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Youtube Videos, SCHOPENHAUER - L'origine de notre souffrance 📏 (2)

SCHOPENHAUER - L'origine de notre souffrance 📏 (2)

jean paul sartre disait l'homme se

définit essentiellement comme projet et

il fallait entendre ou au projet presque

en deux mots c'est Ă  dire 1 g en avant

projet j'ai en avant ça signifie que

selon sartre l'homme n'est jamais et

finalement identique Ă  lui mĂȘme il est

toujours désir d'au-delà dos de

l'abdomen

quand on se projette c'est con son

visage dans un futur par exemple dans un

autre lieu aussi par exemple

le fait de se projeter c'est ça qui qui

constitue l'essence mĂȘme de l'humanitĂ©

c'est le fait de ne jamais se satisfaire

de sa situation présente

c'est le fait de toujours pouvoir

repousser les limites de la finitude

lorsque sartre défi l'homme comme projet

il le dĂ©finit comme ĂȘtre en lutte contre

sa finitude

je vais maintenant passer Ă  la deuxiĂšme

Ă©tape de mon propos qui va concerner la

thématique du désir

si l'homme et projets si l'homme et

lutte permanente contre la finitude et

bien ça se manifeste à travers cette

force qu'on appelle le désirent dans ma

précédente vidéo sur les piqûres isme

j'ai donné une petite définition du

désign que je veux reprendre le désir

c'est une force intérieure me pousse

vers un objet revue de se l'approprier

ce que j'ai désiré chose je désire le

faire mien

c'est ça que je désire on peut le voir

du point de vue opposés c'est à dire que

le désir c'est le désir de rejoindre

quelque chose le désir est toujours

désir d'eau donc le désir de

s'approprier quelque chose une désir de

rejoindre cette chose au final ça

revient un peu au nord ça revient à

vouloir faire quand avec l'objet

j'aimerais me laisser aller Ă  une

divagation linguistique Ă  savoir que le

mot désir et le mot désastre sont en

relation Ă©tymologique qu'ils ont la mĂȘme

racine

le désir serait donc désastre mais le

désastre se serait littéralement la

perte de l'astre désastre

la perte de l'astre on sait que sur le

plan chimique l'homme est composé

d'éléments provenant de projection

stellaire revenant des toiles

ça c'est quelque chose que j'invente

pouvez le vérifier

et ces éléments chimiques qui sont à la

base de l'ĂȘtre humain

ils ont donc nos origines seles on sait

que l'astre en poésie est souvent

associé aux au paradis perdu à l'origine

d'un produit chimique l'homme vient des

Ă©toiles d'un point de vue politique

l'homme vient des Ă©toiles

peut-ĂȘtre que d'un point de vue

philosophique l'homme vient des Ă©toiles

c'est Ă  dire que l'homme a perdu son

origine

il a perdu son unité

si l'homme est une projection stellaire

faut imaginer une projection des

composĂ©s ĂȘtre de l'humanitĂ© que la

décomposition des astros auquel cas

notre aspiration profonde serait de

rejoindre cette unité

maintenant si on applique cette vision Ă 

ce qu'on est en train de dire sur le

désir

on pourrait croire que le désir c'est

cette force qui anime on peut ce qui vit

qui donc animent l'ĂȘtre humain vers une

sorte de retour à un monde idéal de

retour un paradis perdu est bien dans ce

cas l'art la culture et l'histoire ne

serait que la lente marche de l'homme

vers la reconquĂȘte de l'unitĂ©

le désir est tojours désir de ceux qui

mentent

si quelque chose nous c'est qu'on estime

en avoir besoin

c'est qu'on estime qu'elle fait moi

partie de nous

aimer quelqu'un c'est aimer notre moitié

mort on s'est aimé celui ou celle qui

nous rendra complet

l'amour est souvent associée à cette

unité par l'harmonie c'est à dire par là

la complémentarité

s'ils le désirent et désastres le désir

et cette force qui nous pousse Ă 

retourner vers l'unité

à partir de là tout désir est la marque

de notre puissance et de notre finitude

tous désirent est la preuve que nous ne

sommes pas complet je vais faire un

petit retour sur lui dĂšs son origine

dans le banquet plateau met en scĂšne des

