×

Vi använder kakor för att göra LingQ bättre. Genom att besöka sajten, godkänner du vår cookie policy.


image

Kaamelot, #131-Basidiomycètes

#131-Basidiomycètes

Arthur, Lancelot et Léodagan sont en armure dans une salle, et semblent de bonne humeur. Ils regardent une carte.

Ils ont l'air content de leur plan de bataille, sauf Léodagan qui casse un peu l'ambiance en rappelant leur dernière défaite contre des envahisseurs Pictes. Lancelot et Arthur expliquent sur un ton beaucoup moins enjoué que c'était la faute de Perceval, qui en cherchant son cheval était tombé dans le camp ennemi. Générique. Arthur, Léodagan et Bohort sont dans un campement en forêt, et parlent du repas qu'ils viennent de faire, une omelette aux champignons. Bohort commence à délirer sur le charme des repas forestiers, mais Arthur insiste sur le fait qu'il a un poids sur l'estomac. Perceval et Karadoc arrivent l'air réjouis, ils sont contents parce que c'est eux qui ont trouvés les fameux champignons. Bohort demande quelle variété ils étaitent, mais les deux compères n'en savent rien ! La nuit est tombée sur le campement. Arthur, Bohort et Léodagan se tiennent le ventre et ont l'air de souffrir. Léodagan parle de mouvements de troupes ennemies, mais Arthur semble avoir trop mal pour réfléchir. Bohort s'éloigne pour retirer son armure le plus vite possible. Léodagan s'étonne que Perceval et Karadoc soient en pleine forme, mais il se trouve qu'ils n'ont pas mangé de champignons. Léodagan leur demande alors comment ils étaient, les deux amis s'extasient sur la beauté de leur couleur, un beau rouge tacheté ! Léodagan veut savoir si c'était des points blancs, pour savoir si en plus d'avoir mal au ventre ils risquent de mourir. Karadoc leur dit qu'il y avait plusieurs sortes, dont des blanc crème. Le beau-père du Roi pense qu'ils sont foutus, quand Bohort revient, l'air encore plus malade... apparement il aurait eu un soucis avec son armure. Léodagan insiste toujours pour qu'ils s'occupent des ennemis, mais Arthur refuse et veut sonner la retraite. Son beau-père s'exclame qu'ils sont pourtant supérieurs en nombre, mais le Roi rétorque que même s'ils sont nombreux, leurs soldats sont presque tous dans les buissons, et hurle de sonner la retraite. Plus tard, au château, le Roi est dans son lit, l'air encore plus malade. Guenièvre à l'air embêtée pour lui. Elle lui dit que ce n'est peut-être pas la nourriture, mais qu'il a juste 'pris froid au ventre'. Arthur ironise, il ne crois pas que toute son armée aie pu prendre froid au ventre en même temps. La Reine lui dit ensuite qu'ils n'auraient peut-être pas gagnés la bataille, mais son mari s'exclame qu'ils étaient 135 contre 60. Elle lui dit qu'a la guerre, ça arrive de perdre, Arthur confirme que c'est leur cas, même si ce n'est pas toujours la faute de la nourriture. Puis Guenièvre tente de défendre Perceval et Karadoc en disant qu'ils voulaient juste faire plaisir. Le Roi répond qu'ils veulent toujours faire plaisir, mais que ça termine souvent en catastrophe, et prend pour exemple un jour où ils voulaient juste faire du feu, mais qu'ils n'ont réussis qu'à mette le feu au stand de flèches. Générique Fin. Léodagan est dans sa chambre avec Séli qui essaye de dormir. Le Roi de Carmélide a l'air d'aller mieux. Il raconte à sa femme la journée dont il semble pas s'être remis, moralement parlant. Il n'en revient pas de la stupidité de Perceval et Karadoc, mais sa femme pense qu'ils ne le sont peut-être pas tant que ça, si ça se trouve, ils travaillent pour les ennemis. Voix Off : Léodagan ne croit pas à cette théorie, pour lui ils sont juste 'cons'. Arthur, Lancelot et Léodagan sont vêtus de leurs armures et semblent de bonne humeur. Ils regardent une carte.

