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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 15 avril 2017

Journal en français facile 15 avril 2017

RFI 20h TU, 22h à Paris

CELINE PELLARIN

Bienvenue dans votre journal en français facile présentée avec Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

SYLVIE BERRUET

Bonsoir Céline, bonsoir à tous.

CP

Les bureaux de vote en Turquie ouvrent demain matin. Les électeurs turcs votent, pour ou contre un changement de Constitution.

SB

Le président Hollande octroie la nationalité française des tirailleurs sénégalais. C'est-à-dire qu'il les naturalise. Les tirailleurs sont d'anciens soldats des ex-colonies qui ont combattu sur les champs de batailles avec l'armée française au vingtième siècle. CP

Et le mot de la semaine sera décrypté par Yvan Amar. Et il sera à retrouver à la fin de ce journal en français facile.

SB

En Turquie le referendum, la consultation populaire sur le changement de constitution a lieu demain, dimanche.

CP

Cinquante-cinq millions d'électeurs devront dire oui ou non à ce changement, qui renforcerait considérablement, avec importance, les pouvoirs du président. Ce président Recep Tayyip Erdogan affirme qu'il faut voter oui pour plus de stabilité politique. Mais les opposants, qui voteront non au referendum dénoncent une dérive autoritaire, des abus du pouvoir. Notre envoyée spéciale à Istanbul, Murielle Paradon, s'est rendue au CHP, le parti d'opposition laïc. C'est la deuxième force politique au parlement turc, derrière l'AKP qui est le parti présidentiel. Reportage.

Dans le quartier Sisli à Istanbul, les banderoles du CHP fleurissent. C'est le plus vieux parti politique de Turquie, symbole de la république laïque. Le CHP milite pour le non au référendum, il ne veut pas d'un régime hyper présidentiel. Ali Tan, porte-parole de la section de Sisli : « Ça fait quatre-vingt-dix ans qu'on a un système parlementaire laïc. Si un système présidentiel s'installe, on va s'éloigner de la république laïque, je pense. On craint un changement de régime. Mais tant que le CHP existera en Turquie, ils ne pourront pas toucher la laïcité.» Si Tayyip Erdogan renforce ses pouvoirs de président, il risque d'imposer son idéologie islamo-conservatrice. C'est ce que craint Hüseyin Duman, responsable d'une section jeunesse au sein du CHP : « Aujourd'hui il y a une montée de la jeunesse conservatrice et nationaliste. Les jeunes qui sont dans cette ligne politique peuvent s'exprimer sans problème. Mais ceux qui appartiennent à d'autres tendances n'arrivent pas à s'exprimer.» Hüseyin Duman tente de convaincre qu'il faut voter non au référendum. Sa mission : mobiliser la jeunesse qui vote pour la première fois ce dimanche.

SB

Après le conflit en Syrie, la diplomatie russe organisait une conférence pour la paix en Afghanistan.

CP

Mais la conférence à Moscou n'a pas eu le succès escompté c'est-à-dire qu'elle n'a pas vraiment été une réussite. Les participants invités ne se sont pas tous déplacés. A Kaboul Sonia Ghezali.

L'Afghanistan a envoyé à Moscou une simple délégation, aucune personnalité politique de haut rang. Les Etats-Unis eux ont tout simplement décliné l'invitation. Cette conférence de Moscou et ses participants pakistanais, iranien, indien, chinois, entre autres s'est transformé en rendez-vous régional pour parler de la paix en Afghanistan. "La délégation afghane a souligné l'importance des efforts constants du gouvernement pour atteindre la paix à travers des échanges politiques avec tous les groupes armés afghans, y compris les taliban, dès lors qu'ils acceptent les conditions du gouvernement dans le but d'obtenir une paix durable." Et la Russie se pose en médiateur. Un pays accusé par certains de soutenir les insurgés taliban. "Ce qui a été confirmé ce sont des prises de contact avec les taliban mais pas de soutien. Et les échanges ont eu pour but de les inciter à déposer les armes, à se désolidariser des groupes terroristes, et à rejoindre le processus de paix lancé par le gouvernement afghan". Cette conférence semble surtout avoir montré une image de relations cordiales entre Kaboul et ses voisins de la région, avec qui des tensions émergent régulièrement.

