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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 26 avril 2017

Journal en français facile 26 avril 2017

Marine de La Moissonnière : Vous écoutez RFI. Il est 22 heures à Paris, 20 heures en temps universel. C'est l'heure du Journal en français facile que nous vous présentons avec Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie !

Sylvie Berruet : Bonsoir Marine !

MLM : Dans ce journal, on parlera de l'attaque au gaz sarin contre Khan Cheikhoun, en Syrie. Elle porte la signature du régime de Bachar al-Assad. Les services de renseignement français sont formels.

SB : Aux États-Unis, le vote du budget pose des problèmes. Les démocrates s'y opposent, car ils refusent de financer la construction du mur promis par Donald Trump, à la frontière avec le Mexique.

MLM : On reviendra sur la journée des deux candidats à la présidentielle. Une journée assez incroyable. Marine Le Pen a changé son agenda pour venir titiller sur le terrain, à Amiens, Emmanuel Macron.

SB : Et puis nous rejoindrons Hugo Moissonnier au Parc des Princes. Il suit pour RFI la 2e demi-finale de la Coupe de France de football. Le match oppose le Paris–Saint-Germain à Monaco.

---------------------------------------------------------

MLM : Le régime de Bachar al-Assad est bien responsable de l'attaque chimique de Khan Cheikhoun. La France en est sûre et certaine. Un rapport a été publié aujourd'hui.

SB : Le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a condamné cette attaque qui a eu lieu le 4 avril dernier et a fait 88 morts. « Les auteurs devront répondre de leurs actes criminels devant la justice internationale », a-t-il déclaré à l'issue d'un conseil de défense à l'Élysée. Murielle Paradon, quelles preuves apporte la France ?

D'abord sur l'agent chimique employé, il s'agit bien de gaz sarin, selon les services de renseignements français. Des échantillons ont été prélevés sur les lieux de l'attaque à Khan Cheikhoun et sur des victimes. Ils ont ensuite été analysés et confirment ce que certains pays et organismes internationaux ont déjà dévoilé. La grande question, c'est bien sûr : qui a employé ce gaz ? Pour Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères, cela ne fait aucun doute. Le régime de Damas est responsable, car le procédé de fabrication porte sa signature. Un produit stabilisant a été retrouvé avec le sarin et il serait développé par les scientifiques syriens pour le compte du régime. En outre, les échantillons prélevés à Khan Cheikhoun ont été comparés à ceux d'une précédente attaque en 2013, attaque attribuée à Damas, et ces échantillons correspondraient. Pour la France, les groupes rebelles en Syrie et l'organisation État islamique n'ont pas les moyens de développer de tels procédés ni les moyens de les disperser. Et c'est bien un avion militaire du régime qui a décollé de la base de Chayrat le 4 avril au matin et a bombardé Khan Cheikhoun, selon Jean-Marc Ayrault.

MLM : Plus de 710 000 personnes ont obtenu la protection de l'Union européenne l'an dernier. C'est deux fois plus qu'en 2015.

SB : La moitié de ces demandeurs d'asile sont des Syriens. L'Allemagne est le pays qui a accueilli le plus de réfugiés, loin devant la Suède, l'Italie, la France et l'Autriche.

MLM : Les États-Unis vont-ils connaître un nouveau shutdown ? C'est-à-dire une paralysie des administrations faute de budget. Cela avait déjà été le cas en octobre 2013. Des centaines de milliers de fonctionnaires avaient dû rester chez eux pendant plus de deux semaines.

