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RFI - Journal en français facile 2017 - 2020, Journal en français facile 04 décembre 2019

Journal en français facile 04 décembre 2019

Vous écoutez RFI il est 21h à Paris, 20h en temps universel.

Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre journal en français facile. Présenté ce soir en compagnie de Hugo Lanoé, bonsoir Hugo.

Hugo Lanoé : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la une de l'actualité ce soir : la confusion à l'issue du sommet de l'OTAN. Donald Trump a annulé sa conférence de presse et quitté précipitamment Londres. Le Président américain vexé par des moqueries de plusieurs dirigeants étrangers, dont le Premier ministre canadien.

HL : Donald Trump au cœur d'une procédure de destitution qui se poursuit. Ce mercredi la deuxième phase de la procédure a débuté, place désormais au débat judiciaire.

RA : Et puis un jeudi noir attendu en France. Il s'agira de la première journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Les transports devraient être paralysés et de nombreuses écoles fermées.

------

HL : Donald Trump s'est donc montré très en colère lors du sommet de l'OTAN.

RA : Ce sommet dont l'objectif était délicat, tenter d'apaiser les désaccords entre États membres. Et ce sommet qui s'achève dans la confusion, le Président américain annulant sa conférence de presse et quittant Londres avant la fin de la réunion. La raison : Donald Trump n'a pas du tout apprécié une vidéo où plusieurs dirigeants étrangers, dont le Premier ministre Justin Trudeau, semblent se moquer de lui. Un évènement symbolique des tensions qui persistent au sein de l'OTAN. Envoyée spéciale de RFI dans la capitale britannique, Anissa El Jabri.

Très vexé Donald Trump. Il faut dire que les 25 secondes de vidéo où les Premiers ministres néerlandais canadiens britanniques ainsi qu'Emmanuel Macron donnaient le sentiment de se moquer de lui. Cette vidéo, la presse américaine à ce sommet ne parlait que de ça… « le Premier ministre canadien est un hypocrite », a dit Donald Trump piqué au vif avant de quitter le sommet… avant tout le monde. Au chapitre des dissensions sur le fonds des discussions ça ne s'arrange toujours pas entre Paris et Ankara : « pas de consensus possible avec la Turquie sur la définition du terrorisme », c'est signé Emmanuel Macron. Le communiqué final reste très vague sur cette notion. Il place en revanche d'abord la Russie comme menace… Emmanuel Macron n'a pas eu de gain de cause sur ce sujet. Le terrorisme reste la préoccupation de sécurité principale de la France a dit le président… qui met la pression sur les alliés du G5 Sahel : « l'ambiguïté perdure à l'égard des mouvements antifrançais » dit le président. Il leur demande d'assumer l'opération Barkhane. Un sommet est prévu en France mi-décembre. Anissa el Jabri Londres RFI.

RA : Et à l'occasion de ce sommet seront invités les Présidents des pays membres du G5 Sahel, à savoir le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Tchad et la Mauritanie. C'est Emmanuel Macron qui l'a annoncé depuis Londres.

HL : Nous partons maintenant aux États-Unis où a débuté la deuxième phase de la procédure de destitution contre Donald Trump.

RA : Jusque-là c'est une enquête parlementaire qui était menée. Le rapport de cette enquête a été rendu hier soir. « C'est une blague » a d'ailleurs réagi Donald Trump. Désormais c'est la commission judiciaire qui a la main. Concrètement 4 experts juridiques sont appelés à témoigner pour démontrer que Donald Trump a violé la loi en demandant auprès d'un chef d'État étranger -le Président ukrainien- l'ouverture d'une enquête sur son adversaire politique, Joe Biden. Pour lancer cette deuxième étape, le Président de la commission Jerry Nadler s'est exprimé aujourd'hui dans une déclaration préliminaire. Et il a souligné les tentatives d'obstruction -donc de blocage- du Président dans cette procédure. On l'écoute.

« Le niveau d'obstruction de cette administration est sans précédent. Aucun autre président n'a promis de combattre toutes les assignations du congrès comme l'a fait le président Trump. Pendant la procédure de destitution de 1974, le président Nixon a produit des douzaines d'enregistrements. En 1998, le président Clinton a physiquement donné son sang. Par contraste, le président Trump a refusé de fournir le moindre document et ordonné à tous les témoins de ne pas témoigner. Ce sont des faits. Les faits sont indiscutables : le 25 juillet, le président Trump a appelé le président Zelensky d'Ukraine pour, selon ses propres termes, lui demander une faveur. Cet appel fait partie d'une série d'efforts concertés du président et de ses hommes, en vue de solliciter un avantage lors des prochaines élections. Dans ce cas précis, en demandant l'aide d'une puissance étrangère ».

RA : Jerry Nadler, président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants.

HL : Et puis une crise diplomatique entre l'Allemagne et la Russie.

