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journal en français facile 2016 Part 1, journal en français facile 2016/04/12

journal en français facile 2016/04/12

Pierre Pillet : Vous écoutez Radio France Internationale, il est 20 heures en temps universel, 22 heures à Paris et Tripoli. Bonsoir à tous, bienvenue dans votre journal en français facile.

Dans cette édition, nous irons à Tunis où a eu lieu une réunion sur la Libye. Autour de la table : des États et des organisations internationales. L'occasion d'apporter un soutien au gouvernement d'union nationale libyen qui est entré en fonction il y a quelques semaines et de faire le point sur les enjeux dans ce pays. Crise politique en Ukraine. Le Premier ministre veut partir. Mardi, les députés devaient valider cette démission et nommer un successeur. Ce qui n'a pas été le cas. Et puis en France, l'Église présente ses mesures pour lutter contre la pédophilie et les agressions sexuelles. PP : Une quarantaine de pays et d'organisations internationales étaient présents à Tunis, ce mardi. Leur but : réfléchir aux moyens de soutenir le gouvernement d'union nationale en Libye, qui a du mal à affirmer son pouvoir depuis fin mars, date de son entrée en fonction. Ce rendez-vous annuel, c'est aussi l'occasion de faire le point sur les enjeux dans ce pays et l'aide à apporter à la population. Écoutez les explications d'Ali al-Zaatari ; il coordonne les opérations humanitaires des Nations unies en Libye. Le système de santé demande un soutien immédiat, il peut s'effondrer à tout moment, il y a un nombre considérable de déplacés internes. Un demi-million de personnes ont besoin d'assistance, en particulier dans l'Est, à Benghazi. Nous devons aussi regarder avec attention la question du statut des migrants et des réfugiés. Un travail est fait sur le terrain par les différents gouvernements et municipalités, le problème c'est qu'ils ne sont pas coordonnés. Il nous faut les amener à s'entendre, à suivre ensemble la direction donnée par le gouvernement libyen. Nous avons trois à six mois pendant lesquels les gens doivent sentir l'impact de la présence du nouveau gouvernement en Libye, c'est très important, sinon leur patience va arriver à son terme et ils diront que c'était mieux avant ou que ça ne leur apporte pas ce dont ils ont besoin. PP : Ali al-Zaatari, coordinateur des opérations humanitaires de l'ONU en Libye. Propos recueillis par Justine Fontaine.

Le groupe Etat islamique a tué une personne et en a blessé sept autres, mardi, au sud de la Turquie. Les terroristes ont tiré des roquettes depuis une zone qu'ils contrôlent en Syrie. Cette information est donnée par une agence de presse turque. Les projectiles se sont abattus sur la ville frontalière de Kilis, déjà prise pour cible lundi. En réponse, l'artillerie turque a bombardé des positions de l'organisation terroriste. Il est 23 heures et 5 minutes à Kiev. En Ukraine, le Premier ministre reste en poste… pour le moment. Le Parlement ukrainien n'a toujours pas réussi à officialiser la démission d'Arseni Iatseniuk. Après avoir échappé à une motion de censure, le chef du gouvernement, vivement critiqué pour l'insuffisance des réformes promises, a annoncé dimanche qu'il voulait quitter ses fonctions. Les députés devaient valider son départ ce mardi et se pencher sur la nomination de son successeur, mais la séance s'est terminée sans que la question n'ait été mise à l'ordre du jour, Anastasia Becchio. « Les discussions autour du nouveau cabinet se transforment en farce. » Voilà comment le ministre ukrainien de l'Intérieur, Arsen Avakov, un proche du chef du gouvernement démissionnaire, commente la situation. « Les négociations sont bloquées » rapporte pour sa part le député réformiste Serhiy Leshchenko, du Bloc Petro Porochenko. Pressenti pour prendre la succession d'Arséni Iatseniuk, le président du Parlement, Volodomyr Groisman, négocie la composition de son futur cabinet avec le chef de l'Etat, dont il est proche et le Premier ministre, bien décidé à garder certains de ses hommes – comme le ministre de l'Intérieur – à des postes clés. Mais visiblement, le terrain d'entente est difficile à trouver. La nuit dernière, plusieurs députés ont même rapporté que Volodomyr Groisman aurait décliné l'offre, n'étant pas d'accord avec le choix de certains ministres. Si les deux principaux partis de la Rada, le Bloc Petro Porochenko et le Front populaire d'Arseni Iatseniuk ne parviennent pas à s'entendre sur les noms des prochains ministres, l'actuel chef du gouvernement pourrait ne pas être démis de ses fonctions, avance même le député du parti de Porochenko, Mustapha Nayyem. Son collègue Oleksiy Goncharenko se montre légèrement plus optimiste : « Nous espérons, dit-il, que le vote pourra avoir lieu mercredi ou jeudi. PP : Si aucune solution n'est trouvée d'ici la fin de la semaine, Petro Porochenko, le chef de l'État, pourrait demander des élections législatives anticipées. C'est ce qu'affirme un député membre du parti du président. On va maintenant parler d'un sujet sensible au Cambodge : celui de la frontière avec le Vietnam. Sujet qui revient régulièrement dans les débats politiques. Et ce mardi, un député de l'opposition a été inculpé pour avoir critiqué les cartes représentant le pays, les cartes utilisées par le gouvernement. Il risque jusqu'à cinq ans de prison. Le récit de Christophe Paget.

