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Actualité du jour, De nouveaux records de chaleur en 2016

De nouveaux records de chaleur en 2016

Des scientifiques de la NASA (Agence américaine de l'aéronautique et de l'espace) ont relevé de nouveaux indicateurs montrant que les premiers mois de l'année 2016 ont été les plus chauds depuis plus d'un siècle. Ces données ont été obtenues à partir d'observations au sol et par satellites. Les six premiers mois de 2016 ont été les plus chauds depuis la création des indicateurs de relevés de températures en 1880. Ce constat a été établi par des scientifiques de la NASA travaillant pour le Goddard Institute for Space Studies à New York. Pris comparativement à leurs devanciers, les mois de janvier, février, mars, avril, mai et juin 2016 ont tous été les plus chauds depuis 136 ans avec en moyenne 1,3 degré de plus qu'à la fin du dix-neuvième siècle. Par ailleurs, cinq des six premiers mois de 2016 ont également battu des records en ce qui concerne la fonte des glaces dans l'océan Arctique. L'étendue de la calotte glaciaire en Arctique durant les mois d'été est aujourd'hui 40% moins importante qu'elle ne l'était à la fin des années 70. Ces données fondées sur des observations satellites sont compilées depuis 1979 par les scientifiques de la NASA. Le mois de mars fait figure d'exception mais représente quand même le deuxième mois où la fonte des glaces a été la plus importante depuis 37 ans, comparativement avec les autres mois de mars. Ces indicateurs de réchauffement sont liés aux fortes concentrations de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère. “Les températures à la surface du globe ont battu des records cette année mais ces records ont été encore plus impressionnants en Arctique là où le réchauffement climatique est le plus prégnant”, explique Walt Meier, spécialiste des mers gelées à la NASA. Ces nouveaux relevés ont été publiés six mois après l'Accord de Paris qui vise à maintenir le seuil d'augmentation de la température globale de la planète à 1,5 degré d'ici 2100. Un objectif qui paraît de plus en plus irréaliste…


De nouveaux records de chaleur en 2016 New heat records in 2016 Nuevos récords de calor en 2016 Новые рекорды тепла в 2016 году

Des scientifiques de la NASA (Agence américaine de l'aéronautique et de l'espace) ont relevé de nouveaux indicateurs montrant que les premiers mois de l'année 2016 ont été les plus chauds depuis plus d'un siècle. Ces données ont été obtenues à partir d'observations au sol et par satellites. Les six premiers mois de 2016 ont été les plus chauds depuis la création des indicateurs de relevés de températures en 1880. Ce constat a été établi par des scientifiques de la NASA travaillant pour le Goddard Institute for Space Studies à New York. Pris comparativement à leurs devanciers, les mois de janvier, février, mars, avril, mai et juin 2016 ont tous été les plus chauds depuis 136 ans avec en moyenne 1,3 degré de plus qu'à la fin du dix-neuvième siècle. Par ailleurs, cinq des six premiers mois de 2016 ont également battu des records en ce qui concerne la fonte des glaces dans l'océan Arctique. L'étendue de la calotte glaciaire en Arctique durant les mois d'été est aujourd'hui 40% moins importante qu'elle ne l'était à la fin des années 70. Ces données fondées sur des observations satellites sont compilées depuis 1979 par les scientifiques de la NASA. Le mois de mars fait figure d'exception mais représente quand même le deuxième mois où la fonte des glaces a été la plus importante depuis 37 ans, comparativement avec les autres mois de mars. Ces indicateurs de réchauffement sont liés aux fortes concentrations de dioxyde de carbone et d'autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère. “Les températures à la surface du globe ont battu des records cette année mais ces records ont été encore plus impressionnants en Arctique là où le réchauffement climatique est le plus prégnant”, explique Walt Meier, spécialiste des mers gelées à la NASA. Ces nouveaux relevés ont été publiés six mois après l'Accord de Paris qui vise à maintenir le seuil d'augmentation de la température globale de la planète à 1,5 degré d'ici 2100. Un objectif qui paraît de plus en plus irréaliste…