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French LingQ Podcast 1.0, #53 Marianne & Serge - This and That, Part 2

#53 Marianne & Serge - This and That, Part 2

Marianne : en ce moment y a aussi cette histoire que Sarkozi, et puis d'autres personnes politiques, et puis hier, ils ont dit qu'il y a même les présidents de TF1 et France 2 qui ont reçu des lettres de menaces avec des cartouches. Serge : ils ont trouvé le coupable !

Au hasard, j'aime bien, un militaire. Marianne : oui mais enfin, c'est un militaire de réserve. Serge : c'est un militaire de réserve ? Ah bon, je ne savais pas.

Marianne : ils ont précisé de réserve, alors soit il était militaire, soit il y était pas, parce que de réserve, tous les hommes qui ont un, qui n'ont pas dépassé l'âge requis, ils sont de réserve hein, s'il arrive un problème… Serge : disons qu'on peut être rappelé, mais après tu n'es pas obligé de faire ce qu'on appelle la réserve active, c'est-à-dire que, je pense que c'est pendant cinq ans que tu es tenu de, en cas de mobilisation, des choses comme çà, tu es à nouveau… tu reprends l'uniforme. Je crois que c'est cinq ans si çà n'a pas changé. Mais par contre la réserve active, ce n'est pas obligatoire, c'est-à-dire que tu peux quitter et dire bien moi, non, non je veux plus avoir de contact avec l'institution militaire et… dès qu'ils l'ont arrêté, ils ont donné cette information, donc effectivement ils lancent les informations avant d'avoir été voir un peu plus loin et… à ce moment ils ont dit que c'était un informaticien, il était militaire informaticien dans l'armée voilà et… que ce serait sa femme qui l'aurait dénoncé… voilà. Mais encore, comme on disait l'autrefois, c'est toujours des mauvaises nouvelles. Tu sais, on avait eu une conversation au sujet des enfants battus… à quelle occasion on avait parlé de çà ? Oui à l'occasion du procès d'Outreau je crois. Marianne : oui on avait un peu abordé le sujet.

Serge : voilà, et là, ils ont retrouvé dans… du côté de Millau, un enfant de sept ans qui avait été séquestré par un couple… par ses parents. Pendant sept ans, dans une chambre, y avait pas de fenêtre dans la chambre, y avait juste un matelas, et pas de jeux, rien du tout, pas de jouets, et la seule porte qu'il y avait, elle s'ouvrait que de l'extérieur. Et alors bon les gens vont être mis en examen, j'ai vu les charges, c'est privation de soins et puis abandon moral et matériel d'un mineur, non respect des obligations scolaires, mais enfin, c'est une aberration, c'est secondaire oui, je veux dire, attends, le premier truc c'est mise en danger de la vie d'autrui… en plus ses propres enfants… Marianne : je comprends pas qu'on puisse faire des enfants si c'est pour faire çà. Serge : Attends, si on peut pas les élever, on n'est pas obligé d'en faire. Y a tellement de moyens d'éviter déjà d'en avoir… y a la contraception, y a l'avortement et après tu peux très bien le… je ne sais plus comment on appelle çà, naître sous X, tu ne reconnais pas l'enfant et puis… c'est une façon de l'abandonner mais enfin, c'est l'abandonner un peu plus, d'une façon un peu plus encadrée, correctement oui si on peut dire puisqu'il sera automatiquement adopté, enfin proposé pour être adopté. Marianne : c'est mieux que de séquestrer. Serge : voilà, c'est mieux que de faire çà, le gamin il est traumatisé, je sais pas si il pourra surmonter le traumatisme qu'il a eu. Ils pensent qu'il a été aussi maltraité physiquement, y a de grandes chances. Tu ouvres ton journal ou la télévision ou Internet et puis voilà, tu vois çà, sans arrêt… jamais une bonne nouvelle !

Marianne : oh si tiens, çà me fait rappeler. Enfin, on peut en sourire mais enfin c'est vrai que pour les personnes à qui c'est arrivé, c'était pas marrant du tout. Il y a eu une famille qui a été… enfin, la femme elle a été sous surveillance, c'est des policiers mais c'est des… comment… Serge : ah oui la brigade anti-terroriste, c'est çà ? Marianne : oui c'est la brigade anti-terroriste qui la surveillait parce qu'ils trouvaient louche qu'elle faisait des aller et venues entre son domicile et puis une petite cabane et que elle amenait à manger, il y avait des déplacements de meubles, je ne sais pas quoi, et puis ils l'ont arrêtée avec d'autres personnes de la famille, ils ont été en garde à vue etc… pendant je ne sais combien de temps. Et puis en fait, ils ont découvert… et en plus arrêté avec cette brigade là, y avait je ne sais combien de… plus d'une centaine de policiers, ils arrivent armés au domicile, ils arrêtent les personnes, alors tu vois le traumatisme des personnes, qu'est-ce qu'on a fait ?... et puis en fin de compte, ils se sont aperçu que c'était son chien… donc c'est pas marrant pour eux parce que… Serge : faut que je fasse attention quand je vais promener mon chien moi… Et tu as vu aussi là au Mexique, la française qui a vue sa peine commutée ? Elle avait été condamnée à 90 ans de prison… elle a trente quatre ans la fille… et elle avait été condamnée à 90 ans de prison pour…

Marianne : c'est pas 60 ? Serge : pour enlèvement…non, mais c'était… Marianne : 90 ?