« Je n'ai aucun regret, j'avais prévu tout ça et je m'y étais préparé. » C'est ce qu'a déclaré Um Sam An juste après avoir été interrogé par la police antiterroriste. Le député de l'opposition, arrêté dimanche à son retour de l'étranger, est inculpé d'incitation à la révolte contre le gouvernement cambodgien et d'incitation au racisme à l'égard du Vietnam. Il est à la pointe du mouvement d'opposition qui accuse le gouvernement de concéder des portions de territoire au Vietnam en utilisant de fausses cartes pour délimiter la frontière entre les deux pays. La question est très sensible au Cambodge, où le sentiment anti-vietnamien reste encore très fort, vingt-sept ans après le départ des troupes d'Hanoï, qui avaient envahi le pays en 1979 pour combattre le régime des Khmers rouges. Le Premier ministre Hun Sen, lui, entretient toujours de bonnes relations avec les vietnamiens. Il est arrivé au pouvoir lorsqu'ils occupaient son pays. Et il est intervenu en personne ce matin sur la radio d'État : « Quiconque ose dire que le gouvernement utilise de fausses cartes doit être menotté. » L'été dernier, Hun Sen avait déjà accusé un sénateur de l'opposition d'avoir publié sur sa page Facebook une version « falsifiée » d'un ancien traité sur la frontière avec le Vietnam. Le sénateur est toujours en détention, son procès a été retardé.

PP : Christophe Paget.

L'enquête sur les attentats de Bruxelles et Paris se poursuit. Trois nouvelles arrestations ont eu lieu mardi lors d'une perquisition à Uccle, commune au sud de la capitale belge. Un juge d'instruction décidera mercredi de leur maintien éventuel en détention. Aucune information, en revanche, sur leur identité.

Il est 22 heures 7 à Paris. L'Eglise française veut lutter contre la pédophilie. Elle est très critiquée depuis plusieurs semaines, notamment à cause de l'affaire Barbarin, l'archevêque de Lyon visé par deux enquêtes pour non dénonciation d'agressions sexuelles sur mineurs. Eh bien ce mardi, la Conférence des évêques de France a dévoilé des mesures pour éviter que de nouvelles affaires de pédophilie ne se produisent dans les diocèses. Le détail avec Alexis Bédu.