RA : Le point de départ de cette crise, c'est le meurtre au mois d'août à Berlin, d'un Géorgien. Dans cette affaire, le principal suspect est un Russe de 54 ans, qui a été arrêté juste après les faits alors qu'il possédait une fausse identité. Aujourd'hui tout s'est accéléré puisque le parquet fédéral allemand s'est saisi de l'enquête, et surtout Berlin a pris une décision forte : celle d'expulser deux membres de l'ambassade russe dans la capitale allemande. La correspondance de Pascal Thibaut.

« Un crime commis soit pour le compte d'entités étatiques de la fédération de Russie, soit pour le compte de la république autonome de Tchétchénie ». Le communiqué du parquet fédéral ce mercredi est clair : il met en cause la responsabilité de la Russie ou de la Tchétchénie dans le meurtre de l'opposant géorgien. Le parquet fédéral donne par ailleurs de nombreux détails. L'auteur du meurtre Vadim K. alias Vadim S. a été recherché en Russie pour meurtre avant que l'avis de recherche ne disparaisse et que l'intéressé n'obtienne un passeport en 2015. Devenait-il par là un agent des forces de sécurité ? Le numéro de fax figurant sur le document d'un employeur pour l'obtention d'un visa Schengen revoit vers deux entreprises appartenant au ministère de la Défense russe. La victime Tornike K. dirigeait une milice tchétchène durant la deuxième guerre entre la république autonome et la Russie au début des années 2000. Il a plus tard été chargé par la Géorgie de diriger une milice pour défendre l'Ossétie du Sud. Autant dire qu'il était un ennemi clair de Moscou. En 2015, Tornike K. avait été victime d'un attentat en Géorgie auquel il avait survécu. Il s'était installé plus tard en Allemagne. Pascal Thibaut Berlin RFI.

RA : Et Moscou s'est exprimé à propos de cette affaire. La Russie a nié toute implication. « Nous ne sommes absolument pas au courant de cet incident », a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov. Quant à la décision de l'Allemagne d'expulser deux membres de l'ambassade russe à Berlin, Moscou prévient que cette décision ne resterait pas sans réplique.

HL : RFI 21h07 à Paris : l'actualité en France dominée par le début demain jeudi de la mobilisation contre la réforme des retraites.

RA : Une première journée de mobilisation annoncée comme extrêmement forte, voilà pourquoi on parle d'un jeudi noir. La France devrait fonctionner au ralenti. Les transports devraient être paralysés, de nombreuses écoles fermées. Dans la rue ce sont 245 rassemblements qui sont attendus. Le plus important à Paris. Le gouvernement met en garde contre le risque d'une présence d'éléments radicaux dans le cortège. Alors pour éviter toute violence 6000 membres des forces de l'ordre seront déployés dans la manifestation parisienne. Sont attendus côté à côté de nombreux corps de métiers : des cheminots, des enseignants, des étudiants, des policiers ou encore des avocats. Tous inquiète par le projet du gouvernement de fusionner la quarantaine de systèmes de retraite qui existent aujourd'hui, en un seul système universel, qui fonctionnerait par points. Un système qui pourrait menacer les femmes. Les explications de David Baché.

Le futur système de retraites « protégera beaucoup mieux les femmes. » C'est le Premier ministre, Édouard Philippe, qui l'assure. Côté gouvernemental, on estime en effet que la réforme va réduire les inégalités : en revalorisant le minimum, retraite, notamment, qui passera de 900 euros en 2020 à 1000 euros après la réforme. Or 70 % des bénéficiaires en sont des femmes. Mais du côté de la CGT, on considère au contraire que « le calcul des droits dans un système à point, par nature moins redistributif, entraînerait une forte baisse des pensions des femmes. » Et cela en raison de leur temps de travail inférieur à celui des hommes et de leur plus grande précarité. Aujourd'hui, 80 % des emplois à temps partiel sont assurés par des femmes, et ce sont elles qui connaissent, et de loin, le plus d'interruptions de carrière, pour s'occuper des enfants. Leur retraite est donc déjà inférieure à celle des hommes : près de 40 % de différence. Un écart que le nouveau système « aggraverait », selon la plupart des syndicats et associations familiales. Sans compter d'autres reculs : sur les pensions de réversion, en cas de décès du conjoint, ou sur le calcul des droits familiaux.

HL : Et puis en football le dernier match en ce moment de la 16e journée de Ligue 1.

RA : Le coup d'envoi a été donné il y a quelques instants : le Paris Saint-Germain, à la tête de la Ligue 1, reçoit Nantes. Un peu plus tôt dans la soirée, Monaco avait dominé Toulouse et Saint-Étienne avait battu Nice. Fin de ce Journal en français facile.