SB : Cette fois-ci, c'est le financement de la construction du mur à la frontière mexicaine qui menace de provoquer une crise politique. Ce projet de Donald Trump est rejeté par l'opposition démocrate. Or, le Congrès doit adopter impérativement le budget pour les 5 prochains mois avant vendredi, minuit. Au-delà, l'État fédéral américain ne sera plus financé. Agnieszka Kumor nous en dit plus :

À l'approche des 100 jours de l'administration Trump, la popularité du président américain est en chute libre. Pour Alix Meyer, spécialiste des États unis à l'université de Bourgogne, la faute à l'amateurisme des premiers pas de l'équipe Trump : « Tout d'un coup, Donald Trump se réveille, se rend compte que la limite des 100 premiers jours de son mandat arrive, qu'il n'a absolument rien fait ou en tout cas, pas exactement ce qu'il avait promis. Et du coup, il cherche un moyen de pouvoir dire qu'il a accompli quelque chose, un moyen de dire qu'il a effectivement eu quelques victoires. » Cette victoire, le président voudrait l'arracher à l'occasion du vote sur le budget. Malgré la majorité républicaine dont il dispose, quelques voix démocrates sont en effet indispensables pour faire passer la loi. Mais en introduisant dans ce budget le financement du mur, Donald Trump met en péril le compromis négocié par les deux partis. Au risque de provoquer un shutdown, une fermeture des administrations fédérales. « Stratégiquement, cela n'a pas vraiment de sens. Il cherche à utiliser ce levier pour à tout prix essayer de démontrer qu'il a eu une action au cours des 100 premiers jours. Mais cela pose question. » Pour éviter le shutdown et une nouvelle déroute, le président a proposé d'ores et déjà de reporter son appel de fonds pour le financement du mur à septembre.

MLM : Agnieszka Kumor.

SB : La campagne présidentielle française s'est emballée pendant quelques heures aujourd'hui. Les deux candidats se sont disputé les faveurs de salariés de Whirlpool.

MLM : Cette usine située à Amiens, qui fabrique de l'électroménager, doit déménager. Elle doit être délocalisée en Pologne, c'est comme cela qu'on dit. 600 emplois environ sont donc menacés. Emmanuel Macron avait annoncé sa venue sur place mais Marine Le Pen s'est invitée par surprise. Guillaume Naudin nous raconte ce qui s'est passé aujourd'hui :

C'est ce que l'on peut appeler une communication de guérilla. Emmanuel Macron l'avait annoncé, il allait passer une partie de sa journée dans sa ville d'origine. Vers treize heures, il est dans les locaux de la Chambre de commerce et d'industrie pour une rencontre avec les représentants des salariés de l'usine d'électroménager menacée de délocalisation. C'est le moment que Marine Le Pen, qui officiellement a un conseil stratégique à son agenda, choisit pour apparaître avec quelques médias triés sur le volet. Sur le parking de l'usine, pendant quelques minutes, elle enchaîne les photos, tout sourire, avec les ouvriers et des militants du Front national, et se pose en candidat proche des salariés et des ouvriers tout en dénonçant l'éloignement de son adversaire. Elle repart une dizaine de minutes plus tard. C'est alors qu'Emmanuel Macron arrive à son tour, accueilli par quelques sifflets et quelques « Marine présidente » lancés par les militants FN restés sur place. Un dialogue s'engage dans cette ambiance un peu tendue et à l'écart de la plupart des journalistes. Il va durer une quarantaine de minutes, Emmanuel Macron dénonçant une utilisation politique de la situation et expliquant que la fermeture des frontières est une promesse mensongère, avant de repartir vers Arras pour une réunion publique, dans une région où le Front national réalise d'excellents scores électoraux.

MLM : Guillaume Naudin du service politique de RFI. Et puis toujours au sujet de la campagne, les prises de position en faveur de l'un ou l'autre des candidats continuent. Elles ne voteront pas pour Marine Le Pen. Une cinquantaine de personnalités féministes et la ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, ont publié une tribune sur le site internet du journal Le Huffington Post. Dans ce texte, elles expliquent que la victoire de l'extrême droite serait une « défaite et un danger pour les femmes ». Parmi les signataires : la championne de boxe Sarah Ourahmoune, les artistes Julie Gayet, Agnès Jaoui ou bien encore Bruno Solo.