Serge : oui, 90 ans à l'origine, et là apparemment ils ont fait un geste là-bas au Mexique, ils ont allégé sa peine, elle est condamnée plus qu'à 60 ans de prison. Bon, comme elle a 34 ans, 94 ans je veux dire… bon…

Marianne : c'est la perpétuité ! Serge : et là, ils ont demandé… son dernier recours c'est Nicolas sarkozy qui doit faire un voyage au Mexique, et puis bon, il va essayé d'intervenir. D'après ses avocats, y a rien dans son dossier, alors y a aucune preuve, ils ont pas pu mener… la défendre comme ils voulaient, y a aucune preuve de sa culpabilité, et puis de l'autre côté, ils disent apparemment elle est inculpée pour quatre enlèvements, et en fait c'était l'ex femme, l'ex compagne d'un… Marianne : d'un mafieux ? Serge : d'un Mexicain de je ne sais plus quel âge, qui était mouillé là-dedans, dans les enlèvements et tout çà… alors soit disant pour sa défense, elle dit : « oui, je n'étais pas au courant de la vie de mon compagnon ! » Elle aurait été accusée d'un enlèvement, elle aurait été impliquée dans un enlèvement en disant, ben moi je n'étais pas au courant des agissements de mon compagnon… je veux bien le croire, mais quatre enlèvements ! Bon, si elle a réellement participé aux quatre, parce qu'on peut difficilement nier d'être au courant des activités de son compagnon, toujours est-il que, ils ont commuté sa peine de 90 à 60 ans, comme elle en a 34, çà fait quand même 94 ans, donc si Sarkozy n'arrive pas à faire quelque chose, elle est… elle a pas beaucoup d'espoir et elle va finir sa vie là-bas, en prison… Marianne : ben d'après ce que l'on dit, même si elle était rapatriée ici, d'après les accords qu'il y a entre les deux pays, il faudrait qu'elle passe les 60 ans dans une prison ici. Serge : Ah, il faudrait qu'elle passe 60 ans ici ? Marianne : oui ! A moins que Sarkozy arrive à... régler le…

Serge : je sais pas comment il va faire, mais je sais que là-bas, apparemment la loi, elle est très sévère pour çà mais… j'ai entendu ce matin encore, pour l'année là… il y a eu plus de mille meurtres liés à la drogue, enfin le trafique de drogue entre les cartels là-bas et puis les… la police… c'est incroyable, ils en sont même venu à se vouer à une vierge ou une sainte, je ne sais pas quoi parce qu'ils n'arrivent pas à résorber ce problème. Y a des policiers qui sont aussi abattus dans l'exercice de leur fonction parce que c'est vraiment la mafia qui détient tout là-bas… c'est impressionnant, impressionnant ce pays. Enfin il a une frontière commune avec les Etats-Unis, il a une histoire assez ancienne… comment un pays, il peut en arriver là, je ne sais pas, çà me laisse pantois. Dans les pays comme le moyen orient, ce qui les empêche de faire du trafic de drogue, si quelqu'un, il est pris en train de se droguer ou de traficoter avec çà, là-bas il est condamné à mort, carrément, je pense à l'Iran ou des pays comme çà. 9à ne les empêche pas de cultiver un peu de la drogue dans les pays limitrophes et puis d'en exporter et de vivre de çà… et puis, dans d'autres pays, on peut faire un peu ce qu'on veut, y en a d'autres qui légalisent même la drogue, j'ai vu qu'ils avaient lancé sur le marché… ils ont découvert une drogue synthétique, du cannabis synthétique qui serait deux ou trois fois plus nocif que le naturel.. Marianne : ben je sais pas si tu as entendu, y a quelques… y a un bout de temps, même des politiciens qui avaient dit que le cannabis était moins dangereux que la cigarette et qu'il fallait même légaliser le cannabis et interdire la cigarette, le tabac. Serge : de toute façon on va arriver à ce que le cannabis soit moins cher et plus facile à se procurer que la cigarette alors…

Marianne : donc, puisqu'ils font une guerre au tabac alors donc, qu'est-ce qu'ils veulent, que tout le monde se mette à fumer du cannabis ? Serge : je sais pas mais çà m'étonnerait moi, que ce soit moins nocif ! Y a peut-être moins de dépendance, peut-être mais…

