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Livres utiles - Livre Audio - Channe Youtube, Le Guerrier pacifique. Le livre qui change la vie. Dan Millman. Livre audio (2)

Le Guerrier pacifique. Le livre qui change la vie. Dan Millman. Livre audio (2)

murale qui se trouvait près de sa tête

indiqué 3 degrés celsius

sans lever les yeux il dit d'une voix

forte presque musicale

désolé si je vous ai fait peur

or ce n'est pas grave avez-vous des

boissons gazeuses lignac de jeu deux

fois ici il se tourna vers moi et haute

à son bonnet avec une sorte de demi

sourire découvrant des cheveux blancs

puis il éclate adria

quel rire

des visages est encore un instant et

reconnu le vieil homme de mon rêve les

cheveux blancs la face lisse sans ride

un homme grand et mince de 50 ou 60 ans

il rita nouveau malgré ma confusion je

parvins à me diriger jusqu'à la porte

marqué bureau je l'ouvrier en même temps

je senti une autre porte s'ouvrir sur

une autre dimension

je m'effondrais tout frissonnant sur un

vieux canapé me demandant ce qui par

cette porte allez faire irruption dans

ma vie bien planifiée à ma peur se

joignent est une étrange fascination que

je ne m'explique est pas

assis respirant avec peine j'essayais de

reprendre pied dans le monde ordinaire

j'examinais le bureau il n'offrait pas

l'impression de stérilité de désordre

habituel à une station d'essence une

couverture mexicaine défraîchi mais

encore riche en couleurs

recouvrez le canapé sur lequel j'étais

assis

à ma gauche près de l'entrée il y avait

une caisse contenant bien ranger des

objets utiles pour les voyageurs carte

fusible lunettes de soleil etc

derrière un petit bureau en noyer se

trouvait un fauteuil capitonné en

velours sable

un robinet d'eau montaient la garde près

d'une porte marque et privés à côté de

moi une autre porte monnaie au garage

frappé par l'atmosphère accueillante de

la pièce

un épais tapis jaune vif s'étendait sur

toute sa longueur s'arrêtant juste avant

le paillasson de l'entrée

les murs avaient été récemment pas en

blanc et quelques tableaux de paysages

les égayer

douceur de l'éclairage ma pizza

il était reposant après les éclats

fluorescents de l'extérieur

chaleur harmonie et sécurité émaner de

cette pièce

comment aurais-je pu deviner les

aventures la magie la peur et la poésie

qui m'attendait en cet endroit

ma seule pensée à ce moment là fut

cheminée serait tout à fait à sa place

ici

mon souffle ne tarda pas se calmer et

mon esprit sans être satisfait c'est ça

du mois son agitation

la ressemblance de cet homme aux cheveux

blancs avec celui de mes rêves devait

être une coïncidence

je me levais en soupirant remonter à la

fermeture de ma veste est ressorti dans

le froid

l'homme était là il n'avait pas bouger

en passant devant lui jetait la dérober

un dernier coup d'oeil à son visage est

une lueur dans son regard me retins

n'avais encore jamais vu de tels lieux

il semblait d'abord pleins de larmes sur

le point de couler puis ses larmes se

transformait en un sentiment comme si le

ciel étoilé si reflétait

je me plongeais de plus en plus

profondément jusqu'à ce que les étoiles

elle même ne fusse plus qu'un reflet de

ses yeux

pourtant un moment j'oubliais tout ne

voyons plus que ses yeux les yeux fixés

curieux d'un enfant

de temps je restais ainsi quelques

secondes quelques minutes peut-être plus

ce moment je suis à nouveau je me

trouvais jeu marc monnet

bonne nuit

et déconcerté

que le coin de la rue

sur le trottoir je m'arrêtais

chatouillé je sentais qu il m'observait

je me retournais il ne s'était pas

écoulé plus de 15 secondes depuis mon

départ

or je le vis soudain debout sur le toit

les bras croisés observant le ciel et

ses étoiles

je considérais bouche bée la chaise vide

toujours appuyé contre le mur puis je

levais à nouveau les yeux c'était

impossible

je n'aurais pas été plus abasourdi si je

l'avais vu changer la roue d'un potiron

géant transformer en carrosse est tirée

par des normes souris