SB : Lui mettra un bulletin « Emmanuel Macron » dans l'urne, le 7 mai. L'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a expliqué sur son compte Facebook ne pas soutenir le projet du candidat d'En Marche mais vouloir faire barrage à Marine Le Pen. Nicolas Sarkozy exclut, par ailleurs, tout retour en politique.

MLM : Jean-Luc Mélenchon, pour sa part, ne se prononcera pas, et ce, quel que soit le résultat de la consultation lancée auprès des militants de La France insoumise appelés à choisir entre voter pour Emmanuel Macron, voter blanc ou s'abstenir.

SB : Voilà qui va certainement faire réagir les prétendants à l'Élysée. Les chiffres du chômage – les derniers du quinquennat de François Hollande – sont tombés aujourd'hui. Et ils ne sont pas bons.

MLM : Le chômage a fortement augmenté en mars. 43 700 personnes de plus n'ont pas du tout travaillé le mois dernier, soit une progression de 1,3 %. En revanche, toutes catégories confondues, le nombre de demandeurs d'emploi recule. Une petite baisse : -11 400 personnes. Au total, il y a 5,5 millions de chômeurs en France métropolitaine.

SB : Le football ce soir, avec la 2e demi-finale de la Coupe de France. Le Paris–Saint-Germain accueille Monaco.

MLM : Oui, c'est une belle affiche, car ce sont tout simplement les deux meilleures équipes de la Ligue 1 qui s'affrontent. Deux équipes qui s'affrontent depuis une heure environ. Hugo Moissonnier est au Parc des Princes pour RFI. Hugo, pour l'instant, c'est bien parti pour Paris.

Quelques mots pour comprendre l'intervention en direct d'Hugo Moissonnier : réalisation ; but de la saison ; une astucieuse talonnade ; L'ASM = l'association sportive de Monaco ; équipe B ; miser sur

Journal en français facile 26 avril 2017 Journal en français facile April 26, 2017

Marine de La Moissonnière : Vous écoutez RFI. Il est 22 heures à Paris, 20 heures en temps universel. C’est l’heure du Journal en français facile que nous vous présentons avec Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie !

Sylvie Berruet : Bonsoir Marine !

MLM : Dans ce journal, on parlera de l’attaque au gaz sarin contre Khan Cheikhoun, en Syrie. Elle porte la signature du régime de Bachar al-Assad. Les services de renseignement français sont formels.

SB : Aux États-Unis, le vote du budget pose des problèmes. Les démocrates s’y opposent, car ils refusent de financer la construction du mur promis par Donald Trump, à la frontière avec le Mexique.

MLM : On reviendra sur la journée des deux candidats à la présidentielle. Une journée assez incroyable. Marine Le Pen a changé son agenda pour venir titiller sur le terrain, à Amiens, Emmanuel Macron.

SB : Et puis nous rejoindrons Hugo Moissonnier au Parc des Princes. Il suit pour RFI la 2e demi-finale de la Coupe de France de football. Le match oppose le Paris–Saint-Germain à Monaco.

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MLM : Le régime de Bachar al-Assad est bien responsable de l’attaque chimique de Khan Cheikhoun. La France en est sûre et certaine. Un rapport a été publié aujourd’hui.

SB : Le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a condamné cette attaque qui a eu lieu le 4 avril dernier et a fait 88 morts. « Les auteurs devront répondre de leurs actes criminels devant la justice internationale », a-t-il déclaré à l’issue d’un conseil de défense à l’Élysée. Murielle Paradon, quelles preuves apporte la France ?