CP

Toujours en Afghanistan, l'énorme bombe qui a été lâché il y a deux jours par l'armée américaine a tué au moins quatre-vingt-dix djihadistes. C'est le groupe état islamique qui a été visé par cette bombe, cet engin baptisé "la mère de toutes les bombes" par les militaires américains. SB

En Guyane, l'heure est à un certain apaisement. CP

Le collectif "Pou la Gwiyann dékolé" a décidé d'ouvrir les barrages "jusqu'à nouvel ordre". La Guyane espère profiter de ce week-end de Pâques même si la situation reste compliquée, notamment pour les hôpitaux, qui ont déclenché le plan blanc. Un plan d'urgence pour assurer le fonctionnement des établissements de santé. SB

Après cinquante ans d'attente, la France répare une injustice CP

Le président de la République a naturalisé, a donné la nationalité française à vingt-huit tirailleurs. Ces anciens soldats qui venaient des ex-colonies. Agé de soixante-dix-huit à quatre-vingt-dix ans, ces hommes, installé en France ont combattu dans les rangs de l'armée française pendant la Seconde guerre mondiale, en Indochine ou encore en Algérie. Dans le groupe, figurent vingt-trois Sénégalais mais aussi deux Congolais, deux Centrafricains et un Ivoirien. Des décennies après leurs faits d'armes pour la République, ils obtiennent la nationalité française. Un tort, un manque que le président François Hollande avait promis de réparer. C'est ce qu'il leur a rappelé dans son discours. François Hollande.

Vous êtes les survivants de cette époque. Vous y avez gagné vos médailles, vous en êtes fier, vous les portez. Mais vous êtes aussi une part de la mémoire de l'Histoire de France. Vous êtes l'Histoire de France. Le 11 janvier 2013, je m'en souviens c'était dans cette salle. J'ai pris la décision d'engager les forces françaises au Mali. Et j'avais en tête cette dette de sang que la France avait contractée auprès de vous. Les tirailleurs. Aujourd'hui je pose un nouveau principe : ceux qui se sont battus pour la France, et qui font le choix d'y vivre, doivent pouvoir devenir Français. Il a fallu mener un long combat pour que la France consente enfin, à réparer cette injustice.

CP

Le président François Hollande au micro de Laurence Théault. Et pour plus d'explications sur ce que l'on entend par le terme de « tirailleur », je laisse le micro à Yvan Amar. Des tirailleurs à l'honneur : vingt-huit viennent de devenir Français. C'est une reconnaissance qui vient tard, mais elle vient. Elle nous rappelle ce qu'est un tirailleur : c'est un soldat de l'armée française qui appartient à un corps d'armée, qui n'existe plus depuis l'indépendance des Etats africains anciennement colonies françaises. Et ces tirailleurs venaient d'un petit peu partout en Afrique. Ils ont combattu pendant différentes guerres, notamment les deux guerres mondiales. Et souvent on parle des tirailleurs sénégalais, car beaucoup venaient du Sénégal, mais pas tous ! Par facilité, on a fini par parler de tirailleurs sénégalais pour des militaires, même s'ils venaient d'ailleurs. Donc tirailleurs est un mot militaire. On comprend bien qu'un tirailleur c'est celui qui tire des coups de fusil… Mais attention ce n'est pas un tireur : c'est un tirailleur… Comme s'il savait tirer à peu près, mais pas forcément très bien. On voit que le mot dès le départ est assez méprisant. Et on a parlé aussi du français tirailleur. Alors ces tirailleurs parlaient assez peu le français. Ils devaient comprendre les ordres qu'on leur donnait. Et on a appelé français tirailleur, un français de contact, d'un français approximatif pour dire et comprendre des choses simples. L'expression elle est assez péjorative, assez négative, même un peu raciste. Parce que les Africains bien sûr n'étaient pas toujours capables de parler le français correctement. C'est normal, ils ne l'avaient pas appris à l'école. Et les officiers français, ils n'étaient pas plus capables de parler les langues africaines. Mais on ne parle jamais de wolof tirailleur, ou d'haoussa ou de bambara tirailleur. Alors cette expression français tirailleur est bien la conséquence d'un passé colonial. CP

