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Journal en français facile RFI, Journal en français facile 05/08/2021 20h00 GMT

Journal en français facile 05/08/2021 20h00 GMT

Vous écoutez RFI, il est 22h à Paris, 20h en temps universel.

Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile. Présenté ce soir en compagnie de Mehdi Meddeb, bonsoir Mehdi.

Mehdi Meddeb : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la Une ce soir, au moins 26 morts dans le nord du Burkina Faso. Parmi eux 11 civils. Une attaque a été menée par des hommes armés qui ont également tendu une embuscade à des militaires.

MM : Bientôt une troisième dose de vaccin contre le Covid-19 en France. Le président Emmanuel Macron l'a annoncé aujourd'hui. Et pourtant le sujet fait débat du côté des autorités sanitaires.

RA : Et puis c'est un coup de tonnerre en football : la star argentine Lionel Messi va quitter le FC Barcelone. Explications à la fin de cette édition.

-----

MM : Le nord du Burkina Faso à nouveau touché par une attaque.

RA : L'attaque la plus meurtrière depuis deux mois. 15 soldats et 11 civils ont été tués. Une dizaine de terroristes ont été neutralisés affirme le ministre délégué à la Défense. Les faits se sont déroulés hier, mais on l'a appris aujourd'hui. Cela s'est déroulé dans la région du Sahel. La correspondance de Yaya Boudani.

Ce sont les populations des villages de Dambam, Gudba et Tokabangou situées à une dizaine de kilomètres de Markoye qui ont été visées d'abord par une attaque des groupes armés terroristes. C'est vers 12h heure locale, selon un communiqué du ministre délégué à la Défense, que l'attaque s'est déroulée. Onze civils ont été « lâchement abattus alors que certains cultivaient leur champs », rapporte une source sécuritaire. Du bétail a été emporté et les assaillant ont incendié plusieurs concessions. Une unité des forces de défense et de sécurité du détachement militaire basée à Markoye a été déployée pour venir en aide à ces populations en détresse. Pendant les opérations de sécurisation, l'unité a été à son tour prise à partie par ces groupes armés. Au cours des combats, quinze soldats burkinabè et quatre volontaires pour la défense de la patrie sont tombés, selon Aimé Barthélémy Simporé, le ministre délégué à la Défense nationale. De leur côté, les forces burkinabè ont neutralisé une dizaine de terroristes, selon la même source. Toute la zone concernée par l'attaque est sous contrôle des forces armées burkinabè et la contre-offensive pour retrouver les assaillants se poursuit avec des moyens aériens et terrestres selon le ministère de la Défense nationale. Yaya Boudani, Ouagadougou, RFI.

MM : Et puis au Tchad, l'attaque la plus importante menée contre l'armée depuis la mort du président Idriss Déby au mois d'avril.

RA : Au moins 24 militaires ont été tués la nuit dernière, plusieurs autres blessés. L'attaque a été menée par Boko Haram, elle s'est déroulée dans la région du lac Tchad.

MM : Direction à présent le Liban au lendemain du premier anniversaire de l'explosion survenue sur le port de Beyrouth.

RA : Un drame qui avait fait plus de 200 morts et plus de 6 000 blessés. Un drame qui a fait plonger le Liban dans la crise économique. Car les dégâts matériels ont été énormes, l'ONU affirme que plus de 70 000 logements ont été endommagés par l'explosion. De nombreux chantiers sont en cours pour tenter de sauver le patrimoine architectural de Beyrouth. Reportage dans la capitale libanaise de Nicolas Falez.

Plusieurs ouvriers s'activent dans cette pièce ouverte par une arcade sur une cour intérieure. Nous sommes dans une école du quartier d'Achrafieh, guidée par l'architecte Grace Rihan Hanna : « La triple arcade est tombée, elle a été toute abimée, la maison il y a eu des fissures. Ce qu'on essaye de faire, c'est refaire à l'identique l'arcade, remettre les colonnes en marbres comme c'était avant. » Dès le lendemain de l'explosion, Grace et ses collègues se sont mobilisés pour faire l'inventaire des dégâts dans les quartiers les plus endommagés de Beyrouth. Un travail colossal qui a ensuite permis de collecter des financements internationaux pour la restauration des bâtiments : « En fait ce qu'on a essayé de faire en premier, c'est d'intervenir sur les logements. Notre intérêt c'était les gens aussi, pas seulement les bâtiments, garder aussi la valeur sociale, pas seulement historique des bâtiments ou architecturale. Les aides sont venues pour les gens. Et puis il y a eu aussi un projet. On a aidé 150 familles à retourner chez elles pour les interventions mineures, avec des petits budgets. » Certaines familles n'ont toujours pas pu regagner leur domicile, un an après la catastrophe. Nicolas Falez, Beyrouth, RFI.