dans la paix de la nuit je considérais

sa silhouette svelte elle en impose et

même à distance

j'entendis les étoiles carillonner comme

des cloches dans le vent

tout à coup il tourna brusquement la

tête et me regarda droit dans les yeux

il se trouvait bien à 20 mètres de moi

et je sentais pourtant son souffle sur

mon visage

je frissonnais mais pas de froid

porte celle par laquelle la réalité se

font dans les rêves s'ouvrir à nouveau

delom

oui dit il puis je vous aider

rôle prophétique

excusez moi mais

vous êtes excusés fit il en souriant je

rougis cette histoire commençait à

m'agacer il jouait avec moi un jeu dont

je ne connaissais pas les règles bon

comment êtes-vous montés sur le toit

sur le toit demanda-t-il d'un air

innocent est étonné oui comment avez

vous fait pour passer de cette chaise au

toit en moins de 20 secondes vous étiez

adossé au mur juste là je me suis

retourné j'ai marché jusqu'au coin et

vous que c'est exactement ce que j'ai

fait tourner à sa voix inutile de me

raconter mais voilà la question savez

vous ce que vous faisiez bien sûr je le

sais je m'énervais je n'étais pas un

enfant pour recevoir ainsi des leçons

mais comme je tenais absolument à

connaître l'astuce de ce vieil homme je

me calme est demandé poliment

s'il vous plaît monsieur dites moi

comment vous êtes monté sur ce toit

il se contenta de me regarder dans les

yeux en silence jusqu'à ce que j'ai des

fourmis dans le coup

finalement il me répondit

j'ai utilisé une échelle elle se trouve

derrière

puis mme ignorants il regarde à nouveau

le ciel

je passais rapidement derrière en effet

il y avait une vieille échelle appuyé

misérablement contre le mur mais il

restait au moins 1 mètre 50 entre le

haut de l'échelle et le bord du toit

même s'il avait pu l'utiliser ce qui

semblait franchement douteux cela

n'expliquait pas la vitesse à laquelle

il était monté

dans l'obscurité quelque chose atterri

sur mon épaule

surpris je me retournais et vis à main

il avait réussi à redescendre et à me

rejoindre en douce je songeais alors à

la seule solution possible il avait un

jumeau il s'amusait sans doute à

effrayer d'innocents visiteurs je

l'accusé immédiatement

bien monsieur où est votre jumeau je ne

suis pas idiot

il fronça légèrement les sourcils puis

éclata d'un rire sonore

art c'était donc ça j'avais raison il

était démasqué

sa réponse mina toutefois mon assurance

si j'avais un jumeau pensez vous que je

perdrais mon temps ici

il rit à nouveau et se dirigea vers le

garage me laissant sans voix l'audace de

ce type me dépasser

je me dépêchais de le rattraper il entra

dans le garage et commencé à bricoler le

carburateur d'un vieux camion ford vers

vous me prenez vraiment pour un imbécile

à 10 l'air plus agressif que je ne

souhaitais nous sommes tous des

imbéciles

répondit-il mais certains le savent

certains ne le savent pas

vous semblait appartenir à la seconde

catégorie

pouvez vous me passez cette petite pince

je lui passais sa foutue pinces et il

m'a prêté à partir pourtant avant de

m'en aller il fallait que je sache s'il

vous plaît expliquez-moi comment vous

êtes monté vite sur ce toit je suis

vraiment perplexe

il me rendis la pince en dix ans le

monde est une énigme

inutile d'essayer de le comprendre il

m'indiqua l'étagère derrière moi

j'aurai besoin du marteau et du

tournevis maintenant juste là

frustré je l'observais encore un petit

peu en essayant de trouver un moyen de

lui faire dire ce que je souhaitais

avoir mais il paraissait m'avoir oublié

alors que je renonçais me diriger vers

la porte je l'entendis dire ne partez

pas

il ne me priait pas il ne me donnait pas

d'ordre non plus il s'était exprimé

d'une manière neutre

je me tourne vers lui son regard était

doux

pourquoi ne partirai pas

je peut vous être utile

a t'il en retirant le carburateur à la

façon d'un chirurgien opérant une

transplantation cardiaque

il le dépose avec soin et pivota pour me

faire face

voilà il me donna le carburateur

