Livre Audio - La Ferme des Animaux - Chapitre 10
[Musique]
ferme des animaux
oeuvre écrite par george orwell contée
par mni camille est présenté par mp3 vox
à chapitre 10 les années passent et
aller et retour des saisons emporté la
vie brève des animaux et le temps 20 ou
les jours d'avant le soulèvement ne leur
dira plus rien seule la jument douce le
vieil âne atrabilaire benjamin le
corbeau apprivoiser morize est certes un
cochon se souvenait encore
la chèvre aidé mais était morte les
filles 1 fleur constance et fils ou
étaient morts niveau lui même était mort
alcoolique pensionnaire d'une maison de
santé
dans une autre partie du pays boule de
neige étaient tombés dans l'oubli
malabar aussi était tombé dans l'oubli
sauf pour quelques-uns de ceux qui
l'avaient connu douce et est maintenant
une vieille jument pu aux membres
perclus et aux yeux chassieux elle avait
dépassé de deux ans la limite d'âge des
travailleurs mais en fait jamais un
animal des profiter de la retraite
depuis belle lurette on ne parlait plus
de réserver un coin de pacage aux
animaux sur le retour napoléon était un
cochon d'âge avancé et peser 150 kg et
bribes habile si bouffée de graisse que
c'est à peine s'ils pouvaient entre
ouvrir les yeux
seul le vieux benjamin était resté le
même à part le mieux flins peu
grisonnants et depuis la mort de malabar
un caractère plus que jamais revers est
taciturne
désormais les animaux étaient bien plus
nombreux quoique sans s'être multipliées
autant qu'on l'avait craint dans les
premiers jours
beaucoup étaient nés pour qui le
soulèvement n'était qu'une tradition
sans éclat du bouche à oreille
d'autres avaient été achetés jamais
n'avait oui parler avant leur arrivée
sur les lieux
en plus de 12 il appelle maintenant
trois chevaux à la ferme les animaux
bien pris et bien campés aimant le
travail est bon compagnon mais tout à
fait beau relais
de l'alphabet aucun d'eux ne put retenir
plus que les deux premières lettres il
admettait tout ce qu'on leur disait du
soulèvement et des principes de l'animal
isme surtout quand tous les ans
n'entretenait car il lui porte et un
respect quasi filial mais ils étaient
douteux qu'ils y aient entendu grand
chose
la ferme était plus prospères maintenant
et mieux tenue elle s'était agrandie de
deux champs acheté à monsieur pinnington
le moulin avait été construit à la fin
des fins on se servait d'une batteuse et
d'un monte charge pour le foin et il y
avait de nouveau bâtiment wilber s'était
procuré une charrette anglaise
le moulin toutefois n'avait pas été
employé à produire du courant électrique
il servait à moudre le blé est rapportée
de fameux bénéfices les animaux
s'affairaient à ériger un autre au
moulin qui une fois achevé serait équipé
de dynamos 10 et on met toutes les
belles choses dont boule de neige
avaient fait rêver les animaux la
semaine de trois jours les installations
électriques
l'eau courante chaudes et froides on ne
parlait plus napoléon avait dénoncé ses
idées comme contraire à l'esprit de
l'animal isme le bonheur le plus vrai
déclaré t-il réside dans le travail
opiniâtre et l'existence frugal
on dit qu'en quelques façons la ferme
c'était enrichissant rendre les animaux
plus riches
hormis assurément les cochons et les
chiens c'était peut-être en partie parce
qu'il y avait tellement de cochon est
tellement tiens on ne pouvait pas dire
qu'il ne travaillait pas travaillant à
leur manière ainsi que bree babil
l'expliquer sans relâche c'est une tâche
écrasante que celle d'organisateur et de
contrôleur est une tâche qui de par sa
nature dépasse l'entendement commun
ribab il fêtait à des efforts
considérables des cochons pencher sur
des besognes mystérieuse il parlait
dossiers rapports minutes
memoranda de grandes feuilles de papier
est est couverte d'une écriture serrée
et des quincy couverte jeter au feu cela
disait encore brille même il était d'une
importance capitale pour la bonne
gestion du domaine malgré tout cauchon
et chiens ne produisait pas de
nourriture par leur travail était en