MM : La pandémie de Covid-19 et le débat autour d'une troisième dose de vaccin.

RA : Plusieurs pays ont décidé de mettre en place une dose de rappel. On peut citer Israël ou encore bientôt l'Allemagne. Mais hier, l'Organisation mondiale de la santé a appelé à un moratoire sur ce sujet, un moratoire cela veut dire que l'on suspend la décision. Donc que l'on remet à plus tard, le fait d'administrer une troisième dose. Car l'OMS s'inquiète d'un fossé qui augmente entre les pays riches et les pays pauvres qui sont en demande de vaccins. Dans ce contexte, le président Emmanuel Macron a annoncé, à son tour, que la France allait débuter les rappels de vaccination d'ici quelques semaines. Aurélien Devernoix.

Officiellement, il ne s'agit que d'une nouvelle vidéo Instagram consacrée aux interrogations des Français sur la gestion de l'épidémie de Covid. Emmanuel Macron répond cette fois à la question de la nécessité d'une troisième dose de vaccin : « Il est maintenant établi que pour en effet lutter contre ce virus il faut des rappels. Il faudra vraisemblablement une troisième dose. C'est pourquoi nous nous préparons comme d'ailleurs les autres pays européens à faire cette troisième dose pour les personnes qui sont les plus âgées et les plus fragiles. Et nous le ferons à partir de la rentrée. » Des troisièmes doses qui devraient donc commencer à être administrées en septembre, alors même que l'OMS a demandé que les campagnes de rappel soient suspendues jusqu'à début octobre. Mais pas un mot d'Emmanuel Macron sur le sujet, or le président français s'était fait le champion du programme Covax, destiné à répartir équitablement les doses de vaccins. La France s'est ainsi engagée à mettre 60 millions de doses à disposition. Après l'appel de l'OMS, les États-Unis ont annoncé être capables de jouer sur les deux tableaux et Paris pourrait avancer le même argument. Notamment parce que les vaccins AstraZeneca reçus par la France sont désormais réservés à Covax, faute d'adhésion de la population.

MM : Également dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 en France, une décision qui était très attendue aujourd'hui.

RA : La décision du Conseil constitutionnel dont la mission est de valider les lois. Le Conseil constitutionnel valide la plupart des mesures que prévoit l'extension du « pass sanitaire ». C'est un texte qui fait débat. Notamment la mesure la plus emblématique, le fait qu'à partir de lundi en France il faudra présenter un « pass sanitaire » pour aller dans un café ou dans un restaurant. Le Conseil Constitutionnel ne s'oppose pas à une telle mesure.

MM : Le sport, et d'abord les Jeux olympiques de Tokyo. Avec deux nouvelles médailles pour l'équipe de France aujourd'hui.

RA : Notamment une en or remportée en karaté, discipline qui a fait son entrée lors de ces JO et qui ne figurera pas à Paris en 2024. Le vainqueur s'appelle Steven Da Costa. La seconde médaille du jour est en argent et elle a été remportée par Kevin Mayer en athlétisme, dans l'épreuve du décathlon. Le Français diminué par une blessure au dos, mais qui s'est battu pour arrache une deuxième place inespérée. Et puis à noter les performances des Français dans les sports collectifs : avec des qualifications pour la finale en basket, handball et volley masculin. Ce qui laisse espérer l'or samedi.

MM : Et puis également en sport, un coup de tonnerre en football.

RA : Lionel Messi va quitter le FC Barcelone. La star argentine ne va pas prolonger son contrat avec le club, Thomas de Saint-Léger.

Coup de tonnerre, oui, coup de théâtre aussi. Depuis plusieurs semaines, la prolongation du contrat de la star argentine semblait acquise. Une réunion était prévue aujourd'hui entre les dirigeants du FC Barcelone, et les représentants de Lionel Messi pour finaliser les détails du nouveau contrat entre les deux parties. Et c'est à l'issue de cette rencontre que le club catalan, via un communiqué, a annoncé la fin de l'histoire. Accord impossible pour des raisons financières. Les clubs de Liga, le championnat espagnol, sont désormais limités par un plafond de dépenses et Le Barça ne peut plus payer le salaire de Messi. Le sextuple Ballon d'or, six Ballon d'or, va donc quitter son club de toujours : là où il est passé professionnel, en 2004, là où il a gagné tant de trophées, là où il a marqué tant de buts, presque 700 sous les couleurs catalanes. Reste une question : où va jouer Lionel Messi, qui, à 34 ans, reste l'un des meilleurs joueurs du Monde ? Dans un club riche, forcément, il faut assumer le salaire monumental du petit numéro 10. Ceci pris en compte, deux pistes se dégagent : l'une mène au PSG, l'autre à Manchester City.

RA : Un dossier que l'on suivra avec attention sur RFI. Merci Thomas de Saint-Léger, merci Mehdi Meddeb. C'est la fin du Journal en français facile.


