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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 12 juin 2019

Journal en français facile 12 juin 2019

Loïc Bussières : 22h à Paris, 2h de moins en temps universel (TU). L'heure de votre Journal en français facile.

À la une ce soir : - Des manifestations à Hong Kong. Plusieurs dizaines de milliers de personnes rassemblées dans les rues aujourd'hui pour protester contre le projet de loi sur les extraditions vers la Chine. - La bourde de Donald Trump. Le Président américain a dévoilé, à son insu, une partie de l'accord sur l'immigration avec le Mexique. Un document qu'il présentait comme secret. Les détails dans ce journal. - Et puis en France, l'Assemblée Nationale vote la confiance au Gouvernement d'Edouard Philippe. Le Premier ministre avait auparavant détaillé devant les députés, les grands chantiers de son équipe pour les prochains mois.

------

LB : On se rend à Hong Kong pour débuter ce journal. Hong Kong où policiers et de très nombreux manifestants se sont affrontés aujourd'hui. Au total plusieurs dizaines de milliers de protestataires qui s'opposent toujours à un projet de loi qui pourrait autoriser les extraditions vers la Chine. C'est à dire l'acte de livrer à Pékin des personnes poursuivies par la justice chinoise. Notre correspondante Florence de Changy est allée là la rencontre de manifestants ce mercredi. Écoutez leurs témoignages.

La police a essayé de nous empêcher de manifester. Ils veulent laisser les députés se réunir pour faire adopter le projet de loi. Nous nous voulons bloquer les rues pour que les députés entendent notre opinion. Il y a des procédures normalement, la police doit émettre des avertissements rouge ou noir avant de lancer des gaz lacrymogènes ou de tirer sur les manifestants au flashball. Mais ils ne l'ont pas fait et c'est pour ça que nous sommes très énervés. Nous espérons que la communauté internationale puisse entendre notre voix et nous aider. Nous sommes dans une situation très dangereuse, car le principe de de Hong Kong, un pays deux systèmes, se détériore et si cette loi d'extradition possible vers la Chine passe il n'y aura plus d'État de droit. Aujourd'hui il y a beaucoup de jeunes et de gens en général rassemblés ici pour défendre nos droits. Nous voulons la liberté d'expression, la liberté d'association, la liberté de religion pour Hong Kong, ces garanties-là n'existent pas en Chine.

LB : Les débats sur le projet de loi permettant d'autoriser les extraditions vers la Chine ont été reportés à une date ultérieure. Concernant les manifestations, la cheffe de l'exécutif dénonce des « émeutes organisées ». D'autres voix -précisément celle du MAE britannique- demandent au Gouvernement hongkongais d'écouter les inquiétudes de sa population et de la communauté internationale. Ce soir, l'Union européenne appelle également à « respecter » le droit des manifestants de Hong Kong et dit « partager plusieurs » de leurs inquiétudes.

Autre commentaire, celui de Donald Trump. Le Président américain dit espérer que les manifestants seront « capables de trouver une solution avec la Chine », sans se prononcer sur le bien-fondé de leurs revendications, c'est-à-dire sur leurs demandes. Donald Trump qui fait également la une de l'actualité, pas pour ses déclarations, mais à cause d'une gaffe filmée par les caméras des chaînes d'information. Le locataire de la Maison-Blanche a en effet dévoilé, malgré lui, une partie de l'accord sur l'immigration avec le Mexique. Devant les journalistes, il a tenu une page pliée en deux de ce texte, en précisant bien qu'il était confidentiel. C'était sans compter sur le super objectif d'un photographe de presse. Sami Boukhelifa.