D’abord sur l’agent chimique employé, il s’agit bien de gaz sarin, selon les services de renseignements français. Des échantillons ont été prélevés sur les lieux de l’attaque à Khan Cheikhoun et sur des victimes. Ils ont ensuite été analysés et confirment ce que certains pays et organismes internationaux ont déjà dévoilé. La grande question, c’est bien sûr : qui a employé ce gaz ? Pour Jean-Marc Ayrault, le ministre français des Affaires étrangères, cela ne fait aucun doute. Le régime de Damas est responsable, car le procédé de fabrication porte sa signature. Un produit stabilisant a été retrouvé avec le sarin et il serait développé par les scientifiques syriens pour le compte du régime. En outre, les échantillons prélevés à Khan Cheikhoun ont été comparés à ceux d’une précédente attaque en 2013, attaque attribuée à Damas, et ces échantillons correspondraient. Pour la France, les groupes rebelles en Syrie et l’organisation État islamique n’ont pas les moyens de développer de tels procédés ni les moyens de les disperser. Et c’est bien un avion militaire du régime qui a décollé de la base de Chayrat le 4 avril au matin et a bombardé Khan Cheikhoun, selon Jean-Marc Ayrault.

MLM : Plus de 710 000 personnes ont obtenu la protection de l’Union européenne l’an dernier. C’est deux fois plus qu’en 2015.

SB : La moitié de ces demandeurs d’asile sont des Syriens. L’Allemagne est le pays qui a accueilli le plus de réfugiés, loin devant la Suède, l’Italie, la France et l’Autriche.

MLM : Les États-Unis vont-ils connaître un nouveau shutdown ? C’est-à-dire une paralysie des administrations faute de budget. Cela avait déjà été le cas en octobre 2013. Des centaines de milliers de fonctionnaires avaient dû rester chez eux pendant plus de deux semaines.

SB : Cette fois-ci, c’est le financement de la construction du mur à la frontière mexicaine qui menace de provoquer une crise politique. Ce projet de Donald Trump est rejeté par l’opposition démocrate. Or, le Congrès doit adopter impérativement le budget pour les 5 prochains mois avant vendredi, minuit. Au-delà, l’État fédéral américain ne sera plus financé. Agnieszka Kumor nous en dit plus :

À l’approche des 100 jours de l’administration Trump, la popularité du président américain est en chute libre. Pour Alix Meyer, spécialiste des États unis à l’université de Bourgogne, la faute à l’amateurisme des premiers pas de l’équipe Trump : « Tout d’un coup, Donald Trump se réveille, se rend compte que la limite des 100 premiers jours de son mandat arrive, qu’il n’a absolument rien fait ou en tout cas, pas exactement ce qu’il avait promis. Et du coup, il cherche un moyen de pouvoir dire qu’il a accompli quelque chose, un moyen de dire qu’il a effectivement eu quelques victoires. » Cette victoire, le président voudrait l’arracher à l’occasion du vote sur le budget. Malgré la majorité républicaine dont il dispose, quelques voix démocrates sont en effet indispensables pour faire passer la loi. Mais en introduisant dans ce budget le financement du mur, Donald Trump met en péril le compromis négocié par les deux partis. Au risque de provoquer un shutdown, une fermeture des administrations fédérales. « Stratégiquement, cela n’a pas vraiment de sens. Il cherche à utiliser ce levier pour à tout prix essayer de démontrer qu’il a eu une action au cours des 100 premiers jours. Mais cela pose question. » Pour éviter le shutdown et une nouvelle déroute, le président a proposé d’ores et déjà de reporter son appel de fonds pour le financement du mur à septembre.

MLM : Agnieszka Kumor.

SB : La campagne présidentielle française s’est emballée pendant quelques heures aujourd’hui. Les deux candidats se sont disputé les faveurs de salariés de Whirlpool.