Journal en français facile 04 décembre 2019 Newspaper in easy French December 04, 2019 Jornal em francês fácil 04 Dezembro 2019

Vous écoutez RFI il est 21h à Paris, 20h en temps universel.

Romain Auzouy : Bonsoir à tous, bienvenue dans votre journal en français facile. Présenté ce soir en compagnie de Hugo Lanoé, bonsoir Hugo.

Hugo Lanoé : Bonsoir Romain, bonsoir à tous.

RA : À la une de l'actualité ce soir : la confusion à l'issue du sommet de l'OTAN. Donald Trump a annulé sa conférence de presse et quitté précipitamment Londres. Le Président américain vexé par des moqueries de plusieurs dirigeants étrangers, dont le Premier ministre canadien.

HL : Donald Trump au cœur d'une procédure de destitution qui se poursuit. Ce mercredi la deuxième phase de la procédure a débuté, place désormais au débat judiciaire.

RA : Et puis un jeudi noir attendu en France. Il s'agira de la première journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Les transports devraient être paralysés et de nombreuses écoles fermées.

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HL : Donald Trump s'est donc montré très en colère lors du sommet de l'OTAN.

RA : Ce sommet dont l'objectif était délicat, tenter d'apaiser les désaccords entre États membres. Et ce sommet qui s'achève dans la confusion, le Président américain annulant sa conférence de presse et quittant Londres avant la fin de la réunion. La raison : Donald Trump n'a pas du tout apprécié une vidéo où plusieurs dirigeants étrangers, dont le Premier ministre Justin Trudeau, semblent se moquer de lui. Un évènement symbolique des tensions qui persistent au sein de l'OTAN. Envoyée spéciale de RFI dans la capitale britannique, Anissa El Jabri.

Très vexé Donald Trump. Il faut dire que les 25 secondes de vidéo où les Premiers ministres néerlandais canadiens britanniques ainsi qu'Emmanuel Macron donnaient le sentiment de se moquer de lui. Cette vidéo, la presse américaine à ce sommet ne parlait que de ça… « le Premier ministre canadien est un hypocrite », a dit Donald Trump piqué au vif avant de quitter le sommet… avant tout le monde. Au chapitre des dissensions sur le fonds des discussions ça ne s'arrange toujours pas entre Paris et Ankara : « pas de consensus possible avec la Turquie sur la définition du terrorisme », c'est signé Emmanuel Macron. Le communiqué final reste très vague sur cette notion. Il place en revanche d'abord la Russie comme menace… Emmanuel Macron n'a pas eu de gain de cause sur ce sujet. Le terrorisme reste la préoccupation de sécurité principale de la France a dit le président… qui met la pression sur les alliés du G5 Sahel : « l'ambiguïté perdure à l'égard des mouvements antifrançais » dit le président. Il leur demande d'assumer l'opération Barkhane. Un sommet est prévu en France mi-décembre. Anissa el Jabri Londres RFI.

RA : Et à l'occasion de ce sommet seront invités les Présidents des pays membres du G5 Sahel, à savoir le Mali, le Burkina Faso, le Niger, le Tchad et la Mauritanie. C'est Emmanuel Macron qui l'a annoncé depuis Londres.

HL : Nous partons maintenant aux États-Unis où a débuté la deuxième phase de la procédure de destitution contre Donald Trump.

RA : Jusque-là c'est une enquête parlementaire qui était menée. Le rapport de cette enquête a été rendu hier soir. « C'est une blague » a d'ailleurs réagi Donald Trump. Désormais c'est la commission judiciaire qui a la main. Concrètement 4 experts juridiques sont appelés à témoigner pour démontrer que Donald Trump a violé la loi en demandant auprès d'un chef d'État étranger -le Président ukrainien- l'ouverture d'une enquête sur son adversaire politique, Joe Biden. Pour lancer cette deuxième étape, le Président de la commission Jerry Nadler s'est exprimé aujourd'hui dans une déclaration préliminaire. Et il a souligné les tentatives d'obstruction -donc de blocage- du Président dans cette procédure. On l'écoute.

« Le niveau d'obstruction de cette administration est sans précédent. Aucun autre président n'a promis de combattre toutes les assignations du congrès comme l'a fait le président Trump. Pendant la procédure de destitution de 1974, le président Nixon a produit des douzaines d'enregistrements. En 1998, le président Clinton a physiquement donné son sang. Par contraste, le président Trump a refusé de fournir le moindre document et ordonné à tous les témoins de ne pas témoigner. Ce sont des faits. Les faits sont indiscutables : le 25 juillet, le président Trump a appelé le président Zelensky d'Ukraine pour, selon ses propres termes, lui demander une faveur. Cet appel fait partie d'une série d'efforts concertés du président et de ses hommes, en vue de solliciter un avantage lors des prochaines élections. Dans ce cas précis, en demandant l'aide d'une puissance étrangère ».