Arthur : Ca c'est du plan de bataille ! Lancelot : Avec ça on ne peut pas perdre !

Léodagan : Juste une chose, la dernière fois contre les envahisseurs pictes, on avait un plan de bataille impecable aussi, on est bien revenus la queue entre les jambes, si ma mémoire est bonne...

Lancelot : C'est le Seigneur Karadoc... Arthur : En essayant de récupérer son cheval il avait débaroulé dans le camp ennemi...

Léodagan : Ah oui oui... oui oui ça y est... nan ça m'était sorti d'la tête cette histoire... Générique

Arthur, Léodagan et Bohort sont dans un campement en forêt.

Léodagan : On a bien bouffé, hein.

Arthur : Un peu lourdingue.

Léodagan : Oh, quand même... l'omelette aux champignons était pas dégueue... Bohort : C'est le charme de ces repas forestiers, on sent que le cuisinier improvise avec ce qu'il trouve autour du campement. Léodagan : Pour les champignons d'accord, mais pour les oeufs ? Parce que les poules hein, ça court pas les forêts...

Arthur : Vous aurez beau dire, j'ai un poid sur le bide, hein. Arrivent Perceval et Karadoc, la mine réjouie.

Arthur : Qu'est-ce que vous avez à sourire comme des glands ? Perceval : Ben les gars sont contents du repas !

Karadoc : Comme c'est nous qu'avons trouvé les champignons... Léodagan : Ah c'est vous ? Perceval : On est tombé sur un coin !

Karadoc : Y'avait qu'à se baisser ! Bohort : Et c'était quoi comme champignons au fait ? Perceval et Karadoc soufflent en choeur.

Perceval : J'sais pas j'y connais rien en champignons ! *

Plus tard...

La nuit. Arthur, Bohort et Léodagan se tiennent le ventre et ont l'air de souffrir. Léodagan : Bon je vous signale qu'on annonce des mouvements de troupes au sud-est alors faudrait peut-être réagir ! Arthur : Ah réagir, réagir!

Bohort : Moi il faut qu'j'enlève mon armure sinon il va s'passer quelque chose d'atroce ! Il s'éloigne. Léodagan : Et comment ça s'fait qu'ils sont pas malades les deux cons ? Karadoc : Bah on en a pas mangé des champignons nous, on aime pas ça.

Perceval : Non moi j'aime ça, mais j'les digère pas alors... Arthur : Ah des torches pareilles on devrait les mettre sous verre hein !

Léodagan : Et les ennemis alors ?

Arthur : Mais les ennemis mais vous voyez bien qu'on est pas en état ! Léodagan : Et à quoi ils ressemblaient ces champignons ?

Karadoc : Ah ils étaient beaux !

Perceval : Ah oui, vous auriez vu ces couleurs... Rouge vif tout tacheté !

Karadoc : Non vraiment, ils étaient beaux.

Arthur : Ah oui et vous êtes beaux, vous êtes magnifiques !

Léodagan : Nan nan nan nan mais tachetés comment, y'avait des points blancs ? Perceval : Mais qu'est-ce que ça change puisque vous les avez pas aimés ! Léodagan : Pour savoir si en plus de la chiasse on s'apprête à crever dans la demi-heure ! Karadoc : Bah déjà ils étaient pas tous pareils, y'en avait des blancs crème. Léodagan : Bon ben on est foutus, laissez tomber !

Bohort revient, l'air dépité. Bohort : J'ai pas eu le temps d'enlever mon armure... Arthur criant : Ah nan mais passez nous les détails s'il vous plait hein ! Léodagan : Ah si les troupes ennemies arrivent maintenant !

Arthur criant toujours : Les troupes ennemies, mais comment vous faites pour penser aux troupes vous !

Léodagan sur le même ton : Ah bah faut bien que quelqu'un y pense hein ! Arthur : Allez sonnez la retraite !

Léodagan : Quoi ?! M'enfin on est supèrieurs en nombre, le plan d'attaque est réglé, ils ont pas une chance ! Arthur : Seigneur Léodagan on est ptet supérieurs en nombre mais la moitié de nos troupes est disséminée dans les buissons des environs, (criant) alors sonnez moi cette putain de retraite on rentre à Kaamelott !