démonter le et mettez les pièces à

tremper cette occupation vous empêchera

de penser à vos questions

ma frustration se changea en rire ce

vieil homme assez agaçant était

tellement intéressant j'ai décidé donc

de me montrer aimable

je m'appelle dan dis-je en lui tendant

la main avec un sourire hypocrite et

vous

il mit un tournevis dans ma main tendue

mon nom n'a aucune importance

le vôtre non plus

l'important se trouve au delà des noms

et des questions

vous aurez besoin de ce tour de vis pour

démonter le carburateur

il n'y a rien au delà des questions

réplique m

et vous volez jusque sur ce toit

à voler j'ai sauté

fut sa réponse

il n'ya là

gic ne vous excitez pas mais pour vous

il me faudra peut être recourir à de la

haute magie je vais devoir transformée

en âne en êtres humains

non mais pour qui vous vous prenez pour

me dire des choses pareilles

je suis un guerrier rétorquait-il

cela mis à part je suis ce que vous

voulez que je sois êtes-vous incapable

de répondre à une question directe

lançait jean me venge en sur le

carburateur posément une et j'essaierai

fit il avec un sourire ingénue

le tournevis glissa et je mets corchet

le doigt merde hurlait gens me dirigeant

vers le lavabo pour laver la coupure

socrates me tendit un pansement

bon d'accord voici une question directe

je m'efforçais d'user d'un ton patients

comment pouvez vous m utiles

je vous ai déjà été utile réplicative

pointant le doigt vers mon bandage

c'en était trop écoutez j'ai assez perdu

de temps ici j'ai besoin de dormir

jeu reposait le carburateur et me

préparer à partir

comment savez vous si vous ne dormez pas

depuis toujours comment savez vous si

vous ne dormez pas en ce moment

demanda-t-il une lueur malicieuse dans

les yeux

si vous le dites j'étais trop fatigué

pour continuer à discuter

une dernière chose quand même avant que

je parte m'expliquerez vous votre

exploit de tout à l'heure

il s'avança vers moi et me prit la main

deux mains d'anne demain

devant son sourire chaleureux tout ma

peur et ma frustration s'évanouir

ma main mon bras puis mon corps tout

entier se mirent à me picotin il ajouta

encore

cela m'a fait plaisir de te revoir

commencent à revoir comment c'est

puis je me repris jeu c'est demain

demain

nous avons tous les et ennery je me

dirigeais vers la porte m'arrêter me

retourner et lui dit en le regardant au

revoir socrates

il paru surpris puis se contenta de

hausser les épaules

le nom lui plus je pense

je partis sans ajouter un mot

le lendemain matin je ne me réveillait

pas pour mon cours de huit heures et je

fus juste prêt pour mon entraînement de

gymnastique de l'après midi

après la course d'obstacles rick ces

idées moi ainsi que d'autres membres de

l'équipe nous nous attendions sur le sol

soufflant et transpirant et tirant les

jambes les épaules et le dos

j'étais est d'ordinaire silencieux lors

de ce rituel mais ce jour là j'ai envie

de leur parler de socrate

je parvins seulement à dire la nuit

dernière j'ai rencontré un type un peu

bizarre dans une station d'essence

mes amis se soucier plus de leurs

douleurs dans les jambes que de mes

petites histoires

après un échauffement avec quelques

appuis faciaux flexion et abdominaux

notre série d'acrobaties comment ça

tout en rebondissant et en m'élançant en

l'air tout en pivotant autour de la

barre fixe et en faisant des ciseaux sur

le cheval d'arçons je m'interrogeais sur

les exploits de l'homme que j'avais

nommé socrates

un peu vexé j'ai été tenté de l'éviter

mais je voulais comprendre à tout prix

ce personnage énigmatique

après le dîner je parcouru rapidement

mes leçons d'histoire et de psychologie


Le Guerrier pacifique. Le livre qui change la vie. Dan Millman. Livre audio (2) Der friedliche Krieger. Das Buch, das das Leben verändert. Dan Millman. Hörbuch (2) The Peaceful Warrior. The life-changing book. Dan Millman. Audio book (2) O guerreiro pacífico. O livro que muda a sua vida. Dan Millman. Livro áudio (2) 和平战士。改变人生的书。丹·米尔曼.有声读物 (2)