Marianne : c'est ce que certains ont dit ! Cà c'est sûr que j'y crois pas mais c'est ce qui a été dit même à la télé donc… enfin par le biais de la télé… Ah, çà me fait penser aussi, hier j'ai vu une émission, c'était sur un peu tous les criminels puisqu'ils sont même revenus sur celui qui avait essayé de tuer Chirac, on parlait de celui qui avait tiré sur Regan, enfin etc… puis ils ont parlé de sarkozy et puis les autres qui avaient été menacés, et puis il y a un criminologue qui a dit qu'aux Etats-Unis, mais là il faudra se renseigner auprès des Américains, et pis toi t'as une ami qui est Américaine, il faudra lui demander… qu'aux Etats-Unis, il y a beaucoup de personnes qui tournent mal disons, parce que, il y a beaucoup d'interdictions… Serge : au pays des libertés ? Beaucoup d'interdictions ? Marianne : alors, il y a une chose, et puis même le présentateur, le journaliste qui menait la discussion, a été étonné puisqu'il lui a fait répéter… ce criminologue a dit qu'aux Etats-Unis il était même interdit de fumer chez soi ! Dans certains Etats mais…

Serge : déjà, tous les Etats…

Marianne : sont différents oui, les lois sont différentes dans…

Serge : tous les Etats, mais je sais que y a des Etats…

Marianne : mais y a certains Etats qui interdiraient même de fumer chez soi.

Serge : je me demande si la Californie n'est pas un des Etats les plus stricts en matière de… Marianne : oui mais chez toi ?

Serge : leur argument c'est que, pour peu que tu sois dans un immeuble, en fait même chez toi, tu arrives à polluer on va dire entre guillemets un peu les alentours, la cage d'escaliers. Je crois que j'ai entendu parler de cette histoire oui que même chez toi… Marianne : faudrait demander la confirmation parce que…

Serge : oui mais…

Marianne : et comment ils peuvent vérifier ? Ils rentrent chez toi ?

Serge : ben oui, la police est en droit de vérifier certaines choses et là je pense que c'est facile de coincer quelqu'un…si c'est vrai, çà va un peu loin quand même… Marianne : on va faire appel à tous les Américains, pour tout… dans n'importe quel Etat où vous vivez, est-ce que çà existe ? Serge : en France j'apprécie… Marianne : quand j'ouvre les fenêtres là chez moi, il y a la pollution des voitures qui rentre à l'intérieure, çà va pas, çà ne me convient pas. Serge : mais c'est vrai, tu as raison… dans l'appartement au-dessus de chez moi, juste la pièce au-dessus, c'était la chambre de l'aîné de la famille, ils avaient deux enfants, oui ils avaient un garçon et une fille et à l'époque il avait peut-être… 17, 18 ans, il fumait ses pétards à la fenêtre et puis les mégots, je les retrouvais sur ma fenêtre à moi ! Marianne : et tu sentais pas l'odeur ? Serge : si j'avais eu la fenêtre ouverte, oui c'est sûr que j'aurais senti l'odeur puisque les mégots, quand il les balançait, ils étaient plus ou moins éteints et ils finissaient de se consumer sur le rebord de ma fenêtre… mais tu vois que même en fumant chez toi, tu peux enquiquiner les autres à la limite, si on va chercher… Marianne : oui puis y a des gens qui fument au bas des immeubles, quand tu rentres à l'intérieure, tu te drogues gratis là. Y en a, ils se cachent, mais ils ont pas besoin de se cacher. Tu rentres, tu sens, bon, on sait ce qu'ils fument hein ? Serge : tu devrais l'apprendre çà, c'est peut-être pas écrit dans leur constitution ? Marianne : apprendre quoi ?

Serge : si tu peux fumer chez toi ou pas.

Marianne : non !

Serge : ben on a fait le tour de l'actualité là. Marianne : oui.

Serge : enfin vraiment très varié, assez sombre mais très varié !

Marianne : ben de toute façon, comme tu as dit l'autre fois, quand on parle d'actualité, qu'est-ce que çà peut être ! Serge : y a guère de bonnes nouvelles.

Marianne : Ah tiens, jeudi prochain, on a une grève, le 19…Non, c'est pas jeudi prochain, c'est quand ? J'ai une semaine d'avance moi, c'est dans deux semaines ! Serge : oui c'est dans deux semaines, mais… mars, oui une nouvelle grève… oh puis y en aura encore d'autres parce que… Marianne : J'ai entendu, on m'a dit une fois, les français sont des grévistes ! Ils sont grévistes déjà dans le ventre de leur mère.

