×

Nous utilisons des cookies pour rendre LingQ meilleur. En visitant le site vous acceptez nos Politique des cookies.


image

rfi journal français facile, RFI journal en français facile 10 juin 2022

RFI journal en français facile 13 juin 2022

Adrien Delgrange : Bonsoir à toutes et à tous, il est 20h en temps universel, 22h à Paris. Vous écoutez RFI, c'est l'heure de votre Journal en français facile. Avec Zéphyrin Kouadio. Bonsoir.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir à toutes et à tous.

AD : Nous sommes ensemble pour un tour du monde de l'actualité.

ZK : Et ce vendredi 10 juin, au sommaire de cette édition…

AD : Aux États-Unis tout d'abord. L'inflation, autrement dit l'augmentation des prix, est au plus haut depuis 40 ans, nous serons avec notre correspondant à Washington.

ZK : Et puis la Chine « n'hésitera pas à déclencher une guerre » pour Taïwan, ce sont les mots inquiétants du ministère chinois de la Défense.

AD : La justice en France : au procès du 13 Novembre, la prison à vie requise, demandée, contre Salah Abdeslam, le principal accusé.

ZK : Et puis à Paris, un hommage émouvant ce soir au journaliste français tué en Ukraine la semaine dernière.

AD : Et puis nous parlerons de sport dans ce journal, à 6 mois du mondial de football, l'équipe de France rencontre l'équipe d'Autriche. Antoine Grognet nous attend à Vienne. Voilà pour les titres, soyez les bienvenus.

-------

ZK : Et on commence Adrien par ces prix toujours plus haut aux États-Unis.

AD : C'est une nouvelle accélération de ce qu'on appelle l'inflation. Les chiffres pour le mois de mai ont été annoncés ce vendredi et les résultats ne sont pas bons. RFI Washington, Guillaume Naudin.

+8,6 % par rapport au mois de mai de l'an dernier. La hausse des prix est toujours au plus haut depuis quarante ans. C'est même une réaccélération par rapport au mois d'avril quand la hausse avait un peu ralenti, laissant les plus optimistes espérer un début de ralentissement. Bien au contraire, les prix continuent à augmenter et les analystes voient cela s'installer dans la durée. C'est le cas pour la nourriture, le logement, les billets d'avion et bien sûr le carburant, le prix de l'essence continue à battre record sur record. Le prix moyen a augmenté de plus de 60% depuis un an et singulièrement. Les consommateurs américains souffrent, mais n'ont d'autre choix que de continuer à payer les incontournables et leur budget. L'administration Biden le sait. Le président a fait de la hausse des prix sa priorité N°1. Son offensive médiatique sur le sujet avec une tribune dans la presse et des déclarations multiples de sa part et de son entourage ne change pas grand-chose au fait que tout augmente. Le président dit faire confiance à la réserve fédérale pour faire de la maîtrise de l'inflation sa priorité. La Fed a déjà augmenté ses taux et prévu de le faire à nouveau. Mais elle doit aussi faire attention à ne pas compromettre l'activité économique. Une nouvelle réunion de la Fed, et de nouvelle décision sont prévues la semaine prochaine. Guillaume Naudin, Washington, RFI.

ZK : Dans l'actualité également, des propos musclés entre Pékin et Washington.

AD : Puisque la Chine prévient les États-Unis qu'elle n'hésiterait pas à entrer en guerre pour Taiwan, seulement si l'ile déclare son indépendance. C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Défense chinoise aujourd'hui à son homologue américain. Achim Lippold, les deux hommes se sont rencontrés à Singapour.