grand nombre et pourvue de bon appétit
contre l'autre autant qu'il le pouvait
savoir leur vie était comme elle avait
toujours été
ils avaient le plus souvent faim dormez
sur la paille bus vélo de l'abreuvoir
labourer les champs
il souffrait du froid l'hiver et l'été
des mouches parfois les plus âgés
fouiller dans le flou des souvenirs et
c'est bien de savoir si aux premiers
jours après le soulèvement
juste après l'expropriation dow jones la
vie avaient été meilleures ou pires cas
présent il ne se rappelait plus n'y
avait rien à quoi comparer leur vie
actuelle rien à quoi ils pu s'en
remettre que les colonnes de chiffres de
bribes habile lesquels invariablement
prouver que tout toujours aller de mieux
en mieux les animaux trouvé leurs
problèmes insolubles
de toute manière il nous avait peu de
temps pour noter une méditation
désormais seul levier benjamin affirmé
se rappeler sa longue vie dans le menu
détail et ainsi savoir que les choses
n'avaient jamais été ni ne pourrait
jamais être bien meilleur ou bien pire
la fin les épreuves et les déboires
telle était à l'en croire la noix
inaltérable de la vie et pourtant les
animaux ne renoncerait jamais à
l'espérance mieux ils ne cessèrent fût
ce un instant de tenir à honneur et de
regarder comme un privilège leur
appartenance à la ferme des animaux la
solde du compte et même de toute
l'angleterre à être exploités par les
animaux
pas un d'entre eux mêmes parmi les plus
jeunes ou bien ceux venus à ferme
distante de 5 à 10 lieux qui toujours ne
s'en émerveille à quand il entendait la
détonation du fusil et voyez le drapeau
vert flotter au mas leur coeur pâte est
plus fort il était saisi d'un orgueil
qui ne mourrai pas et sans cesse la
conversation revenait sur les jours
héroïque d'autrefois
l'expropriation de jones la loi des sept
commandements les grandes batailles et
l'envahisseur tailler en pièces à aucun
des anciens rêve il n'avait renoncé
ils croyaient encore à la bonne nouvelle
annoncée par sage l'ancien la république
des animaux alors pensait-il les verts
pâturages d'angleterre ne serait plus
foulé par les humains le jour viendrait
pas tout de suite pas de leur vivant
peut-être
n'importe le jour venait
même l'air de bêtes d'angleterre était
peut-être fredonner ici et là au secret
de toute façon il était bien connu que
chaque animal de la ferme le savez même
si nul ne se fût en arthies à le chanter
tout haut à la vie pouvait être pénible
et sans doute et sans doute tous leurs
espoirs n'avait pas été comblé mais il
se savait différent de tous les autres
animaux
il avait faim ce n'était pas de nourrir
des humains tyrannique et travailler dur
au moins c'était à leur compte plus
parmi eux deux pattes et aucune créature
neuner a aucune autre le nom de m
tous les animaux étaient tes grands une
fois au début de l'été bribes habile
ordonna aux boutons de le suivre il mena
à l'autre extrémité de la ferme jusqu'à
un lopin de terre en friche envahie par
de jeunes boulot là ils passèrent tout
le jour à brouter les feuilles sous la
surveillance de ribab il soit revenu
celui-ci regagner la maison d'habitation
10 ans aux boutons de rester sur place
pour profiter du temps chaud il arriva
qui demeurèrent sur place la semaine
entière et tout ce temps les autres
animaux point de l'hégire bribes habile
passé la plus grande partie nouveau dans
leur compagnie il leur apprenait
disait-il un champ nouveau dont le
secret devait être garder les moutons
étaient tout juste de retour que dans la
douceur du soir alors que les animaux
regagner les dépendances ce travail fini
retentit dans la cour un hennissement
dépôt-vente les animaux tout surpris
pirates
c'était la voix douce elle est ni une
seconde fois et tous les animaux se
ruent erdre l'acura grand galop alors
ils virent ce que douce avait vu
un cochon qui marchait sur ses pattes de
derrière
et oui c'était bribes habile un peu
gauche mans et peu accoutumé à supporter
sa forte corpulence sur cette position
mais tout de même en parfait équilibre
