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George Orwell - La ferme des animaux, Livre Audio - La Ferme des Animaux - Chapitre 9

Livre Audio - La Ferme des Animaux - Chapitre 9

[Musique]

ferme des animaux

oeuvre écrite par george orwell compter

parmi camille est présenté par mp3 vox à

chapitre 9 le sabot fendu de malabar fut

longtemps guérir la reconstruction du

moulin avait commencé dès la fin des

fêtes de la victoire malabar refusé de

prendre un seul jour de repos et il se

faisait un point d'honneur à ne pas

montrer qu'il souffrait

le soir il à votre douce en confidence

que son savon le faisait mal et nous lui

poser des cataplasmes de plantes qu'elle

préparait en les machines ans

benjamin se joignait à elle pour

l'exhorter à prendre moins de peine

elle me disait les branches d'un cheval

ne sont pas éternels mais malabar ne

voulait rien entendre il n'y avait plus

disait-il qu'une seule vraie ambition

voir la construction du moulin bien

avancé avant qu'il n'atteigne l'âge de

la retraite

dans les premiers temps kan avait été

énoncé les lois de la ferme des animaux

l'âge de la retraite avait été arrêté à

12 ans pour les chevaux et les cochons

14 pour les vaches 7 pour les moutons 5

pour les poules et les oies on s'était

mis d'accord sur une estimation libéral

du montant des pensions

pourtant aucun animal n'avait encore

bénéficier de ces avantages

mais maintenant le sujet était de plus

en plus souvent débattu depuis que le

clos attenant au verger avait été

réservée à la culture de l'orge

le bruit courait qu'une parcelle du

grand herbages serait plus durer et

converti en pâturage pour les animaux à

la retraite pour un cheval on évaluer la

pension à 5 livres de grains et en hiver

15 livres de foin plus aux jours fériés

une carotte ou une pomme peut-être le

12e anniversaire de malabar tombé l'été

de l'année suivante

mais en attendant la vie était dure

l'hiver fut aussi rigoureux que le

précédent et les portions encore plus

réduite

sauf pour les cochons et des chiens une

trop stricte égalité des rations

expliqué bribes habile eût été contraire

au principe de l'animal isme de toute

façon il n'avait pas de mal à prouver

aux autres animaux que en dépit des

apparences il n'avait pas pénurie de

fourrage pour le moment il était apparu

nécessaire de procéder à un réajustement

des rations mais l'amélioration était

manifeste à qui se rappelait le temps

nos jones une voix pointu et d'un débit

rapide bribes habile accumulé les

chiffres lesquels prouvé par le détail

une consommation accrue en avoine foin

et n'avait une réduction du temps de

travail

un progrès en longévité une mortalité

infantile en régression en outre l'eau

était plus pure la paille plus douces au

sommeil on était moins dévoré par les

puces

et tous l'ont croyait sur parole à la

vérité jones avec tout ce qu'ils avaient

représenté ne leur rappeler plus grand

chose

il savait bien la rudesse de leur vie à

présent est que souvent ils avaient faim

et souvent froid et qu'en dehors des

heures de sommeil le plus souvent ils

étaient à trimer mais sans doute sa

vedette est pire dans les anciens temps

ils étaient contents de le croire en

outre ils étaient esclaves alors mais

maintenant ils disaient tu es libre ce

qui changeait tout ainsi que my baby ne

manquait jamais de le souligner il y

avait bien plus de bouches à nourrir

désormais à l'automne des quatre treuils

avait mis bas presque en même temps doux

à elles toutes 31 nouveaux nés comme

c'étaient des porcelets pays et que

napoléon était le mal en chef on pouvait

sans trop de peine établir leur parenté

est juste annoncé que plus tard une fois

briquet mois de charpente à pied

d'oeuvre

on construirait une école dans le

potager pour le moment napoléon avait

pris sur lui même d'enseigner les jeunes

gorée dans la cuisine et il s'amusait

prenez de l'exercice dans le jardin

attenant à la maison on les détourne et

de se mêler au jeu des autres animaux

vers ce temps-là fait poser en principe

que tout animal trouvera un cochon sur

ce chemin aurait à lui céder le pas de

plus tous les cochons quel que fût leur

rang jouirait du privilège d'être vu le

dimanche un ruban vert à la queue

l'année à la ferme avait été assez bonne

mais on était encore à court d'argent

il fallait se procurer les briques le

sable et la chaux pour l'école et pour

acquérir la machinerie du moulin on

devrait de nouveau économiser

il y avait l'huile des lampes et les

bougies pour la maison le sucre pour la

table de napoléon est en outre les

réapprovisionnements ordinaire ou type

louche hissel charbon fil de fer

ferraille et biscuits de chiens ont

vendu une part de la récolte de pommes

de terre et un peu de foi et pour les

oeufs le contrat de vente fut porté à 6

cents par semaine

de la sorte c'est à peine si les poules

couvert à ses deux petits pour maintenir

au complet leurs effectifs une première

fois réduite en décembre les rations le

furent encore en février et pour

épargner l'huile mu a jeté lanterne à

l'établé à l'écurie feu prohibée mais

les cochons avait encore la vie belle

apparemment prenant même de l'embonpoint

un après-midi de fin février un riche et

appétissant relents tels que jamais les

animaux n'en avait eu mes deux pareils

flotat dans la cour ils filtraient de la