personnages qui débattent la question de

l'amour et du désir et un moment donné

l'un des personnages Ă©voque le mythe des

ombres jeu qu'est ce que c'est mal le

mythe des androgynes

c'est une histoire qui est censé

raconter le l'origine de notre humanité

et qui consistait Ă  dire que Ă  l'origine

tous les ĂȘtres Ă©tait hermaphrodite

c'est à dire qu'il possédait les deux

sexes donc Ă  la fois homme et femme y

compris du point de vue de leur forme

voilĂ  il faut imaginer en fait deux

ĂȘtres dos-Ă -dos collĂ©s l'un Ă  l'autre

donc il se retrouve avec quatre jambes

quatre bras et ses rangs et qui se

déplacent de maniÚre circulaire fait

assez étrange mais l'idée c'est que les

ĂȘtre Ă  l'origine et Ă©taient des ĂȘtres

coquelet c'est Ă  dire Ă  la fois mĂąle et

femelle dont il ne leur manquait rien et

limites raconte quand ces Ă©preuves ces

ĂȘtres surpuissant c'est ĂȘtre surpuissant

ont voulu se confronter aux dieux ils

rusent confrontés aux bisons il se

mesurait Ă  eux parce que sur de leur

toute puissance

ils pensaient qu'ils allaient vaincre

les dieux et jupiter aux personnes s'est

déplacée pour dire les hermaphrodites

saleh les androgynes

vous n'allez pas faire long feu donc

qu'est ce qu'il a fait il les a coupés

en deux et là il les a regardés en

disant ben voilĂ  vous ĂȘtes bien malin

maintenant vous vous ĂȘtes crurent les

Ă©gaux des dieux parce que vous Ă©tiez

puissant vous voilà divisée vous voilà

séparer séparer de votre moitié

séparé de votre partie manquante vous

ĂȘtes donc condamnĂ©s Ă  passer votre vie Ă 

rechercher votre routine en compte

je trouve que c'est trÚs belle métaphore

du désir est une trÚs belle métaphore de

l'amour

on en paye des grands mots parce que

cette recherche de la partie manquante

cette recherche de l'alter ego elle est

à mon sens trÚs trÚs emblématique de ce

que cherche Ă  faire l'homme Ă  travers

l'histoire qui de rejoindre sa partie

dit je n'emploie pas ce mot dans un sens

religieux pose pas la question Ă  savoir

si dieu existe ou pas je pose mĂȘme pas

la question dans ces termes lĂ  je prends

acte du fait que pendant longtemps les

hommes ont dĂ©clarĂ© ĂȘtre guidĂ© par dieu

et si on prend leur mot au sérieux on

s'aperçoit que c'est qu'aux héros c'est

cohérent de construire des pyramides

pour refaire des interfaces entre

l'homme et dieu c'est cohérent de

construire des cathédrales pour là

encore créer des interfaces entre l'ùme

et du seco héros de rechercher la

formule mathématique qui permettra de

comprendre les lois de l'expansion de

l'univers

lĂ  encore

c'est vouloir se rapprocher de dieu

c'est Ă  dire vouloir se rapprocher de

cette perfection idéal bref dans tous

les cas si l'homme n'était pas animé

d'un désir d'un désir ardent pour

surpasser sa propre finitude et

rejoindre sa partie manquante pour

devenir un ĂȘtre complet si l'homme

n'était pas donné cette force qu'elle

deinove est notre broderie ne ferait

rien ils n'agiraient pas et je pense que

vie serait un peu ennuyeuse

maintenant troisiĂšme volet de cette

petite réflexion comment se manifeste ce

désir et qu'est ce qu'il dit de l'homme

est bien ce que dit le désir de l'homme

c'est que l'homme de francs l'homme

souffre parce que s'il Ă©tait heureux

il ne chercherait pas Ă  ĂȘtre autre chose

que ce qu'ils ne ne chercherait pas Ă 

dépasser ses limites

ne chercherait pas devenir meilleur tout

le monde est d'accord pour dire que

devenir meilleur est une ambition

parfaitement respectable qu'il faut

encourager

mais si l'homme peut s'améliorer

c'est bien la preuve qui n'est pas

parfait

et est-ce qu'on atteint réellement dans

sa vie un moment oĂč on peut se dire ça y

est ça y est j'ai atteint le niveau

parfait non plus besoin ce qu'ont pu

besoin d'évoluer bien sûr que non

bien sûr que non ce qui est bien la

preuve que l'homme passe toute son

existence Ă  ĂȘtre un parfait

leur philosophie et le concept c'est la

perfectibilité le fait de pouvoir se