Oui effectivement et la mise en garde de la Chine à l'encontre des États-Unis, Adrien, n'a rien de surprenant. Washington devait s'attendre à une réponse musclée après les dernières déclarations du président américain. Lors d'une visite au Japon en mai dernier, Joe Biden avait laissé entendre que son pays pourrait défendre militairement Taïwan en cas d'invasion chinoise. Ces propos ont été perçu comme une provocation par la Chine. Son ministre de la Défense a fait comprendre ce vendredi à son homologue américain que Pékin briserait, je cite « en mille morceaux toute tentative d'indépendance de la part de Taïwan ». Il faut savoir que la Chine considère Taïwan comme l'une de ses provinces, comme appartient à son territoire. Le secrétaire à la défense américain, Lloyd Austin, de son côté a également mis en garde Pékin qui devrait selon lui « s'abstenir de toute nouvelle action déstabilisante envers Taïwan ». Enfaite, c'est une allusion à l'incursion, il y a 10 jours, d'une vingtaine d'avions de chasse chinois dans la zone de défense taiwanaise. Mais Taiwan n'est pas le seul point de discorde, la seule source de tensions, entre les deux pays. Des tensions existent également autour de l'influence grandissante de Pékin en mer de Chine méridionale ou encore récemment au sujet de la guerre en Ukraine.

AD : À l'écoute de RFI en direct de Paris, il est 22h05, c'était Achim Lippold.

ZK : La guerre en Ukraine justement. La France propose d'aider à débloquer le port d'Odessa.

AD : Alors que des combats meurtriers se poursuivent à l'heure actuelle dans le sud et l'est du pays, Paris se dit prêt à aider à lever le blocus du port ukrainien d'Odessa, et ce, afin de débloquer les céréales à l'origine d'une crise alimentaire dans le monde. « L'idée est de pouvoir faire passer des bateaux alors que la mer est minée », déclare un conseiller du président Emmanuel Macron.

ZK : Lui est mort en Ukraine. Des mots, des larmes et des chants ce soir à Paris en hommage à Frédéric Leclerc-Imhoff.

AD : Journaliste français tué par un bombardement russe à l'est de l'Ukraine alors qu'il travaillait pour la chaîne d'information BFM TV. Ce soir, en plein coeur de Paris, place de la république, quelques centaines de personnes s'étaient réunis pour écouter les prises de paroles de sa mère, d'amis, mais aussi de militants de droit à l'information. Un hommage qui porte un message, selon le secrétaire général de Reporter Sans Frontière, Christophe Deloire.

Le message ce soir, c'est finalement une forme de message de fierté, fierté de voir que des jeunes journalistes peuvent faire leur travail comme ça, avec un idéal solide, cheville au corps, des principes éthiques, forme de courage, exercer une forme de vocation face à des grands appareils de propagande et de censure. Moi, je pense qu'on retiendra de cette soirée l'émotion de tous ses proches. L'élan vital de ce jeune homme, ses idéaux. Il y avait beaucoup, beaucoup d'humanité. Moi, je retiendrais finalement une phrase qui est une phrase de sa mère qui déjà m'avait dit, au lendemain de la mort de son fils, « sa courte vie aura eu un sens » et notamment un sens lié à l'exercice professionnel. Et qui, ce soir, a dit une autre très belle phrase, elle a parlé « de l'humanité positive face à la barbarie ». Et finalement ça pourrait peut-être être une belle définition du journalisme.

AD : Le secrétaire général de Reporter Sans Frontière, Christophe Deloire. Propos recueillis ce soir par Théo Renaudon.

ZK : Et toujours en France, on approche de la fin du procès des attentats de 2015. Le parquet requiert, c'est-à-dire qu'il demande, il demande donc la prison à vie contre Salah Abdeslam.

AD : C'est la peine la plus lourde possible contre Salah Abdeslam, le seul membre encore en vie des commandos du 13 novembre 2015. Des terroristes qui ont causé la mort, je vous le rappelle, de 130 personnes à Paris et Saint-Denis. La parole sera donnée à la défense à partir de lundi et pour deux semaines. Le verdict est attendu le 29 juin.

ZK : Au Sénégal, un député de l'opposition dort ce soir en prison.

AD : Le député, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, avait tenu des propos critiques contre le président Sall, lors d'une manifestation des deux coalitions mercredi à Dakar. Il a été écroué pour « offense au chef de l'État et diffusion de fausses nouvelles ». Au Mali, lui, a été libéré, Étienne Fakaba Sissoko, l'économiste malien et écroué depuis 5 mois pour des raisons politiques, selon son avocat, il a été relâché ce soir, assurent son entourage.