Serge : ben c'est ce que je disais quand je parlais avec mes correspondants aux Etats-Unis, souvent quand j'étais en vacances : « comment ! Encore en vacances ! » Je lui disais, ben tu sais en France, soit on est en vacances, soit on est malade à domicile, soit on est en grève. On est rarement au travail, alors çà les faisait rire. Mais c'est un petit peu l'idée qu'ils ont de nous et donc mon ami, d'ailleurs son mari a perdu son emploi cette semaine là, il travaillait dans une boite qui faisait des… qui construit des petits avions, tu sais des petits bimoteurs pour les businessmen, des petits trucs dans ce style… ben ils ont déposé le bilan apparemment, et donc c'est avec elle que je discutais de çà et son mari lui, en fait, il avait quatorze jours de vacances par an ! Tu proposes çà aux Français ! Mais là c'est la grève illimitée pendant deux ans ! Si jamais on touche à nos… je sais pas, c'est cinq semaines dans le privé ? Officiellement cinq semaines de vacances, je crois ?

Marianne : je crois.

Serge : tu as vu quand il a fallu retoucher aux trente cinq heures, le tollé alors…

Marianne : mais çà devrait être plus souple et plus libre pour le travail le dimanche. C'est pareil, y en a qui aimerait bien travailler le dimanche. Serge : j'aimerais bien avoir plus de vacances, c'est vrai, tu as raison, il faudrait que ce soit plus libre ! Ceux qui veulent prendre de six mois de vacances, ils devraient avoir le droit après tout !

Marianne : vacances payées, pendant six mois ?

Serge : ben, oui de préférence. Bon, si c'est pas possible, je veux bien me contenter de 90 pour cent de mon salaire. Marianne : y a encore une autre chose, tu sais que dans une manifestation, avec les grévistes, y a les meneurs qui sont là pour booster un peu les troupes ! Et puis il est là, à leur parler et il dit : « vous voulez du pain ? OUI ! Vous voulez une augmentation de salaire ? OUI ! Vous voulez du travail ? C'EST LA LUTTE FINALE ! Serge : qu'est-ce qu'ils vont pensez de nous les gens qui vont écouter le podcast ? Tu vois…

Marianne : faut rigoler !

Serge : on a quand même gardé notre sens de l'humour même si… Marianne : je crois qu'il faut hein ? Serge : sur ce… çà va être le mot de la fin je pense.

Marianne : oui ben je réponds pas autre chose pour améliorer un peu l'image du pays, mais je crois que çà prendra encore un peu de temps mais on essayera d'améliorer un peu les choses la prochaine fois. Serge : sur ce, bonne fin de journée et puis…

Marianne : et toi, fini bien tes vacances…

Serge : oui merci, et ben oui çà se termine et puis jeudi prochain, en route pour un autre… une autre conversation…

Marianne : d'accord ! Serge : en espérant qu'on va trouver un sujet plus précis, mais c'était intéressant de parler de tout et de rien ! Marianne : très bien, donc…

Serge :ok

Marianne : au revoir Serge !

Serge : bonne soirée et à très bientôt !

Marianne : merci, à toi aussi.

Serge : bye, bye Marianne.

Marianne : bye


#53 Marianne & Serge - This and That, Part 2 #53 Marianne & Serge - Das und das, Teil 2 #53 Marianne & Serge - This and That, Part 2 #53 Marianne & Serge - Esto y aquello, parte 2 #53 ماریان و سرژ - این و آن، قسمت 2 #53 Marianne & Serge - Questo e quello, parte 2 #53 マリアンヌ&セルジュ - あれこれ その2 #53 Marianne & Serge - Dit en dat, deel 2 #53 Marianne & Serge - Isto e aquilo, Parte 2 #53 Марианна и Серж - Это и То, часть 2 #53 Marianne & Serge - Det här och det där, del 2 #53 Marianne 和 Serge - 这个那个,第 2 部分

Marianne : en ce moment y a aussi cette histoire que Sarkozi, et puis d'autres personnes politiques, et puis hier, ils ont dit qu'il y a même les présidents de TF1 et France 2 qui ont reçu des lettres de menaces avec des cartouches. Marianne: at the moment there is also this story that Sarkozi, and then other politicians, and then yesterday they said that there are even the presidents of TF1 and France 2 who have received threatening letters with cartridges. Serge : ils ont trouvé le coupable ! Serge: they found the culprit!

Au hasard, j'aime bien, un militaire. At random, I like, a soldier. Marianne : oui mais enfin, c'est un militaire de réserve. Marianne: yes, but after all, he's a reserve soldier. Serge : c'est un militaire de réserve ? Ah bon, je ne savais pas.