perfectionner pouvoir ĂȘtre meilleur la

perfectibilité est d'abord la marque de

la finitude et tout désir en tant que

force qui nous pousse Ă  aller au-delĂ  de

ce mois c'est la marque de notre

finitude

c'est pourrait-on dire la marque de

notre misĂšre la misĂšre humaine

c'est la perfectibilité

la misĂšre humaine c'est d'avoir

conscience de notre finitude donc tout

dĂ©sir peut Ă©videmment ĂȘtre vu comme une

force impétueuse magnifique une

expression de l'Ă©lan vital mais tous

dĂ©sirent peuvent ĂȘtre vues comme la

marque de notre finitude

donc quand schopenhauer dresse un

tableau funeste du monde et de

l'humanité

mais c'est peut-ĂȘtre ça qui l'est c'est

de dire il essaie peut-ĂȘtre de dire que

la volonté

il appelle Ă  voter cette force cette

force un fil et est totalement

insaisissables incompréhensible cette

force qui anime le monde

ben cette force-lĂ  elle est bien

l'expression d'un manque cette force lĂ 

qui s'exprime au travers de chacun de

nous elle est l'expression d'un monde

le désir est toujours désir de quelque

chose qui le complĂšte

voilĂ  pourquoi prendre conscience de ce

désir c'est finalement s'exposer à

allonnes et des plus grandes souffrances

cette souffrance on ne peut s'affranchir

quand l'oublions et encore je répÚte

inlassablement cette situation pascal un

roi sans divertissement est un homme

plein de l'isĂšre l homme ne trouve pas

le moyen de détourner son esprit de

l'idĂ©e de la mort d'al ĂȘtre condamnĂ©s Ă 

la souffrance donc vous voyez qu'on a

parcouru du chemin

à partir de l'idée idée de schopenhauer

que la vie n'Ă©tait finalement que l'on

france et la conclusion qui est que si

l'homme souffre c'est parce qu'il est un

ĂȘtre de dĂ©sir en ayant conscience

voyez que finalement lorsqu'on parle du

désir on ne parle pas forcément de

quelque chose de positif est que le

dĂ©sir pouvant ĂȘtre vu comme dĂ©sastre il

ne faut pas sous-estimer la capacité

qu'a le désir de se retourner contre

nous sous la forme d'une souffrance

les ĂȘtres qui souffrent sont des ĂȘtres

dont le désir se retourne contre eux

nous sommes les ĂȘtres qui souffrent sont

des ĂȘtres en bonne santĂ© puisque la

force son beurre désir est là pour leur

rappeler qu'ils sont vivants

ce que je voudrais dire pour terminer

c'est que si on adopte ce paradigme

expert en existe que je ne vous décrire

on pourra considérer que le bonheur

consiste dans leur peau c'est Ă  dire

dans l'immobilité chez les grecs

l'unité était associé à l'immobilité

pourquoi parce que pour qu'il y ait du

alité pour qu'il y ait deux objets des

objets distincts bien il faut bien que

un espace se soit Ă©tabli entre ces deux

objets donc deux objets ça suppose

l'espace la dualité un pic l'espace

n'Ă©tait l'appliquent pas l'espace

puisque l'unité est une totalité et qu'

il n'ya pas d'extérieur à la totalité

mais si l'unité est immobile ça veut

dire que la dualité est essentiellement

mouvement la caractéristique principale

de la vie c'est le mouvement

c'est à dire le fait de se déplacer dans

l'espace pendant un certain temps

l'homme est un ĂȘtre de dĂ©sir parce que

l'homme est un ĂȘtre mobile

l'homme est un ĂȘtre qui agit en agissant

il se déploie dans l'espace le symbole

qui reprĂ©sente le mieux l'ĂȘtre humain

c'est la flĂšche la flĂšche indique bien

cette idée de mouvement

elle indique bien cette idée de

commencement et de fin elle a dit bien

cette idée de propagation de l'espace

autrement dit elles indiquent bien que

les caractéristiques du désir c'est à

dire le désire on l'a vu est toujours

desire 2 quelque chose il instaure donc

une dualité entre lui et son objet il

vise l'objet de maniĂšre Ă  pouvoir se

réunir à lui il ya donc dans l'idée

d'une impulsion

au contraire le repos l'immobilité pour

ĂȘtre symbolisĂ©e par le cercle on pourra

rappeler Ă  toutes fins utiles que le

cercle c'est la seule figure géométrique

qui ne possÚde qu'un seul cÎté


SCHOPENHAUER - L'origine de notre souffrance 📏 (2)