ZK : Jair Bolsonaro, le président brésilien, assure, lors du Sommet des Amériques qui se tient à Los Angeles, que son pays n'a « pas besoin de l'Amazonie pour développer son activité agricole ».

AD : Il s'agit là d'un revirement pour le dirigeant d'extrême droite, qui s'était jusqu'ici montré favorable à l'exploitation économique des ressources de cette immense foret qui couvre huit pays d'Amérique latine, mais dont la majeure partie se trouve au Brésil.

ZK : Parlons football, ligue des nations, l'Autriche reçoit l'équipe de France.

AD : La rencontre se déroule à Vienne, où nous retrouvons notre envoyé spécial, Antoine Grognet, bonsoir.

Antoine Grognet : Bonsoir Adrien.

AD : L'équipe de France pousse pour tenter d'égaliser.

Les Bleus, menés depuis la 37e minute et le but d'Andreas Weimann, l'attaquant autrichien, à la plus grande joie évidemment du public du stade Ernst-Happel de Vienne, mais à la grande surprise d'une équipe de France théoriquement favorite. Sauf que les Bleus sont en plein doute avec seulement un nul et une défaite dans cette Ligue des nations. Les Bleus, qui se sont clairement fait remonter les bretelles, c'est-à-dire que Didier Deschamps a dû crier très fort dans les vestiaires. L'équipe de France est revenue beaucoup plus offensive depuis le début de la seconde période, mais ça n'a pas fonctionné jusqu'ici. L'équipe de France, malgré les occasions de Karim Benzema, Kingsley Coman ou Benjamin Pavard et toujours mené un but à 0 par l'Autriche, ça se complique fortement dans ce groupe 1 de la Ligue des Nations pour l'équipe de France.

AD : Antoine Grognet à Vienne pour RFI.


RFI journal en français facile 13 juin 2022 RFI news in easy French June 10, 2022 쉬운 프랑스어로 된 RFI 뉴스 2022년 6월 10일 RFI nieuws in eenvoudig Frans 10 juni 2022 Notícias da RFI em francês fácil 10 de junho de 2022

Adrien Delgrange : Bonsoir à toutes et à tous, il est 20h en temps universel, 22h à Paris. Vous écoutez RFI, c'est l'heure de votre Journal en français facile. Avec Zéphyrin Kouadio. Bonsoir.

Zéphyrin Kouadio : Bonsoir à toutes et à tous.

AD : Nous sommes ensemble pour un tour du monde de l'actualité.

ZK : Et ce vendredi 10 juin, au sommaire de cette édition…

AD : Aux États-Unis tout d'abord. L'inflation, autrement dit l'augmentation des prix, est au plus haut depuis 40 ans, nous serons avec notre correspondant à Washington.

ZK : Et puis la Chine « n'hésitera pas à déclencher une guerre » pour Taïwan, ce sont les mots inquiétants du ministère chinois de la Défense.

AD : La justice en France : au procès du 13 Novembre, la prison à vie requise, demandée, contre Salah Abdeslam, le principal accusé.

ZK :  Et puis à Paris, un hommage émouvant ce soir au journaliste français tué en Ukraine la semaine dernière.

AD : Et puis nous parlerons de sport dans ce journal, à 6 mois du mondial de football, l'équipe de France rencontre l'équipe d'Autriche. Antoine Grognet nous attend à Vienne. Voilà pour les titres, soyez les bienvenus.

-------

ZK : **Et on commence Adrien par ces prix toujours plus haut aux États-Unis. **

AD : C'est une nouvelle accélération de ce qu'on appelle l'inflation. Les chiffres pour le mois de mai ont été annoncés ce vendredi et les résultats ne sont pas bons. RFI Washington, Guillaume Naudin.

