×

We use cookies to help make LingQ better. By visiting the site, you agree to our cookie policy.


image

RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 01 février 2017

Journal en français facile 01 février 2017

Juliette Jacquemin : Merci d'écouter RFI, 21h à Paris, 20h en temps universel. Bonjour et bienvenue pour votre journal en français facile. A la une de l'actualité ce soir, le début de l'évacuation de la colonie d'Amona, en Cisjordanie occupée. Une colonie illégale. Les forces de l'ordre ont rencontré la résistance de plusieurs centaines d'habitants. A la une également, les forces de sécurité afghanes de plus en plus en difficulté dans le pays face aux talibans. c'est un rapport américain qui le révèle. Le nombre de tués dans leurs rangs a augmenté de 35 % en une seule année.

Et puis l'affaire Pénélope Fillon en France et une nouvelle personne entendue par la police : il s'agit de Marc Joulaud, qui avait embauché la femme de l'ancien premier ministre comme assistante parlementaire. Mais avant de développer ces titres cette information qui vient de tomber : le chef historique de l'opposition de République Démocratique du Congo, Etienne Tshisekedi, est mort cet après-midi, à Bruxelles, où il était hospitalisé. Il est décédé d'une embolie pulmonaire, à l'âge de 84 ans. Ministre de l'Intérieur puis de la Justice dans les années 1960, il rejoint d'opposition dans les années 1980, jusqu'à la fin de sa vie. En décembre dernier, Etienne Tshisekedi avait notamment appelé à la résistance pacifique contre le président congolais Joseph Kabila.

C'est une colonie qui fait l'enjeu d'une rude bataille depuis des années : la colonie illégale d'Amona, en Cisjordanie occupée, a commencé à être évacuée par les forces de l'ordre. La justice avait ordonné l'évacuation de cette colonie, car elle n'a jamais été reconnue par l'état israélien. Pendant des années, les habitants, entre 200 et 300, ont refusé de partir. Pour l'instant, la moitié du camp a été évacuée, mais plusieurs centaines de jeunes hommes sont venus défendre la colonie et s'en sont pris aux forces de l'ordre. Il y a une vingtaine de blessés chez les policiers et aussi des dizaines d'arrestations. L'opération devrait se poursuivre toute la nuit. Michy Rosenfeld est le porte-parole de la police israélienne :

« Nous évacuons les habitations, en faisant attention, en étant prudents, pour qu'il n'y ait pas de blessés. Cette évacuation va se poursuivre toute la nuit et ensuite nous serons habilités à mener l'évacuation totale de toute la zone d'Amona. En ce qui nous concerne, nous essayons de mener à bien l'évacuation aussi pacifiquement que possible... Les difficultés que nous rencontrons ne concernent pas les familles qui quittent la zone. Mais nous devons aussi gérer des individus qui ne sont pas d'Amona, qui cherchent à causer des troubles et à provoquer des violences. Une fois ces individus évacués, nous pourrons continuer l'opération. » Le porte-parole de la police israélienne, Michi Rosenfeld, au micro de Marine Vlahovic. L'évacuation, donc, d'un côté... Et de l'autre, le gouvernement israélien annonce qu'il va créer 3 000 nouveaux logements, dans les colonies de Cisjordanie occupée. C'est la troisième annonce de ce genre depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis qui est plus favorable à la colonisation que Barack Obama. L'Afghanistan se trouve dans une situation d'instabilité particulièrement grave : en un an, il y a un tiers de morts en plus parmi les forces de sécurité. Et celles-ci continuent de perdre du terrain, face aux talibans. Voilà l'une des conclusions d'un rapport américain, paru ce mercredi. C'est l'inspection générale pour la reconstruction de l'Afghanistan qui le publie. Les précisions de Christophe Paget.