jean paul sartre disait l'homme se

définit essentiellement comme projet et

il fallait entendre ou au projet presque

en deux mots c'est Ă  dire 1 g en avant

projet j'ai en avant ça signifie que

selon sartre l'homme n'est jamais et

finalement identique Ă  lui mĂȘme il est

toujours désir d'au-delà dos de

l'abdomen

quand on se projette c'est con son

visage dans un futur par exemple dans un

autre lieu aussi par exemple

le fait de se projeter c'est ça qui qui

constitue l'essence mĂȘme de l'humanitĂ©

c'est le fait de ne jamais se satisfaire

de sa situation présente

c'est le fait de toujours pouvoir

repousser les limites de la finitude

lorsque sartre défi l'homme comme projet

il le dĂ©finit comme ĂȘtre en lutte contre

sa finitude

je vais maintenant passer Ă  la deuxiĂšme

Ă©tape de mon propos qui va concerner la

thématique du désir

si l'homme et projets si l'homme et

lutte permanente contre la finitude et

bien ça se manifeste à travers cette

force qu'on appelle le désirent dans ma

précédente vidéo sur les piqûres isme

j'ai donné une petite définition du

désign que je veux reprendre le désir

c'est une force intérieure me pousse

vers un objet revue de se l'approprier

ce que j'ai désiré chose je désire le

faire mien

c'est ça que je désire on peut le voir

du point de vue opposés c'est à dire que

le désir c'est le désir de rejoindre

quelque chose le désir est toujours

désir d'eau donc le désir de

s'approprier quelque chose une désir de

rejoindre cette chose au final ça

revient un peu au nord ça revient à

vouloir faire quand avec l'objet

j'aimerais me laisser aller Ă  une

divagation linguistique Ă  savoir que le

mot désir et le mot désastre sont en

relation Ă©tymologique qu'ils ont la mĂȘme

racine

le désir serait donc désastre mais le

désastre se serait littéralement la

perte de l'astre désastre

la perte de l'astre on sait que sur le

plan chimique l'homme est composé

d'éléments provenant de projection

stellaire revenant des toiles

ça c'est quelque chose que j'invente

pouvez le vérifier

et ces éléments chimiques qui sont à la

base de l'ĂȘtre humain

ils ont donc nos origines seles on sait

que l'astre en poésie est souvent

associé aux au paradis perdu à l'origine

d'un produit chimique l'homme vient des

Ă©toiles d'un point de vue politique

l'homme vient des Ă©toiles

peut-ĂȘtre que d'un point de vue

philosophique l'homme vient des Ă©toiles

c'est Ă  dire que l'homme a perdu son

origine

il a perdu son unité

si l'homme est une projection stellaire

faut imaginer une projection des

composĂ©s ĂȘtre de l'humanitĂ© que la

décomposition des astros auquel cas

notre aspiration profonde serait de

rejoindre cette unité

maintenant si on applique cette vision Ă 

ce qu'on est en train de dire sur le

désir

on pourrait croire que le désir c'est

cette force qui anime on peut ce qui vit

qui donc animent l'ĂȘtre humain vers une

sorte de retour à un monde idéal de

retour un paradis perdu est bien dans ce

cas l'art la culture et l'histoire ne

serait que la lente marche de l'homme

vers la reconquĂȘte de l'unitĂ©

le désir est tojours désir de ceux qui

mentent

si quelque chose nous c'est qu'on estime

en avoir besoin

c'est qu'on estime qu'elle fait moi

partie de nous

aimer quelqu'un c'est aimer notre moitié

mort on s'est aimé celui ou celle qui

nous rendra complet

l'amour est souvent associée à cette

unité par l'harmonie c'est à dire par là

la complémentarité

s'ils le désirent et désastres le désir

et cette force qui nous pousse Ă 

retourner vers l'unité

à partir de là tout désir est la marque

de notre puissance et de notre finitude

tous désirent est la preuve que nous ne

sommes pas complet je vais faire un

petit retour sur lui dĂšs son origine

dans le banquet plateau met en scĂšne des

personnages qui débattent la question de

l'amour et du désir et un moment donné

l'un des personnages Ă©voque le mythe des