Depuis le début de la semaine Donald Trump, ne cesse de le répéter : il a signé un accord sur l'immigration avec le Mexique. Mais pas la peine de chercher à en savoir davantage précise la Maison-Blanche : le « texte est secret ». De son côté Mexico affirme n'avoir aucune information quant à un tel accord confidentiel, de quoi alimenter le scepticisme de la presse américaine qui revient alors à la charge. Le président américain est assailli de questions lors d'un point de presse. Il sort alors une feuille de la poche intérieure de son costume et la brandit à plusieurs reprises face aux journalistes certifiant que les termes de l'accord étaient écrits noir sur blanc sur ce bout de papier. Il n'en fallait pas plus pour le photographe du Washington Post qui immortalise le moment. Sous un soleil éclatant, les lignes du document apparaissent en filigrane. Très vite elles sont déchiffrées, mais ne révèlent rien d'extraordinaire. Il y est mentionné que les États-Unis feront le point sur les progrès enregistrés à la frontière sud d'ici 45 jours. Le Mexique avait déjà fait une déclaration similaire expliquant que s'il n'arrivait pas à endiguer le nombre de clandestins traversant son territoire pour se rendre aux États-Unis durant ce délai l'accord pourra être revu.

LB : On prend la direction de l'Espagne pour la fin du procès des séparatistes catalans mis en cause pour leur rôle dans la tentative de sécession il y a un peu moins de deux ans. Un procès-fleuve, comprendre très long, puisqu'il a commencé le 12 février. Sur le banc des accusés 12 leaders séparatistes catalans, accusés entre autres de ne pas avoir respecté les lois espagnoles, et d'avoir organisé un referendum d'autodétermination le 1er octobre 2017 -soit un vote sur l'indépendance de la Catalogne, région du nord-est de l'Espagne. Le procès qui a pris fin ce mercredi. Le verdict est attendu pour cet automne. À Madrid, les précisions de François Musseau.

C'est une journée particulière dans le centre de Madrid, dans cette zone appelée ville de la justice, où se trouve notamment le tribunal suprême. Sous de fortes mesures de sécurité, a lieu la dernière journée d'un procès très suivi par les Espagnols, un procès qui est retransmis en continu par nombre de télévisions nationales. Une dernière journée qui donne la parole, pour la dernière fois, aux avocats de la défense et à chacun des douze accusés. Ces douze accusés, en prison préventive depuis novembre dernier, sont des anciens ministres régionaux du gouvernement catalan séparatiste, la présidente du parlement ou des leaders associatifs. Chacun dans sa plaidoirie clame son innocence, en disant tous qu'ils ont agi, je cite, dans l'intérêt du peuple catalan et pour des raisons démocratiques. Par eux, Dolors massa, qui l'époque des faits reprochés en octobre 2017 était ministre régional de l'éducation et des affaires sociales. « Je ne sais pas si on assiste à un procès politique, ce n'est pas à moi de le dire. Ce que je puis affirmer c'est qu'en écoutant les arguments du procureur, on est dans un procès qui est sous-tendu par un contenu éminemment politique ». Dolors Bassa se dit innocente, comme les autres accusés. À l'instar de l'ancien ministre Josep Rull, qui risque lui aussi une lourde peine pour rébellion contre l'État. Dans sa plaidoirie, il a assuré que la justice espagnole peut faire tomber les têtes dirigeantes du séparatisme, mais, je cite, elle ne pourra en finir avec la volonté d'un peuple d'être indépendant.

LB : L'actualité en France, c'est le coup d'envoi de l'acte 2 du quinquennat d'Emmanuel Macron. Deux ans après son arrivée à l'Élysée, c'est son Premier ministre qui était chargé de marquer ce qui est présenté comme une nouvelle phase. Edouard Philippe a présenté ce mercredi le calendrier et les choix de l'exécutif des réformes à venir lors d'une déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale. Il y a « urgence » a-t-il lancé en dévoilant une feuille de route très politique qui vise à ménager les deux jambes de la Macronie, droite et gauche. À l'Assemblée Nationale, le reportage de Julien Chavanne et Bertrand Haeckler.