petite brasserie située derrière la

cuisine que jones avait laissé à

l'abandon

quelques uns avancent à l'opinion qu'on

faisait bouillir de l'orge les animaux

renifler l'air avidement et il se

demandait si peut-être qu'ils auraient

un broue chaud pour leur souper

mais il n'y pas de rond et chaud et le

dimanche suivant on fit connaître que

dorénavant tout l'orge serait réservé

aux cochons le champ derrière le verger

on avait été semé des chats et la

nouvelle transpire à bientôt tout cochon

toucherait sa ration quotidienne de

bière une pinte pour le commun entre eux

et pour napoléon 10 servie dans la

soupière de porcelaine de derby marqué

d'une couronne s'il fallait souffrir

bien des épreuves on était en partie des

dommages et car on vivait bien plus

dignement qu'autrefois et il n'avait

plus de champ plus de discours plus de

défis des napoléon avait redonné une

manifestation spontanée habdomadaire

avec pour objet de célébrer les luttes

et triomphe de la ferme des animaux à

l'heure convenue tous quitté le travail

et marcher au pas cadencé autour du

domaine une deux une deux et en

formation militaire les cochons et les

devants puis c'était dans l'ordre les

chevaux les vaches les moutons

enfin la menue volaille les chiens se

tenait en serre file tout en tête du

cortège avance et le petit coq noir à

eux deux malabars et 12 portées au une

bannière verte frappé de la corne du

sabot avec cette inscription vive le

camarade napoléon

après quoi été récité des poèmes en

l'honneur de napoléon puis bry babil

prononcé un discours nourri des

dernières nouvelles faisant état d'une

production accrue en biens de

consommation et de temps en temps on

tiré un coup de fusil à ces

manifestations spontanées les moutons

prenais part avec une ferveur inégalée

quelqu'un de malhonnête il à se plaindre

que tout cela était perçue de temps et

qu'il faisait le pied de grue dans le

froid les moutons chaque fois leur

imposer silence de leurs bellemans

formidable en tenant le mot d'ordre

quatre pattes

oui deux pattes non mais à tout prendre

les animaux trouvait plaisir à ces

célébrations

il était conforté dans l'idée d'être

leur propre m après tout est ainsi de

vrais à leur propre bien si grâce aux

chants et des filets et aux chiffres et

somme de bribes habile et au fusil

keaton et on cocorico du coq les et aux

drapeaux au vent

vous pouvez oublier un temps qu'ils

avaient le ventre creux en avril

la ferme des animaux fut proclamée

république

ils ont dû élire un président il n'eut

qu'un candidat napoléon qui fut

unanimement plébiscité ce même jour on

appris que la collusion de boule de

neige avec jones était étayée sur des

preuves nouvelles lors de la bataille de

les tables boule de neige ne s'était pas

tenue comme les animaux l'avais cru

d'abord attendait de les conduire à leur

perte au moyen d'un stratagème non boule

de neige avaient ouvertement combattu

dans les rangs de jones de fait c'était

lui qui avait pris la tête des forces

humaines et il était monté à l'assaut

aux cris de vive l'humanité

et ses blessures à la chine que quelques

animaux se rappeler lui avoir vu elle

lui avait été infligée des dents de

napoléon au coeur de l'été le corps

boboïse rohff issoudun apparition après

des années d'absence et c'était toujours

le même oiseau n'affichant pas une rame

et chantant les louanges de la montagne

de sucre candi tout comme au temps du

bon temps il se percher sur une souche

et battant des ailes qui l'avait noir et

des heures durant ils palabrent et à la

cantonade là au camarade affirmé tina

ton solennel en pointant vers le ciel

son bec imposant de l'autre côté du

nuage sombre

là se trouve la montagne de sucre candi

celle et reuze contrer ou pauvres

animaux que nous sommes nous reposerons

a jamais de nos peines

il est allé jusqu'à prétendre s'y être

opposé un jour qu'il avait volé très

très haut

et là il avait vu à l'en croire un

gâteau tour ont fait de bonnes graines

et des morceaux de sucre qui poussait à

même les et jusqu'aux champs de trèfle

éternel bien des animaux l'on croyait

movie présentes se disent et ils sont

voués à la peine et à la fin d'un monde

meilleur doit exister quelque part cela

n'est-il pas équitable et juste

mais ce qui n'était pas facile

d'expliquer c'était l'attitude des

cochons à l'égard de moïse

ils étaient unanimes à proclamer leur

mépris pour la montagne de sucre candy

et toute fable de cette farine et

pourtant il le laissait fainéanter à la

ferme et même une wii un bloc de pierre

quotidien son sabot guéri malabar

travailla plus dur que jamais la vérité

cette année là tous les animaux penher

comme des esclaves

outre le contraignant train train de la

ferme il avait la construction du

nouveau moulin et celle de l'école des

jeunes bourrés commencé en mars

quelquefois leur long labeur avec sa

nourriture insuffisante les épuisettes

et malabar lui ait faibli sait jamais il

n'avait plus ses forces une autre fois

mais rien dans ses faits et gestes ne le

trahisse est ce son apparence avait un

peu changé ta robe était moins 80 c

reims semble se creuser

malabar va se requinquer avec la bo du

printemps disaient les autres mais ce

fut le printemps et malabar ne reprit

pas de poids parfois sur la pente qui

compte huit ans au delà carrière à le