murale qui se trouvait près de sa tête

indiqué 3 degrés celsius

sans lever les yeux il dit d'une voix

forte presque musicale

désolé si je vous ai fait peur

or ce n'est pas grave avez-vous des

boissons gazeuses lignac de jeu deux

fois ici il se tourna vers moi et haute

à son bonnet avec une sorte de demi

sourire découvrant des cheveux blancs

puis il éclate adria

quel rire

des visages est encore un instant et

reconnu le vieil homme de mon rêve les

cheveux blancs la face lisse sans ride

un homme grand et mince de 50 ou 60 ans

il rita nouveau malgré ma confusion je

parvins à me diriger jusqu'à la porte

marqué bureau je l'ouvrier en même temps

je senti une autre porte s'ouvrir sur

une autre dimension

je m'effondrais tout frissonnant sur un

vieux canapé me demandant ce qui par

cette porte allez faire irruption dans

ma vie bien planifiée à ma peur se

joignent est une étrange fascination que

je ne m'explique est pas

assis respirant avec peine j'essayais de

reprendre pied dans le monde ordinaire

j'examinais le bureau il n'offrait pas

l'impression de stérilité de désordre

habituel à une station d'essence une

couverture mexicaine défraîchi mais

encore riche en couleurs

recouvrez le canapé sur lequel j'étais

assis

à ma gauche près de l'entrée il y avait

une caisse contenant bien ranger des

objets utiles pour les voyageurs carte

fusible lunettes de soleil etc

derrière un petit bureau en noyer se

trouvait un fauteuil capitonné en

velours sable

un robinet d'eau montaient la garde près

d'une porte marque et privés à côté de

moi une autre porte monnaie au garage

frappé par l'atmosphère accueillante de

la pièce

un épais tapis jaune vif s'étendait sur

toute sa longueur s'arrêtant juste avant

le paillasson de l'entrée

les murs avaient été récemment pas en

blanc et quelques tableaux de paysages

les égayer

douceur de l'éclairage ma pizza

il était reposant après les éclats

fluorescents de l'extérieur

chaleur harmonie et sécurité émaner de

cette pièce

comment aurais-je pu deviner les

aventures la magie la peur et la poésie

qui m'attendait en cet endroit

ma seule pensée à ce moment là fut

cheminée serait tout à fait à sa place

ici

mon souffle ne tarda pas se calmer et

mon esprit sans être satisfait c'est ça

du mois son agitation

la ressemblance de cet homme aux cheveux

blancs avec celui de mes rêves devait

être une coïncidence

je me levais en soupirant remonter à la

fermeture de ma veste est ressorti dans

le froid

l'homme était là il n'avait pas bouger

en passant devant lui jetait la dérober

un dernier coup d'oeil à son visage est

une lueur dans son regard me retins

n'avais encore jamais vu de tels lieux

il semblait d'abord pleins de larmes sur

le point de couler puis ses larmes se

transformait en un sentiment comme si le

ciel étoilé si reflétait

je me plongeais de plus en plus

profondément jusqu'à ce que les étoiles

elle même ne fusse plus qu'un reflet de

ses yeux

pourtant un moment j'oubliais tout ne

voyons plus que ses yeux les yeux fixés

curieux d'un enfant

de temps je restais ainsi quelques

secondes quelques minutes peut-être plus

ce moment je suis à nouveau je me

trouvais jeu marc monnet

bonne nuit

et déconcerté

que le coin de la rue

sur le trottoir je m'arrêtais

chatouillé je sentais qu il m'observait

je me retournais il ne s'était pas

écoulé plus de 15 secondes depuis mon

départ

or je le vis soudain debout sur le toit

les bras croisés observant le ciel et

ses étoiles

je considérais bouche bée la chaise vide

toujours appuyé contre le mur puis je

levais à nouveau les yeux c'était

impossible

je n'aurais pas été plus abasourdi si je

l'avais vu changer la roue d'un potiron

géant transformer en carrosse est tirée

par des normes souris

dans la paix de la nuit je considérais

