×

Χρησιμοποιούμε cookies για να βελτιώσουμε τη λειτουργία του LingQ. Επισκέπτοντας τον ιστότοπο, συμφωνείς στην cookie policy.


image

Kaamelot, #158-Le Coup d'Epée

#158-Le Coup d'Epée

Arthur est dans la tente de Merlin, non loin d'un champ de bataille. Il est blessé au visage.

Arthur souhaiterait que Merlin lui enlève cette plaie par la magie, mais Merlin pense d'abord à la nettoyer. Arthur râle et ne comprend pas, il doit retourner au plus vite sur son champ de bataille. Merlin tente donc une explication. Les anciennes méthodes sont démodées, place à la science ! Arthur se met en colère lorsqu'il apprend qu'il va devoir rester au lit 5 ou 6 jours pour la cicatrisation... Mais Merlin prend alors une énorme seringue en métal dans les mains. Arthur la lui prend des mains et la plante dans le bras de l'enchanteur. Merlin semble mal en point, mais Arthur est toujours aussi énervé et demande une énième fois un sort pour guérir ses blessures. Merlin s'offusque, car ce n'est vraiment plus la mode ; il veut bien refermer cette plaie, mais avec du fil et une aiguille. Le Roi hurle que Merlin n'est pas là pour faire de la broderie, et qu'il doit se dépêcher car son armée a besoin de lui sur le terrain. Merlin, refusant de faire de la magie, décide de désinfecter la plaie d'Arthur au gros sel. Il prévient tout de même Arthur que "ça pique un peu"... Le Roi se met tout de suite à hurler de plus belle... Il insulte l'enchanteur, et lui colle une gifle. Plus tard Merlin a enfin consentit à soigner Arthur avec la magie. Arthur se demande toujours pourquoi il ne veut plus faire de la magie, c'est vraiment plus simple. Mais Merlin ne cale pas : le fait d'être druide le fait passer pour un ringard. Le Roi explique de faire attention avec la modernité, que ce genre de chose ne tiendra pas sur la longueur. Il lui demande alors le nom de cette nouvelle mode, ce à quoi Merlin répond : la médecine. Perceval a pris la place d'Arthur dans la tente de Merlin, il est aussi blessé au visage. Il lui explique qu'il s'est fait ça en coupant un morceau de fromage. Merlin pense qu'il plaisante, mais ce n'est pas le cas ! Perceval réplique alors qu'il n'a jamais de chance à la campagne, car la dernière fois il s'était fait piquer par une abeille. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur est dans la tente de Merlin, non loin d'un champ de bataille. Il est blessé au visage.

Merlin : Comment vous vous êtes fait ça ?

Arthur : En coupant un bout de fromage.

Merlin : Non sérieusement ?

Arthur : Nan mais comment voulez vous qu'j'me fasse ça, j'm'en suis pris une c'est tout ! Merlin (grimace) : C'est pas bien joli hein... Arthur : J'suis vraiment désolé, ça vous dégoûte pas trop ? GENERIQUE

Arthur : Allez hop, vous m'enlevez ça vite fait, et j'y retourne ! Merlin : Vite fait vite fait, déjà il faut qu'j'nettoie. Arthur : Hein ? Comment ça ?

Merlin (tient un bout de linge) : Ben oui après il faudra p'tet recoudre. Arthur : Mais qu'est-ce que vous m'chantez, vous faites comme d'habitude ! Vous racontez vos conneries là, vos jérémiades, vous invoquez l'Dieu d'ci l'Dieu d'mi et tac c'est bon ça s'referme ! Allez !

Merlin : Attendez, c'est les anciennes méthodes on soigne plus comme ça maintenant ! Arthur : Ah non ?

Merlin : Non, toutes ces vieilleries celtiques ça vaut plus un radis, c'est des machins d'pequenot, place à la science ! Arthur : Mais qu'est-ce que ça change ? Merlin : Ah ça n'a rien à voir, maintenant y a des produits, des soins, une période de convalescence. Là vous allez rester au lit durant 5 où 6 jours le temps qu'ça cicatrise. Arthur : Au lit pendant 5 où 6 jours mais vous vous foutez d'moi ?! Dans trente secondes j'suis dehors allez ! Merlin prend une énorme seringue en métal.