voir bander ses muscles sous le fait un

énorme bloc de pierre on aurait dit que

rien ne leur tenait debout que la

volonté à ces moments-là on lisait sur

ses lèvres sa devise le travaillerait

plus dur

mais la voix lui manquait une fois

encore douces et benjamin nous dire de

faire attention à sa santé lui n'en

faisait toujours qu'à sa tête on 12e

anniversaire était proche et bien

indienne que pourra pourvu qu avant de

prendre sa retraite il est rassemblé un

tas de pierres bien conséquent tard un

soir d'été

tout d'un coup une rumeur fait le tour

de la ferme quelque chose était arrivée

à malabar il est allé tout seul pour

traîner jusqu'au moulin encore une

charrette de pierre est bel et bien la

rumeur disait vrai quelques minutes ne

s'étaient pas écoulées que des pigeons

se précipiter avec la nouvelle malabar

est tombé il est couché sur le flanc et

ne peut plus se relever

près de la moitié des animaux coururent

aux mamelons où se dressait le moulin

malabar gisela est tendue entre les

brancards de la charrette des flancs

gluant de sueur tirant sur l'encolure et

le regard vitreux incapable même de

redresser la tête

un mince filet de sang lui était venue à

la bouche douce se mit à genoux à côté

de lui

à la barre s'écria tél comment te sens

tu sais les branches balbutia malabar ça

ne fait rien je crois que vous serez en

mesure de finir le moulin sans moi mais

un tas de pierres bien conséquent je

n'avais plus qu'un mois de travail

devant moi de toute façon et pour tout

te dire je j'avais hâte de prendre ma

retraite comme benjamin se fait vieux

peut-être que lui aussi le laisseront

prendre sa retraite pour me tenir

compagnie

il faut contacter tout de suite dit tous

vite quelqu'un préviennent bribes habile

sans plus attendre les animaux

regagnèrent la ferme au grand galop pour

porter un nouvel abri baville douce

resta seul sur place avec benjamin qui

sans un mot c'est andy à côté de malabar

et de sa longue queue se mit à chasser

les mouches qui l'embêtait

un quart d'heure plus tard à peu près

brive habile se présente à plein de

sollicitude

il déclara que le camarade napoléon

avait appris avec la plus profonde

affliction nos malheurs survenus à l'un

des plus fidèles serviteurs de la ferme

et que déjà il prôné cette disposition

pour le faire soigner à l'hôpital de

wheeling donne à ces mots les animaux ne

s'en tire pas trop rassurés par le biais

boule de neige jusque là aucun animan

avait quitté la ferme et il est de

remettre leurs camarades malades entre

les mains des hommes ne leur disait rien

du tout néanmoins ribab il les rassure à

vide

le vétérinaire de winneden s'occuperait

de malabar bien mieux qu'on aurait pu à

la ferme est à peu près une demi heure

plus tard une fois marc plus ou moins

remis et debout tant bien que mal on le

ramena clopin clopant à l'écurie ou

douce et benjamin lui avait préparé un

bon ni de paille et le jour suivant à la

barre ne quitta pas son box

les cochons il avait fait remettre une

grande foule doormen rose bonbon

découvert dans une armurerie de la salle

de bains douches lui administrer cette

bessines deux fois par jour après les

repas le soir et se couche est à côté de

lui

et pendant que benjamin chasser les

mouches lui faisait la conversation

malabar déclaré n'être pas fâché de ce

qui était arrivé une fois qu'il aurait

récupéré et se donnait encore trois

hommes à vivre se faisait une fête de

couler des jours paisibles dans un coin

de l'herbage pour la première fois il

aurait des loisirs et pourrait se

cultiver l'esprit ils avaient

l'intention disait-il de passer le reste

de sa vie à apprendre les 21 autres

lettres de l'alphabet cependant benjamin

et douce nous pouvait retrouver ma la

barque après les heures de travail et ce

fut au milieu de la journée que le

fourgon va le prendre

les animaux étaient à cercler et l'avait

sous la garde d'un cochon quand ils

furent stupéfaits de voir benjamin a

couru au galop des dépendances et

braillant à tue-tête ne l'avait jamais

connu dans un état pareil

de fait il ne l'avait même jamais vu

prendre le gallo 8 buts

cris et il venait tout de suite

désormais deux malabars sans attendre

les ordres du cochon les animaux

plantaire là le travail est à terre de

regagner les bâtiments et à n'en pas

douter il y avait dans la cour tirée par

deux chevaux et conduit par un homme à

la mine chafouine un melon rabattus sur

le fond un immense fourbe ont fermé sur

le côté du fourgon on pouvait lire des

lettres en caractère imposant et le box

de malabar est évident les animaux se

pressèrent autour du faucon criant coeur

au revoir malabar au revoir hommes did

you say me taperais benjamins ils

piaffent y est très peiné de ces petits

sabots bande d'idiots

est-ce que vous ne voyez pas comment

c'est écrit sur le côté du fourgon les

animaux se turent mêmes ce fut un

profond silence

edmée s'était mise à épeler les lettres

mais benjamin écarta brusquement et dans

le mutisme des autres lui

alfred seamount équarrisseurs et

fabricants de matières adhésives

willington négociant en pot et engrais

animal fourniture de chenilles êtes vous

maintenant ils emmènent malabar pour la

battre un cri d'horreur s'éleva pour ces

par tous dans l'instant l'homme fouette

à ses chevaux et un bon trop le fourgon