Un coup de barre à droite, un coup de barre à gauche. Edouard Philippe aura viré de bord au fil de son discours. Cap à droite quand il annonce des baisses d'impôts pour les classes moyennes de 27 milliards d'euros sur le quinquennat, la suppression des régimes spéciaux des retraites ou un débat annuel sur l'immigration. Cap à gauche quand il promet « d'accélérer l'engagement écologique » du gouvernement, et bien sûr quand il s'engage à présenter la PMA pour les couples de femmes en septembre prochain à l'Assemblée. Le « en même temps » reste plus que jamais de mise en prévision des municipales. Et s'il n'est pas question de ralentir le rythme des réformes, la méthode va changer, promet Edouard Philippe. [...] Edouard Philippe remporte largement la confiance de l'hémicycle avec plus de 360 voix. Ce sera une autre histoire ce jeudi matin au Sénat, où la droite est majoritaire.

LB : Le groupe Les Républicains « s'abstiendra » lors du vote sur la déclaration de politique générale du Premier ministre Edouard Philippe demain matin au Sénat. C'est ce qu'a annoncé son chef de file dans un communiqué. « Il n'y a au Sénat ni opposition systématique ni adhésion automatique », déclare Bruno Retailleau.

En bref, cette autre déclaration du président de Renault. Un mot de l'actu éco en France où Renault confirme la priorité de son alliance avec Nissan. « Il n'y aura pas de réussite de Renault sans réussite de l'Alliance » avec Nissan et Mitsubishi. Voilà ce qu'a affirmé Jean-Dominique Senard lors de l'assemblée générale du groupe. Une déclaration qui intervient une semaine après le projet de fusion abandonné avec Fiat-Chrysler. Devant les actionnaires, Jean-Dominique Senard a toutefois laissé ouverte la porte à une possible reprise des discussions avec le groupe italo-américain.

Un mot de la coupe du monde féminine de football avant de se quitter. Puisque l'équipe de France joue en ce moment son 2e match de la compétition. Les Bleues sont opposées à la Norvège.

[Transcription manquante]


Journal en français facile 12 juin 2019 Journal in easy French June 12, 2019 Jornal em francês fácil 12 de junho de 2019

Loïc Bussières : 22h à Paris, 2h de moins en temps universel (TU). L'heure de votre Journal en français facile.

À la une ce soir : - Des manifestations à Hong Kong. Plusieurs dizaines de milliers de personnes rassemblées dans les rues aujourd'hui pour protester contre le projet de loi sur les extraditions vers la Chine. - La bourde de Donald Trump. Le Président américain a dévoilé, à son insu, une partie de l'accord sur l'immigration avec le Mexique. Un document qu'il présentait comme secret. Les détails dans ce journal. - Et puis en France, l'Assemblée Nationale vote la confiance au Gouvernement d'Edouard Philippe. Le Premier ministre avait auparavant détaillé devant les députés, les grands chantiers de son équipe pour les prochains mois.

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LB : On se rend à Hong Kong pour débuter ce journal. Hong Kong où policiers et de très nombreux manifestants se sont affrontés aujourd'hui. Au total plusieurs dizaines de milliers de protestataires qui s'opposent toujours à un projet de loi qui pourrait autoriser les extraditions vers la Chine. C'est à dire l'acte de livrer à Pékin des personnes poursuivies par la justice chinoise. Notre correspondante Florence de Changy est allée là la rencontre de manifestants ce mercredi. Écoutez leurs témoignages.

La police a essayé de nous empêcher de manifester. Ils veulent laisser les députés se réunir pour faire adopter le projet de loi. Nous nous voulons bloquer les rues pour que les députés entendent notre opinion. Il y a des procédures normalement, la police doit émettre des avertissements rouge ou noir avant de lancer des gaz lacrymogènes ou de tirer sur les manifestants au flashball. Mais ils ne l'ont pas fait et c'est pour ça que nous sommes très énervés. Nous espérons que la communauté internationale puisse entendre notre voix et nous aider. Nous sommes dans une situation très dangereuse, car le principe de de Hong Kong, un pays deux systèmes, se détériore et si cette loi d'extradition possible vers la Chine passe il n'y aura plus d'État de droit. Aujourd'hui il y a beaucoup de jeunes et de gens en général rassemblés ici pour défendre nos droits. Nous voulons la liberté d'expression, la liberté d'association, la liberté de religion pour Hong Kong, ces garanties-là n'existent pas en Chine.