Près de 6 800 policiers et militaires afghans ont été tués en 2016, contre 5 000 en 2015 ; et déjà à l'époque un général américain parlait d'un niveau de perte « insoutenable ». L'armée afghane a pris seule la charge de la lutte contre les talibans en janvier 2015, lors du départ des forces de l'OTAN. Les Américains espéraient que cette armée, pour laquelle la communauté internationale a dépensé des dizaines de milliards de dollars, pourrait tenir face aux rebelles, mais ils avaient rapidement déchanté avec la perte de la ville de Kunduz. Du coup, les conseillers américains restés dans le pays ont été autorisés à se rapprocher des lignes de front, mais le rapport met un chiffre précis sur ce que l'on savait déjà : l'armée perd du terrain, le gouvernement ne contrôlait en novembre dernier qu'un peu plus de 57 % de l'Afghanistan, soit une perte de 15 points en un an. De quoi faire douter les Afghans – d'autant que si les pertes civiles sont en légère baisse par rapport à 2015, elles restent élevées en 2016 avec 8 400 morts. Le rapport cite une étude selon laquelle seuls un peu plus de 29 % des Afghans interrogés ont l'impression que leur pays va dans la bonne direction, c'est une baisse de plus de huit points par rapport à 2015, et le plus bas niveau d'optimisme depuis que l'enquête a commencé en 2004. Aux États-Unis, l'ancien PDG d'Exxon Mobil, Rex Tillerson devient bien le chef de la diplomatie. Sa nomination vient d'être confirmée par les sénateurs. Le nom du candidat de Donald Trump pour occuper le neuvième siège de la cour suprême, lui a été annoncé la nuit dernière : il s'agit de Neil Gorsuch : un juriste conservateur, et qui a une interprétation de la constitution portée sur la tradition. Les Républicains – le parti de Donald Trump – ont réagi de manière très positive. Alors que certains démocrates manifestent leur opposition totale. Anne-Marie Capomaccio :

Le juge Gorsuch est-il un fin juriste, un défenseur acharné de la constitution et du bien public ? Ou est-il un rétrograde qui s'est toujours positionné contre l'évolution de la société américaine ? Les divergences entre républicains et démocrates semblent irréconciliables. Nancy Pelosi, chef de l'opposition à la chambre des représentants, donne le ton. « Le président a choisi un homme qui a pris position pour les intérêts des grandes entreprises contre les actions citoyennes. Quand il y avait des manquements en matière de sécurité il était contre les employés. Air sain, eau potable, sécurité alimentaire... Si c'est important pour vous, il n'est pas votre homme. Il est contre le droit à la contraception. C'est donc un choix très hostile. » La nomination du juge Gorsuch doit être confirmée par un vote des deux tiers au sénat. Sur le papier, les démocrates qui détiennent 48 % des sièges peuvent bloquer. Ce serait déclarer une guerre au président Trump qui peut durer des mois. Il n'y a qu'un précédent dans l'histoire américaine. Certains hésitent, car ils ont été élus dans des états acquis à Donald Trump et craignent un retour de bâton pour les élections de mi-mandat dans 2 ans. Mais la base pousse, des militants démocrates manifestent déjà pour se rappeler au bon souvenir de leurs élus.

En France, encore et toujours, les suites de l'affaire Pénélope Fillon, du nom de la femme du candidat à la présidentielle qui est accusée d'avoir touché plus de 900 000 euros pour des emplois qu'elle n'aurait jamais exercés. La présidente de la Haute autorité, l'institution qui a organisé la primaire, assure aujourd'hui que malgré cette affaire, la primaire de la droite n'est pas caduque, c'est-à-dire qu'elle n'est pas dépassée, périmée... contrairement à ce qu'assure de son côté le député de droite Georges Fenech. Pendant ce temps, la police continue à travailler. Le député européen Marc Joulaud, maire de Sablé-sur-Sarthe, était entendu aujourd'hui par les enquêteurs. L'audition s'est terminée il y a quelques minutes. En effet en juillet 2002 il avait remplacé François Fillon comme député de la Sarthe, et il avait dû employer Pénélope Fillon comme assistante parlementaire... Marc Joulaud c'est un proche du couple Fillon, qui jusqu'à maintenant est resté très discret. Franck Alexandre :