quitte à la cour les animaux

s'élançaient après lui criant de toutes

leurs forces

d'où s'était faufilé en tête faut qu'on

commence à apprendre de la vitesse et la

jument s'efforçant de pousser sur les

jambes trop forte

tout juste avant c'est au petit galop

malabar ria tél malabar malabar et à ce

moment précis comme s'il fut parvenue le

vacarme du dehors

malabar à l'arrière du fourgon montera

le mufle et l'arrêt blanche qui lui

descendait jusqu aux naseaux malabar le

crit a tous une voix de catastrophe

malabar sauve toi sauf toi vite il te

mène à la mort

tous les animaux reprirent son cri sauf

toi malabar et déjà la voiture les

gagner de vitesse n'était pas sûr que

malabar est entendu l'appel de douces

bientôt son visage c'est face à de

l'abus cas mais ensuite on l'entendît

tambouriner et trépigne et à l'intérieur

du fourgon de tous ses sabots un fracas

terrifiant il essayait à grande ruade de

défoncer de faucon

le temps avait été ou de quelques coups

de sabots il aurait pulvérisé cette

voiture mais hélas sa force avait

abandonné et bientôt le fracas de ses

sabots tambourinant s'atténue un puits

s'éteignit désespoir les animaux se

prirent à conjurer les deux chevaux qui

tirait le fourgon qu'il s'arrête donc

tamara camarades crier les animaux ne me

l'ait pas votre propre faire un mort

mais c'était des brutes bien trop

pignard pour se rendre compte de ce qui

était en jeu

des chevaux là se contentèrent de

rabattre les oreilles et forcèrent le

train est très des malabars le

réapparurent plus à la lucarne

trop tard quelqu'un a une idée de filets

de van et de refermer la clôture au sein

du barreau le fort qu'on l'a franchie

s'est déjà et bientôt des vals à la

route et disparaît

on ne revit jamais malabar

trois jours plus tard il fut annoncé

qu'il était mort à l'hôpital de swindon

en dépit de tous les soins qu'on puisse

donner un cheval et dream baby qui

annonça la nouvelle il était là dit il

lors des derniers moments le spectacle

le plus émouvant que j'aie jamais vus

déclara-t-il de la pâte s'essuyant une

larme

j'étais à son chevet tout à la fin comme

il était trop faible pour parler

il m'a confié à l'oreille son unique

chagrin qui était de rendre l'âme avant

d'avoir vu de moulins achevée en avant

en camarade disait-il dans son dernier

souffle en avant au nom du soulèvement

vive la ferme des animaux vivent leurs

camarades napoléon napoléon ne se trompe

jamais tels furent sept dernières

paroles camarades puis tout à trac

ridha ben il change d'attitude garda le

silence quelques instants et ses petits

yeux méfiant aller de l'un à l'autre

enfin il est repris à paroles il avait

eu vent dit il d'une rumeur ridicule et

perfide qui avait couru lors du

transfert de malabar à l'hôpital sur le

fourgon qui emportaient leurs camarades

certains animaux avaient remarqué le mot

équarrisseurs est bel et bien on avait

conclu qu'on l'emmener chez les amateurs

de chevaux

vraiment ça ne pas croire qu'il eut des

animaux aussi bête sans nul doute

s'écria-t-il indignée la queue

frémissante et sautillant de gauche à

droite sans nul doute les animaux

connaissent assez leur chef bien-aimé le

camarade napoléon pour ne pas croire à

des fable pareille

l'explication était la plus simple nous

forons avait bien appartenu un

équarrisseur mais celui ci l'avait vendu

un vétérinaire

ce vétérinaire n'avait pas encore effacé

une ancienne raison sociale tous une

nouvelle couche de peinture est ce

qu'ils avaient pu induire en erreur les

animaux et profère un profond

soulagement à ses paroles qu'ambri babil

leur redonnait d'autres explications

magnifique sur les derniers moments de

mal à part les soins admirable austin

avait été entouré les remèdes hors de

prix payé par napoléon sans qu'il se fût

soucier du coup alors leurs derniers

doutes fut relevé et le chagrin qui ne

s'est prouvé de la mort de leur camarade

fut adouci à la pensé qu'au moins il

était mort heureux

le dimanche suivant d'appeler ou en

personne apparu à l'assemblée du matin

et il prononcera une brève allocution

pour célébrer la mémoire du regretté

camarades il n'avait pas été possible

dit-il de ramener ces restes afin de les

inhumer à la ferme mais il avait

commandé une couronne imposante qu'on

ferait avec les lauriers du jardin et

qui serait déposé sur sa tombe

des cochons comptait organiser sous

quelques jours un banquet commémoratif

en l'honneur du défunt

napoléon termina son oraison funèbre en

rappelant les deux maximes préférées de

malabar je vais travailler plus dur

et le camarade napoléon ne se trompe

jamais

maxime ajouta-t-il que tout animal

gagnerait à faire sienne au jour fixé du

banquet une camionnette dépit sylvain

tarroux lyndon livrer la maison d'une

grande caisse à claire-voie

cette mine à selva un grand tintamarre

de chansons suivi et on dit d'une

querelle violente qui sur les onze

heures pris fin dans un fracas de verres

brisés

personne dans la maison d'habitation ne

donna signe de vie avant le lendemain

midi et le bruit courait que le cochon

s'était procuré on savait où ni comment

l'argent d'une autre caisse de whisky


Livre Audio - La Ferme des Animaux - Chapitre 9 Audio Book - Animal Farm - Chapter 9 Áudio Livro - A Quinta dos Animais - Capítulo 9 有声读物 - 《动物农场》 - 第9章