LB : Les débats sur le projet de loi permettant d'autoriser les extraditions vers la Chine ont été reportés à une date ultérieure. Concernant les manifestations, la cheffe de l'exécutif dénonce des « émeutes organisées ». D'autres voix -précisément celle du MAE britannique- demandent au Gouvernement hongkongais d'écouter les inquiétudes de sa population et de la communauté internationale. Ce soir, l'Union européenne appelle également à « respecter » le droit des manifestants de Hong Kong et dit « partager plusieurs » de leurs inquiétudes.

Autre commentaire, celui de Donald Trump. Le Président américain dit espérer que les manifestants seront « capables de trouver une solution avec la Chine », sans se prononcer sur le bien-fondé de leurs revendications, c'est-à-dire sur leurs demandes. Donald Trump qui fait également la une de l'actualité, pas pour ses déclarations, mais à cause d'une gaffe filmée par les caméras des chaînes d'information. Le locataire de la Maison-Blanche a en effet dévoilé, malgré lui, une partie de l'accord sur l'immigration avec le Mexique. Devant les journalistes, il a tenu une page pliée en deux de ce texte, en précisant bien qu'il était confidentiel. C'était sans compter sur le super objectif d'un photographe de presse. Sami Boukhelifa.

Depuis le début de la semaine Donald Trump, ne cesse de le répéter : il a signé un accord sur l'immigration avec le Mexique. Mais pas la peine de chercher à en savoir davantage précise la Maison-Blanche : le « texte est secret ». De son côté Mexico affirme n'avoir aucune information quant à un tel accord confidentiel, de quoi alimenter le scepticisme de la presse américaine qui revient alors à la charge. Le président américain est assailli de questions lors d'un point de presse. Il sort alors une feuille de la poche intérieure de son costume et la brandit à plusieurs reprises face aux journalistes certifiant que les termes de l'accord étaient écrits noir sur blanc sur ce bout de papier. Il n'en fallait pas plus pour le photographe du Washington Post qui immortalise le moment. Sous un soleil éclatant, les lignes du document apparaissent en filigrane. Très vite elles sont déchiffrées, mais ne révèlent rien d'extraordinaire. Il y est mentionné que les États-Unis feront le point sur les progrès enregistrés à la frontière sud d'ici 45 jours. Le Mexique avait déjà fait une déclaration similaire expliquant que s'il n'arrivait pas à endiguer le nombre de clandestins traversant son territoire pour se rendre aux États-Unis durant ce délai l'accord pourra être revu.

LB : On prend la direction de l'Espagne pour la fin du procès des séparatistes catalans mis en cause pour leur rôle dans la tentative de sécession il y a un peu moins de deux ans. Un procès-fleuve, comprendre très long, puisqu'il a commencé le 12 février. Sur le banc des accusés 12 leaders séparatistes catalans, accusés entre autres de ne pas avoir respecté les lois espagnoles, et d'avoir organisé un referendum d'autodétermination le 1er octobre 2017 -soit un vote sur l'indépendance de la Catalogne, région du nord-est de l'Espagne. Le procès qui a pris fin ce mercredi. Le verdict est attendu pour cet automne. À Madrid, les précisions de François Musseau.

