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Actualité du jour, Trois proches d’Abballa en garde à vue : une liste de commissariats de Seine-Sai

Trois proches d'Abballa en garde à vue : une liste de commissariats de Seine-Sai

Trois proches d'Abballa en garde à vue : une liste de commissariats de Seine-Saint-Denis retrouvée chez l'un d'euxTrois hommes âgés de 27, 29 et 44 ans et proches du meurtrier Larossi Abballa sont en garde à vue. Selon nos informations, durant la perquisition du domicile d'un des trois interpellés, la police a retrouvé des adresses de commissariats situés en Seine-Saint-Denis. Les enquêteurs tentent désormais de savoir à quoi cette liste pouvait-elle bien servir. Deux des proches d'Abballa figurent parmi les huit membres d'une filière djihadiste condamnée en 2013, à laquelle le meurtrier du policier et de sa compagne faisait partie. Les enquêteurs ont passé au crible l'entourage amical d'Abballa et surtout des hommes au même profil que lui. Parmi eux, Charaf Din Aberouz membre de cette cellule d'envoi de combattants en zone pakistano-afghane. Originaire de Mantes-la-Jolie, il avait été arrêté à l'aéroport de Lahore (Pakistan), puis renvoyé en France. Les autorités cherchent maintenant à savoir s'il était au courant des projets funestes d'Abballa. Lundi soir, Larossi Abballa, 25 ans, se réclamant du groupe Etat islamique, a tué à leur domicile Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant de police adjoint du commissariat des Mureaux, et sa compagne, Jessica Schneider, 36 ans, agent administratif du commissariat voisin de Mantes-la-Jolie. Dans une vidéo enregistrée avant de mourir dans l'assaut du Raid, Abballa promet “d'autres surprises pour l'Euro”, le tournoi continental de football disputé en France jusqu'au 10 juillet. “L'Euro sera un cimetière”, annonce-t-il. Dans cet enregistrement, il appelle aussi "à attaquer des policiers, des journalistes, des gardiens de prison et des rappeurs".Facebook a indiqué mardi qu'il “travaillait en étroite collaboration avec les autorités françaises qui enquêtent sur ce terrible crime”.


Trois proches d’Abballa en garde à vue : une liste de commissariats de Seine-Sai Three of Abballa's relatives in custody: a list of police stations in Seine-Sai Tres familiares de Abballa bajo custodia policial: lista de comisarías de Seine-Sai Drie familieleden van Abballa in hechtenis: een lijst van politiebureaus in Seine-Sai

Trois proches d'Abballa en garde à vue : une liste de commissariats de Seine-Saint-Denis retrouvée chez l'un d'euxTrois hommes âgés de 27, 29 et 44 ans et proches du meurtrier Larossi Abballa sont en garde à vue. Selon nos informations, durant la perquisition du domicile d'un des trois interpellés, la police a retrouvé des adresses de commissariats situés en Seine-Saint-Denis. Les enquêteurs tentent désormais de savoir à quoi cette liste pouvait-elle bien servir. Deux des proches d'Abballa figurent parmi les huit membres d'une filière djihadiste condamnée en 2013, à laquelle le meurtrier du policier et de sa compagne faisait partie. Les enquêteurs ont passé au crible l'entourage amical d'Abballa et surtout des hommes au même profil que lui. Parmi eux, Charaf Din Aberouz membre de cette cellule d'envoi de combattants en zone pakistano-afghane. Originaire de Mantes-la-Jolie, il avait été arrêté à l'aéroport de Lahore (Pakistan), puis renvoyé en France. Les autorités cherchent maintenant à savoir s'il était au courant des projets funestes d'Abballa. Lundi soir, Larossi Abballa, 25 ans, se réclamant du groupe Etat islamique, a tué à leur domicile Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant de police adjoint du commissariat des Mureaux, et sa compagne, Jessica Schneider, 36 ans, agent administratif du commissariat voisin de Mantes-la-Jolie. Dans une vidéo enregistrée avant de mourir dans l'assaut du Raid, Abballa promet “d'autres surprises pour l'Euro”, le tournoi continental de football disputé en France jusqu'au 10 juillet. “L'Euro sera un cimetière”, annonce-t-il. Dans cet enregistrement, il appelle aussi  "à attaquer des policiers, des journalistes, des gardiens de prison et des rappeurs".Facebook a indiqué mardi qu'il “travaillait en étroite collaboration avec les autorités françaises qui enquêtent sur ce terrible crime”.