Le mot de la semaine expliqué par Yvan Amar. Yvan Amar que l'on retrouve demain pour l'expression de la semaine. SB

Nous allons à présent, Céline, parler d'une vedette pas comme les autres, April la Girafe. CP

April est en effet une célébrité animalière d'un parc de l'Etat de New York aux Etats Unis. Comme toutes les vedettes elle a ses fans, ses admirateurs qui attendaient avec impatience qu'elle donne naissance après quinze mois de grossesse. C'est chose faite, sous le regard de centaines de milliers de personnes. En effet cet accouchement, cette mise à bas a été filmée en direct pendant deux heures et diffusé sur internet. La vidéo a été regardée par plus d'un million de personne. Le bébé girafe, le girafon va bien, comme sa mère. Il n'a pas encore de nom, c'est un concours qui le décidera. On est sûr que les adorateurs d'April la girafe auront de très nombreuses propositions. Alors si c'est une femelle, Sylvie Berruet et moi-même proposons Sophie. Puisque Sophie la girafe et bien c'est le nom d'un célèbre jouet pour bébé, une girafe en caoutchouc. Vous écoutez RFI, il est 20 heure passé de dix minutes en temps universel. C'est la fin de ce journal en français facile. Et en attendant demain de vous retrouver avec plaisir, je vous souhaite à tous une bonne soirée. Bonsoir Sylvie.

SB

Bonsoir à tous.

Journal en français facile 15 avril 2017 Zeitung in leichtem Französisch 15. April 2017 Journal en français facile April 15, 2017 ジャーナル・アン・フランセ・ファシル 2017年4月15日

RFI 20h TU, 22h à Paris

CELINE PELLARIN

Bienvenue dans votre journal en français facile présentée avec Sylvie Berruet. Bonsoir Sylvie.

SYLVIE BERRUET

Bonsoir Céline, bonsoir à tous.

CP

Les bureaux de vote en Turquie ouvrent demain matin. Les électeurs turcs votent, pour ou contre un changement de Constitution.

SB

Le président Hollande octroie la nationalité française des tirailleurs sénégalais. C'est-à-dire qu'il les naturalise. Les tirailleurs sont d'anciens soldats des ex-colonies qui ont combattu sur les champs de batailles avec l'armée française au vingtième siècle. CP

Et le mot de la semaine sera décrypté par Yvan Amar. Et il sera à retrouver à la fin de ce journal en français facile.

SB

En Turquie le referendum, la consultation populaire sur le changement de constitution a lieu demain, dimanche.

CP

Cinquante-cinq millions d'électeurs devront dire oui ou non à ce changement, qui renforcerait considérablement, avec importance, les pouvoirs du président. Ce président Recep Tayyip Erdogan affirme qu'il faut voter oui pour plus de stabilité politique. Mais les opposants, qui voteront non au referendum dénoncent une dérive autoritaire, des abus du pouvoir. Notre envoyée spéciale à Istanbul, Murielle Paradon, s'est rendue au CHP, le parti d'opposition laïc. C'est la deuxième force politique au parlement turc, derrière l'AKP qui est le parti présidentiel. Reportage.