[Musique]

ferme des animaux

oeuvre écrite par george orwell compter

parmi camille est présenté par mp3 vox à

chapitre 9 le sabot fendu de malabar fut

longtemps guérir la reconstruction du

moulin avait commencé dès la fin des

fêtes de la victoire malabar refusé de

prendre un seul jour de repos et il se

faisait un point d'honneur à ne pas

montrer qu'il souffrait

le soir il à votre douce en confidence

que son savon le faisait mal et nous lui

poser des cataplasmes de plantes qu'elle

préparait en les machines ans

benjamin se joignait à elle pour

l'exhorter à prendre moins de peine

elle me disait les branches d'un cheval

ne sont pas éternels mais malabar ne

voulait rien entendre il n'y avait plus

disait-il qu'une seule vraie ambition

voir la construction du moulin bien

avancé avant qu'il n'atteigne l'âge de

la retraite

dans les premiers temps kan avait été

énoncé les lois de la ferme des animaux

l'âge de la retraite avait été arrêté à

12 ans pour les chevaux et les cochons

14 pour les vaches 7 pour les moutons 5

pour les poules et les oies on s'était

mis d'accord sur une estimation libéral

du montant des pensions

pourtant aucun animal n'avait encore

bénéficier de ces avantages

mais maintenant le sujet était de plus

en plus souvent débattu depuis que le

clos attenant au verger avait été

réservée à la culture de l'orge

le bruit courait qu'une parcelle du

grand herbages serait plus durer et

converti en pâturage pour les animaux à

la retraite pour un cheval on évaluer la

pension à 5 livres de grains et en hiver

15 livres de foin plus aux jours fériés

une carotte ou une pomme peut-être le

12e anniversaire de malabar tombé l'été

de l'année suivante

mais en attendant la vie était dure

l'hiver fut aussi rigoureux que le

précédent et les portions encore plus

réduite

sauf pour les cochons et des chiens une

trop stricte égalité des rations

expliqué bribes habile eût été contraire

au principe de l'animal isme de toute

façon il n'avait pas de mal à prouver

aux autres animaux que en dépit des

apparences il n'avait pas pénurie de

fourrage pour le moment il était apparu

nécessaire de procéder à un réajustement

des rations mais l'amélioration était

manifeste à qui se rappelait le temps

nos jones une voix pointu et d'un débit

rapide bribes habile accumulé les

chiffres lesquels prouvé par le détail

une consommation accrue en avoine foin

et n'avait une réduction du temps de

travail

un progrès en longévité une mortalité

infantile en régression en outre l'eau

était plus pure la paille plus douces au

sommeil on était moins dévoré par les

puces

et tous l'ont croyait sur parole à la

vérité jones avec tout ce qu'ils avaient

représenté ne leur rappeler plus grand

chose

il savait bien la rudesse de leur vie à

présent est que souvent ils avaient faim

et souvent froid et qu'en dehors des

heures de sommeil le plus souvent ils

étaient à trimer mais sans doute sa

vedette est pire dans les anciens temps

ils étaient contents de le croire en

outre ils étaient esclaves alors mais

maintenant ils disaient tu es libre ce

qui changeait tout ainsi que my baby ne

manquait jamais de le souligner il y

avait bien plus de bouches à nourrir

désormais à l'automne des quatre treuils

avait mis bas presque en même temps doux

à elles toutes 31 nouveaux nés comme

c'étaient des porcelets pays et que

napoléon était le mal en chef on pouvait

sans trop de peine établir leur parenté

est juste annoncé que plus tard une fois

briquet mois de charpente à pied

d'oeuvre

on construirait une école dans le

potager pour le moment napoléon avait

pris sur lui même d'enseigner les jeunes

gorée dans la cuisine et il s'amusait

prenez de l'exercice dans le jardin

attenant à la maison on les détourne et

de se mêler au jeu des autres animaux

vers ce temps-là fait poser en principe

que tout animal trouvera un cochon sur

ce chemin aurait à lui céder le pas de

plus tous les cochons quel que fût leur

rang jouirait du privilège d'être vu le

dimanche un ruban vert à la queue

l'année à la ferme avait été assez bonne

mais on était encore à court d'argent

il fallait se procurer les briques le

sable et la chaux pour l'école et pour

acquérir la machinerie du moulin on

devrait de nouveau économiser

il y avait l'huile des lampes et les

bougies pour la maison le sucre pour la

table de napoléon est en outre les

réapprovisionnements ordinaire ou type

louche hissel charbon fil de fer

ferraille et biscuits de chiens ont

vendu une part de la récolte de pommes

de terre et un peu de foi et pour les

oeufs le contrat de vente fut porté à 6

cents par semaine

de la sorte c'est à peine si les poules

couvert à ses deux petits pour maintenir

au complet leurs effectifs une première

fois réduite en décembre les rations le

furent encore en février et pour

épargner l'huile mu a jeté lanterne à

l'établé à l'écurie feu prohibée mais

les cochons avait encore la vie belle

apparemment prenant même de l'embonpoint

un après-midi de fin février un riche et

appétissant relents tels que jamais les

animaux n'en avait eu mes deux pareils

flotat dans la cour ils filtraient de la

petite brasserie située derrière la

cuisine que jones avait laissé à

l'abandon