Journal en français facile 05/08/2021 20h00 GMT

Vous écoutez RFI, il est 22h à Paris, 20h en temps universel.

Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre Journal en français facile. Présenté ce soir en compagnie de Mehdi Meddeb, bonsoir Mehdi.

Mehdi Meddeb : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la Une ce soir, au moins 26 morts dans le nord du Burkina Faso. Parmi eux 11 civils. Une attaque a été menée par des hommes armés qui ont également tendu une embuscade à des militaires.

MM : Bientôt une troisième dose de vaccin contre le Covid-19 en France. Le président Emmanuel Macron l'a annoncé aujourd'hui. Et pourtant le sujet fait débat du côté des autorités sanitaires.

RA : Et puis c'est un coup de tonnerre en football : la star argentine Lionel Messi va quitter le FC Barcelone. Explications à la fin de cette édition.

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MM : Le nord du Burkina Faso à nouveau touché par une attaque.

RA : L'attaque la plus meurtrière depuis deux mois. 15 soldats et 11 civils ont été tués. Une dizaine de terroristes ont été neutralisés affirme le ministre délégué à la Défense. Les faits se sont déroulés hier, mais on l'a appris aujourd'hui. Cela s'est déroulé dans la région du Sahel. La correspondance de Yaya Boudani.

Ce sont les populations des villages de Dambam, Gudba et Tokabangou situées à une dizaine de kilomètres de Markoye qui ont été visées d'abord par une attaque des groupes armés terroristes. C'est vers 12h heure locale, selon un communiqué du ministre délégué à la Défense, que l'attaque s'est déroulée. Onze civils ont été « lâchement abattus alors que certains cultivaient leur champs », rapporte une source sécuritaire. Du bétail a été emporté et les assaillant ont incendié plusieurs concessions. Une unité des forces de défense et de sécurité du détachement militaire basée à Markoye a été déployée pour venir en aide à ces populations en détresse. Pendant les opérations de sécurisation, l'unité a été à son tour prise à partie par ces groupes armés. Au cours des combats, quinze soldats burkinabè et quatre volontaires pour la défense de la patrie sont tombés, selon Aimé Barthélémy Simporé, le ministre délégué à la Défense nationale. De leur côté, les forces burkinabè ont neutralisé une dizaine de terroristes, selon la même source. Toute la zone concernée par l'attaque est sous contrôle des forces armées burkinabè et la contre-offensive pour retrouver les assaillants se poursuit avec des moyens aériens et terrestres selon le ministère de la Défense nationale. Yaya Boudani, Ouagadougou, RFI.

MM : Et puis au Tchad, l'attaque la plus importante menée contre l'armée depuis la mort du président Idriss Déby au mois d'avril.

RA : Au moins 24 militaires ont été tués la nuit dernière, plusieurs autres blessés. L'attaque a été menée par Boko Haram, elle s'est déroulée dans la région du lac Tchad.

MM : Direction à présent le Liban au lendemain du premier anniversaire de l'explosion survenue sur le port de Beyrouth.

RA : Un drame qui avait fait plus de 200 morts et plus de 6 000 blessés. Un drame qui a fait plonger le Liban dans la crise économique. Car les dégâts matériels ont été énormes, l'ONU affirme que plus de 70 000 logements ont été endommagés par l'explosion. De nombreux chantiers sont en cours pour tenter de sauver le patrimoine architectural de Beyrouth. Reportage dans la capitale libanaise de Nicolas Falez.

Plusieurs ouvriers s'activent dans cette pièce ouverte par une arcade sur une cour intérieure. Nous sommes dans une école du quartier d'Achrafieh, guidée par l'architecte Grace Rihan Hanna : « La triple arcade est tombée, elle a été toute abimée, la maison il y a eu des fissures. Ce qu'on essaye de faire, c'est refaire à l'identique l'arcade, remettre les colonnes en marbres comme c'était avant. » Dès le lendemain de l'explosion, Grace et ses collègues se sont mobilisés pour faire l'inventaire des dégâts dans les quartiers les plus endommagés de Beyrouth. Un travail colossal qui a ensuite permis de collecter des financements internationaux pour la restauration des bâtiments : « En fait ce qu'on a essayé de faire en premier, c'est d'intervenir sur les logements. Notre intérêt c'était les gens aussi, pas seulement les bâtiments, garder aussi la valeur sociale, pas seulement historique des bâtiments ou architecturale. Les aides sont venues pour les gens. Et puis il y a eu aussi un projet. On a aidé 150 familles à retourner chez elles pour les interventions mineures, avec des petits budgets. » Certaines familles n'ont toujours pas pu regagner leur domicile, un an après la catastrophe. Nicolas Falez, Beyrouth, RFI.

MM : La pandémie de Covid-19 et le débat autour d'une troisième dose de vaccin.