+8,6 % par rapport au mois de mai de l'an dernier. La hausse des prix est toujours au plus haut depuis quarante ans. C'est même une réaccélération par rapport au mois d'avril quand la hausse avait un peu ralenti, laissant les plus optimistes espérer un début de ralentissement. Bien au contraire, les prix continuent à augmenter et les analystes voient cela s'installer dans la durée. C'est le cas pour la nourriture, le logement, les billets d'avion et bien sûr le carburant, le prix de l'essence continue à battre record sur record. Le prix moyen a augmenté de plus de 60% depuis un an et singulièrement. Les consommateurs américains souffrent, mais n'ont d'autre choix que de continuer à payer les incontournables et leur budget. L'administration Biden le sait. Le président a fait de la hausse des prix sa priorité N°1. Son offensive médiatique sur le sujet avec une tribune dans la presse et des déclarations multiples de sa part et de son entourage ne change pas grand-chose au fait que tout augmente. Le président dit faire confiance à la réserve fédérale pour faire de la maîtrise de l'inflation sa priorité. La Fed a déjà augmenté ses taux et prévu de le faire à nouveau. Mais elle doit aussi faire attention à ne pas compromettre l'activité économique. Une nouvelle réunion de la Fed, et de nouvelle décision sont prévues la semaine prochaine. Guillaume Naudin, Washington, RFI.

ZK : **Dans l'actualité également, des propos musclés entre Pékin et Washington. **

AD : Puisque la Chine prévient les États-Unis qu'elle n'hésiterait pas à entrer en guerre pour Taiwan, seulement si l'ile déclare son indépendance. C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Défense chinoise aujourd'hui à son homologue américain. Achim Lippold, les deux hommes se sont rencontrés à Singapour.

Oui effectivement et la mise en garde de la Chine à l'encontre des États-Unis, Adrien, n'a rien de surprenant. Washington devait s'attendre à une réponse musclée après les dernières déclarations du président américain. Lors d'une visite au Japon en mai dernier, Joe Biden avait laissé entendre que son pays pourrait défendre militairement Taïwan en cas d'invasion chinoise. Ces propos ont été perçu comme une provocation par la Chine. Son ministre de la Défense a fait comprendre ce vendredi à son homologue américain que Pékin briserait, je cite « en mille morceaux toute tentative d'indépendance de la part de Taïwan ». Il faut savoir que la Chine considère Taïwan comme l'une de ses provinces, comme appartient à son territoire. Le secrétaire à la défense américain, Lloyd Austin, de son côté a également mis en garde Pékin qui devrait selon lui « s'abstenir de toute nouvelle action déstabilisante envers Taïwan ». Enfaite, c'est une allusion à l'incursion, il y a 10 jours, d'une vingtaine d'avions de chasse chinois dans la zone de défense taiwanaise. Mais Taiwan n'est pas le seul point de discorde, la seule source de tensions, entre les deux pays. Des tensions existent également autour de l'influence grandissante de Pékin en mer de Chine méridionale ou encore récemment au sujet de la guerre en Ukraine.

AD : À l'écoute de RFI en direct de Paris, il est 22h05, c'était Achim Lippold.

ZK : **La guerre en Ukraine justement. La France propose d'aider à débloquer le port d'Odessa. **

AD : Alors que des combats meurtriers se poursuivent à l'heure actuelle dans le sud et l'est du pays, Paris se dit prêt à aider à lever le blocus du port ukrainien d'Odessa, et ce, afin de débloquer les céréales à l'origine d'une crise alimentaire dans le monde. « L'idée est de pouvoir faire passer des bateaux alors que la mer est minée », déclare un conseiller du président Emmanuel Macron.

ZK : **Lui est mort en Ukraine. Des mots, des larmes et des chants ce soir à Paris en hommage à Frédéric Leclerc-Imhoff. **

AD : Journaliste français tué par un bombardement russe à l'est de l'Ukraine alors qu'il travaillait pour la chaîne d'information BFM TV. Ce soir, en plein coeur de Paris, place de la république, quelques centaines de personnes s'étaient réunis pour écouter les prises de paroles de sa mère, d'amis, mais aussi de militants de droit à l'information. Un hommage qui porte un message, selon le secrétaire général de Reporter Sans Frontière, Christophe Deloire.