quelques uns avancent à l'opinion qu'on

faisait bouillir de l'orge les animaux

renifler l'air avidement et il se

demandait si peut-être qu'ils auraient

un broue chaud pour leur souper

mais il n'y pas de rond et chaud et le

dimanche suivant on fit connaître que

dorénavant tout l'orge serait réservé

aux cochons le champ derrière le verger

on avait été semé des chats et la

nouvelle transpire à bientôt tout cochon

toucherait sa ration quotidienne de

bière une pinte pour le commun entre eux

et pour napoléon 10 servie dans la

soupière de porcelaine de derby marqué

d'une couronne s'il fallait souffrir

bien des épreuves on était en partie des

dommages et car on vivait bien plus

dignement qu'autrefois et il n'avait

plus de champ plus de discours plus de

défis des napoléon avait redonné une

manifestation spontanée habdomadaire

avec pour objet de célébrer les luttes

et triomphe de la ferme des animaux à

l'heure convenue tous quitté le travail

et marcher au pas cadencé autour du

domaine une deux une deux et en

formation militaire les cochons et les

devants puis c'était dans l'ordre les

chevaux les vaches les moutons

enfin la menue volaille les chiens se

tenait en serre file tout en tête du

cortège avance et le petit coq noir à

eux deux malabars et 12 portées au une

bannière verte frappé de la corne du

sabot avec cette inscription vive le

camarade napoléon

après quoi été récité des poèmes en

l'honneur de napoléon puis bry babil

prononcé un discours nourri des

dernières nouvelles faisant état d'une

production accrue en biens de

consommation et de temps en temps on

tiré un coup de fusil à ces

manifestations spontanées les moutons

prenais part avec une ferveur inégalée

quelqu'un de malhonnête il à se plaindre

que tout cela était perçue de temps et

qu'il faisait le pied de grue dans le

froid les moutons chaque fois leur

imposer silence de leurs bellemans

formidable en tenant le mot d'ordre

quatre pattes

oui deux pattes non mais à tout prendre

les animaux trouvait plaisir à ces

célébrations

il était conforté dans l'idée d'être

leur propre m après tout est ainsi de

vrais à leur propre bien si grâce aux

chants et des filets et aux chiffres et

somme de bribes habile et au fusil

keaton et on cocorico du coq les et aux

drapeaux au vent

vous pouvez oublier un temps qu'ils

avaient le ventre creux en avril

la ferme des animaux fut proclamée

république

ils ont dû élire un président il n'eut

qu'un candidat napoléon qui fut

unanimement plébiscité ce même jour on

appris que la collusion de boule de

neige avec jones était étayée sur des

preuves nouvelles lors de la bataille de

les tables boule de neige ne s'était pas

tenue comme les animaux l'avais cru

d'abord attendait de les conduire à leur

perte au moyen d'un stratagème non boule

de neige avaient ouvertement combattu

dans les rangs de jones de fait c'était

lui qui avait pris la tête des forces

humaines et il était monté à l'assaut

aux cris de vive l'humanité

et ses blessures à la chine que quelques

animaux se rappeler lui avoir vu elle

lui avait été infligée des dents de

napoléon au coeur de l'été le corps

boboïse rohff issoudun apparition après

des années d'absence et c'était toujours

le même oiseau n'affichant pas une rame

et chantant les louanges de la montagne

de sucre candi tout comme au temps du

bon temps il se percher sur une souche

et battant des ailes qui l'avait noir et

des heures durant ils palabrent et à la

cantonade là au camarade affirmé tina

ton solennel en pointant vers le ciel

son bec imposant de l'autre côté du

nuage sombre

là se trouve la montagne de sucre candi

celle et reuze contrer ou pauvres

animaux que nous sommes nous reposerons

a jamais de nos peines

il est allé jusqu'à prétendre s'y être

opposé un jour qu'il avait volé très

très haut

et là il avait vu à l'en croire un

gâteau tour ont fait de bonnes graines

et des morceaux de sucre qui poussait à

même les et jusqu'aux champs de trèfle

éternel bien des animaux l'on croyait

movie présentes se disent et ils sont

voués à la peine et à la fin d'un monde

meilleur doit exister quelque part cela

n'est-il pas équitable et juste

mais ce qui n'était pas facile

d'expliquer c'était l'attitude des

cochons à l'égard de moïse

ils étaient unanimes à proclamer leur

mépris pour la montagne de sucre candy

et toute fable de cette farine et

pourtant il le laissait fainéanter à la

ferme et même une wii un bloc de pierre

quotidien son sabot guéri malabar

travailla plus dur que jamais la vérité

cette année là tous les animaux penher

comme des esclaves

outre le contraignant train train de la

ferme il avait la construction du

nouveau moulin et celle de l'école des

jeunes bourrés commencé en mars

quelquefois leur long labeur avec sa

nourriture insuffisante les épuisettes

et malabar lui ait faibli sait jamais il

n'avait plus ses forces une autre fois

mais rien dans ses faits et gestes ne le

trahisse est ce son apparence avait un

peu changé ta robe était moins 80 c

reims semble se creuser

malabar va se requinquer avec la bo du

printemps disaient les autres mais ce

fut le printemps et malabar ne reprit

pas de poids parfois sur la pente qui

compte huit ans au delà carrière à le