Arthur : Qu'est-ce... qu'est-ce que vous faites ? Merlin : J'vais vous injecter un petit relaxant là vous êtes à cran c'est normal c'est l'choc. Arthur s'empare de la seringue et la plante dans le bras de l'enchanteur qui crie. Arthur : Ah bah ça faut s'méfier avec les mecs à cran ça... *

Plus tard...

Merlin semble mal en point.

Arthur : Mais magnez-vous l'train de m'soigner j'vous dis qu'ça urge les autres sont en train d'se faire dérouiller ! Merlin (a du mal à parler) : Vous v'nez d'm'inoculer une demi-bouteille de relaxant comment voulez vous que je m'dépêche ? Arthur : Vous voulez pas m'balancer un sort à l'ancienne pour cette fois, hein ? On verra pour la prochaine fois la science !

Merlin : Dans cet état là je balance rien du tout, c'est beaucoup trop dangereux ! Et puis c'est plus la mode j'vous ai dit, maintenant tout s'calcule. D'abord où est-ce que vous avez mal? Arthur (montre son poing) : Mais j'vais vous en coller une vous l'saurez où vous avez mal ! Merlin : Il faut au moins que j'désinfecte une plaie ouverte c'est un vrai nid à merde ! Arthur : Mais j'demande pas mieux c'est vous qui voulez pas r'fermer ! Merlin : J'veux bien r'fermer, mais pas à la magie. Avec un fil tressé et une aiguille à matelas.

Arthur : Mais j'ai pas le temps d'faire d'la broderie maintenant j'vous dis qu'on est en train de s'prendre une peignée ! Merlin : Ben le plus rapide c'est de désinfecter au gros sel. Arthur : Au gros sel ? Qu'est-ce que c'est qu'ces conneries vous m'prenez pour une épaule d'agneau ? Merlin (prend le sel) : C'est la science. Par contre vous inquiétez pas ça pique un peu...

Il met le sel sur la plaie d'Arthur, qui semble aussitôt souffrir le martyr. Merlin : Ah oui c'est désagréable hein ? Arthur (crie) : Mais enlevez-moi ça espèce de taré ! Merlin : Faut l'temps d'faire effet ! Arthur (donne une baffe à Merlin) : Et ça ça fait effet ?? Enlevez-moi ça ou j'vous coupe en deux ! Merlin : Mais si vous supportez pas l'traitement on va pas s'en sortir ! Arthur lutte pour ne pas hurler tandis que le druide se masse la joue.

*

Plus tard...

Merlin a enfin consenti à soigner Arthur avec la magie.

Arthur : Sans rire, avec un bon vieux sort à l'ancienne vous trouvez pas qu'c'est un peu plus simple ? Merlin : C'est pas une question d'simple ou pas simple, la magie ça fait ringard c'est tout. Arthur : C'est un avantage considérable sur les autres vous vous rendez pas compte ! On s'fait couper les deux bras, on vient vous voir, cinq minutes après on r'tourne se mettre sur la gueule. Mettez-vous à la place des ennemis, c'est décourageant ! Merlin : N'empêche qu'en société quand vous dites que vous êtes druide vous passez pour un grand con d'la campagne, c'est quand même un signe ! Arthur : Mais avec vos machins modernes là vous avez les boules de feu, les pluies d'pierres, vous faites tomber la foudre ? Merlin : Non. Mais y a des trucs supers! La posologie par exemple, il faut pas s'planter dans les dosages sinon y a des effets secondaires c'est ultra précis. Des fois y a des malades qui se font soigner pour des tous p'tits trucs, eh ben ils meurent quand même, à cause de la posologie ! Arthur : Franchement moi j's'rais vous, j'me méfierais d'la mode. Un truc où il faut rester une semaine au plumard à chaque fois qu'on s'coupe, ça tiendra jamais la longueur. Merlin : Vous croyez ?

Arthur : Mais non. Comment vous dites que ça s'appelle déjà ? Merlin : La médecine.

Arthur (rit) : Ah nan mais qu'est-ce qui vont pas chercher... GENERIQUE

Perceval a pris la place d'Arthur dans la tente de Merlin, il est aussi blessé au visage. Merlin : Comment vous vous êtes fait ça ?

Perceval : En m'coupant un bout d'fromage. Merlin : Non sérieusement...

Perceval : J'étais en pause, j'cassais la graine et tac, le couteau qui ripe. Merlin grimace.