Perceval et Karadoc semblent perplexes alors que les autres souffrent.

*

Plus tard...

Arthur est au lit avec Guenièvre. Il est visiblement malade et a le teint pâle. Un linge recouvre sa tête.

Guenièvre : Ca va mieux ?

Arthur : Nan.

Guenièvre : Vous savez, c'est pas obligatoirement les champignons, vous avez peut-être pris froid au ventre hein... Arthur : C'est ça, toute mon armée, 135 bonhommes qui prennent froid au ventre en même temps ! Guenièvre : Rien ne prouve que vous l'auriez gagné cette bataille ! Arthur : 135 contre 60 ! Du tout cuit !

Guenièvre : Ah mais ça c'est la guerre, hein, des fois vous perdez des fois vous gagnez... Arthur : Nous on perd surtout. Enfin c'est pas à chaque fois à cause des champignons j'vous l'accorde... Guenièvre : Mettez vous à la place de messires Perceval et Karadoc, ils ont voulu vous faire plaisir... ça part d'un beau geste... Arthur : Ah mais ça part toujours d'un beau geste ! Tenez l'autre jour, ils ont voulu faire un feu, soi disant qu'ça réchaufferait tout le monde, bon, ils ont foutu le feu au stand de flèches. Alors ils sont bien gentils mais il faudrait qu'ils arrêtent avec les beaux gestes ! Générique

Dans la chambre de Léodagan et Séli. Cette dernière essaie de dormir.

Léodagan : Un plan de bataille minuté au poil de fion, le double d'effectif de ceux d'en face ! Manque de bol, les Seigneurs Perceval et Karadoc s'en mêlent et on rentre chez nous comme des clodos. Avec la chiasse en prime ! Qu'est-ce qu'ils sont cons ! Séli : Ptet pas.

Léodagan : Bah j'sais pas c'qui vous faut ! Séli : Ptet qu'ils bossent pour ceux d'en face. Léodagan (voix off) : Non... j'crois qu'ils sont juste cons.


#131-Basidiomycètes

Arthur, Lancelot et Léodagan sont en armure dans une salle, et semblent de bonne humeur. Ils regardent une carte.