voir bander ses muscles sous le fait un

énorme bloc de pierre on aurait dit que

rien ne leur tenait debout que la

volonté à ces moments-là on lisait sur

ses lèvres sa devise le travaillerait

plus dur

mais la voix lui manquait une fois

encore douces et benjamin nous dire de

faire attention à sa santé lui n'en

faisait toujours qu'à sa tête on 12e

anniversaire était proche et bien

indienne que pourra pourvu qu avant de

prendre sa retraite il est rassemblé un

tas de pierres bien conséquent tard un

soir d'été

tout d'un coup une rumeur fait le tour

de la ferme quelque chose était arrivée

à malabar il est allé tout seul pour

traîner jusqu'au moulin encore une

charrette de pierre est bel et bien la

rumeur disait vrai quelques minutes ne

s'étaient pas écoulées que des pigeons

se précipiter avec la nouvelle malabar

est tombé il est couché sur le flanc et

ne peut plus se relever

près de la moitié des animaux coururent

aux mamelons où se dressait le moulin

malabar gisela est tendue entre les

brancards de la charrette des flancs

gluant de sueur tirant sur l'encolure et

le regard vitreux incapable même de

redresser la tête

un mince filet de sang lui était venue à

la bouche douce se mit à genoux à côté

de lui

à la barre s'écria tél comment te sens

tu sais les branches balbutia malabar ça

ne fait rien je crois que vous serez en

mesure de finir le moulin sans moi mais

un tas de pierres bien conséquent je

n'avais plus qu'un mois de travail

devant moi de toute façon et pour tout

te dire je j'avais hâte de prendre ma

retraite comme benjamin se fait vieux

peut-être que lui aussi le laisseront

prendre sa retraite pour me tenir

compagnie

il faut contacter tout de suite dit tous

vite quelqu'un préviennent bribes habile

sans plus attendre les animaux

regagnèrent la ferme au grand galop pour

porter un nouvel abri baville douce

resta seul sur place avec benjamin qui

sans un mot c'est andy à côté de malabar

et de sa longue queue se mit à chasser

les mouches qui l'embêtait

un quart d'heure plus tard à peu près

brive habile se présente à plein de

sollicitude

il déclara que le camarade napoléon

avait appris avec la plus profonde

affliction nos malheurs survenus à l'un

des plus fidèles serviteurs de la ferme

et que déjà il prôné cette disposition

pour le faire soigner à l'hôpital de

wheeling donne à ces mots les animaux ne

s'en tire pas trop rassurés par le biais

boule de neige jusque là aucun animan

avait quitté la ferme et il est de

remettre leurs camarades malades entre

les mains des hommes ne leur disait rien

du tout néanmoins ribab il les rassure à

vide

le vétérinaire de winneden s'occuperait

de malabar bien mieux qu'on aurait pu à

la ferme est à peu près une demi heure

plus tard une fois marc plus ou moins

remis et debout tant bien que mal on le

ramena clopin clopant à l'écurie ou

douce et benjamin lui avait préparé un

bon ni de paille et le jour suivant à la

barre ne quitta pas son box

les cochons il avait fait remettre une

grande foule doormen rose bonbon

découvert dans une armurerie de la salle

de bains douches lui administrer cette

bessines deux fois par jour après les

repas le soir et se couche est à côté de

lui

et pendant que benjamin chasser les

mouches lui faisait la conversation

malabar déclaré n'être pas fâché de ce

qui était arrivé une fois qu'il aurait

récupéré et se donnait encore trois

hommes à vivre se faisait une fête de

couler des jours paisibles dans un coin

de l'herbage pour la première fois il

aurait des loisirs et pourrait se

cultiver l'esprit ils avaient

l'intention disait-il de passer le reste

de sa vie à apprendre les 21 autres

lettres de l'alphabet cependant benjamin

et douce nous pouvait retrouver ma la

barque après les heures de travail et ce

fut au milieu de la journée que le

fourgon va le prendre

les animaux étaient à cercler et l'avait

sous la garde d'un cochon quand ils

furent stupéfaits de voir benjamin a

couru au galop des dépendances et

braillant à tue-tête ne l'avait jamais

connu dans un état pareil

de fait il ne l'avait même jamais vu

prendre le gallo 8 buts

cris et il venait tout de suite

désormais deux malabars sans attendre

les ordres du cochon les animaux

plantaire là le travail est à terre de

regagner les bâtiments et à n'en pas

douter il y avait dans la cour tirée par

deux chevaux et conduit par un homme à

la mine chafouine un melon rabattus sur

le fond un immense fourbe ont fermé sur

le côté du fourgon on pouvait lire des

lettres en caractère imposant et le box

de malabar est évident les animaux se

pressèrent autour du faucon criant coeur

au revoir malabar au revoir hommes did

you say me taperais benjamins ils

piaffent y est très peiné de ces petits

sabots bande d'idiots

est-ce que vous ne voyez pas comment

c'est écrit sur le côté du fourgon les

animaux se turent mêmes ce fut un

profond silence

edmée s'était mise à épeler les lettres

mais benjamin écarta brusquement et dans

le mutisme des autres lui

alfred seamount équarrisseurs et

fabricants de matières adhésives

willington négociant en pot et engrais

animal fourniture de chenilles êtes vous

maintenant ils emmènent malabar pour la

battre un cri d'horreur s'éleva pour ces