RA : Jerry Nadler, président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants.

HL : Et puis une crise diplomatique entre l'Allemagne et la Russie.

RA : Le point de départ de cette crise, c'est le meurtre au mois d'août à Berlin, d'un Géorgien. Dans cette affaire, le principal suspect est un Russe de 54 ans, qui a été arrêté juste après les faits alors qu'il possédait une fausse identité. Aujourd'hui tout s'est accéléré puisque le parquet fédéral allemand s'est saisi de l'enquête, et surtout Berlin a pris une décision forte : celle d'expulser deux membres de l'ambassade russe dans la capitale allemande. La correspondance de Pascal Thibaut.

« Un crime commis soit pour le compte d'entités étatiques de la fédération de Russie, soit pour le compte de la république autonome de Tchétchénie ». Le communiqué du parquet fédéral ce mercredi est clair : il met en cause la responsabilité de la Russie ou de la Tchétchénie dans le meurtre de l'opposant géorgien. Le parquet fédéral donne par ailleurs de nombreux détails. L'auteur du meurtre Vadim K. alias Vadim S. a été recherché en Russie pour meurtre avant que l'avis de recherche ne disparaisse et que l'intéressé n'obtienne un passeport en 2015. Devenait-il par là un agent des forces de sécurité ? Le numéro de fax figurant sur le document d'un employeur pour l'obtention d'un visa Schengen revoit vers deux entreprises appartenant au ministère de la Défense russe. La victime Tornike K. dirigeait une milice tchétchène durant la deuxième guerre entre la république autonome et la Russie au début des années 2000. Il a plus tard été chargé par la Géorgie de diriger une milice pour défendre l'Ossétie du Sud. Autant dire qu'il était un ennemi clair de Moscou. En 2015, Tornike K. avait été victime d'un attentat en Géorgie auquel il avait survécu. Il s'était installé plus tard en Allemagne. Pascal Thibaut Berlin RFI.

RA : Et Moscou s'est exprimé à propos de cette affaire. La Russie a nié toute implication. « Nous ne sommes absolument pas au courant de cet incident », a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov. Quant à la décision de l'Allemagne d'expulser deux membres de l'ambassade russe à Berlin, Moscou prévient que cette décision ne resterait pas sans réplique.

HL : RFI 21h07 à Paris : l'actualité en France dominée par le début demain jeudi de la mobilisation contre la réforme des retraites.

RA : Une première journée de mobilisation annoncée comme extrêmement forte, voilà pourquoi on parle d'un jeudi noir. La France devrait fonctionner au ralenti. Les transports devraient être paralysés, de nombreuses écoles fermées. Dans la rue ce sont 245 rassemblements qui sont attendus. Le plus important à Paris. Le gouvernement met en garde contre le risque d'une présence d'éléments radicaux dans le cortège. Alors pour éviter toute violence 6000 membres des forces de l'ordre seront déployés dans la manifestation parisienne. Sont attendus côté à côté de nombreux corps de métiers : des cheminots, des enseignants, des étudiants, des policiers ou encore des avocats. Tous inquiète par le projet du gouvernement de fusionner la quarantaine de systèmes de retraite qui existent aujourd'hui, en un seul système universel, qui fonctionnerait par points. Un système qui pourrait menacer les femmes. Les explications de David Baché.

Le futur système de retraites « protégera beaucoup mieux les femmes. » C'est le Premier ministre, Édouard Philippe, qui l'assure. Côté gouvernemental, on estime en effet que la réforme va réduire les inégalités : en revalorisant le minimum, retraite, notamment, qui passera de 900 euros en 2020 à 1000 euros après la réforme. Or 70 % des bénéficiaires en sont des femmes. Mais du côté de la CGT, on considère au contraire que « le calcul des droits dans un système à point, par nature moins redistributif, entraînerait une forte baisse des pensions des femmes. » Et cela en raison de leur temps de travail inférieur à celui des hommes et de leur plus grande précarité. Aujourd'hui, 80 % des emplois à temps partiel sont assurés par des femmes, et ce sont elles qui connaissent, et de loin, le plus d'interruptions de carrière, pour s'occuper des enfants. Leur retraite est donc déjà inférieure à celle des hommes : près de 40 % de différence. Un écart que le nouveau système « aggraverait », selon la plupart des syndicats et associations familiales. Sans compter d'autres reculs : sur les pensions de réversion, en cas de décès du conjoint, ou sur le calcul des droits familiaux.

HL : Et puis en football le dernier match en ce moment de la 16e journée de Ligue 1.

RA : Le coup d'envoi a été donné il y a quelques instants : le Paris Saint-Germain, à la tête de la Ligue 1, reçoit Nantes. Un peu plus tôt dans la soirée, Monaco avait dominé Toulouse et Saint-Étienne avait battu Nice. Fin de ce Journal en français facile.