really nice. : Eso sería realmente agradable.

S.

:             Oui?

M.

:            Ça ce serait vraiment chouette.

S.

:             Ah, bien, on va le faire.

M.

:            Oui.

Ah, oui, oui. Ça, ce serait vraiment, vraiment bien. Et, alors, ce sont des séquences de… on parle… l'avantage, c'est qu'ici on parle de sujets qui nous intéressent. And, then, these are sequences of… we talk… the advantage is that here we talk about subjects that interest us. Donc, il n'y a pas de sujets qui sont… S.

:             Lui, il vient de Nancy. Il vient de Nancy. He comes from Nancy. Donc, pas trop loin de chez vous, là. So not too far from your home there.

M.

:            Ah bien, c'est une excellente…  Ah oui, ça c'est une très bonne… une très chose. Moi ça me… ça me botterait bien. It’s me… it would kick me well. Parce que, justement, je trouve ça enrichissant, déjà d'une part, et puis c'est gai et c'est… il faut utiliser le potentiel qu'Internet nous permet, justement de… nous propose. Because, precisely, I find it enriching, already on the one hand, and then it's fun and it's… we have to use the potential that the Internet allows us, precisely to… offers us. Hein?

C'est vraiment ça. Hein?

S.

:             Absolument. Bien, voilà. Peut-être qu'on peut terminer là-dessus. Maybe we can end there. C'est notre première conversation. J'ai beaucoup apprécié. Merci beaucoup.

Et j'apprécie beaucoup la collaboration qu'on peut avoir maintenant. Et puis, Henry Prêcheur, comme il s'appelle, il sera de retour dans deux semaines, puis on va reprendre contact et trouver, disons, un moment qui convient et puis on va faire une interview entre vous deux, là. And then, Henry Prêcheur, as his name is, he'll be back in two weeks, and then we'll reconnect and find, let's say, a suitable time and then we'll do an interview between you two there. Ok?

M.

:            Ah bien, c'est excellent. Impeccable.

S.

:             Très bien.

M.

:            Eh bien, super. Moi, je te remercie pour ce petit… ce petit entretien.

S.

:             Bien, c'est moi qui remercie. : Well, it's me who thanks. M.

:            On se tient au courant, bien sûr. : We keep up to date, of course. S'il y a quoi que ce soit, tu m'envoies un petit mail ou tu n'hésites pas. If there is anything, you send me a little email or you do not hesitate. Hein?

S.

:             Oui.

Puis je vais mettre… on va monter ça sur notre site, je vais t'envoyer, enfin, les détails, là, pour que si il t'intéresse, tu peux l'écouter. Then I'm going to put… we're going to put it up on our site, I'm going to send you, finally, the details, there, so that if it interests you, you can listen to it. Sinon, sert- toi, là au site, parce que pour que ça soit…  On n'a pas… qu'est-ce qu'on a… on n'a pas, par exemple, le Néerlandais. Otherwise, help yourself, there at the site, because for it to be… We don't have… what do we have… we don't have, for example, Dutch. Mais, un jour, on veut aussi offrir le Néerlandais. Peut-être que tu pourrais faire une discussion en Néerlandais pour nos membres. Maybe you could do a discussion in Dutch for our members. Enfin…

M.

:            Avec plaisir…

S.

:             Ok.

Merci beaucoup.

M.

:            … Steve.

S.

:             Ok.

M.

:            À bientôt!

S.

:             À bientôt. Au revoir!

M.

:            Ciao!

S.

:             Ciao!