C'est une journée particulière dans le centre de Madrid, dans cette zone appelée ville de la justice, où se trouve notamment le tribunal suprême. Sous de fortes mesures de sécurité, a lieu la dernière journée d'un procès très suivi par les Espagnols, un procès qui est retransmis en continu par nombre de télévisions nationales. Une dernière journée qui donne la parole, pour la dernière fois, aux avocats de la défense et à chacun des douze accusés. Ces douze accusés, en prison préventive depuis novembre dernier, sont des anciens ministres régionaux du gouvernement catalan séparatiste, la présidente du parlement ou des leaders associatifs. Chacun dans sa plaidoirie clame son innocence, en disant tous qu'ils ont agi, je cite, dans l'intérêt du peuple catalan et pour des raisons démocratiques. Par eux, Dolors massa, qui l'époque des faits reprochés en octobre 2017 était ministre régional de l'éducation et des affaires sociales. « Je ne sais pas si on assiste à un procès politique, ce n'est pas à moi de le dire. Ce que je puis affirmer c'est qu'en écoutant les arguments du procureur, on est dans un procès qui est sous-tendu par un contenu éminemment politique ». Dolors Bassa se dit innocente, comme les autres accusés. À l'instar de l'ancien ministre Josep Rull, qui risque lui aussi une lourde peine pour rébellion contre l'État. Dans sa plaidoirie, il a assuré que la justice espagnole peut faire tomber les têtes dirigeantes du séparatisme, mais, je cite, elle ne pourra en finir avec la volonté d'un peuple d'être indépendant.

LB : L'actualité en France, c'est le coup d'envoi de l'acte 2 du quinquennat d'Emmanuel Macron. Deux ans après son arrivée à l'Élysée, c'est son Premier ministre qui était chargé de marquer ce qui est présenté comme une nouvelle phase. Edouard Philippe a présenté ce mercredi le calendrier et les choix de l'exécutif des réformes à venir lors d'une déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale. Il y a « urgence » a-t-il lancé en dévoilant une feuille de route très politique qui vise à ménager les deux jambes de la Macronie, droite et gauche. À l'Assemblée Nationale, le reportage de Julien Chavanne et Bertrand Haeckler.

Un coup de barre à droite, un coup de barre à gauche. Edouard Philippe aura viré de bord au fil de son discours. Cap à droite quand il annonce des baisses d'impôts pour les classes moyennes de 27 milliards d'euros sur le quinquennat, la suppression des régimes spéciaux des retraites ou un débat annuel sur l'immigration. Cap à gauche quand il promet « d'accélérer l'engagement écologique » du gouvernement, et bien sûr quand il s'engage à présenter la PMA pour les couples de femmes en septembre prochain à l'Assemblée. Le « en même temps » reste plus que jamais de mise en prévision des municipales. Et s'il n'est pas question de ralentir le rythme des réformes, la méthode va changer, promet Edouard Philippe. [...] Edouard Philippe remporte largement la confiance de l'hémicycle avec plus de 360 voix. Ce sera une autre histoire ce jeudi matin au Sénat, où la droite est majoritaire.

LB : Le groupe Les Républicains « s'abstiendra » lors du vote sur la déclaration de politique générale du Premier ministre Edouard Philippe demain matin au Sénat. C'est ce qu'a annoncé son chef de file dans un communiqué. « Il n'y a au Sénat ni opposition systématique ni adhésion automatique », déclare Bruno Retailleau.

En bref, cette autre déclaration du président de Renault. Un mot de l'actu éco en France où Renault confirme la priorité de son alliance avec Nissan. « Il n'y aura pas de réussite de Renault sans réussite de l'Alliance » avec Nissan et Mitsubishi. Voilà ce qu'a affirmé Jean-Dominique Senard lors de l'assemblée générale du groupe. Une déclaration qui intervient une semaine après le projet de fusion abandonné avec Fiat-Chrysler. Devant les actionnaires, Jean-Dominique Senard a toutefois laissé ouverte la porte à une possible reprise des discussions avec le groupe italo-américain.

Un mot de la coupe du monde féminine de football avant de se quitter. Puisque l'équipe de France joue en ce moment son 2e match de la compétition. Les Bleues sont opposées à la Norvège.

[Transcription manquante]