Ils ont l'air content de leur plan de bataille, sauf Léodagan qui casse un peu l'ambiance en rappelant leur dernière défaite contre des envahisseurs Pictes. Lancelot et Arthur expliquent sur un ton beaucoup moins enjoué que c'était la faute de Perceval, qui en cherchant son cheval était tombé dans le camp ennemi. Générique. Arthur, Léodagan et Bohort sont dans un campement en forêt, et parlent du repas qu'ils viennent de faire, une omelette aux champignons. Bohort commence à délirer sur le charme des repas forestiers, mais Arthur insiste sur le fait qu'il a un poids sur l'estomac. Perceval et Karadoc arrivent l'air réjouis, ils sont contents parce que c'est eux qui ont trouvés les fameux champignons. Bohort demande quelle variété ils étaitent, mais les deux compères n'en savent rien ! La nuit est tombée sur le campement. Arthur, Bohort et Léodagan se tiennent le ventre et ont l'air de souffrir. Léodagan parle de mouvements de troupes ennemies, mais Arthur semble avoir trop mal pour réfléchir. Bohort s'éloigne pour retirer son armure le plus vite possible. Léodagan s'étonne que Perceval et Karadoc soient en pleine forme, mais il se trouve qu'ils n'ont pas mangé de champignons. Léodagan leur demande alors comment ils étaient, les deux amis s'extasient sur la beauté de leur couleur, un beau rouge tacheté ! Léodagan veut savoir si c'était des points blancs, pour savoir si en plus d'avoir mal au ventre ils risquent de mourir. Karadoc leur dit qu'il y avait plusieurs sortes, dont des blanc crème. Le beau-père du Roi pense qu'ils sont foutus, quand Bohort revient, l'air encore plus malade... apparement il aurait eu un soucis avec son armure. Léodagan insiste toujours pour qu'ils s'occupent des ennemis, mais Arthur refuse et veut sonner la retraite. Son beau-père s'exclame qu'ils sont pourtant supérieurs en nombre, mais le Roi rétorque que même s'ils sont nombreux, leurs soldats sont presque tous dans les buissons, et hurle de sonner la retraite. Plus tard, au château, le Roi est dans son lit, l'air encore plus malade. Guenièvre à l'air embêtée pour lui. Elle lui dit que ce n'est peut-être pas la nourriture, mais qu'il a juste 'pris froid au ventre'. Arthur ironise, il ne crois pas que toute son armée aie pu prendre froid au ventre en même temps. La Reine lui dit ensuite qu'ils n'auraient peut-être pas gagnés la bataille, mais son mari s'exclame qu'ils étaient 135 contre 60. Elle lui dit qu'a la guerre, ça arrive de perdre, Arthur confirme que c'est leur cas, même si ce n'est pas toujours la faute de la nourriture. Puis Guenièvre tente de défendre Perceval et Karadoc en disant qu'ils voulaient juste faire plaisir. Le Roi répond qu'ils veulent toujours faire plaisir, mais que ça termine souvent en catastrophe, et prend pour exemple un jour où ils voulaient juste faire du feu, mais qu'ils n'ont réussis qu'à mette le feu au stand de flèches. Générique Fin. Léodagan est dans sa chambre avec Séli qui essaye de dormir. Le Roi de Carmélide a l'air d'aller mieux. Il raconte à sa femme la journée dont il semble pas s'être remis, moralement parlant. Il n'en revient pas de la stupidité de Perceval et Karadoc, mais sa femme pense qu'ils ne le sont peut-être pas tant que ça, si ça se trouve, ils travaillent pour les ennemis. Voix Off : Léodagan ne croit pas à cette théorie, pour lui ils sont juste 'cons'. Arthur, Lancelot et Léodagan sont vêtus de leurs armures et semblent de bonne humeur. Ils regardent une carte.

Arthur : Ca c'est du plan de bataille ! Lancelot : Avec ça on ne peut pas perdre !

Léodagan : Juste une chose, la dernière fois contre les envahisseurs pictes, on avait un plan de bataille impecable aussi, on est bien revenus la queue entre les jambes, si ma mémoire est bonne...

Lancelot : C'est le Seigneur Karadoc... Arthur : En essayant de récupérer son cheval il avait débaroulé dans le camp ennemi...

Léodagan : Ah oui oui... oui oui ça y est... nan ça m'était sorti d'la tête cette histoire... Générique

Arthur, Léodagan et Bohort sont dans un campement en forêt.

Léodagan : On a bien bouffé, hein.

Arthur : Un peu lourdingue.

Léodagan : Oh, quand même... l'omelette aux champignons était pas dégueue... Bohort : C'est le charme de ces repas forestiers, on sent que le cuisinier improvise avec ce qu'il trouve autour du campement. Léodagan : Pour les champignons d'accord, mais pour les oeufs ? Parce que les poules hein, ça court pas les forêts...

Arthur : Vous aurez beau dire, j'ai un poid sur le bide, hein. Arrivent Perceval et Karadoc, la mine réjouie.

Arthur : Qu'est-ce que vous avez à sourire comme des glands ? Perceval : Ben les gars sont contents du repas !

Karadoc : Comme c'est nous qu'avons trouvé les champignons... Léodagan : Ah c'est vous ? Perceval : On est tombé sur un coin !

Karadoc : Y'avait qu'à se baisser ! Bohort : Et c'était quoi comme champignons au fait ? Perceval et Karadoc soufflent en choeur.

Perceval : J'sais pas j'y connais rien en champignons ! ***

Plus tard...

La nuit. Arthur, Bohort et Léodagan se tiennent le ventre et ont l'air de souffrir. Léodagan : Bon je vous signale qu'on annonce des mouvements de troupes au sud-est alors faudrait peut-être réagir ! Arthur : Ah réagir, réagir!