Marianne : ils ont précisé de réserve, alors soit il était militaire, soit il y était pas, parce que de réserve, tous les hommes qui ont un, qui n'ont pas dépassé l'âge requis, ils sont de réserve hein, s'il arrive un problème… Marianne: they specified reserve, so either he was a soldier or he wasn't there, because on reserve, all the men who have a, who haven't exceeded the required age, they're reserve eh, s there is a problem... Serge : disons qu'on peut être rappelé, mais après tu n'es pas obligé de faire ce qu'on appelle la réserve active, c'est-à-dire que, je pense que c'est pendant cinq ans que tu es tenu de, en cas de mobilisation, des choses comme çà, tu es à nouveau… tu reprends l'uniforme. Serge: let's say that we can be recalled, but afterwards you are not obliged to do what is called the active reserve, that is to say that, I think that it is for five years that you are held to, in the event of mobilization, things like that, you are again… you resume the uniform. Je crois que c'est cinq ans si çà n'a pas changé. I think it's five years if it hasn't changed. Mais par contre la réserve active, ce n'est pas obligatoire, c'est-à-dire que tu peux quitter et dire bien moi, non, non je veux plus avoir de contact avec l'institution militaire et… dès qu'ils l'ont arrêté, ils ont donné cette information, donc effectivement ils lancent les informations avant d'avoir été voir un peu plus loin et… à ce moment ils ont dit que c'était un informaticien, il était militaire informaticien dans l'armée voilà et… que ce serait sa femme qui l'aurait dénoncé… voilà. But on the other hand, it's not compulsory to be in the active reserve, which means that you can leave and say, well, I don't want to have any more contact with the military institution and... as soon as they arrested him, they gave out this information, so effectively they launch the information before having looked a little further and... at that point they said that he was an IT specialist, he was a military IT specialist in the army and... that it was his wife who had denounced him... that's all. Mais encore, comme on  disait l'autrefois, c'est toujours des mauvaises nouvelles. But still, as we used to say, it's still bad news. Tu sais, on avait eu une conversation au sujet des enfants battus… à quelle occasion on avait parlé de çà ? You know, we had a conversation about battered children… when did we talk about that? Oui à l'occasion du procès d'Outreau je crois. Yes, during the Outreau trial, I believe. Marianne : oui on avait un peu abordé le sujet.

Serge : voilà, et là, ils ont retrouvé dans… du côté de Millau, un enfant de sept ans qui avait été séquestré par un couple… par ses parents. Pendant sept ans, dans une chambre, y avait pas de fenêtre dans la chambre, y avait juste un matelas, et pas de jeux, rien du tout, pas de jouets, et la seule porte qu'il y avait, elle s'ouvrait que de l'extérieur. Et alors bon les gens vont être mis en examen, j'ai vu les charges, c'est privation de soins et puis abandon moral et matériel d'un mineur, non respect des obligations scolaires, mais enfin, c'est une aberration, c'est secondaire oui, je veux dire, attends, le premier truc c'est mise en danger de la vie d'autrui… en plus ses propres enfants… And then good people are going to be indicted, I saw the charges, it's deprivation of care and then moral and material abandonment of a minor, non-respect of school obligations, but finally, it's an aberration, it's secondary yes, I mean, wait, the first thing is endangering the lives of others… in addition to his own children… Marianne : je comprends pas qu'on puisse faire des enfants si c'est pour faire çà. Marianne: I don't understand how we can have children if it's to do that. Serge : Attends, si on peut pas les élever, on n'est pas obligé d'en faire. Y a tellement de moyens d'éviter déjà d'en avoir… y a la contraception, y a l'avortement et après tu peux très bien le… je ne sais plus comment on appelle çà, naître sous X, tu ne reconnais pas l'enfant et puis… c'est une façon de l'abandonner mais enfin, c'est l'abandonner un peu plus, d'une façon un peu plus encadrée, correctement oui si on peut dire puisqu'il sera automatiquement adopté, enfin proposé pour être adopté. There are so many ways to already avoid having it… there's contraception, there's abortion and after that you can very well… I don't know what we call that anymore, being born under X, you don't recognize the 'child and then... it's a way of abandoning him but finally, it's abandoning him a little more, in a slightly more framed way, correctly yes if we can say since he will be automatically adopted, finally proposed for adoption. Marianne : c'est mieux que de séquestrer. Serge : voilà, c'est mieux que de faire çà, le gamin il est traumatisé, je sais pas si il pourra surmonter le traumatisme qu'il a eu. Ils pensent qu'il a été aussi maltraité physiquement, y a de grandes chances. Tu ouvres ton journal ou la télévision ou Internet et puis voilà, tu vois çà, sans arrêt… jamais une bonne nouvelle ! You open your newspaper or the television or the Internet and then there you go, you see this, all the time... never good news!