Le maire de Sablé-sur-Sarthe, Marc Joulaud, est au cœur de l'affaire qui ébranle le candidat de la droite... Car Marc Joulaud, 49 ans, doit toute sa carrière politique à son mentor, François Fillon. Au début des années 90, il débute à ses côtés comme, ça ne s'invente pas, assistant parlementaire... Il devient aussi le directeur de cabinet du président du conseil général de la Sarthe François Fillon. Et, il occupe ensuite le même poste à la Région avant de devenir l'adjoint de François Fillon à la mairie de Sablé-sur-Sarthe. C'est donc tout naturellement qu'il devient son suppléant à l'Assemblée nationale quand en 2002 François Fillon devient ministre du Travail et de l'Éducation. Marc Joulaud, un numéro deux fidèle, toujours dans l'ombre, un adjoint d'une grande discrétion. Député à la place de son patron, il embauche donc Pénélope Fillon, comme assistante parlementaire, jusqu'en 2007. La rémunération qu'il lui accorde est bien plus importante que la moyenne : elle débute à 6 900 euros brut par mois, puis monte à 7 900 euros, elle atteindra enfin 10 167 euros brut mensuels, soit un salaire plus important que celui du député lui-même. Une incongruité qui ne manquera pas d'interroger les enquêteurs. RFI, 21 h 10 ici à Paris. C'est la fin de ce journal en français facile. Merci à Laurent Philippot à la réalisation de cette émission. Je vous rappelle l'information principale de ce journal : la mort de l'opposant historique congolais, Etienne Tchisekedi. Une information que nous vous détaillerons dans nos prochaines éditions.

Journal en français facile 01 février 2017 Zeitung in leichtem Französisch 01. Februar 2017 Journal en français facile February 01, 2017 Periódico en francés fácil 01 de febrero de 2017 Gazeta w łatwym języku francuskim 01 lutego 2017 Jornal em francês fácil 01 fevereiro 2017 Газета на легком французском языке 01 февраля 2017 簡單法文日記 2017 年 2 月 1 日

Juliette Jacquemin : Merci d’écouter RFI, 21h à Paris, 20h en temps universel. Bonjour et bienvenue pour votre journal en français facile. A la une de l’actualité ce soir, le début de l’évacuation de la colonie d’Amona, en Cisjordanie occupée. Une colonie illégale. Les forces de l’ordre ont rencontré la résistance de plusieurs centaines d’habitants. A la une également, les forces de sécurité afghanes de plus en plus en difficulté dans le pays face aux talibans. c’est un rapport américain qui le révèle. Le nombre de tués dans leurs rangs a augmenté de 35 % en une seule année.

Et puis l’affaire Pénélope Fillon en France et une nouvelle personne entendue par la police : il s’agit de Marc Joulaud, qui avait embauché la femme de l’ancien premier ministre comme assistante parlementaire. Mais avant de développer ces titres cette information qui vient de tomber : le chef historique de l’opposition de République Démocratique du Congo, Etienne Tshisekedi, est mort cet après-midi, à Bruxelles, où il était hospitalisé. Il est décédé d’une embolie pulmonaire, à l’âge de 84 ans. Ministre de l’Intérieur puis de la Justice dans les années 1960, il rejoint d’opposition dans les années 1980, jusqu’à la fin de sa vie. En décembre dernier, Etienne Tshisekedi avait notamment appelé à la résistance pacifique contre le président congolais Joseph Kabila.