ombres jeu qu'est ce que c'est mal le

mythe des androgynes

c'est une histoire qui est censé

raconter le l'origine de notre humanité

et qui consistait Ă  dire que Ă  l'origine

tous les ĂȘtres Ă©tait hermaphrodite

c'est à dire qu'il possédait les deux

sexes donc Ă  la fois homme et femme y

compris du point de vue de leur forme

voilĂ  il faut imaginer en fait deux

ĂȘtres dos-Ă -dos collĂ©s l'un Ă  l'autre

donc il se retrouve avec quatre jambes

quatre bras et ses rangs et qui se

déplacent de maniÚre circulaire fait

assez étrange mais l'idée c'est que les

ĂȘtre Ă  l'origine et Ă©taient des ĂȘtres

coquelet c'est Ă  dire Ă  la fois mĂąle et

femelle dont il ne leur manquait rien et

limites raconte quand ces Ă©preuves ces

ĂȘtres surpuissant c'est ĂȘtre surpuissant

ont voulu se confronter aux dieux ils

rusent confrontés aux bisons il se

mesurait Ă  eux parce que sur de leur

toute puissance

ils pensaient qu'ils allaient vaincre

les dieux et jupiter aux personnes s'est

déplacée pour dire les hermaphrodites

saleh les androgynes

vous n'allez pas faire long feu donc

qu'est ce qu'il a fait il les a coupés

en deux et là il les a regardés en

disant ben voilĂ  vous ĂȘtes bien malin

maintenant vous vous ĂȘtes crurent les

Ă©gaux des dieux parce que vous Ă©tiez

puissant vous voilà divisée vous voilà

séparer séparer de votre moitié

séparé de votre partie manquante vous

ĂȘtes donc condamnĂ©s Ă  passer votre vie Ă 

rechercher votre routine en compte

je trouve que c'est trÚs belle métaphore

du désir est une trÚs belle métaphore de

l'amour

on en paye des grands mots parce que

cette recherche de la partie manquante

cette recherche de l'alter ego elle est

à mon sens trÚs trÚs emblématique de ce

que cherche Ă  faire l'homme Ă  travers

l'histoire qui de rejoindre sa partie

dit je n'emploie pas ce mot dans un sens

religieux pose pas la question Ă  savoir

si dieu existe ou pas je pose mĂȘme pas

la question dans ces termes lĂ  je prends

acte du fait que pendant longtemps les

hommes ont dĂ©clarĂ© ĂȘtre guidĂ© par dieu

et si on prend leur mot au sérieux on

s'aperçoit que c'est qu'aux héros c'est

cohérent de construire des pyramides

pour refaire des interfaces entre

l'homme et dieu c'est cohérent de

construire des cathédrales pour là

encore créer des interfaces entre l'ùme

et du seco héros de rechercher la

formule mathématique qui permettra de

comprendre les lois de l'expansion de

l'univers

lĂ  encore

c'est vouloir se rapprocher de dieu

c'est Ă  dire vouloir se rapprocher de

cette perfection idéal bref dans tous

les cas si l'homme n'était pas animé

d'un désir d'un désir ardent pour

surpasser sa propre finitude et

rejoindre sa partie manquante pour

devenir un ĂȘtre complet si l'homme

n'était pas donné cette force qu'elle

deinove est notre broderie ne ferait

rien ils n'agiraient pas et je pense que

vie serait un peu ennuyeuse

maintenant troisiĂšme volet de cette

petite réflexion comment se manifeste ce

désir et qu'est ce qu'il dit de l'homme

est bien ce que dit le désir de l'homme

c'est que l'homme de francs l'homme

souffre parce que s'il Ă©tait heureux

il ne chercherait pas Ă  ĂȘtre autre chose

que ce qu'ils ne ne chercherait pas Ă 

dépasser ses limites

ne chercherait pas devenir meilleur tout

le monde est d'accord pour dire que

devenir meilleur est une ambition

parfaitement respectable qu'il faut

encourager

mais si l'homme peut s'améliorer

c'est bien la preuve qui n'est pas

parfait

et est-ce qu'on atteint réellement dans

sa vie un moment oĂč on peut se dire ça y

est ça y est j'ai atteint le niveau

parfait non plus besoin ce qu'ont pu

besoin d'évoluer bien sûr que non

bien sûr que non ce qui est bien la

preuve que l'homme passe toute son

existence Ă  ĂȘtre un parfait

leur philosophie et le concept c'est la

perfectibilité le fait de pouvoir se

perfectionner pouvoir ĂȘtre meilleur la