Marianne : oh si tiens, çà me fait rappeler. Marianne: oh yes, that reminds me. Enfin, on peut en sourire mais enfin c'est vrai que pour les personnes à qui c'est arrivé, c'était pas marrant du tout. Finally, we can smile but finally it's true that for the people to whom it happened, it was not funny at all. Il y a eu une famille qui a été… enfin, la femme elle a été sous surveillance, c'est des policiers mais c'est des… comment… There was a family that was... well, the woman was under surveillance, they were police officers but it was... how... Serge : ah oui la brigade anti-terroriste, c'est çà ? Serge: Ah yes, the anti-terrorist squad, is that it? Marianne : oui c'est la brigade anti-terroriste qui la surveillait parce qu'ils trouvaient louche qu'elle faisait des aller et venues entre son domicile et puis une petite cabane et que elle amenait à manger, il y  avait des déplacements de meubles, je ne sais pas quoi, et puis ils l'ont arrêtée avec d'autres personnes de la famille, ils ont été en garde à vue etc… pendant je ne sais combien de temps. Marianne: yes, it was the anti-terrorist squad that was watching her because they found it suspicious that she was going back and forth between her home and then a small cabin and that she was bringing food, there were moving furniture , I don't know what, and then they arrested her with other members of the family, they were in custody etc… for I don't know how long. Et puis en fait, ils ont découvert… et en plus arrêté avec cette brigade là, y avait je ne sais combien de… plus d'une centaine de policiers, ils arrivent armés au domicile, ils arrêtent les personnes, alors tu vois le traumatisme des personnes, qu'est-ce qu'on a fait ?... et puis en fin de compte, ils se sont aperçu que c'était son chien… donc c'est pas marrant pour eux parce que… and then in the end, they realized that it was his dog… so it's not funny for them because… Serge : faut que je fasse attention quand je vais promener mon chien moi… Et tu as vu aussi là au Mexique, la française qui a vue sa peine commutée ? Serge: I have to be careful when I go for a walk with my dog… And did you also see there in Mexico, the French woman who had her sentence commuted? Elle avait été condamnée à 90 ans de prison… elle a trente quatre ans la fille… et  elle avait été condamnée à 90 ans de prison pour… She had been sentenced to 90 years in prison… she is thirty four years old the daughter… and she had been sentenced to 90 years in prison for…

Marianne : c'est pas 60 ? Serge : pour enlèvement…non, mais c'était… Marianne : 90 ?

Serge : oui, 90 ans à l'origine, et là apparemment ils ont fait un geste là-bas au Mexique, ils ont allégé sa peine, elle est condamnée plus qu'à 60 ans de prison. Serge: yes, 90 years old originally, and there apparently they made a gesture over there in Mexico, they lightened her sentence, she was sentenced to more than 60 years in prison. Bon, comme elle a 34 ans, 94 ans je veux dire… bon…

Marianne : c'est la perpétuité ! Serge : et là, ils ont demandé… son dernier recours c'est Nicolas sarkozy qui doit faire un voyage au Mexique, et puis bon, il va essayé d'intervenir. D'après ses avocats, y a rien dans son dossier, alors y a aucune preuve, ils ont pas pu mener… la défendre comme ils voulaient, y a aucune preuve de sa culpabilité, et puis de l'autre côté, ils disent apparemment elle est inculpée pour quatre enlèvements, et en fait c'était l'ex femme, l'ex compagne d'un… According to her lawyers, there's nothing in her file, so there's no proof, they couldn't lead… to defend her as they wanted, there's no proof of her guilt, and then on the other side, they apparently say she is charged with four kidnappings, and in fact it was the ex-wife, the ex-partner of a… Marianne : d'un mafieux ? Marianne: a mafia? Serge : d'un Mexicain de je ne sais plus quel âge, qui était mouillé là-dedans, dans les enlèvements et tout çà… alors soit disant pour sa défense, elle dit : « oui, je n'étais pas au courant de la vie de mon compagnon ! Serge: of a Mexican of I don't remember what age, who was involved in this, in the kidnappings and all that... so supposedly in her defense, she said: "yes, I was not aware of the life of my companion! » Elle aurait été accusée d'un enlèvement, elle aurait été impliquée dans un enlèvement en disant, ben moi je n'étais pas au courant des agissements de mon compagnon… je veux bien le croire, mais quatre enlèvements ! She would have been accused of a kidnapping, she would have been involved in a kidnapping, saying, well, I was not aware of my companion's actions… I want to believe it, but four kidnappings! Bon, si elle a réellement participé aux quatre, parce qu'on peut difficilement nier d'être au courant des activités de son compagnon, toujours est-il que, ils ont commuté sa peine de 90 à 60 ans, comme elle en a 34, çà fait quand même 94 ans, donc si Sarkozy n'arrive pas à faire quelque chose, elle est… elle a pas beaucoup d'espoir et elle va finir sa vie là-bas, en prison… Marianne : ben d'après ce que l'on dit, même si elle était rapatriée ici, d'après les accords qu'il y a entre les deux pays, il faudrait qu'elle passe les 60 ans dans une prison ici. Serge : Ah, il faudrait qu'elle passe 60 ans ici ? Marianne : oui ! A moins que Sarkozy arrive à... régler le…