C’est une colonie qui fait l’enjeu d’une rude bataille depuis des années : la colonie illégale d’Amona, en Cisjordanie occupée, a commencé à être évacuée par les forces de l’ordre. La justice avait ordonné l’évacuation de cette colonie, car elle n’a jamais été reconnue par l’état israélien. Pendant des années, les habitants, entre 200 et 300, ont refusé de partir. Pour l’instant, la moitié du camp a été évacuée, mais plusieurs centaines de jeunes hommes sont venus défendre la colonie et s’en sont pris aux forces de l’ordre. Il y a une vingtaine de blessés chez les policiers et aussi des dizaines d’arrestations. L’opération devrait se poursuivre toute la nuit. Michy Rosenfeld est le porte-parole de la police israélienne :

« Nous évacuons les habitations, en faisant attention, en étant prudents, pour qu’il n’y ait pas de blessés. Cette évacuation va se poursuivre toute la nuit et ensuite nous serons habilités à mener l’évacuation totale de toute la zone d’Amona. En ce qui nous concerne, nous essayons de mener à bien l’évacuation aussi pacifiquement que possible... Les difficultés que nous rencontrons ne concernent pas les familles qui quittent la zone. Mais nous devons aussi gérer des individus qui ne sont pas d’Amona, qui cherchent à causer des troubles et à provoquer des violences. Une fois ces individus évacués, nous pourrons continuer l’opération. » Le porte-parole de la police israélienne, Michi Rosenfeld, au micro de Marine Vlahovic. L’évacuation, donc, d’un côté... Et de l’autre, le gouvernement israélien annonce qu’il va créer 3 000 nouveaux logements, dans les colonies de Cisjordanie occupée. C’est la troisième annonce de ce genre depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis qui est plus favorable à la colonisation que Barack Obama. L’Afghanistan se trouve dans une situation d’instabilité particulièrement grave : en un an, il y a un tiers de morts en plus parmi les forces de sécurité. Et celles-ci continuent de perdre du terrain, face aux talibans. Voilà l’une des conclusions d’un rapport américain, paru ce mercredi. C’est l’inspection générale pour la reconstruction de l’Afghanistan qui le publie. Les précisions de Christophe Paget.

Près de 6 800 policiers et militaires afghans ont été tués en 2016, contre 5 000 en 2015 ; et déjà à l’époque un général américain parlait d’un niveau de perte « insoutenable ». L’armée afghane a pris seule la charge de la lutte contre les talibans en janvier 2015, lors du départ des forces de l’OTAN. Les Américains espéraient que cette armée, pour laquelle la communauté internationale a dépensé des dizaines de milliards de dollars, pourrait tenir face aux rebelles, mais ils avaient rapidement déchanté avec la perte de la ville de Kunduz. Du coup, les conseillers américains restés dans le pays ont été autorisés à se rapprocher des lignes de front, mais le rapport met un chiffre précis sur ce que l’on savait déjà : l’armée perd du terrain, le gouvernement ne contrôlait en novembre dernier qu’un peu plus de 57 % de l’Afghanistan, soit une perte de 15 points en un an. De quoi faire douter les Afghans – d’autant que si les pertes civiles sont en légère baisse par rapport à 2015, elles restent élevées en 2016 avec 8 400 morts. Le rapport cite une étude selon laquelle seuls un peu plus de 29 % des Afghans interrogés ont l’impression que leur pays va dans la bonne direction, c’est une baisse de plus de huit points par rapport à 2015, et le plus bas niveau d’optimisme depuis que l’enquête a commencé en 2004. Aux États-Unis, l’ancien PDG d’Exxon Mobil, Rex Tillerson devient bien le chef de la diplomatie. Sa nomination vient d’être confirmée par les sénateurs. Le nom du candidat de Donald Trump pour occuper le neuvième siège de la cour suprême, lui a été annoncé la nuit dernière : il s’agit de Neil Gorsuch : un juriste conservateur, et qui a une interprétation de la constitution portée sur la tradition. Les Républicains – le parti de Donald Trump – ont réagi de manière très positive. Alors que certains démocrates manifestent leur opposition totale. Anne-Marie Capomaccio :