par tous dans l'instant l'homme fouette

à ses chevaux et un bon trop le fourgon

quitte à la cour les animaux

s'élançaient après lui criant de toutes

leurs forces

d'où s'était faufilé en tête faut qu'on

commence à apprendre de la vitesse et la

jument s'efforçant de pousser sur les

jambes trop forte

tout juste avant c'est au petit galop

malabar ria tél malabar malabar et à ce

moment précis comme s'il fut parvenue le

vacarme du dehors

malabar à l'arrière du fourgon montera

le mufle et l'arrêt blanche qui lui

descendait jusqu aux naseaux malabar le

crit a tous une voix de catastrophe

malabar sauve toi sauf toi vite il te

mène à la mort

tous les animaux reprirent son cri sauf

toi malabar et déjà la voiture les

gagner de vitesse n'était pas sûr que

malabar est entendu l'appel de douces

bientôt son visage c'est face à de

l'abus cas mais ensuite on l'entendît

tambouriner et trépigne et à l'intérieur

du fourgon de tous ses sabots un fracas

terrifiant il essayait à grande ruade de

défoncer de faucon

le temps avait été ou de quelques coups

de sabots il aurait pulvérisé cette

voiture mais hélas sa force avait

abandonné et bientôt le fracas de ses

sabots tambourinant s'atténue un puits

s'éteignit désespoir les animaux se

prirent à conjurer les deux chevaux qui

tirait le fourgon qu'il s'arrête donc

tamara camarades crier les animaux ne me

l'ait pas votre propre faire un mort

mais c'était des brutes bien trop

pignard pour se rendre compte de ce qui

était en jeu

des chevaux là se contentèrent de

rabattre les oreilles et forcèrent le

train est très des malabars le

réapparurent plus à la lucarne

trop tard quelqu'un a une idée de filets

de van et de refermer la clôture au sein

du barreau le fort qu'on l'a franchie

s'est déjà et bientôt des vals à la

route et disparaît

on ne revit jamais malabar

trois jours plus tard il fut annoncé

qu'il était mort à l'hôpital de swindon

en dépit de tous les soins qu'on puisse

donner un cheval et dream baby qui

annonça la nouvelle il était là dit il

lors des derniers moments le spectacle

le plus émouvant que j'aie jamais vus

déclara-t-il de la pâte s'essuyant une

larme

j'étais à son chevet tout à la fin comme

il était trop faible pour parler

il m'a confié à l'oreille son unique

chagrin qui était de rendre l'âme avant

d'avoir vu de moulins achevée en avant

en camarade disait-il dans son dernier

souffle en avant au nom du soulèvement

vive la ferme des animaux vivent leurs

camarades napoléon napoléon ne se trompe

jamais tels furent sept dernières

paroles camarades puis tout à trac

ridha ben il change d'attitude garda le

silence quelques instants et ses petits

yeux méfiant aller de l'un à l'autre

enfin il est repris à paroles il avait

eu vent dit il d'une rumeur ridicule et

perfide qui avait couru lors du

transfert de malabar à l'hôpital sur le

fourgon qui emportaient leurs camarades

certains animaux avaient remarqué le mot

équarrisseurs est bel et bien on avait

conclu qu'on l'emmener chez les amateurs

de chevaux

vraiment ça ne pas croire qu'il eut des

animaux aussi bête sans nul doute

s'écria-t-il indignée la queue

frémissante et sautillant de gauche à

droite sans nul doute les animaux

connaissent assez leur chef bien-aimé le

camarade napoléon pour ne pas croire à

des fable pareille

l'explication était la plus simple nous

forons avait bien appartenu un

équarrisseur mais celui ci l'avait vendu

un vétérinaire

ce vétérinaire n'avait pas encore effacé

une ancienne raison sociale tous une

nouvelle couche de peinture est ce

qu'ils avaient pu induire en erreur les

animaux et profère un profond

soulagement à ses paroles qu'ambri babil

leur redonnait d'autres explications

magnifique sur les derniers moments de

mal à part les soins admirable austin

avait été entouré les remèdes hors de

prix payé par napoléon sans qu'il se fût

soucier du coup alors leurs derniers

doutes fut relevé et le chagrin qui ne

s'est prouvé de la mort de leur camarade

fut adouci à la pensé qu'au moins il

était mort heureux

le dimanche suivant d'appeler ou en

personne apparu à l'assemblée du matin

et il prononcera une brève allocution

pour célébrer la mémoire du regretté

camarades il n'avait pas été possible

dit-il de ramener ces restes afin de les

inhumer à la ferme mais il avait

commandé une couronne imposante qu'on

ferait avec les lauriers du jardin et

qui serait déposé sur sa tombe

des cochons comptait organiser sous

quelques jours un banquet commémoratif

en l'honneur du défunt

napoléon termina son oraison funèbre en

rappelant les deux maximes préférées de

malabar je vais travailler plus dur

et le camarade napoléon ne se trompe

jamais

maxime ajouta-t-il que tout animal

gagnerait à faire sienne au jour fixé du

banquet une camionnette dépit sylvain

tarroux lyndon livrer la maison d'une

grande caisse à claire-voie

cette mine à selva un grand tintamarre

de chansons suivi et on dit d'une

querelle violente qui sur les onze

heures pris fin dans un fracas de verres

brisés

personne dans la maison d'habitation ne

donna signe de vie avant le lendemain

midi et le bruit courait que le cochon

s'était procuré on savait où ni comment

l'argent d'une autre caisse de whisky