Le message ce soir, c'est finalement une forme de message de fierté, fierté de voir que des jeunes journalistes peuvent faire leur travail comme ça, avec un idéal solide, cheville au corps, des principes éthiques, forme de courage, exercer une forme de vocation face à des grands appareils de propagande et de censure. Moi, je pense qu'on retiendra de cette soirée l'émotion de tous ses proches. Me, I think that we will remember from this evening the emotion of all his relatives. L'élan vital de ce jeune homme, ses idéaux. Il y avait beaucoup, beaucoup d'humanité. Moi, je retiendrais finalement une phrase qui est une phrase de sa mère qui déjà m'avait dit, au lendemain de la mort de son fils, « sa courte vie aura eu un sens » et notamment un sens lié à l'exercice professionnel. Et qui, ce soir, a dit une autre très belle phrase, elle a parlé « de l'humanité positive face à la barbarie ». Et finalement ça pourrait peut-être être une belle définition du journalisme.

AD : Le secrétaire général de Reporter Sans Frontière, Christophe Deloire. Propos recueillis ce soir par Théo Renaudon.

ZK : **Et toujours en France, on approche de la fin du procès des attentats de 2015. Le parquet requiert, c'est-à-dire qu'il demande, il demande donc la prison à vie contre Salah Abdeslam. **

AD : C'est la peine la plus lourde possible contre Salah Abdeslam, le seul membre encore en vie des commandos du 13 novembre 2015. Des terroristes qui ont causé la mort, je vous le rappelle, de 130 personnes à Paris et Saint-Denis. La parole sera donnée à la défense à partir de lundi et pour deux semaines. Le verdict est attendu le 29 juin.

ZK : **Au Sénégal, un député de l'opposition dort ce soir en prison. **

AD : Le député, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, avait tenu des propos critiques contre le président Sall, lors d'une manifestation des deux coalitions mercredi à Dakar. Il a été écroué pour « offense au chef de l'État et diffusion de fausses nouvelles ». Au Mali, lui, a été libéré, Étienne Fakaba Sissoko, l'économiste malien et écroué depuis 5 mois pour des raisons politiques, selon son avocat, il a été relâché ce soir, assurent son entourage. In Mali, he was released, Étienne Fakaba Sissoko, the Malian economist and imprisoned for 5 months for political reasons, according to his lawyer, he was released this evening, assure his entourage.

ZK : **Jair Bolsonaro, le président brésilien, assure, lors du Sommet des Amériques qui se tient à Los Angeles, que son pays n'a « pas besoin de l'Amazonie pour développer son activité agricole ». **

AD : Il s'agit là d'un revirement pour le dirigeant d'extrême droite, qui s'était jusqu'ici montré favorable à l'exploitation économique des ressources de cette immense foret qui couvre huit pays d'Amérique latine, mais dont la majeure partie se trouve au Brésil.

ZK : **Parlons football, ligue des nations, l'Autriche reçoit l'équipe de France. **

AD : La rencontre se déroule à Vienne, où nous retrouvons notre envoyé spécial, Antoine Grognet, bonsoir.

Antoine Grognet : Bonsoir Adrien.

AD : L'équipe de France pousse pour tenter d'égaliser.

Les Bleus, menés depuis la 37e minute et le but d'Andreas Weimann, l'attaquant autrichien, à la plus grande joie évidemment du public du stade Ernst-Happel de Vienne, mais à la grande surprise d'une équipe de France théoriquement favorite. The Blues, led since the 37th minute and the goal of Andreas Weimann, the Austrian striker, to the delight of course of the public at the Ernst-Happel stadium in Vienna, but to the great surprise of a theoretically favorite French team . Sauf que les Bleus sont en plein doute avec seulement un nul et une défaite dans cette Ligue des nations. Les Bleus, qui se sont clairement fait remonter les bretelles, c'est-à-dire que Didier Deschamps a dû crier très fort dans les vestiaires. L'équipe de France est revenue beaucoup plus offensive depuis le début de la seconde période, mais ça n'a pas fonctionné jusqu'ici. L'équipe de France, malgré les occasions de Karim Benzema, Kingsley Coman ou Benjamin Pavard et toujours mené un but à 0 par l'Autriche, ça se complique fortement dans ce groupe 1 de la Ligue des Nations pour l'équipe de France.

AD : Antoine Grognet à Vienne pour RFI.