perfectibilité est d'abord la marque de

la finitude et tout désir en tant que

force qui nous pousse Ă  aller au-delĂ  de

ce mois c'est la marque de notre

finitude

c'est pourrait-on dire la marque de

notre misĂšre la misĂšre humaine

c'est la perfectibilité

la misĂšre humaine c'est d'avoir

conscience de notre finitude donc tout

dĂ©sir peut Ă©videmment ĂȘtre vu comme une

force impétueuse magnifique une

expression de l'Ă©lan vital mais tous

dĂ©sirent peuvent ĂȘtre vues comme la

marque de notre finitude

donc quand schopenhauer dresse un

tableau funeste du monde et de

l'humanité

mais c'est peut-ĂȘtre ça qui l'est c'est

de dire il essaie peut-ĂȘtre de dire que

la volonté

il appelle Ă  voter cette force cette

force un fil et est totalement

insaisissables incompréhensible cette

force qui anime le monde

ben cette force-lĂ  elle est bien

l'expression d'un manque cette force lĂ 

qui s'exprime au travers de chacun de

nous elle est l'expression d'un monde

le désir est toujours désir de quelque

chose qui le complĂšte

voilĂ  pourquoi prendre conscience de ce

désir c'est finalement s'exposer à

allonnes et des plus grandes souffrances

cette souffrance on ne peut s'affranchir

quand l'oublions et encore je répÚte

inlassablement cette situation pascal un

roi sans divertissement est un homme

plein de l'isĂšre l homme ne trouve pas

le moyen de détourner son esprit de

l'idĂ©e de la mort d'al ĂȘtre condamnĂ©s Ă 

la souffrance donc vous voyez qu'on a

parcouru du chemin

à partir de l'idée idée de schopenhauer

que la vie n'Ă©tait finalement que l'on

france et la conclusion qui est que si

l'homme souffre c'est parce qu'il est un

ĂȘtre de dĂ©sir en ayant conscience

voyez que finalement lorsqu'on parle du

désir on ne parle pas forcément de

quelque chose de positif est que le

dĂ©sir pouvant ĂȘtre vu comme dĂ©sastre il

ne faut pas sous-estimer la capacité

qu'a le désir de se retourner contre

nous sous la forme d'une souffrance

les ĂȘtres qui souffrent sont des ĂȘtres

dont le désir se retourne contre eux

nous sommes les ĂȘtres qui souffrent sont

des ĂȘtres en bonne santĂ© puisque la

force son beurre désir est là pour leur

rappeler qu'ils sont vivants

ce que je voudrais dire pour terminer

c'est que si on adopte ce paradigme

expert en existe que je ne vous décrire

on pourra considérer que le bonheur

consiste dans leur peau c'est Ă  dire

dans l'immobilité chez les grecs

l'unité était associé à l'immobilité

pourquoi parce que pour qu'il y ait du

alité pour qu'il y ait deux objets des

objets distincts bien il faut bien que

un espace se soit Ă©tabli entre ces deux

objets donc deux objets ça suppose

l'espace la dualité un pic l'espace

n'Ă©tait l'appliquent pas l'espace

puisque l'unité est une totalité et qu'

il n'ya pas d'extérieur à la totalité

mais si l'unité est immobile ça veut

dire que la dualité est essentiellement

mouvement la caractéristique principale

de la vie c'est le mouvement

c'est à dire le fait de se déplacer dans

l'espace pendant un certain temps

l'homme est un ĂȘtre de dĂ©sir parce que

l'homme est un ĂȘtre mobile

l'homme est un ĂȘtre qui agit en agissant

il se déploie dans l'espace le symbole

qui reprĂ©sente le mieux l'ĂȘtre humain

c'est la flĂšche la flĂšche indique bien

cette idée de mouvement

elle indique bien cette idée de

commencement et de fin elle a dit bien

cette idée de propagation de l'espace

autrement dit elles indiquent bien que

les caractéristiques du désir c'est à

dire le désire on l'a vu est toujours

desire 2 quelque chose il instaure donc

une dualité entre lui et son objet il

vise l'objet de maniĂšre Ă  pouvoir se

réunir à lui il ya donc dans l'idée

d'une impulsion

au contraire le repos l'immobilité pour

ĂȘtre symbolisĂ©e par le cercle on pourra

rappeler Ă  toutes fins utiles que le

cercle c'est la seule figure géométrique

qui ne possÚde qu'un seul cÎté