Serge : je sais pas comment il va faire, mais je sais que là-bas, apparemment la loi, elle est très sévère pour çà mais… j'ai entendu ce matin encore, pour l'année là… il y a eu plus de mille meurtres liés à la drogue, enfin le trafique de drogue entre les cartels là-bas et puis les… la police… c'est incroyable, ils en sont même venu à se vouer à une vierge ou une sainte, je ne sais pas quoi parce qu'ils n'arrivent pas à résorber ce problème. Y a des policiers qui sont aussi abattus dans l'exercice de leur fonction parce que c'est vraiment la mafia qui détient tout là-bas… c'est impressionnant, impressionnant ce pays. Enfin il a une frontière commune avec les Etats-Unis, il a une histoire assez ancienne… comment un pays, il peut en arriver là, je ne sais pas, çà me laisse pantois. Dans les pays comme le moyen orient, ce qui les empêche de faire du trafic de drogue, si quelqu'un, il est pris en train de se droguer ou de traficoter avec çà, là-bas il est condamné à mort, carrément, je pense à l'Iran ou des pays comme çà. 9à ne les empêche pas de cultiver un peu de la drogue dans les pays limitrophes et puis d'en exporter et de vivre de çà… et puis, dans d'autres pays, on peut faire un peu ce qu'on veut, y en a d'autres qui légalisent même la drogue, j'ai vu qu'ils avaient lancé sur le marché… ils ont découvert une drogue synthétique, du cannabis synthétique qui serait deux ou trois fois plus nocif que le naturel.. Marianne : ben je sais pas si tu as entendu, y a quelques… y a un bout de temps, même des politiciens qui avaient dit que le cannabis était moins dangereux que la cigarette et qu'il fallait même légaliser le cannabis et interdire la cigarette, le tabac. Serge : de toute façon on va arriver à ce que le cannabis soit moins cher et plus facile à se procurer que la cigarette alors…

Marianne : donc, puisqu'ils font une guerre au tabac alors donc, qu'est-ce qu'ils veulent, que tout le monde se mette à fumer du cannabis ? Serge : je sais pas mais çà m'étonnerait moi, que ce soit moins nocif ! Y a peut-être moins de dépendance, peut-être mais…

Marianne : c'est ce que certains ont dit ! Cà c'est sûr que j'y crois pas mais c'est ce qui a été dit même à la télé donc… enfin par le biais de la télé… Ah, çà me fait penser aussi, hier j'ai vu une émission, c'était sur un peu tous les criminels puisqu'ils sont même revenus sur celui qui avait essayé de tuer Chirac, on parlait de celui qui avait tiré sur Regan, enfin etc… puis ils ont parlé de sarkozy et puis les autres qui avaient été menacés, et puis il y a un criminologue qui a dit qu'aux Etats-Unis, mais là il faudra se renseigner auprès des Américains, et pis toi t'as une ami qui est Américaine, il faudra lui demander… qu'aux Etats-Unis, il y a beaucoup de personnes qui tournent mal disons, parce que, il y a beaucoup d'interdictions… Serge : au pays des libertés ? Beaucoup d'interdictions ? Marianne : alors, il y a une chose, et puis même le présentateur, le journaliste qui menait la discussion, a été étonné puisqu'il lui a fait répéter… ce criminologue a dit qu'aux Etats-Unis il était même interdit de fumer chez soi ! Dans certains Etats mais…

Serge : déjà, tous les Etats…

Marianne : sont différents oui, les lois sont différentes dans…

Serge : tous les Etats, mais je sais que y a des Etats…

Marianne : mais y a certains Etats qui interdiraient même de fumer chez soi.

Serge : je me demande si la Californie n'est pas un des Etats les plus stricts en matière de… Marianne : oui mais chez toi ?

Serge : leur argument c'est que, pour peu que tu sois dans un immeuble, en fait même chez toi, tu arrives à polluer on va dire entre guillemets un peu les alentours, la cage d'escaliers. Je crois que j'ai entendu parler de cette histoire oui que même chez toi… Marianne : faudrait demander la confirmation parce que…

Serge : oui mais…

Marianne : et comment ils peuvent vérifier ? Ils rentrent chez toi ?

Serge : ben oui, la police est en droit de vérifier certaines choses et là je pense que c'est facile de coincer quelqu'un…si c'est vrai, çà va un peu loin quand même… Marianne : on va faire appel à tous les Américains, pour tout… dans n'importe quel Etat où vous vivez, est-ce que çà existe ? Serge : en France j'apprécie… Marianne : quand j'ouvre les fenêtres là chez moi, il y a la pollution des voitures qui rentre à l'intérieure,  çà va pas, çà ne me convient pas. Serge : mais c'est vrai, tu as raison… dans l'appartement au-dessus de chez moi, juste la pièce au-dessus, c'était la chambre de l'aîné de la famille, ils avaient deux enfants, oui ils avaient un garçon et une fille et à l'époque il avait peut-être… 17, 18 ans, il fumait ses pétards à la fenêtre et puis les mégots, je les retrouvais sur ma fenêtre à moi ! Marianne : et tu sentais pas l'odeur ? Serge : si j'avais eu la fenêtre ouverte, oui c'est sûr que j'aurais senti l'odeur puisque les mégots, quand il les balançait, ils étaient plus ou moins éteints et ils finissaient de se consumer sur le rebord de ma fenêtre… mais tu vois que même en fumant chez toi, tu peux enquiquiner les autres à la limite, si on va chercher… Marianne : oui puis y a des gens qui fument au bas des immeubles, quand tu rentres à l'intérieure, tu te drogues gratis là. Y en a, ils se cachent, mais ils ont pas besoin de se cacher. Tu rentres, tu sens, bon, on sait ce qu'ils fument hein ? Serge : tu devrais l'apprendre çà, c'est peut-être pas écrit dans leur constitution ? Marianne : apprendre quoi ?