Bohort : Moi il faut qu'j'enlève mon armure sinon il va s'passer quelque chose d'atroce ! Il s'éloigne. Léodagan : Et comment ça s'fait qu'ils sont pas malades les deux cons ? Karadoc : Bah on en a pas mangé des champignons nous, on aime pas ça.

Perceval : Non moi j'aime ça, mais j'les digère pas alors... Arthur : Ah des torches pareilles on devrait les mettre sous verre hein !

Léodagan : Et les ennemis alors ?

Arthur : Mais les ennemis mais vous voyez bien qu'on est pas en état ! Léodagan : Et à quoi ils ressemblaient ces champignons ?

Karadoc : Ah ils étaient beaux !

Perceval : Ah oui, vous auriez vu ces couleurs... Rouge vif tout tacheté !

Karadoc : Non vraiment, ils étaient beaux.

Arthur : Ah oui et vous êtes beaux, vous êtes magnifiques !

Léodagan : Nan nan nan nan mais tachetés comment, y'avait des points blancs ? Perceval : Mais qu'est-ce que ça change puisque vous les avez pas aimés ! Léodagan : Pour savoir si en plus de la chiasse on s'apprête à crever dans la demi-heure ! Karadoc : Bah déjà ils étaient pas tous pareils, y'en avait des blancs crème. Léodagan : Bon ben on est foutus, laissez tomber !

Bohort revient, l'air dépité. Bohort : J'ai pas eu le temps d'enlever mon armure... Arthur criant : Ah nan mais passez nous les détails s'il vous plait hein ! Léodagan : Ah si les troupes ennemies arrivent maintenant !

Arthur criant toujours : Les troupes ennemies, mais comment vous faites pour penser aux troupes vous !

Léodagan sur le même ton : Ah bah faut bien que quelqu'un y pense hein ! Arthur : Allez sonnez la retraite !

Léodagan : Quoi ?! M'enfin on est supèrieurs en nombre, le plan d'attaque est réglé, ils ont pas une chance ! Arthur : Seigneur Léodagan on est ptet supérieurs en nombre mais la moitié de nos troupes est disséminée dans les buissons des environs, (criant) alors sonnez moi cette putain de retraite on rentre à Kaamelott !

Perceval et Karadoc semblent perplexes alors que les autres souffrent.

***

Plus tard...

Arthur est au lit avec Guenièvre. Il est visiblement malade et a le teint pâle. Un linge recouvre sa tête.

Guenièvre : Ca va mieux ?

Arthur : Nan.

Guenièvre : Vous savez, c'est pas obligatoirement les champignons, vous avez peut-être pris froid au ventre hein... Arthur : C'est ça, toute mon armée, 135 bonhommes qui prennent froid au ventre en même temps ! Guenièvre : Rien ne prouve que vous l'auriez gagné cette bataille ! Arthur : 135 contre 60 ! Du tout cuit !

Guenièvre : Ah mais ça c'est la guerre, hein, des fois vous perdez des fois vous gagnez... Arthur : Nous on perd surtout. Enfin c'est pas à chaque fois à cause des champignons j'vous l'accorde... Guenièvre : Mettez vous à la place de messires Perceval et Karadoc, ils ont voulu vous faire plaisir... ça part d'un beau geste... Arthur : Ah mais ça part toujours d'un beau geste ! Tenez l'autre jour, ils ont voulu faire un feu, soi disant qu'ça réchaufferait tout le monde, bon, ils ont foutu le feu au stand de flèches. Alors ils sont bien gentils mais il faudrait qu'ils arrêtent avec les beaux gestes ! Générique

Dans la chambre de Léodagan et Séli. Cette dernière essaie de dormir.

Léodagan : Un plan de bataille minuté au poil de fion, le double d'effectif de ceux d'en face ! Manque de bol, les Seigneurs Perceval et Karadoc s'en mêlent et on rentre chez nous comme des clodos. Avec la chiasse en prime ! Qu'est-ce qu'ils sont cons ! Séli : Ptet pas.

Léodagan : Bah j'sais pas c'qui vous faut ! Séli : Ptet qu'ils bossent pour ceux d'en face. Léodagan (voix off) : Non... j'crois qu'ils sont juste cons.