Dans le quartier Sisli à Istanbul, les banderoles du CHP fleurissent. C'est le plus vieux parti politique de Turquie, symbole de la république laïque. Le CHP milite pour le non au référendum, il ne veut pas d'un régime hyper présidentiel. Ali Tan, porte-parole de la section de Sisli : « Ça fait quatre-vingt-dix ans qu'on a un système parlementaire laïc. Si un système présidentiel s'installe, on va s'éloigner de la république laïque, je pense. On craint un changement de régime. Mais tant que le CHP existera en Turquie, ils ne pourront pas toucher la laïcité.» Si Tayyip Erdogan renforce ses pouvoirs de président, il risque d'imposer son idéologie islamo-conservatrice. C'est ce que craint Hüseyin Duman, responsable d'une section jeunesse au sein du CHP : « Aujourd'hui il y a une montée de la jeunesse conservatrice et nationaliste. Les jeunes qui sont dans cette ligne politique peuvent s'exprimer sans problème. Mais ceux qui appartiennent à d'autres tendances n'arrivent pas à s'exprimer.» Hüseyin Duman tente de convaincre qu'il faut voter non au référendum. Sa mission : mobiliser la jeunesse qui vote pour la première fois ce dimanche.

SB

Après le conflit en Syrie, la diplomatie russe organisait une conférence pour la paix en Afghanistan.

CP

Mais la conférence à Moscou n'a pas eu le succès escompté c'est-à-dire qu'elle n'a pas vraiment été une réussite. Les participants invités ne se sont pas tous déplacés. A Kaboul  Sonia Ghezali.

L'Afghanistan a envoyé à Moscou une simple délégation,  aucune personnalité politique de haut rang. Les Etats-Unis eux ont tout simplement décliné l'invitation. Cette conférence de Moscou et ses participants pakistanais, iranien, indien, chinois, entre autres s'est transformé en rendez-vous régional pour parler de la paix en Afghanistan. "La délégation afghane a souligné l'importance des efforts constants du gouvernement pour atteindre la paix à travers des échanges politiques avec tous les groupes armés afghans, y compris les taliban, dès lors qu'ils acceptent les conditions du gouvernement dans le but d'obtenir une paix durable." Et la Russie se pose en médiateur. Un pays accusé par certains de soutenir les insurgés taliban. "Ce qui a été confirmé ce sont des prises de contact avec les taliban mais pas de soutien. Et les échanges ont eu pour but de les inciter à déposer les armes, à se désolidariser des groupes terroristes, et à rejoindre le processus de paix lancé par le gouvernement afghan". Cette conférence semble surtout avoir montré une image de relations cordiales entre Kaboul et ses voisins de la région, avec qui des tensions émergent régulièrement.

CP

Toujours en Afghanistan, l'énorme bombe qui a été lâché il y a deux jours par l'armée américaine a tué au moins quatre-vingt-dix djihadistes. C'est le groupe état islamique qui a été visé par cette bombe, cet engin baptisé "la mère de toutes les bombes" par les militaires américains. SB

En Guyane, l'heure est à un certain apaisement. CP

Le collectif "Pou la Gwiyann dékolé" a décidé d'ouvrir les barrages "jusqu'à nouvel ordre". La Guyane espère profiter de ce week-end de Pâques même si la situation reste compliquée, notamment pour les hôpitaux, qui ont déclenché le plan blanc. Un plan d'urgence pour assurer le fonctionnement des établissements de santé. SB

Après cinquante ans d'attente, la France répare une injustice CP

Le président de la République a naturalisé, a donné la nationalité française à vingt-huit tirailleurs. Ces anciens soldats qui venaient des ex-colonies. Agé de soixante-dix-huit à quatre-vingt-dix ans, ces hommes, installé en France ont combattu dans les rangs de l'armée française pendant la Seconde guerre mondiale, en Indochine ou encore en Algérie. Dans le groupe, figurent vingt-trois Sénégalais mais aussi deux Congolais, deux Centrafricains et un Ivoirien. Des décennies après leurs faits d'armes pour la République, ils obtiennent la nationalité française. Un tort, un manque que le président François Hollande avait promis de réparer. C'est ce qu'il leur a rappelé dans son discours. François Hollande.