Perceval : J'ai jamais d'bol en campagne moi. Déjà l'autre fois avec les Vikings... Perceval Voix Off : Une salope d'abeille qui vient m'piquer juste à côté d'l'oeil. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott


#158-Le Coup d'Epée #158-Le Coup d'Epée

Arthur est dans la tente de Merlin, non loin d'un champ de bataille. Il est blessé au visage.

Arthur souhaiterait que Merlin lui enlève cette plaie par la magie, mais Merlin pense d'abord à la nettoyer. Arthur râle et ne comprend pas, il doit retourner au plus vite sur son champ de bataille. Merlin tente donc une explication. Les anciennes méthodes sont démodées, place à la science ! Arthur se met en colère lorsqu'il apprend qu'il va devoir rester au lit 5 ou 6 jours pour la cicatrisation... Mais Merlin prend alors une énorme seringue en métal dans les mains. Arthur la lui prend des mains et la plante dans le bras de l'enchanteur. Merlin semble mal en point, mais Arthur est toujours aussi énervé et demande une énième fois un sort pour guérir ses blessures. Merlin s'offusque, car ce n'est vraiment plus la mode ; il veut bien refermer cette plaie, mais avec du fil et une aiguille. Le Roi hurle que Merlin n'est pas là pour faire de la broderie, et qu'il doit se dépêcher car son armée a besoin de lui sur le terrain. Merlin, refusant de faire de la magie, décide de désinfecter la plaie d'Arthur au gros sel. Il prévient tout de même Arthur que "ça pique un peu"... Le Roi se met tout de suite à hurler de plus belle... Il insulte l'enchanteur, et lui colle une gifle. Plus tard Merlin a enfin consentit à soigner Arthur avec la magie. Arthur se demande toujours pourquoi il ne veut plus faire de la magie, c'est vraiment plus simple. Mais Merlin ne cale pas : le fait d'être druide le fait passer pour un ringard. Le Roi explique de faire attention avec la modernité, que ce genre de chose ne tiendra pas sur la longueur. Il lui demande alors le nom de cette nouvelle mode, ce à quoi Merlin répond : la médecine. Perceval a pris la place d'Arthur dans la tente de Merlin, il est aussi blessé au visage. Il lui explique qu'il s'est fait ça en coupant un morceau de fromage. Merlin pense qu'il plaisante, mais ce n'est pas le cas ! Perceval réplique alors qu'il n'a jamais de chance à la campagne, car la dernière fois il s'était fait piquer par une abeille. Rédigé par Aelis pour HypnoseriesKaamelott

Arthur est dans la tente de Merlin, non loin d'un champ de bataille. Il est blessé au visage.

Merlin : Comment vous vous êtes fait ça ?

Arthur : En coupant un bout de fromage.

Merlin : Non sérieusement ?

Arthur : Nan mais comment voulez vous qu'j'me fasse ça, j'm'en suis pris une c'est tout ! Merlin (grimace) : C'est pas bien joli hein... Arthur : J'suis vraiment désolé, ça vous dégoûte pas trop ? GENERIQUE

Arthur : Allez hop, vous m'enlevez ça vite fait, et j'y retourne ! Merlin : Vite fait vite fait, déjà il faut qu'j'nettoie. Arthur : Hein ? Comment ça ?

Merlin (tient un bout de linge) : Ben oui après il faudra p'tet recoudre. Arthur : Mais qu'est-ce que vous m'chantez, vous faites comme d'habitude ! Vous racontez vos conneries là, vos jérémiades, vous invoquez l'Dieu d'ci l'Dieu d'mi et tac c'est bon ça s'referme ! Allez !

Merlin : Attendez, c'est les anciennes méthodes on soigne plus comme ça maintenant ! Arthur : Ah non ?

Merlin : Non, toutes ces vieilleries celtiques ça vaut plus un radis, c'est des machins d'pequenot, place à la science ! Arthur : Mais qu'est-ce que ça change ? Merlin : Ah ça n'a rien à voir, maintenant y a des produits, des soins, une période de convalescence. Là vous allez rester au lit durant 5 où 6 jours le temps qu'ça cicatrise. Arthur : Au lit pendant 5 où 6 jours mais vous vous foutez d'moi ?! Dans trente secondes j'suis dehors allez ! Merlin prend une énorme seringue en métal.

Arthur : Qu'est-ce... qu'est-ce que vous faites ? Merlin : J'vais vous injecter un petit relaxant là vous êtes à cran c'est normal c'est l'choc. Arthur s'empare de la seringue et la plante dans le bras de l'enchanteur qui crie. Arthur : Ah bah ça faut s'méfier avec les mecs à cran ça... ***

Plus tard...