brive habile déambulant à pas contés
traversé la cour
un peu plus tard une longue file de
cochon sortis de la maison et tous
avancer sur leurs pattes de derrière
certains s'en tirer mieux que d'autres
et un ou deux un peu chancelant ce
serait bien trouver d'une canne mais
tous réussir à faire le tour de la
course sans encombre
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à la fin ce furent les a vraiment
formidable des chiens est latent
cocorico du petit coq noir et ont vu
s'avancer napoléon lui-même tout
redresser et majestueux je tente droite
et de gauche des regards hautains et
fien combattants autour de sa personne
il tenait un fouet dans sa patte
ce fut un silence de mort abbas odier
terrifier les animaux sont serrés les
uns contre les autres
suivant des yeux le long cortège des
cochons avec lenteur défilant au tour de
la cour
c'était comme le monde à l'envers puis
le premier choc une fois émoussé au
mépris de tout leur frayeur des chiens
et des habitudes acquises au long des
ans de ne jamais se plaindre ni
critiquer quoi qu'il advienne il aurait
protesté sans doute aurait été levée la
parole mais alors comme répondant un
signal tous les moutons en choeur ce
prix ab les de toutes leurs forces
quatre pattes bon de pâtes mieux quatre
pattes bon 2 bat mieux
hibbert ainsi cinq bonnes minutes durant
et cantiques ce tueur aux autres échappe
à l'occasion de protester car le cortège
des cochons avait regagné à résidence
benjamin senti des naseaux contre son
épaule comme d'un animal en peine qui
aurait voulu lui parler
c'était douce des yeux verts avaient
l'air plus perdus que jamais sans un mot
et ira benjamin par la crinière
doucement et l'entraîna jusqu'au fond de
la grange où les sept commandements
était inscrit une minute ou deux il fait
que sert le mur goudronnée aux lettres
blanches 12 fini par dire ma vue baisse
même au temps de ma jeunesse je n'aurais
pas pu lire comme c'est écrit
mais on dirait que le mur n'est plus
tout à fait le même benjamin et sept
commandements sont ils toujours comme
autrefois
benjamin pour une fois on s'entend à
rompre avec ses principes
will use qui était écrit sur le mur il
n'y avait plus maintenant qu'un seul
commandement il énonçait tous les
animaux sont égaux mais certains sont
plus égaux que d'autres
après quoi le lendemain ils ne parient
pas étrange de voir les cochons
superviser le travail de la ferme le
fouet à la pâte
il ne parut pas étrange d'apprendre
qu'il s'était procuré un poste de radio
faisait installé le téléphone et s'était
abonnée à des journaux ces domaines est
rigolo un quotidien populaire
il ne parut pas étrange de rencontrer
napoléon faire un tour de jardin la pipe
à la bouche non plus que de voir les
cochons en hausse et les vêtements de
monsieur jones tiré de l'armoire
napoléon lui-même se montra en veston
noir en culotte pour la chasse aux rats
et qu'être de cuir
accompagné de sa truie favorite dans une
robe de soie noire et celle que madame
jones portait les dimanches
un après-midi de la semaine suivante
plusieurs chars est anglaise se
présentèrent à la ferme
une délégation de fermiers du voisinage
avaient été invités à visiter le domaine
on leur fait inspecter toutes
l'exploitation et les trouva en tout
admiratif mais le moulin fut ceux qui
lisent apprécièrent le plus
animaux désherber un champ de navets il
travaille avec empressement faisant à
peine levé la tête et ne sachant des
cochons et des visiteurs lesquels
redoutaient le plus le soir là on
entendit venus de la maison des couplets
baraillé et des explosions de rire et au
tumulte de ses voix entremêlées
tout à coup les animaux furent saisis
nos curiosités que vous étiez de bien se
passer là-bas maintenant que pour la
première fois aux hommes et animaux se
rencontraient sur un pied d'égalité
l'accord commun ils se glissèrent à pas
feutrés vers le jardin ils font halte à
la barre hier un peu effrayé de leur
propre audace mais douce montrer le
chemin
puis sur la pointe des pâtes avance vers
