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La France en chansons, Dalida Le temps des Fleurs / 1968
Dalida Le temps des Fleurs / 1968
Dans une taverne du vieux Londres Où se retrouvaient des étrangers Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre Et nous écoutions nos coeurs chanter C'était le temps des fleurs On ignorait la peur Les lendemains avaient un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Et puis sont venus les jours de brume Avec des bruits étranges et des pleurs Combien j'ai passé de nuits sans lune À chercher la taverne dans mon coeur Tout comme au temps des fleurs Où l'on vivait sans peur Où chaque jour avait un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Et ce soir je suis devant la porte De la taverne où tu ne viendras plus Et la chanson que la nuit m'apporte Mon coeur déjà ne la connaît plus C'était le temps des fleurs On ignorait la peur Les lendemains avait un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Je crois que l'important c'est deux êtres qui s'aiment vraiment Et c'est tout
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Dalida Le temps des Fleurs / 1968
Dalida Flower Time / 1968
Dans une taverne du vieux Londres Où se retrouvaient des étrangers Nos voix criblées de joie montaient de l'ombre Et nous écoutions nos coeurs chanter C'était le temps des fleurs On ignorait la peur Les lendemains avaient un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Et puis sont venus les jours de brume Avec des bruits étranges et des pleurs Combien j'ai passé de nuits sans lune À chercher la taverne dans mon coeur Tout comme au temps des fleurs Où l'on vivait sans peur Où chaque jour avait un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Et ce soir je suis devant la porte De la taverne où tu ne viendras plus Et la chanson que la nuit m'apporte Mon coeur déjà ne la connaît plus C'était le temps des fleurs On ignorait la peur Les lendemains avait un goût de miel Ton bras prenait mon bras Ta voix suivait ma voix On était jeune et l'on croyait au ciel Je crois que l'important c'est deux êtres qui s'aiment vraiment Et c'est tout