Merlin semble mal en point.

Arthur : Mais magnez-vous l'train de m'soigner j'vous dis qu'ça urge les autres sont en train d'se faire dérouiller ! Merlin (a du mal à parler) : Vous v'nez d'm'inoculer une demi-bouteille de relaxant comment voulez vous que je m'dépêche ? Arthur : Vous voulez pas m'balancer un sort à l'ancienne pour cette fois, hein ? On verra pour la prochaine fois la science !

Merlin : Dans cet état là je balance rien du tout, c'est beaucoup trop dangereux ! Et puis c'est plus la mode j'vous ai dit, maintenant tout s'calcule. D'abord où est-ce que vous avez mal? Arthur (montre son poing) : Mais j'vais vous en coller une vous l'saurez où vous avez mal ! Merlin : Il faut au moins que j'désinfecte une plaie ouverte c'est un vrai nid à merde ! Arthur : Mais j'demande pas mieux c'est vous qui voulez pas r'fermer ! Merlin : J'veux bien r'fermer, mais pas à la magie. Avec un fil tressé et une aiguille à matelas.

Arthur : Mais j'ai pas le temps d'faire d'la broderie maintenant j'vous dis qu'on est en train de s'prendre une peignée ! Merlin : Ben le plus rapide c'est de désinfecter au gros sel. Arthur : Au gros sel ? Qu'est-ce que c'est qu'ces conneries vous m'prenez pour une épaule d'agneau ? Merlin (prend le sel) : C'est la science. Par contre vous inquiétez pas ça pique un peu...

Il met le sel sur la plaie d'Arthur, qui semble aussitôt souffrir le martyr. Merlin : Ah oui c'est désagréable hein ? Arthur (crie) : Mais enlevez-moi ça espèce de taré ! Merlin : Faut l'temps d'faire effet ! Arthur (donne une baffe à Merlin) : Et ça ça fait effet ?? Enlevez-moi ça ou j'vous coupe en deux ! Merlin : Mais si vous supportez pas l'traitement on va pas s'en sortir ! Arthur lutte pour ne pas hurler tandis que le druide se masse la joue.

***

Plus tard...

Merlin a enfin consenti à soigner Arthur avec la magie.

Arthur : Sans rire, avec un bon vieux sort à l'ancienne vous trouvez pas qu'c'est un peu plus simple ? Merlin : C'est pas une question d'simple ou pas simple, la magie ça fait ringard c'est tout. Arthur : C'est un avantage considérable sur les autres vous vous rendez pas compte ! On s'fait couper les deux bras, on vient vous voir, cinq minutes après on r'tourne se mettre sur la gueule. Mettez-vous à la place des ennemis, c'est décourageant ! Merlin : N'empêche qu'en société quand vous dites que vous êtes druide vous passez pour un grand con d'la campagne, c'est quand même un signe ! Arthur : Mais avec vos machins modernes là vous avez les boules de feu, les pluies d'pierres, vous faites tomber la foudre ? Merlin : Non. Mais y a des trucs supers! La posologie par exemple, il faut pas s'planter dans les dosages sinon y a des effets secondaires c'est ultra précis. Des fois y a des malades qui se font soigner pour des tous p'tits trucs, eh ben ils meurent quand même, à cause de la posologie ! Arthur : Franchement moi j's'rais vous, j'me méfierais d'la mode. Un truc où il faut rester une semaine au plumard à chaque fois qu'on s'coupe, ça tiendra jamais la longueur. Merlin : Vous croyez ?

Arthur : Mais non. Comment vous dites que ça s'appelle déjà ? Merlin : La médecine.

Arthur (rit) : Ah nan mais qu'est-ce qui vont pas chercher... GENERIQUE

Perceval a pris la place d'Arthur dans la tente de Merlin, il est aussi blessé au visage. Merlin : Comment vous vous êtes fait ça ?

Perceval : En m'coupant un bout d'fromage. Merlin : Non sérieusement...

Perceval : J'étais en pause, j'cassais la graine et tac, le couteau qui ripe. Merlin grimace.

Perceval : J'ai jamais d'bol en campagne moi. Déjà l'autre fois avec les Vikings... Perceval Voix Off : Une salope d'abeille qui vient m'piquer juste à côté d'l'oeil. Rédigé par Holly95 pour HypnoseriesKaamelott