Vous êtes les survivants de cette époque. Vous y avez gagné vos médailles, vous en êtes fier, vous les portez. Mais vous êtes aussi une part de la mémoire de l'Histoire de France. Vous êtes l'Histoire de France. Le 11 janvier 2013, je m'en souviens c'était dans cette salle. J'ai pris la décision d'engager les forces françaises au Mali. Et j'avais en tête cette dette de sang que la France avait contractée auprès de vous. Les tirailleurs. Aujourd'hui je pose un nouveau principe : ceux qui se sont battus pour la France, et qui font le choix d'y vivre, doivent pouvoir devenir Français. Il a fallu mener un long combat pour que la France consente enfin, à réparer cette injustice.

CP

Le président François Hollande au micro de Laurence Théault. Et pour plus d'explications sur ce que l'on entend par le terme de « tirailleur », je laisse le micro à Yvan Amar. Des tirailleurs à l'honneur : vingt-huit viennent de devenir Français. C'est une reconnaissance qui vient tard, mais elle vient. Elle nous rappelle ce qu'est un tirailleur : c'est un soldat de l'armée française qui appartient à un corps d'armée, qui n'existe plus depuis l'indépendance des Etats africains anciennement colonies françaises. Et ces tirailleurs venaient d'un petit peu partout en Afrique. Ils ont combattu pendant différentes guerres, notamment les deux guerres mondiales. Et souvent on parle des tirailleurs sénégalais, car beaucoup venaient du Sénégal, mais pas tous ! Par facilité, on a fini par parler de tirailleurs sénégalais pour des militaires, même s'ils venaient d'ailleurs. Donc tirailleurs est un mot militaire. On comprend bien qu'un tirailleur c'est celui qui tire des coups de fusil… Mais attention ce n'est pas un tireur : c'est un tirailleur… Comme s'il savait tirer à peu près, mais pas forcément très bien. On voit que le mot dès le départ est assez méprisant. Et on a parlé aussi du français tirailleur. Alors ces tirailleurs parlaient assez peu le français. Ils devaient comprendre les ordres qu'on leur donnait. Et on a appelé français tirailleur, un français de contact,  d'un français approximatif pour dire et comprendre des choses simples. L'expression elle est assez péjorative, assez négative, même un peu raciste. Parce que les Africains bien sûr n'étaient pas toujours capables de parler le français correctement. C'est normal, ils ne l'avaient pas appris à l'école. Et les officiers français, ils n'étaient pas plus capables de parler les langues africaines. Mais on ne parle jamais de wolof tirailleur, ou d'haoussa ou de bambara tirailleur. Alors cette expression français tirailleur est bien la conséquence d'un passé colonial. CP

Le mot de la semaine expliqué par Yvan Amar. Yvan Amar que l'on retrouve demain pour l'expression de la semaine. SB

Nous allons à présent, Céline, parler d'une vedette pas comme les autres, April la Girafe. CP

April est en effet une célébrité animalière d'un parc de l'Etat de New York aux Etats Unis. Comme toutes les vedettes elle a ses fans, ses admirateurs qui attendaient avec impatience qu'elle donne naissance après quinze mois de grossesse. C'est chose faite, sous le regard de centaines de milliers de personnes. En effet cet accouchement, cette mise à bas a été filmée en direct pendant deux heures et diffusé sur internet. La vidéo a été regardée par plus d'un million de personne. Le bébé girafe, le girafon va bien, comme sa mère. Il n'a pas encore de nom, c'est un concours qui le décidera. On est sûr que les adorateurs d'April la girafe auront de très nombreuses propositions. Alors si c'est une femelle, Sylvie Berruet et moi-même proposons Sophie. Puisque Sophie la girafe et bien c'est le nom d'un célèbre jouet pour bébé, une girafe en caoutchouc. Vous écoutez RFI, il est 20 heure passé de dix minutes en temps universel. C'est la fin de ce journal en français facile. Et en attendant demain de vous retrouver avec plaisir, je vous souhaite à tous une bonne soirée. Bonsoir Sylvie.

SB

Bonsoir à tous.