Serge : si tu peux fumer chez toi ou pas.

Marianne : non !

Serge : ben on a fait le tour de l'actualité là. Marianne : oui.

Serge : enfin vraiment très varié, assez sombre mais très varié !

Marianne : ben de toute façon, comme tu as dit l'autre fois, quand on parle d'actualité, qu'est-ce que çà peut être ! Serge : y a guère de bonnes nouvelles.

Marianne : Ah tiens, jeudi prochain, on a une grève, le 19…Non, c'est pas jeudi prochain, c'est quand ? J'ai une semaine d'avance moi, c'est dans deux semaines ! Serge : oui c'est dans deux semaines, mais… mars, oui une nouvelle grève… oh puis y en aura encore d'autres parce que… Marianne : J'ai entendu, on m'a dit une fois, les français sont des grévistes ! Ils sont grévistes déjà dans le ventre de leur mère.

Serge : ben c'est ce que je disais quand je parlais avec mes correspondants aux Etats-Unis, souvent quand j'étais en vacances : « comment ! Encore en vacances ! » Je lui disais, ben tu sais en France, soit on est en vacances, soit on est malade à domicile, soit on est en grève. On est rarement au travail, alors çà les faisait rire. Mais c'est un petit peu l'idée qu'ils ont de nous et donc mon ami, d'ailleurs son mari a perdu son emploi cette semaine là, il travaillait dans une boite qui faisait des… qui construit des petits avions, tu sais des petits bimoteurs pour les businessmen, des petits trucs dans ce style… ben ils ont déposé le bilan apparemment, et donc c'est avec elle que je discutais de çà et son mari lui, en fait, il avait quatorze jours de vacances par an ! Tu proposes çà aux Français ! Mais là c'est la grève illimitée pendant deux ans ! Si jamais on touche à nos… je sais pas, c'est cinq semaines dans le privé ? Officiellement cinq semaines de vacances, je crois ?

Marianne : je crois.

Serge : tu as vu quand il a fallu retoucher aux trente cinq heures, le tollé alors…

Marianne : mais çà devrait être plus souple et plus libre pour le travail le dimanche. C'est pareil, y en a qui aimerait bien travailler le dimanche. Serge : j'aimerais bien avoir plus de vacances, c'est vrai, tu as raison, il faudrait que ce soit plus libre ! Ceux qui veulent prendre de six mois de vacances, ils devraient avoir le droit après tout !

Marianne : vacances payées, pendant six mois ?

Serge : ben, oui de préférence. Bon, si c'est pas possible, je veux bien me contenter de 90 pour cent de mon salaire. Marianne : y a encore une autre chose, tu sais que dans une manifestation, avec les grévistes, y a les meneurs qui sont là pour booster un peu les troupes ! Et puis il est là, à leur parler et il dit : «  vous voulez du pain ? OUI ! Vous voulez une augmentation de salaire ? OUI ! Vous voulez du travail ? C'EST LA LUTTE FINALE ! Serge : qu'est-ce qu'ils vont pensez de nous les gens qui vont écouter le podcast ? Tu vois…

Marianne : faut rigoler !

Serge : on a quand même gardé notre sens de l'humour même si… Marianne : je crois qu'il faut hein ? Serge : sur ce… çà va être le mot de la fin je pense.

Marianne : oui ben je réponds  pas autre chose pour améliorer un peu l'image du pays, mais je crois que çà prendra encore un peu de temps mais on essayera d'améliorer un peu les choses la prochaine fois. Serge : sur ce, bonne fin de journée et puis…

Marianne : et toi, fini bien tes vacances…

Serge : oui merci, et ben oui çà se termine et puis jeudi prochain, en route pour un autre… une autre conversation…

Marianne : d'accord ! Serge : en espérant qu'on va trouver un sujet plus précis, mais c'était intéressant de parler de tout et de rien ! Marianne : très bien, donc…

Serge :ok

Marianne : au revoir Serge !

Serge : bonne soirée et à très bientôt !

Marianne : merci, à toi aussi.

Serge : bye, bye Marianne.

Marianne : bye