MLM : Cette usine située à Amiens, qui fabrique de l’électroménager, doit déménager. Elle doit être délocalisée en Pologne, c’est comme cela qu’on dit. 600 emplois environ sont donc menacés. Emmanuel Macron avait annoncé sa venue sur place mais Marine Le Pen s’est invitée par surprise. Guillaume Naudin nous raconte ce qui s’est passé aujourd’hui :

C’est ce que l’on peut appeler une communication de guérilla. Emmanuel Macron l’avait annoncé, il allait passer une partie de sa journée dans sa ville d’origine. Vers treize heures, il est dans les locaux de la Chambre de commerce et d’industrie pour une rencontre avec les représentants des salariés de l’usine d’électroménager menacée de délocalisation. C’est le moment que Marine Le Pen, qui officiellement a un conseil stratégique à son agenda, choisit pour apparaître avec quelques médias triés sur le volet. Sur le parking de l’usine, pendant quelques minutes, elle enchaîne les photos, tout sourire, avec les ouvriers et des militants du Front national, et se pose en candidat proche des salariés et des ouvriers tout en dénonçant l’éloignement de son adversaire. Elle repart une dizaine de minutes plus tard. C’est alors qu’Emmanuel Macron arrive à son tour, accueilli par quelques sifflets et quelques « Marine présidente » lancés par les militants FN restés sur place. Un dialogue s’engage dans cette ambiance un peu tendue et à l’écart de la plupart des journalistes. Il va durer une quarantaine de minutes, Emmanuel Macron dénonçant une utilisation politique de la situation et expliquant que la fermeture des frontières est une promesse mensongère, avant de repartir vers Arras pour une réunion publique, dans une région où le Front national réalise d’excellents scores électoraux.

MLM : Guillaume Naudin du service politique de RFI. Et puis toujours au sujet de la campagne, les prises de position en faveur de l’un ou l’autre des candidats continuent. Elles ne voteront pas pour Marine Le Pen. Une cinquantaine de personnalités féministes et la ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, ont publié une tribune sur le site internet du journal Le Huffington Post. Dans ce texte, elles expliquent que la victoire de l’extrême droite serait une « défaite et un danger pour les femmes ». Parmi les signataires : la championne de boxe Sarah Ourahmoune, les artistes Julie Gayet, Agnès Jaoui ou bien encore Bruno Solo.

SB : Lui mettra un bulletin « Emmanuel Macron » dans l’urne, le 7 mai. L’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, a expliqué sur son compte Facebook ne pas soutenir le projet du candidat d’En Marche mais vouloir faire barrage à Marine Le Pen. Nicolas Sarkozy exclut, par ailleurs, tout retour en politique.

MLM : Jean-Luc Mélenchon, pour sa part, ne se prononcera pas, et ce, quel que soit le résultat de la consultation lancée auprès des militants de La France insoumise appelés à choisir entre voter pour Emmanuel Macron, voter blanc ou s’abstenir.

SB : Voilà qui va certainement faire réagir les prétendants à l’Élysée. Les chiffres du chômage – les derniers du quinquennat de François Hollande – sont tombés aujourd’hui. Et ils ne sont pas bons.

MLM : Le chômage a fortement augmenté en mars. 43 700 personnes de plus n’ont pas du tout travaillé le mois dernier, soit une progression de 1,3 %. En revanche, toutes catégories confondues, le nombre de demandeurs d’emploi recule. Une petite baisse : -11 400 personnes. Au total, il y a 5,5 millions de chômeurs en France métropolitaine.

SB : Le football ce soir, avec la 2e demi-finale de la Coupe de France. Le Paris–Saint-Germain accueille Monaco.

MLM : Oui, c’est une belle affiche, car ce sont tout simplement les deux meilleures équipes de la Ligue 1 qui s’affrontent. Deux équipes qui s’affrontent depuis une heure environ. Hugo Moissonnier est au Parc des Princes pour RFI. Hugo, pour l’instant, c’est bien parti pour Paris.

Quelques mots pour comprendre l’intervention en direct d’Hugo Moissonnier : réalisation ; but de la saison ; une astucieuse talonnade ; L’ASM = l’association sportive de Monaco ; équipe B ; miser sur