Mieux écouter et mieux accompagner les victimes de ces actes pédophiles. Ce sont les objectifs d'une des mesures phares prises par la Conférence des évêques. Des cellules d'écoute seront mise en place dans les différents diocèses. Un site internet dédié aux victimes sera également bientôt en ligne. Le but, c'est de faire remonter toutes les affaires passées sous silence et d'aider les victimes à se reconstruire. « Il est nécessaire de faire la lumière sur les cas anciens » a notamment déclaré Monseigneur Georges Pontier, président de la Conférence des évêques. L'autre annonce majeure, c'est la création avant l'été d'une commission d'expertise indépendante. Elle sera composée de personnes laïques, de psychologues ou encore de magistrats. Sa mission : conseiller les évêques dans leurs décisions quand ils font face à des cas de prêtres pédophiles. Là encore, les cas plus anciens seront examinés. Ces mesures étaient très attendues, car depuis que l'affaire du cardinal Barbarin a éclaté, les critiques pleuvent sur l'Église française. Oui, il y avait des manques dans le suivi a d'ailleurs reconnu Monseigneur Pontier. PP : Alexis Bédu.

L'actualité en France, c'est aussi cette affaire d'espionnage au sein du parti Les Républicains. Ça remonte à 2012, à l'époque où la formation politique s'appelait l'UMP. Claude Guéant a fait surveiller Thierry Solère, son adversaire aux élections législatives cette année-là. Et ce par le biais du renseignement extérieur. C'est ce qu'affirme le journal Le Monde. Claude Guéant demande à l'actuel ministre de la Défense – dont dépend le renseignement extérieur – une enquête et éventuellement une saisie de la justice. On termine avec du football et les quarts de finale retour de la Ligue des champions. 0-0 entre Manchester City et le Paris Saint-Germain. Il reste 25 minutes à jouer. À l'aller il y avait eu deux partout mais le PSG doit gagner pour aller en demi-finales à cause de la règle du but à l'extérieur. Et dans l'autre rencontre, le Real Madrid mène 2-0 face à Wolfsburg. À l'aller, les Madrilènes avaient perdu sur le même score. Si on en reste là à la fin du temps réglementaire, ce sont les prolongations et les tirs au but qui devront départager ces deux équipes.

C'est la fin de ce journal en français facile à retrouver sur rfi.fr. Il est 20 heures 10 en temps universel, 22 heures 10 à Paris.


journal en français facile 2016/04/12 journal en français facile 2016/04/12

Pierre Pillet :  Vous écoutez Radio France Internationale, il est 20 heures en temps universel, 22 heures à Paris et Tripoli. Bonsoir à tous, bienvenue dans votre journal en français facile.

Dans cette édition, nous irons à Tunis où a eu lieu une réunion sur la Libye. Autour de la table : des États et des organisations internationales. L'occasion d'apporter un soutien au gouvernement d'union nationale libyen qui est entré en fonction il y a quelques semaines et de faire le point sur les enjeux dans ce pays. Crise politique en Ukraine. Le Premier ministre veut partir. Mardi, les députés devaient valider cette démission et nommer un successeur. Ce qui n'a pas été le cas. Et puis en France, l'Église présente ses mesures pour lutter contre la pédophilie et les agressions sexuelles. PP : Une quarantaine de pays et d'organisations internationales étaient présents à Tunis, ce mardi. Leur but : réfléchir aux moyens de soutenir le gouvernement d'union nationale en Libye, qui a du mal à affirmer son pouvoir depuis fin mars, date de son entrée en fonction. Ce rendez-vous annuel, c'est aussi l'occasion de faire le point sur les enjeux dans ce pays et l'aide à apporter à la population. Écoutez les explications d'Ali al-Zaatari ; il coordonne les opérations humanitaires des Nations unies en Libye. Le système de santé demande un soutien immédiat, il peut s'effondrer à tout moment, il y a un nombre considérable de déplacés internes. Un demi-million de personnes ont besoin d'assistance, en particulier dans l'Est, à Benghazi. Nous devons aussi regarder avec attention la question du statut des migrants et des réfugiés. Un travail est fait sur le terrain par les différents gouvernements et municipalités, le problème c'est qu'ils ne sont pas coordonnés. Il nous faut les amener à s'entendre, à suivre ensemble la direction donnée par le gouvernement libyen. Nous avons trois à six mois pendant lesquels les gens doivent sentir l'impact de la présence du nouveau gouvernement en Libye, c'est très important, sinon leur patience va arriver à son terme et ils diront que c'était mieux avant ou que ça ne leur apporte pas ce dont ils ont besoin. PP : Ali al-Zaatari, coordinateur des opérations humanitaires de l'ONU en Libye. Propos recueillis par Justine Fontaine.