sa silhouette svelte elle en impose et

même à distance

j'entendis les étoiles carillonner comme

des cloches dans le vent

tout à coup il tourna brusquement la

tête et me regarda droit dans les yeux

il se trouvait bien à 20 mètres de moi

et je sentais pourtant son souffle sur

mon visage

je frissonnais mais pas de froid

porte celle par laquelle la réalité se

font dans les rêves s'ouvrir à nouveau

delom

oui dit il puis je vous aider

rôle prophétique

excusez moi mais

vous êtes excusés fit il en souriant je

rougis cette histoire commençait à

m'agacer il jouait avec moi un jeu dont

je ne connaissais pas les règles bon

comment êtes-vous montés sur le toit

sur le toit demanda-t-il d'un air

innocent est étonné oui comment avez

vous fait pour passer de cette chaise au

toit en moins de 20 secondes vous étiez

adossé au mur juste là je me suis

retourné j'ai marché jusqu'au coin et

vous que c'est exactement ce que j'ai

fait tourner à sa voix inutile de me

raconter mais voilà la question savez

vous ce que vous faisiez bien sûr je le

sais je m'énervais je n'étais pas un

enfant pour recevoir ainsi des leçons

mais comme je tenais absolument à

connaître l'astuce de ce vieil homme je

me calme est demandé poliment

s'il vous plaît monsieur dites moi

comment vous êtes monté sur ce toit

il se contenta de me regarder dans les

yeux en silence jusqu'à ce que j'ai des

fourmis dans le coup

finalement il me répondit

j'ai utilisé une échelle elle se trouve

derrière

puis mme ignorants il regarde à nouveau

le ciel

je passais rapidement derrière en effet

il y avait une vieille échelle appuyé

misérablement contre le mur mais il

restait au moins 1 mètre 50 entre le

haut de l'échelle et le bord du toit

même s'il avait pu l'utiliser ce qui

semblait franchement douteux cela

n'expliquait pas la vitesse à laquelle

il était monté

dans l'obscurité quelque chose atterri

sur mon épaule

surpris je me retournais et vis à main

il avait réussi à redescendre et à me

rejoindre en douce je songeais alors à

la seule solution possible il avait un

jumeau il s'amusait sans doute à

effrayer d'innocents visiteurs je

l'accusé immédiatement

bien monsieur où est votre jumeau je ne

suis pas idiot

il fronça légèrement les sourcils puis

éclata d'un rire sonore

art c'était donc ça j'avais raison il

était démasqué

sa réponse mina toutefois mon assurance

si j'avais un jumeau pensez vous que je

perdrais mon temps ici

il rit à nouveau et se dirigea vers le

garage me laissant sans voix l'audace de

ce type me dépasser

je me dépêchais de le rattraper il entra

dans le garage et commencé à bricoler le

carburateur d'un vieux camion ford vers

vous me prenez vraiment pour un imbécile

à 10 l'air plus agressif que je ne

souhaitais nous sommes tous des

imbéciles

répondit-il mais certains le savent

certains ne le savent pas

vous semblait appartenir à la seconde

catégorie

pouvez vous me passez cette petite pince

je lui passais sa foutue pinces et il

m'a prêté à partir pourtant avant de

m'en aller il fallait que je sache s'il

vous plaît expliquez-moi comment vous

êtes monté vite sur ce toit je suis

vraiment perplexe

il me rendis la pince en dix ans le

monde est une énigme

inutile d'essayer de le comprendre il

m'indiqua l'étagère derrière moi

j'aurai besoin du marteau et du

tournevis maintenant juste là

frustré je l'observais encore un petit

peu en essayant de trouver un moyen de

lui faire dire ce que je souhaitais

avoir mais il paraissait m'avoir oublié

alors que je renonçais me diriger vers

la porte je l'entendis dire ne partez

pas

il ne me priait pas il ne me donnait pas

d'ordre non plus il s'était exprimé

d'une manière neutre

je me tourne vers lui son regard était

doux

pourquoi ne partirai pas

je peut vous être utile

a t'il en retirant le carburateur à la