la maison et ceux qui d'entre eux sont
assez grands pour ça hasardeux par la
fenêtre de la salle à manger un coup
d'oeil à l'intérieur et là autour de la
longue table se tienne une douzaine de
fermiers et une demi-douzaine de cochon
entre les plus éminents napoléon
lui-même président
il occupe la place d'honneur en au bout
de table les cochons on lira ci tout à
leur aise
on avait joué aux cartes mais c'est fini
maintenant l'évidence un toast va être
portée ont fait circuler un grand pichet
de bière et chacun une nouvelle fois
rempli sa chope personne n'a soupçonné
l'ébahissement des animaux qui de la
fenêtre voient ces choses
monsieur pellington de boxe woods
s'était levé shop en main dans un moment
dit il il porterait un toast mais
d'abord il croyait de son devoir de dire
quelques mots
c'était pour lui ah s'il en était
convaincu que pour tous les présents une
source de profonde satisfaction de
savoir enfin révolu une longue période
de méfiance et d'incompréhension attend
avait été donc lui-même où aucun des
convives et partager de tels sentiments
un temps où les honorables propriétaire
de la ferme des animaux avaient été
regardés
il se garderait de dire d'un oeil au
style mais enfin avec une certaine
appréhension par leurs voisins les
hommes
les incidents regrettables s'était
produit des idées fausses avait été
monnaie courante n'avait eu le sentiment
qu'une ferme que c'était approprié des
cochons et qu'ils exploitaient était en
quelque sorte une anomalie susceptibles
de troubler les relations de bon
voisinage entre deux fermiers avaient
tenu pour vrai sans enquête préalable
sérieuse que dans une telle ferme
prévaudrait un esprit de dissolution et
indiscipline savez appréhender les
conséquences fâcheuses sur leurs animaux
peut être même sur leur humains salariés
mais tout doute semblable et est
maintenant dissipée
aujourd'hui lui et ses amis avaient
visité la ferme des animaux on avait
inspecté chaque pouce et qu'avait-il
trouver non seulement des méthodes de
pointe mais encore un ordre et
discipline méritant d'être partout donné
en exemple
croyez pouvoir avancer à bon droit que
les animaux intérieur de la ferme des
animaux travailler plus sûrs et
recevaient moins de nourriture que tous
les autres animaux du comté en vérité
lui et ses amis venaient de faire venir
des constatations dont il entendait
tirer profit sans des jeunes ont leur
propre exploitation
il terminerait sa modeste allocution dit
il en soulignant une fois encore les
sentiments d'amitié réciproque qui
existe et continueront d'exister entre
la ferme des animaux et les fermes
voisines entre cochons et hommes
il n'y a pas et il n'y a pas de raison
qu'il y ait un conflit d'intérêts
quelconque les lieux et les vicissitudes
sont identiques
le problème de la manoeuvre n'est-il pas
partout le même
à ce point il n'échappe à personne que
monsieur pinnington était sur le point
d'adresser à la compagnie quelques
points d'esprit méditer le lendemain
mais pendant quelques instants
il eut trop envie de rire pour l'énoncé
s'étranglant presque et montrant un
triple menton de la c est fini par dire
si vous avez affaire aux animaux
inférieures nous c'est aux classes
inférieures ce bourg momie la table et
en grande joie et le nouveau monsieur
pennington congratuler cochon sur les
basses ration la longue durée du travail
et le refus de dorloter des animaux de
la ferme
et maintenant dit-il en conclusion qui
lui soit permis d'inviter la compagnie
de se lever et que chacun remplisse sa
chope messieurs contre le peeling donne
messieurs je porte un toast à la
prospérité de la ferme des animaux on
note là bas on trépigne à ce fut le
débordement d'entousiasme napoléon
comblé puis le tour de la table pour
avant de vider sa chope trinquer avec
monsieur pennington navy va apaiser
il demeura debout signifiant qu'il avait
aussi quelques mots à dire
comme tous ces discours celui ci fut
bref mais bien en situation lui aussi
dit il se réjouissait que la période
d'incompréhension fut à son terme
longtemps des rumeurs avaient couru