Le groupe Etat islamique a tué une personne et en a blessé sept autres, mardi, au sud de la Turquie. Les terroristes ont tiré des roquettes depuis une zone qu'ils contrôlent en Syrie. Cette information est donnée par une agence de presse turque. Les projectiles se sont abattus sur la ville frontalière de Kilis, déjà prise pour cible lundi. En réponse, l'artillerie turque a bombardé des positions de l'organisation terroriste. Il est 23 heures et 5 minutes à Kiev. En Ukraine, le Premier ministre reste en poste… pour le moment. Le Parlement ukrainien n'a toujours pas réussi à officialiser la démission d'Arseni Iatseniuk. Après avoir échappé à une motion de censure, le chef du gouvernement, vivement critiqué pour l'insuffisance des réformes promises, a annoncé dimanche qu'il voulait quitter ses fonctions. Les députés devaient valider son départ ce mardi et se pencher sur la nomination de son successeur, mais la séance s'est terminée sans que la question n'ait été mise à l'ordre du jour, Anastasia Becchio. « Les discussions autour du nouveau cabinet se transforment en farce. » Voilà comment le ministre ukrainien de l'Intérieur, Arsen Avakov, un proche du chef du gouvernement démissionnaire, commente la situation. « Les négociations sont bloquées » rapporte pour sa part le député réformiste Serhiy Leshchenko, du Bloc Petro Porochenko. Pressenti pour prendre la succession d'Arséni Iatseniuk, le président du Parlement, Volodomyr Groisman, négocie la composition de son futur cabinet avec le chef de l'Etat, dont il est proche et le Premier ministre, bien décidé à garder certains de ses hommes – comme le ministre de l'Intérieur – à des postes clés. Mais visiblement, le terrain d'entente est difficile à trouver. La nuit dernière, plusieurs députés ont même rapporté que Volodomyr Groisman aurait décliné l'offre, n'étant pas d'accord avec le choix de certains ministres. Si les deux principaux partis de la Rada, le Bloc Petro Porochenko et le Front populaire d'Arseni Iatseniuk ne parviennent pas à s'entendre sur les noms des prochains ministres, l'actuel chef du gouvernement pourrait ne pas être démis de ses fonctions, avance même le député du parti de Porochenko, Mustapha Nayyem. Son collègue Oleksiy Goncharenko se montre légèrement plus optimiste : « Nous espérons, dit-il, que le vote pourra avoir lieu mercredi ou jeudi. PP : Si aucune solution n'est trouvée d'ici la fin de la semaine, Petro Porochenko, le chef de l'État, pourrait demander des élections législatives anticipées. C'est ce qu'affirme un député membre du parti du président. On va maintenant parler d'un sujet sensible au Cambodge : celui de la frontière avec le Vietnam. Sujet qui revient régulièrement dans les débats politiques. Et ce mardi, un député de l'opposition a été inculpé pour avoir critiqué les cartes représentant le pays, les cartes utilisées par le gouvernement. Il risque jusqu'à cinq ans de prison. Le récit de Christophe Paget.