façon d'un chirurgien opérant une

transplantation cardiaque

il le dépose avec soin et pivota pour me

faire face

voilà il me donna le carburateur

démonter le et mettez les pièces à

tremper cette occupation vous empêchera

de penser à vos questions

ma frustration se changea en rire ce

vieil homme assez agaçant était

tellement intéressant j'ai décidé donc

de me montrer aimable

je m'appelle dan dis-je en lui tendant

la main avec un sourire hypocrite et

vous

il mit un tournevis dans ma main tendue

mon nom n'a aucune importance

le vôtre non plus

l'important se trouve au delà des noms

et des questions

vous aurez besoin de ce tour de vis pour

démonter le carburateur

il n'y a rien au delà des questions

réplique m

et vous volez jusque sur ce toit

à voler j'ai sauté

fut sa réponse

il n'ya là

gic ne vous excitez pas mais pour vous

il me faudra peut être recourir à de la

haute magie je vais devoir transformée

en âne en êtres humains

non mais pour qui vous vous prenez pour

me dire des choses pareilles

je suis un guerrier rétorquait-il

cela mis à part je suis ce que vous

voulez que je sois êtes-vous incapable

de répondre à une question directe

lançait jean me venge en sur le

carburateur posément une et j'essaierai

fit il avec un sourire ingénue

le tournevis glissa et je mets corchet

le doigt merde hurlait gens me dirigeant

vers le lavabo pour laver la coupure

socrates me tendit un pansement

bon d'accord voici une question directe

je m'efforçais d'user d'un ton patients

comment pouvez vous m utiles

je vous ai déjà été utile réplicative

pointant le doigt vers mon bandage

c'en était trop écoutez j'ai assez perdu

de temps ici j'ai besoin de dormir

jeu reposait le carburateur et me

préparer à partir

comment savez vous si vous ne dormez pas

depuis toujours comment savez vous si

vous ne dormez pas en ce moment

demanda-t-il une lueur malicieuse dans

les yeux

si vous le dites j'étais trop fatigué

pour continuer à discuter

une dernière chose quand même avant que

je parte m'expliquerez vous votre

exploit de tout à l'heure

il s'avança vers moi et me prit la main

deux mains d'anne demain

devant son sourire chaleureux tout ma

peur et ma frustration s'évanouir

ma main mon bras puis mon corps tout

entier se mirent à me picotin il ajouta

encore

cela m'a fait plaisir de te revoir

commencent à revoir comment c'est

puis je me repris jeu c'est demain

demain

nous avons tous les et ennery je me

dirigeais vers la porte m'arrêter me

retourner et lui dit en le regardant au

revoir socrates

il paru surpris puis se contenta de

hausser les épaules

le nom lui plus je pense

je partis sans ajouter un mot

le lendemain matin je ne me réveillait

pas pour mon cours de huit heures et je

fus juste prêt pour mon entraînement de

gymnastique de l'après midi

après la course d'obstacles rick ces

idées moi ainsi que d'autres membres de

l'équipe nous nous attendions sur le sol

soufflant et transpirant et tirant les

jambes les épaules et le dos

j'étais est d'ordinaire silencieux lors

de ce rituel mais ce jour là j'ai envie

de leur parler de socrate

je parvins seulement à dire la nuit

dernière j'ai rencontré un type un peu

bizarre dans une station d'essence

mes amis se soucier plus de leurs

douleurs dans les jambes que de mes

petites histoires

après un échauffement avec quelques

appuis faciaux flexion et abdominaux

notre série d'acrobaties comment ça

tout en rebondissant et en m'élançant en

l'air tout en pivotant autour de la

barre fixe et en faisant des ciseaux sur

le cheval d'arçons je m'interrogeais sur

les exploits de l'homme que j'avais

nommé socrates

un peu vexé j'ai été tenté de l'éviter

mais je voulais comprendre à tout prix

ce personnage énigmatique

après le dîner je parcouru rapidement

mes leçons d'histoire et de psychologie