Le juge Gorsuch est-il un fin juriste, un défenseur acharné de la constitution et du bien public ? Ou est-il un rétrograde qui s’est toujours positionné contre l’évolution de la société américaine ? Les divergences entre républicains et démocrates semblent irréconciliables. Nancy Pelosi, chef de l’opposition à la chambre des représentants, donne le ton. « Le président a choisi un homme qui a pris position pour les intérêts des grandes entreprises contre les actions citoyennes. Quand il y avait des manquements en matière de sécurité il était contre les employés. Air sain, eau potable, sécurité alimentaire... Si c’est important pour vous, il n’est pas votre homme. Il est contre le droit à la contraception. C’est donc un choix très hostile. » La nomination du juge Gorsuch doit être confirmée par un vote des deux tiers au sénat. Sur le papier, les démocrates qui détiennent 48 % des sièges peuvent bloquer. Ce serait déclarer une guerre au président Trump qui peut durer des mois. Il n’y a qu’un précédent dans l’histoire américaine. Certains hésitent, car ils ont été élus dans des états acquis à Donald Trump et craignent un retour de bâton pour les élections de mi-mandat dans 2 ans. Mais la base pousse, des militants démocrates manifestent déjà pour se rappeler au bon souvenir de leurs élus.

En France, encore et toujours, les suites de l’affaire Pénélope Fillon, du nom de la femme du candidat à la présidentielle qui est accusée d’avoir touché plus de 900 000 euros pour des emplois qu’elle n’aurait jamais exercés. La présidente de la Haute autorité, l’institution qui a organisé la primaire, assure aujourd’hui que malgré cette affaire, la primaire de la droite n’est pas caduque, c’est-à-dire qu’elle n’est pas dépassée, périmée... contrairement à ce qu’assure de son côté le député de droite Georges Fenech. Pendant ce temps, la police continue à travailler. Le député européen Marc Joulaud, maire de Sablé-sur-Sarthe, était entendu aujourd’hui par les enquêteurs. L’audition s’est terminée il y a quelques minutes. En effet en juillet 2002 il avait remplacé François Fillon comme député de la Sarthe, et il avait dû employer Pénélope Fillon comme assistante parlementaire... Marc Joulaud c’est un proche du couple Fillon, qui jusqu’à maintenant est resté très discret. Franck Alexandre :

Le maire de Sablé-sur-Sarthe, Marc Joulaud, est au cœur de l’affaire qui ébranle le candidat de la droite... Car Marc Joulaud, 49 ans, doit toute sa carrière politique à son mentor, François Fillon. Au début des années 90, il débute à ses côtés comme, ça ne s’invente pas, assistant parlementaire... Il devient aussi le directeur de cabinet du président du conseil général de la Sarthe François Fillon. Et, il occupe ensuite le même poste à la Région avant de devenir l’adjoint de François Fillon à la mairie de Sablé-sur-Sarthe. C’est donc tout naturellement qu’il devient son suppléant à l’Assemblée nationale quand en 2002 François Fillon devient ministre du Travail et de l’Éducation. Marc Joulaud, un numéro deux fidèle, toujours dans l’ombre, un adjoint d’une grande discrétion. Député à la place de son patron, il embauche donc Pénélope Fillon, comme assistante parlementaire, jusqu’en 2007. La rémunération qu’il lui accorde est bien plus importante que la moyenne : elle débute à 6 900 euros brut par mois, puis monte à 7 900 euros, elle atteindra enfin 10 167 euros brut mensuels, soit un salaire plus important que celui du député lui-même. Une incongruité qui ne manquera pas d’interroger les enquêteurs. RFI, 21 h 10 ici à Paris. C’est la fin de ce journal en français facile. Merci à Laurent Philippot à la réalisation de cette émission. Je vous rappelle l’information principale de ce journal : la mort de l’opposant historique congolais, Etienne Tchisekedi. Une information que nous vous détaillerons dans nos prochaines éditions. Information that we will detail in our next editions.