« Je n'ai aucun regret, j'avais prévu tout ça et je m'y étais préparé. » C'est ce qu'a déclaré Um Sam An juste après avoir été interrogé par la police antiterroriste. Le député de l'opposition, arrêté dimanche à son retour de l'étranger, est inculpé d'incitation à la révolte contre le gouvernement cambodgien et d'incitation au racisme à l'égard du Vietnam. Il est à la pointe du mouvement d'opposition qui accuse le gouvernement de concéder des portions de territoire au Vietnam en utilisant de fausses cartes pour délimiter la frontière entre les deux pays. La question est très sensible au Cambodge, où le sentiment anti-vietnamien reste encore très fort, vingt-sept ans après le départ des troupes d'Hanoï, qui avaient envahi le pays en 1979 pour combattre le régime des Khmers rouges. Le Premier ministre Hun Sen, lui, entretient toujours de bonnes relations avec les vietnamiens. Il est arrivé au pouvoir lorsqu'ils occupaient son pays. Et il est intervenu en personne ce matin sur la radio d'État : « Quiconque ose dire que le gouvernement utilise de fausses cartes doit être menotté. » L'été dernier, Hun Sen avait déjà accusé un sénateur de l'opposition d'avoir publié sur sa page Facebook une version « falsifiée » d'un ancien traité sur la frontière avec le Vietnam. Le sénateur est toujours en détention, son procès a été retardé.

PP : Christophe Paget.

L'enquête sur les attentats de Bruxelles et Paris se poursuit. Trois nouvelles arrestations ont eu lieu mardi lors d'une perquisition à Uccle, commune au sud de la capitale belge. Un juge d'instruction décidera mercredi de leur maintien éventuel en détention. Aucune information, en revanche, sur leur identité.

Il est 22 heures 7 à Paris. L'Eglise française veut lutter contre la pédophilie. Elle est très critiquée depuis plusieurs semaines, notamment à cause de l'affaire Barbarin, l'archevêque de Lyon visé par deux enquêtes pour non dénonciation d'agressions sexuelles sur mineurs. Eh bien ce mardi, la Conférence des évêques de France a dévoilé des mesures pour éviter que de nouvelles affaires de pédophilie ne se produisent dans les diocèses. Le détail avec Alexis Bédu.

Mieux écouter et mieux accompagner les victimes de ces actes pédophiles. Ce sont les objectifs d'une des mesures phares prises par la Conférence des évêques. Des cellules d'écoute seront mise en place dans les différents diocèses. Un site internet dédié aux victimes sera également bientôt en ligne. Le but, c'est de faire remonter toutes les affaires passées sous silence et d'aider les victimes à se reconstruire. « Il est nécessaire de faire la lumière sur les cas anciens » a notamment déclaré Monseigneur Georges Pontier, président de la Conférence des évêques. L'autre annonce majeure, c'est la création avant l'été d'une commission d'expertise indépendante. Elle sera composée de personnes laïques, de psychologues ou encore de magistrats. Sa mission : conseiller les évêques dans leurs décisions quand ils font face à des cas de prêtres pédophiles. Là encore, les cas plus anciens seront examinés. Ces mesures étaient très attendues, car depuis que l'affaire du cardinal Barbarin a éclaté, les critiques pleuvent sur l'Église française. Oui, il y avait des manques dans le suivi a d'ailleurs reconnu Monseigneur Pontier. PP : Alexis Bédu.

L'actualité en France, c'est aussi cette affaire d'espionnage au sein du parti Les Républicains. Ça remonte à 2012, à l'époque où la formation politique s'appelait l'UMP. Claude Guéant a fait surveiller Thierry Solère, son adversaire aux élections législatives cette année-là. Et ce par le biais du renseignement extérieur. C'est ce qu'affirme le journal Le Monde. Claude Guéant demande à l'actuel ministre de la Défense – dont dépend le renseignement extérieur – une enquête et éventuellement une saisie de la justice. On termine avec du football et les quarts de finale retour de la Ligue des champions. 0-0 entre Manchester City et le Paris Saint-Germain. Il reste 25 minutes à jouer. À l'aller il y avait eu deux partout mais le PSG doit gagner pour aller en demi-finales à cause de la règle du but à l'extérieur. Et dans l'autre rencontre, le Real Madrid mène 2-0 face à Wolfsburg. À l'aller, les Madrilènes avaient perdu sur le même score. Si on en reste là à la fin du temps réglementaire, ce sont les prolongations et les tirs au but qui devront départager ces deux équipes.

C'est la fin de ce journal en français facile à retrouver sur rfi.fr. Il est 20 heures 10 en temps universel, 22 heures 10 à Paris.