RA : Plusieurs pays ont décidé de mettre en place une dose de rappel. On peut citer Israël ou encore bientôt l'Allemagne. Mais hier, l'Organisation mondiale de la santé a appelé à un moratoire sur ce sujet, un moratoire cela veut dire que l'on suspend la décision. Donc que l'on remet à plus tard, le fait d'administrer une troisième dose. Car l'OMS s'inquiète d'un fossé qui augmente entre les pays riches et les pays pauvres qui sont en demande de vaccins. Dans ce contexte, le président Emmanuel Macron a annoncé, à son tour, que la France allait débuter les rappels de vaccination d'ici quelques semaines. Aurélien Devernoix.

Officiellement, il ne s'agit que d'une nouvelle vidéo Instagram consacrée aux interrogations des Français sur la gestion de l'épidémie de Covid. Emmanuel Macron répond cette fois à la question de la nécessité d'une troisième dose de vaccin : « Il est maintenant établi que pour en effet lutter contre ce virus il faut des rappels. Il faudra vraisemblablement une troisième dose. C'est pourquoi nous nous préparons comme d'ailleurs les autres pays européens à faire cette troisième dose pour les personnes qui sont les plus âgées et les plus fragiles. Et nous le ferons à partir de la rentrée. » Des troisièmes doses qui devraient donc commencer à être administrées en septembre, alors même que l'OMS a demandé que les campagnes de rappel soient suspendues jusqu'à début octobre. Mais pas un mot d'Emmanuel Macron sur le sujet, or le président français s'était fait le champion du programme Covax, destiné à répartir équitablement les doses de vaccins. La France s'est ainsi engagée à mettre 60 millions de doses à disposition. Après l'appel de l'OMS, les États-Unis ont annoncé être capables de jouer sur les deux tableaux et Paris pourrait avancer le même argument. Notamment parce que les vaccins AstraZeneca reçus par la France sont désormais réservés à Covax, faute d'adhésion de la population.

MM : Également dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 en France, une décision qui était très attendue aujourd'hui.

RA : La décision du Conseil constitutionnel dont la mission est de valider les lois. Le Conseil constitutionnel valide la plupart des mesures que prévoit l'extension du « pass sanitaire ». C'est un texte qui fait débat. Notamment la mesure la plus emblématique, le fait qu'à partir de lundi en France il faudra présenter un « pass sanitaire » pour aller dans un café ou dans un restaurant. Le Conseil Constitutionnel ne s'oppose pas à une telle mesure.

MM : Le sport, et d'abord les Jeux olympiques de Tokyo. Avec deux nouvelles médailles pour l'équipe de France aujourd'hui.

RA : Notamment une en or remportée en karaté, discipline qui a fait son entrée lors de ces JO et qui ne figurera pas à Paris en 2024. Le vainqueur s'appelle Steven Da Costa. La seconde médaille du jour est en argent et elle a été remportée par Kevin Mayer en athlétisme, dans l'épreuve du décathlon. Le Français diminué par une blessure au dos, mais qui s'est battu pour arrache une deuxième place inespérée. Et puis à noter les performances des Français dans les sports collectifs : avec des qualifications pour la finale en basket, handball et volley masculin. Ce qui laisse espérer l'or samedi.

MM : Et puis également en sport, un coup de tonnerre en football.

RA : Lionel Messi va quitter le FC Barcelone. La star argentine ne va pas prolonger son contrat avec le club, Thomas de Saint-Léger.

Coup de tonnerre, oui, coup de théâtre aussi. Depuis plusieurs semaines, la prolongation du contrat de la star argentine semblait acquise. Une réunion était prévue aujourd'hui entre les dirigeants du FC Barcelone, et les représentants de Lionel Messi pour finaliser les détails du nouveau contrat entre les deux parties. Et c'est à l'issue de cette rencontre que le club catalan, via un communiqué, a annoncé la fin de l'histoire. Accord impossible pour des raisons financières. Les clubs de Liga, le championnat espagnol, sont désormais limités par un plafond de dépenses et Le Barça ne peut plus payer le salaire de Messi. Le sextuple Ballon d'or, six Ballon d'or, va donc quitter son club de toujours : là où il est passé professionnel, en 2004, là où il a gagné tant de trophées, là où il a marqué tant de buts, presque 700 sous les couleurs catalanes. Reste une question : où va jouer Lionel Messi, qui, à 34 ans, reste l'un des meilleurs joueurs du Monde ? Dans un club riche, forcément, il faut assumer le salaire monumental du petit numéro 10. Ceci pris en compte, deux pistes se dégagent : l'une mène au PSG, l'autre à Manchester City.

RA : Un dossier que l'on suivra avec attention sur RFI. Merci Thomas de Saint-Léger, merci Mehdi Meddeb. C'est la fin du Journal en français facile.