lancée il avait lieu de le croire par un
ennemi venimeux selon lesquelles ses
idées et celle de ses collègues avec
quelque chose de subversif pour ne pas
dire de révolutionnaire on leur avait
imputé l'intention de fomenter la
rébellion parmi les animaux des fermes
avoisinantes
rien de plus éloigné de la vérité leur
unique désire maintenant comme dans le
passé était de vivre en paix avec leurs
voisins et d'entretenir avec eux des
relations d'affaires normal cette ferme
qu'il avait l'honneur de gérer
ajouta-t-il était une entreprise
coopérative et titres de propriété qui
l'avait en sa propre possession
appartenait à la communauté des cochons
il ne croyait pas dit il que rien
subsista de la suspicion notre froid
mais certaines modifications avaient été
récemment introduits dans les anciennes
habitudes de la ferme qui aurait pour
effet de promouvoir une groupe science
encore accru
jusqu'ici les animaux avaient eu pour
coutume à ses sautes de s'adresser l'un
à l'autre en s'appelant camarades
voilà qui allait être aboli une autre
coutume singulière d'origine inconnue
consisté à défiler chaque dimanche matin
devant le crâne d'un vieux verra cloud
et un poteau du jardin cet usage serait
abolie également il va le crâne avait
été enterrée enfin ces autres avaient
peut-être remarqué le drapeau vert en
haut du mât si c'était le cas alors il
avait remarqué aussi que le sabot et la
corne dont ils étaient frappés naguère
n'y figuraient plus le drapeau dépouillé
de cet emblème serait vert unis
désormais
n'adresserait qu'une seule critique à
l'excellent discours de bon voisinage de
monsieur pinnington qui s'était référée
tout au long à la ferme des animaux ne
pouvait évidemment pas savoir puisque
louis napoléon en faisait la révélation
en ce moment que cette raison sociale
avait été récusé la ferme serait connue
à l'avenir sous le nom de ferme du
manoir fonds véritable nom d'origine
sauf erreur de sa part
mes yeux conclut napoléon je vais porter
le même taux que tout à l'heure mais
autrement formulé chacun remplisse sa
chope à ras bord
messieurs je bois à la prospérité de la
ferme du manoir
ce furent encore des acclamations
chaleureuse et les shops furent vidés
avec entrain mais alors que les animaux
observaient la scène du dehors
il leur parut que quelque chose de
bizarre et est en train de se passer
pour quelles raisons les traits des
cochons est il plus tout à fait les
mêmes
les yeux fatigués de 12 glisser d'un
visage à l'autre
certains avaient un quintuple aux
moutons d'autres avaient le menton
quadruplé notre triple mais qu'est ce
que c'était qui avait l'air de se
dissoudre ne s'effondre et de se
métamorphoser les applaudissements cette
étude les convives reprirent la partie
de cartes interrompu et les animaux
silencieux filaire en catimini narré par
et 20 mètres qui furent cloué sur place
les vociférations partait de la maison
il se hâtèrent de revenir mettre le nez
à la fenêtre mais de fait une cure elle
violente est en cours
ce n'était que cris coups assénés sur la
table regard aigu et soupçonneux
dénégations furibonde la cause du
charivari semble due au fait que
napoléon et monsieur pinnington avaient
abattu un as de pique en même temps 12
bois coléreuse crier et elles s'étaient
toutes les mêmes il n'y avait plus
maintenant à se faire de questions sur
les très altérée des cochons dehors les
yeux des animaux allaient du cochon à
l'homme et de l'homme aux cochons et de
nouveau du cochon à l'homme mais déjà il
était impossible de distinguer l'un de
l'autre
[Musique]
moore a cédé la ferme des animaux écrit
par george orwell j'espère que ce livre
audio vous a plu si c'est le cas
n'hésitez pas à laisser un pouce bleus a
laissé un commentaire et à partager la
vidéo ça me ferait très plaisir
quant à moi je vous dis à bientôt pour
un prochain livre audio n'hésitez pas à
me laisser dans les commentaires des
idées de livres qui vous intéresseraient
et j'analyserai tout ça en tout cas moi
je vous dis à bientôt et portez vous
bien